Pari et consequences II

- Par l'auteur HDS Claude Lamour -
Auteur homme.
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Récit libertin : Pari et consequences II Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Pari et consequences II
La nuit fut encore très longue.
Impossible de trouver le sommeil depuis deux semaines.
Je ne pense qu’à ça. Toutes mes pensées sont axées sur cette journée, sur ce que j’ai ressenti, sur ce que j’ai fait ou ce que j’aurais du faire.
Je dois devenir folle. Chaque fois que j’y repense, mon corps devient brûlant, mon cœur s’accélère, mes joues rosissent et une boule de plaisir vient s’installer dans mon ventre.
Mon réveil indique quatre heures trente. Il faut que j’en parle à quelqu'un. Je me fou de l’heure, j’appelle Mélanie.
A la quatrième sonnerie, elle décroche.
« Mais ça vas pas bien de m’appeler à cette heure là !!! Faut te faire soigner ma vieille ! »
« Ben oui, justement, c’est pour ça que je te dérange. »
« Ne me dis pas que c’est encore cette histoire de pari perdu qui te travaille ?! »
« Mélanie, te fâche pas. Ce n’est pas le pari… se serrait plutôt….la conséquence du pari. Si tu vois ce que je veux dire. »
«Quoi ? T’es choquée ? pffff ! Je ne le crois pas, ça ! Tu me réveilles pour ça ? Écoute moi bien, ma belle, on soigne un choc par un choc, alors retournes y et me fais plus humm ! »
Elle a raccroché. Je reste prostrée un instant. J’ai bien peur d’avoir perdu ma meilleure amie. Je me ressaisie. Non, je ne l’ai pas perdu, elle m’aime trop. Un bon restau et elle oubliera.
Aller, je dois réagir. Une bonne douche me fera du bien, ensuite je pourrais sûrement me rendormir.
L’eau glisse sur ma peau bronzée. L’odeur du gel douche m’enivre. Mes mains l’étale sur mon corps, mais quand celles-ci atteignent mon ventre, elles réveillent cette boule bizarre en moi. Je m’appuie au mur et tandis qu’une main empoigne un de mes seins, l’autre glisse directement entre mes cuisses.
Je me masturbe ainsi depuis un bon moment, mais, rien n’y fait, je suis toujours dans un état second. Je coupe l’eau et enfile un peignoir.
J’ouvre l’armoire de ma chambre, fouille ma garde robe et en sort une robe blanche, à fines bretelles, se boutonnant sur le devant. Je la passe et la boutonne.
Encore mouillée, elle colle à ma peau, se maculant de-ci de-là d’auréoles plus sombres. La chaleur aura vite fait d’en venir à bout et de les faire disparaître.
Une touche de maquillage plus tard, je suis dans l’ascenseur qui me conduit au parking.
Les grands miroirs, me renvoient l’image d’une belle blonde, bien foutue, sa robe moulant de belles formes généreuses sans être aguicheuse ou vulgaire.
Les portes s’ouvrent.
Les semelles de caoutchouc de mes tennis, couinent sur le sol peint, répercutant le son en dizaine d’échos. Ça me fou la trouille et je courre jusqu’à ma voiture.
Installée au volant, je défais deux boutons, pour ne pas êtres gênée dans les mouvements de mes jambes.
Je tourne la clef de contact et démarre, direction…Le bois.
Il commence déjà à faire chaud et pourtant il n’est que six heures moins le quart.
Je m’engage sur la petite route de l’hippodrome.
Je me sens bizarre, comme si je faisais quelque chose de mal.
La rue est déserte. Pas étonnant, il faut ou être taré ou sportif pour venir au bois à cette heure là, l’un n’empêchant pas l’autre, naturellement.
Je ne m’arrête pas, mais je prends le temps de regarder les sous bois, là où il y a quelques semaines, des hommes se masturbaient pour moi.
Je fais le tour du champ de course, me demandant ce que je fou ici. Je devrais partir, mais animée par une force intérieure, je me réengage sur la petite route. Je m’arrête à égale distance des deux carrefours. Quand j’éteins le moteur, je suis frappée par le silence qui règne. Seuls, quelques oiseaux troublent cette sérénité.
Je descends et ose quelques pas sur le trottoir de terre battue.
Un sentier m’invite à entrer dans le bois.
Je me sens si bien, si calme.
Je marche depuis quelques minutes, quand j’aperçois entre deux arbres, une table de pique-nique avec deux bancs en bois. Apres avoir pris garde qu’elle ne soit pas sale, j’appuie mes fesses sur le bord de la table. Un vent léger me caresse les bras et les jambes. Je sens mes tétons se dresser sous ma robe et c’est tout naturellement que je les caresse de mes pouces.
Grosse erreur, car insidieusement, s’installe en moi une envie de sexe bien supérieure à celle ressentie chez moi.
Tout en guettant alentour, je glisse ma main sous ma robe et la passe à plusieurs reprises sur ma chatte brûlante.
Le mal est fait et le contrôle devient dur.
Quand je fais pénétrer deux de mes doigts dans ma vulve humide, mon autre main, s’affaire à ôter les boutons de ma robe. Je me masturbe maintenant avec vigueur. Ma robe ouverte, les jambes bien écartées, mes doigts vont et viennent, frottent mon clito gonflé de plaisir. De mon autre main, je malaxe mes seins, étire mes pointes durcies.
Le risque potentiel d’être vue, m’excite au plus haut point et lorsque j’imagine un homme derrière un arbre, je craque et jouie très vite.
Je reste encore quelques minutes, à me caresser lentement, pour me faire redescendre sur terre.
Ma robe rattachée, je retourne doucement à ma voiture. Je reprends la route de mon domicile, mais le souvenir du plaisir que je viens de prendre, me donne soudain envie de recommencer. J’accélère pour contourner l’hippodrome et reviens à mon point de départ.
A ma grande surprise, j’aperçois une voiture stationnée un peu plus bas. Je ralentie, passe devant la fontaine au bouton argenté et me gare à bonne distance de l’autre véhicule. En face de celui-ci, un homme est assis sur un banc. Malgré une bonne distance, il doit sûrement distinguer que je suis une femme. En tout cas, ou il a vu ou il a un doute, car il se lève et viens vers moi, doucement, les mains dans les poches.
C’est un type d’une cinquantaine d’années, plutôt bien foutu et bien habillé.
Pour me donner de la contenance, je prends mon portable dans mon sac et fais semblant de téléphoner. Je me sens ridicule.
Ma vitre est légèrement baissée, alors, lorsque l’homme passe près de moi, je parle toute seule.
« Mais oui, chéri, bien sur que je t’attends. Chez toi ? Ok ! Oui, ensuite nous irons ensemble, promis. »
Dans le rétroviseur, je le vois faire demi-tour et revenir sur ses pas.
Il s’arrête juste derrière moi.
Sait il que je le vois dans le petit miroir ? Il fait encore un petit pas. Je le sens qui m’observe.
Il faut dire que je lui offre le spectacle. Ma robe est ouverte presque à mi cuisse et un bouton du haut c’est défait sans que je m’en aperçoive et laisse entrevoir tout le dessus de ma poitrine.
Je ne vois que le haut de son pantalon et ses mains qui commencent à s’agiter dans ses poches. Il se caresse, c’est sur.
« Non, je dois rentrer me changer d’abord. Oui, je serrais à l’heure. »
Tout en continuant à parler à mon téléphone, je rabats les cotés de ma robe sur mes cuisses.
Immédiatement, il reprend sa marche, passe devant moi et se rend au début d’un chemin qui s’enfonce dans le bois. Là, il se retourne dans ma direction, descend sa braguette et sort sa queue, plutôt de bonne taille, je dois l’avouer.
Il entame une lente masturbation du bout des doigts, les plaçant bien à la base de son sexe, pour que je ne perde rien du spectacle de son érection. Mais, tout à coup, il fait une chose étrange.
Tout en continuant à se caresser, il recule, lentement, hors du chemin et disparaît dans les feuillages des buissons.
Aucun doute, c’est une invitation.
Je rougie et tremble un peu.
Pourtant, je descend de voiture en me traitant de folle et me dirige vers l’endroit ou je l’ai perdu de vue.
En avançant près des buissons, l’intérieur du bois se fait plus visible. Je scrute le moindre mouvement, mais rien.
Je passe exactement au même endroit que lui. En fait, l’endroit a déjà été piétiné et un passage c’est dessiné. Mais où est-il ?
J’ai l’air ridicule, plantée là comme une courge au milieu de ses grands arbres. Il doit être planqué quelque part et rigoler de ma connerie.
Je vais pour faire demi-tour quand je suis brutalement ceinturée par des bras puissant. Il s’est plaqué derrière moi, m’agrippe un sein d’une main, tandis que l’autre cherche l’ouverture de ma robe et viens directement se perdre entre mes cuisses.
Ma première réaction, sous l’effet de la surprise, est de me débattre. Je me penche légèrement pour tenter de me dégager, mais cette action plaque mes fesses contre lui. Son sexe est encore sorti et je le sens, dur, collé à moi.
Je me redresse et m’abandonne à ses caresses.
Elles sont maintenant moins sauvages et plus appliquées. Ses doigts me fouillent délicieusement, tandis que son autre main, après avoir défait quelques boutons, pétrie tendrement mes deux seins à tour de rôle.
Puis, il passe devant moi et m’embrasse goulûment.
Ses mains sont maintenant passées sous ma robe et il malaxe mes fesses avec application.
Nous n’échangeons aucun mot. J’attrape son sexe et le frotte doucement contre ma vulve, trempée.
Je ne comprends pas tout de suite pourquoi il enlève sa veste et me la pose sur les épaules. Il me prend par la taille et me fait reculer. Je manque de tomber en trébuchant sur une racine et je me retrouve plaquée à un arbre. Sa veste protège ma robe blanche. Je trouve cette attention charmante.
Il défait les trois derniers boutons et ouvre grand ma robe.
Il contemple mon corps ainsi offert à sa vue.
Ni tenant plus, il lève une de mes jambes en m’agrippant derrière le genou. Je sens son sexe frotter le mien. Une pression plus forte et il disparaît dans mon ventre d’un coup, tout entier, comme aspiré.
La chaleur de son membre m’envahie. Je sens que je suis une vrais fontaine. Cramponnée à ses épaules, je saute à chaque coup de butoir.
Ma tête tourne, je ne sais plus rien. Seul le plaisir occupe ce court instant de ma vie.
J’explose.
Je jette ma tête en arrière. Il m’embrasse avec vigueur dans le cou. Il me lèche, de gauche à droite, de droite à gauche. Je mords mes lèvres, mais laisse tout de même échapper un « Ouiii !! » qui résonne dans le bois, à l’instant précis ou un premier jet vient s’écraser au fond de ma grotte. Il me prend fort et rapidement. Il se vide en moi, jusqu'à la dernière goutte.
Encore deux ou trois coup de reins et il se retire doucement. Ses mains se posent sur mes épaules et exercent une pression. Je comprends tout de suite sa demande. Je m’accroupie et nettoie minutieusement ce membre magnifique qui viens de me faire jouir si fort, en le léchant avec application. Le goût mélangé de nos jouissances est délicieux.
Du sperme coule de ma chatte et je l’entends tomber sur les feuilles mortes.
Une branche craque, suivit de bruits de pas. Je veux tourner la tête pour regarder, mais il m’agrippe les cheveux et pour la première fois, j’entends le son de sa voix.
« Bouge pas ! Finie ton travail ! »
Malgré tout, du coin de l’œil, je vois deux hommes s’approcher.
Le premier est un homme mur, costume cravate. Le second est très jeune. Jogging, basquets et casquette retournée.
La main lâche ma chevelure. Je me redresse doucement et, un peu paniquée, je commence à réajuster ma robe. Ce n’est pas du tout au goût des nouveaux arrivants. Je jeune attrape mon poignet et me tire dans un espace plus dégagé.
« Tu fais quoi là ? Tu ne veux pas partir maintenant tout de même ? Tiens, suce ça !»
Il me dit cela en souriant, comme si nous étions amis de longue date.
Il baisse son pantalon de jogging, me fais me pencher en appuyant sur ma nuque et me plante le visage contre son sexe. Le salaud, il sent bon. Sa queue est douce et chaude. J’ai envie d’y goûter. Je la laisse s’enfoncer doucement entre mes lèvres. Elle gonfle et durcie très vite. Elle est bonne.
L’homme en costume, se place derrière moi. Il dégage ma robe en la rabattant sur un coté. Déjà, je sens un gland humide se frayer un chemin entre mes cuisses. Pour lui faciliter l’accès, j’écarte un peu plus mes jambes et plie les genoux pour être à la bonne hauteur. Ravis de mon effort, il m’empale d’un coup, jusqu'à la garde. Il se cramponne à mes hanches et me baise avec une cadence soutenue.
Les coups de butoir me font sucer le jeune plus rapidement. Ca ne lui plaît pas. Il pose la paume de ma main sur mon front. Ca m’oblige à relever la tête et lui permet d’enfoncer sa queue plus loin dans ma bouche.
« Pas si vite, salope, c’est moi qui donne la cadence ! Et toi, vas y, encule là !»
Mais trop tard, je sens mon vagin se remplir d’une liqueur chaude. Le jeune fou de rage, plante son sexe aussi loin qu’il peut dans ma gorge. Aussitôt, je suis prise d’un énorme haut le cœur. Il se retire à temps.
Très énervé, il dit :
« Viens ici, prend ma place, je vais te montrer. »
Les deux hommes échangent leurs places. Le sexe que je prends en bouche, est mou, gluant de sperme et tout petit. Je commence à le nettoyer de ma langue, quand d’un coup, la bite du jeune vient taper mon utérus. Quel sauvage ce mec. Il fait trois ou quatre vas et vient. En fait, il lubrifie sa queue du sperme de l’autre.
Ma chatte, inondée, fait des bruits de sucions. Je sais ce qui m’attend, alors je me détend et me concentre sur mon nettoyage. J’ignore si c’est le bruit ou la vue, mais sa queue regonfle, pour mon plus grand plaisir.
Nous y sommes. Le gland ressort lubrifié et viens se poser sur ma rondelle. Il est chaud et humide. La pression se fait plus forte. Il pénètre doucement, m’écartant les chairs. Il ne va pas trop loin et effectue quelques vas et vient.
Me sentant sûrement un peu réticente, il ressort et replonge dans la réserve de foutre chaud. Puis il revient à mon cul et là, sans aucun arrêt, il disparaît progressivement dans mes entrailles, jusqu’au bout. Il accélère le mouvement rapidement. Je pousse de petits cris, sans trop savoir si c’est de douleur ou de satisfaction. Son ventre frappe mes fesses avec force et ses couilles s’écrasent en rythme sur ma chatte, éclaboussant le foutre qui en sort.
Mes jambes fatiguent et j’ai de plus en plus de mal à rester courbée. N’en pouvant plus, je tombe à quatre pattes, sans crier gare. Le jeune ne me lâche pas et tombe à genoux sans ralentir son rythme.
Je suis désormais prise en levrette et j’apprécie nettement mieux cette position.
A ma grande surprise, deux jets puissants et chauds envahissent ma bouche. Surprise par cette seconde éjaculation, j’avale le foutre d’un coup.
Derrière moi, les coups ralentissent, mais frappent plus fort. La bête pousse son cri et il se libère loin en moi, encore et encore. Il s’effondre sur mon dos quelques secondes, haletant. Puis il se retire et se lève.
Avec un mouchoir en papier il s’essuie le sexe et me le jette.
« Tiens tu te torcheras le cul ! »
Puis il s’en va en riant. L’homme en costume m’aide à me relever.
« Je suis désolé, ses morveux ne respectent rien ni personnes. »
J’ignore pourquoi, mais je n’arrive pas à lui répondre. Je me contente de rougir un peu et de lui adresser un léger sourire.
Gentiment, il m’aide à reboutonner ma robe, puis me donne un paquet de mouchoirs.
« Je dois partir. Je n’oublierais pas ce moment. Merci à vous et encore pardon pour la grossièreté de ce gosse. Vous êtes très belle. Faite attention à vous.»
Il m’envoi un baiser et disparaît derrière les arbres.
Je me retrouve seule, un peu abasourdie par ce que je viens de vivre. Pourtant, je suis satisfaite. J’ai jouie sans le montrer à plusieurs reprises. Je n’ai même pas vu partir le premier bonhomme.
Je m’essuie sommairement et je rejoins mon véhicule. A ma grande surprise, il y a maintenant pas mal de voiture.
Je regarde l’heure sur mon tableau de bord. La petite pendule indique sept heures trente. Je n’en reviens pas, tout ceci m’a paru si rapide, si fugace. Je démarre. J’ai soif.
Je me rends sur l’esplanade du château de Vincennes, sure d’y trouver une buvette ambulante.
Il y en a bien une, mais je dois patienter un peu car le type n’a pas fini de s’installer.
« Je vous sert quoi, ma p’tite dame ? »
Tout en ouvrant le soda que je lui ai commandé, le marchand me dévisage de la tête aux pieds.
« Vous êtes drôlement matinale ! C’est rare de voir une jeune fille à cette heure là. »
« Merci pour le « jeune fille » c’est gentil, mais j’ai tout de même vingt cinq ans ! »
« Ben ! C’est bien ce que je disais, vous êtes une jeune fille. Vous avez rendez vous ? »
Il est très souriant et jovial, mais je le trouve aussi très curieux.
« Non, pas de rendez vous. J’avais envi de marcher un peu dans le bois avant que la chaleur soit trop forte, mais je ne sais pas si c’est très prudent. »
« Bof ! Ça fait trente ans que je viens là et il n’y a eu que deux ou trois problèmes sérieux. A cette heure ci, vous allez croiser quelques hommes en mal de tendresse, alors ils se consolent entre eux en ce faisant de p’tits câlins. Vous voyez ce que je veux dire ? Ils sont inoffensifs. La plupart sont mariés. Ignorez-les et ils vous ignoreront. Vous pouvez vous balader sans problème, vas.»
Je ne suis pas vraiment convaincue, mais je le garde pour moi. Je le salut, remonte en voiture et m’éloigne.
Des hommes en mal de tendresse ? Des p’tits câlins ? Ma curiosité me dit d’aller jeter un œil.
Je refais donc le tour du champ de course et redescend, une fois de plus, la petite route que je commence à bien connaître.
Des hommes sont dans leurs voitures, d’autres assis sur les bancs et d’autres encore qui rentre ou sorte du bois.
Je n’ose pas m’arrêter et je continue jusqu’en bas. Là, je tourne à gauche et me range un peu plus loin.
Mais ! Ce n’est pas vrai ça ! Voilà que maintenant j’ai envi de voir deux types se faire une pipe ? Comme une mateuse vicieuse ?
Je suis excitée ! Ma respiration s’accélère. Ma poitrine se soulève à chaque inspiration. C’est plus fort que moi, je ferme ma voiture et m’engage dans une allée.
Humm ! Il fait frais, c’est agréable. Un vent léger, discret, caresse mes jambes et mes bras.
Au détour d’un chemin, je croise un homme. Le passage est étroit. Son bras frôle le mien. Instantanément, j’ai la chair de poule. Mes poils se redressent et mes tétons pointent à travers le fin tissu de ma robe. Je tourne légèrement la tête pour voir s’il me regarde. Non seulement il me regarde, mais en plus il a fait demi tour et marche à une dizaine de mètres, derrière moi. Je l’imagine, contemplant mes jambes ou mon cul. Pourvus que ma robe ne soit pas tachée. Cette pensée me fait sourire.
Je continue ma promenade.
Je fais des tours et des détours, espérant qu’il cessera de me suivre. Mais je m’aperçois très vite que, non seulement il n’a pas abandonné, mais qu’en plus il n’est plus seul.
Houlà ! Il serrait peut être temps que je dégage.
Là ! Ce petit chemin qui coupe à travers de jeunes arbres, il devrait me ramener directement à la route. Au bout de vingt mètres, je dois faire attention à ne pas me piquer aux orties, de plus en plus nombreuses. A quarante mètres, je dois commencer à enjamber de grandes herbes.
Enfin ! J’aperçois une espèce de clairière. En fait de clairière, c’est une toute petite superficie d’herbe, qui a été piétinée à plusieurs reprises, entourant un chêne centenaire. Je fais le tour de l’arbre.
C’est un cul de sac.
Il n’y a pas d’autre chemin. Je voudrais repartir de cet endroit, mais les hommes arrivent, doucement. Deux, cinq, sept, dix peut être.
Je n’ose pas avancer. Je reste plantée, là, comme une idiote.
Mon cœur bat la chamade, mes jambes commencent à trembler, le rouge à remonter à mes joues et….. Et cette boule qui revient une fois de plus, prendre possession de mon ventre.
Putain, je dois reconnaître que cette situation me plaît.
Sans quitter le chemin, les hommes stoppent à l’entrée de la clairière. Ils sont à moins de quatre mètres de moi. A leurs regards qui brillent, je comprends qu’ils ne sont pas trop enclins à me laisser passer. Deux d’entre eux sont déjà en train de s’astiquer, sans pudeur.
Il ne m’en faut pas plus pour me refaire basculer dans ma douce folie sexuelle. Je relâche prise, je ne me contrôle plus vraiment. Je n’ai plus qu’une chose en tête… m’offrir !
Doucement, tout doucement, je déboutonne ma robe. D’abord par le haut. Au troisième bouton, le col s’écarte et tombe de chaque coté, dévoilant une partie de mes seins. Arrivé au nombril, ils sont totalement apparents. Encore trois, deux, un. Je laisse retomber mes bras le long de mon corps. Le vent fripon, écarte ma robe et dévoile mes atouts à ces messieurs. Ils font un pas vers moi.
Je tends une main et je me surprends à dire :
« Non ! Attendez ! »
Ils s’arrêtent net. J’ai des difficultés à rester debout, tant mes jambes sont molles. Il me vient alors une idée de démente. Je plie les jambes, doucement et me laisse tomber à genoux.
De ma main droite, je fais glisser la bretelle gauche sur mon épaule, puis de la main gauche, je fais la même chose de l’autre coté.
Ma robe glisse doucement en me caressant le dos et tombe sur mes mollets. Les bras de nouveaux le long du corps, j’écarte légèrement les cuisses, ferme les yeux et penche ma tête en arrière. Mes longs cheveux balayent mon dos au rythme du vent.
Voilà ! Je suis totalement offerte. Je m’abandonne à ses hommes. Je leurs appartient.
D’abord surpris, ils ne bougent pas. Mais très vite, ils laissent leurs instincts de males prendre le dessus.
Mes seins sont pris d’assaut par de multiples mains, puis par des bouches, suceuses, baveuses.
Des queues raides et chaudes et déjà humides, caressent mon visage, mes épaules, mes cheveux.
Mon ventre est palpé, malaxé comme une pâte à pain.
Une main, puis deux, puis trois, viennent demander à mes cuisses de s’ouvrir encore. Des doigts longs et fins écartent mes grandes lèvres et s’introduisent en moi, tandis qu’un pouce vient se planter dans mon anus.
« Whouaaaa ! Mais t’a déjà servi aujourd’hui ! T’es trempée ma coquine ! »
« Putainnn ! Par ici aussi elle a servi ! Elle est encore pleine ! Tu t’es faite bourrer des deux cotés ma salope ! »
Emoustillée mais honteuse de ses propos, j’attrape la queue qui se trouve devant moi. Je cache mon humiliation dans une fellation appliquée et soignée, n’hésitant pas à laisser le membre pour aller goutter les énormes bourses, prêtent à cracher leur venin. Une autre queue s’invite. Ma langue tourne avec délectation autour des deux glands turgescents. Mes mains sont également sollicitées. Elles branlent studieusement plusieurs sexes à tour de rôle.
Déjà, un premier jet vient d’éclabousser mon sein droit, suivi par d’autres qui atteignent mon ventre. Les éjaculations sont accompagnées de râles de bête. Un autre se fait entendre, lui aussi suivi d’une explosion de foutre chaud. Les deux membres, devant moi, montrent, eux aussi, des signes avant-coureurs d’une très prochaine libération. Je réalise qu’ils vont s’entraîner mutuellement, dépassés par leurs émotions et que je vais recevoir leurs hommages à la chaîne.
Je me penche en arrière et pose mes mains sur ma nuque. Mon corps leur est tout offert, prêt à recevoir tout ce qu’ils pourront me donner. L’attente n’est pas longue et les projections de liqueurs bouillantes s’enchaînent à une vitesse incroyable. A chaque seconde je suis atteinte. Sur ma poitrine bien sur, mais aussi sur mes épaules, mon ventre, mon sexe, mes cuisses.
Le foutre coule, glisse sur ma peau.
Les spermes se mélangent sur moi, les gras, les liquides, les épais, tous plus ou moins opaques.
Un jet puissant vient strier mon visage. D’un doigt, je ramène le précieux jus à ma bouche, me délectant de son goût salé. Ce geste, sexuellement fort, vient à bout des plus résistants et les derniers largages interviennent très rapidement.
Je regarde mon corps couvert de semences, qui luit au soleil. Le sperme, tel de la lave, descend doucement. Des gouttes se forment sur mes tétons et tombent en longs filets vers mes cuisses.
Vidés de leurs désirs, déjà quelques hommes s’en vont. Les autres, restent là, à contempler le tableau qu’ils viennent de peindre sur moi.
Un petit bonhomme secoue sa verge avec frénésie, sans doute dans l’espoir de retrouver une érection nouvelle.
Un jeune s’approche de moi. Il tient dans ses mains de grandes feuilles, arrachées aux plantes environnantes. Ses yeux brillent. Je sens que le nombre de femmes qu’il a vu nue doit être limité. Intimidé, il dépose les feuillages devant moi. Il me regarde avec dans le regard une demande de pardon, comme un enfant qui vient de faire une grosse bêtise. Il est beau, attendrissant. Je lui sourie, passe ma main dans ses cheveux blonds et caresse sa joue, doucement.
« Ben vas-y ! Essuies toi ! »
Une grosse voix vient de briser ce moment de tendresse. C’est un grand gaillard, la quarantaine, tatoué de partout et sûrement plus con que méchant. Je le fixe dans les yeux, furieuse. Je passe mes mains dans mon dos et attrape ma robe. Sans lâcher mon regard, j’essais de repasser les bretelles sur mes épaules. Le jeune vient à mon secours et les réajuste. Puis il me tend une belle et grande feuille. Je la prends et me lève doucement.
Je vois dans le regard du tatoué, l’impatience qui pointe. Je peux lire dans ses pensées.
« Hummm ! Que ça vas être bon de la voir étaler tout ce foutre gluant avec des feuilles. »
Je ne lui donnerais pas cette joie.
Je jette la feuille. Je lis l’étonnement dans ses yeux sombrent.
Doucement, je rabats ma robe sur moi et commence à la reboutonner. Il reste bouche ouverte.
Des hommes qui partaient, reviennent, pressentant qu’il se passe quelque chose d’intéressant, quand le petit bonhomme, toujours en secouant sa queue, lance cette phrase :
« Ben putain ! T’es dégueulasse toi ! »
Je sens ma robe se coller à ma peau, absorbant le jus. De grandes auréoles se forment sur toute la surface. De mes seins jusqu’à mes cuisses, le blanc vire au gris.
Puis, après avoir jeté un petit regard complice et amical avec le jeune et un, nettement plus arrogant, à l’encontre du tatoué, je m’avance dans le chemin. Les hommes surpris par mon attitude, s’écartent et me laissent passer.
Ma robe devient lourde. Je la sens se décoller de moi, par instant, gluante et trempée. Je n’ai plus peur, ni honte. Etrangement, je me sens forte, prête à affronter n’importe qui.
D’avoir des hommes, qui s’écartent pour me laisser passer, ne peut que me rendre forte et sure de moi.
Je quitte le chemin au milieu des buissons et me voilà de nouveau dans le bois.
Une fois de plus, mon jeune sauveur viens à mon secours, et sans que je lui demande, m’indique ou se trouve la route.
Je suis stupéfaite de voir que je n’étais qu’à vingt mètres de ma voiture. Je m’y engouffre et démarre rapidement.
Au bout de quelques minutes, l’odeur que dégage ma robe, embaume l’espace clôt.
J’ouvre la vitre. Le vent et l’humidité de ma robe, me procure de la fraîcheur. Au moins, je n’aurais pas tout perdu.
Le garage est désert. Je longe les murs jusqu’à l’ascenseur. Pourvus que je ne croise personne. Il me tarde d’être chez moi, car je sais avec précision quel délice je vais m’infliger.
Quatrième.
Me voilà arrivée.
Fébrile, je n’arrive pas à entrer ma clef dans la serrure. Soudain, derrière moi, la porte de ma voisine s’ouvre. Surtout, ne pas paniquer, ne pas me retourner.
« Bonjour Delphine ! Vous êtes bien matinale dites moi ?! »
Je lui dirais bien de s’occuper de ses oignons.
« Bonjour madame Raymonde. Oui, j’ai profitée de la fraîcheur du matin. »
Enfin, ma porte s’ouvre. Sans demander mon reste, je rentre, ferme la porte et m’y adosse, le cœur battant.
Pourvus qu’elle n’ait rien remarquée. Dans le couloir, je l’entends monter dans l’ascenseur.
« Houlà ! Ça pue là dedans ! »
Je ne peux m’empêcher de rire. Lentement, mon rythme cardiaque redevient presque normal.
Presque seulement, car je m’apprête à faire une bêtise de plus. Je le sais, mais j’en ai tellement envie.
Je me dirige directement vers ma chambre. Là, sans aucune hésitation, je m’allonge sur le dos. Je déboutonne et ouvre ma robe. Les pans, que j’écarte, restent reliés à moi par de longs filets fins de foutre froid. Je les étale de chaque coté de moi, comme pour les faire sécher. Je suis prête.
Tout mon corps en en alerte, prêt à percevoir le moindre soupçon de plaisir nouveau. Mes pensées se brouillent, je rentre dans un état second, comme envoûtée.
Doucement, très doucement, en partant de mon cou, je fais glisser mes pouces vers mes seins. Petites raclettes improvisées, ils rabattent le foutre visqueux sur ma poitrine.
Je continue, passe mes tétons, redescend lentement vers mon ventre et pour finir, regroupe la récolte, là, ou jadis, trônait ma toison dorée.
Je répète l’opération deux fois, pour en ramasser un maximum.
Je ne peux pas résister à l’envie de porter mes pouces à ma bouche. L’odeur est forte, mais qu’importe, j’irais au bout de mes fantasmes. Je les lèche et les suce goulûment, l’un après l’autre. Le goût est très proche de l’arome. Pourtant, je l’apprécie et cela ne fait qu’augmenter mon envie de perversion.
Alors que je me lèche encore les lèvres, mon pouce droit revient à mon ventre et pousse délicatement ce que j’ai recueilli, dans le trou béant de ma chatte, que mon autre main écarte bien grande. Je sens la glue couler en moi, tomber en paquet, glisser.
Hummm ! Je me sens pleine.
Mon clito, sollicité au passage de cette gelée royale, gonfle et durci. Quand mes doigts le frôlent, mon bassin tout entier se charge d’électricité.
Je n’y tiens plus.
Quatre doigts me pénètrent, rentrent et sortent dans cet infâme bouillon mal odorant, alors que je branle mon bouton comme une folle hystérique.
Les doigts en action, font, de ma chatte, des bruits d’évier que l’on tente de déboucher.
Mon cerveau disjoncte. Je ne me contrôle plus.
J’explose et pousse un cri.
Mon plaisir doit s’entendre jusque dans la rue.
Ma mouille, abondante, ramollie le foutre et dans un ultime orgasme, je le devine jaillissant de mon sexe. Il se déverse entre mes cuisses et coule dans le sillon de mes fesses, pour finir sa course dans le bas de mon dos, s’étalant sur ma robe encore immaculée à cet endroit.
Je suis épuisée, haletante. Je pleure de plaisir.
Un reste de folie me fait me lécher les doigts, une fois de plus.
Je m’apaise, peut être même me suis-je endormie.
Le téléphone me fait sursauter. Du bout des doigts, j’attrape le combiné sur ma table de nuit.
« Allo ? »
« Ha ! Tu es là ? J’ai essayée de te joindre toute la matinée. »
« Mélanie ? »
« Ben oui Mélanie ! Écoute, je passe l’éponge pour ton coup de fil de ce matin, mais je pense qu’il serait bon qu’on discute un peu toute les deux. Je passe te voir dans une heure, ok ? »
« Non ! C’est inutile, je t’assure, je vais mieux. J’ai résolu mon problème.»
« Ton problème ? Quel problème ? »
« Ben…tu sais…un choc pour un choc… »
« Quoi, un choc pour un choc ? Qu’est ce que tu me raconte ? Je ne comprends rien ! Et puis d’abord tu étais où ce matin ? ….un choc pour un… Delphine, tu ne serais pas en train de me dire que…. Tu n’as… tu n’es pas allée au bois, tout de même ??? Delphine ? Allo ? Delphine ? »
« …………. »

Les avis des lecteurs

Claude, je confirme mon commentaire que j'ai laissé dans votre récit "jour de grève
III" ...... j'ai lu la plupart de vos récits .... tous cimentes mon attention .....
votre imaginatif, votre créativité et votre tournure d'esprit érotique "soft" ne peut
désirer que la poursuite de vos récits ...... surtout pour moi, pour nous lecteurs ...
je ne peux que vous encourager à l'écriture .....

au plaisir de vous lire

bernard



Texte coquin : Pari et consequences II
Histoire sexe : Une rose rouge
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