Damien (17) La fête de Kader - 1

- Par l'auteur HDS Kati -
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Damien (17) La fête de Kader - 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (17) La fête de Kader - 1
Une fois arrivés à Marrakech, Kader m’amena chez lui et me fit visiter sa somptueuse maison.
C’était une maison imposante entourée de grands murs
Il y avait des salons en enfilade et Kader me dit "C’est ici que j’organise mes fêtes. »
- Tu as une maison magnifique.
- Merci.
- Mais dis-moi comment se passent tes fêtes ?
- Oh c’est simple, j’en organise tous les week-ends, mes invités sont des personnages connus, industriels, économistes, etc…
On commence par prendre quelques verres, discuter puis on passe à table et c’est à la fin du repas que la fête commence vraiment.
Pendant l’apéritif et le repas, des couples se forment hétéros et/ou homos, des fois ce sont des équipes et à partir de ce moment tout est permis enfin pas tout du moment que cela reste raisonnable et surtout sans violence et jamais sans le consentement des participants.
- Mais tous ces gens se connaissent ?
- Oui ce sont des habitués.
- Mais moi…
- Ne t’inquiète pas, c’est moi qui te présenterai, je sais ce que veulent mes invités, il y en a qui me passe des coups de téléphone pour me dire ce qu’ils veulent et j’essaie d’accéder à leurs désirs. Avec toi je suis sur que je vais en contenter certains.
- Bien.
- Voilà tu connais l’endroit, j’espère que cela te plaît, maintenant tu es libre tu reviens ou pas mais ça par contre il faut me le dire au plus tard le mercredi pour que je puisse organiser mes soirées.
- Je comprends, mais je veux être là tous les week-ends.
- AH AH AH !! Je te reconnais bien là petite salope. Comment vas-tu venir ?
- En voiture.
- OK il faut que tu arrive le samedi vers 17 heures.
- OK
- Tu vas voir tu ne vas baiser qu’une fois par semaine mais je penseque tu auras ton compte.
- Une fois par semaine, ça c’est toi qui le dit, dans la semaine j’ai aussi quelques amants qui attendent mon cul.
- Oui mais je te demande de ne pas venir avec le cul complètement ouvert et cassé donc évite de baiser le jeudi et le vendredi.
- Bien sur.
- Ah oui la plupart de mes invités aiment les salopes bien rasées, j’ai vu que tu avais quelques poils dans la raie du cul alors il faudra les faire disparaître.
- Pas de problème.
- Bon je ne te retiens pas plus, je sais que tu as pris deux jours de congés, alors pour cette fois-ci mon chauffeur va te ramener à Casa.
- Merci Kader.
- Non ce n’est rien, à samedi.
- A samedi, au fait il faut que je m’habille comment ?
- Ah je ne t’ai pas dit, tu t’habilles comme tu veux, ce n’est pas un problème, il n’y a pas de manière.
- D’accord, au revoir.
- Je compte sur toi pour samedi.
- Sans problème".
Le samedi suivant j’arrivai devant la maison de Kader, je sonnai et un majordome vint ouvrir, l’homme me regarda et me dit "Si monsieur veut bien me suivre".
Kader m’accueillit, il me guida vers un des salons que j’avais vu et me dit "Installe toi et profite de la soirée, je t’ai trouvé trois hommes qui ont envie de passer la nuit avec toi. Tu es toujours d’accord ?
- Bien sur.
- Parfait, amuse-toi et quand le moment sera venu je viendrai te chercher".
L’ambiance était chaleureuse, les gens parlaient, rigolaient.
Au fur et à mesure que la soirée avançait on voyait des gestes qui ne portaient guère à confusion.
Des femmes entres elles, des hommes avec des femmes, des hommes entres eux, des caresses intimes, des baisers, enfin la fête commençait à battre son plein.
On voyait des couples s’isoler, des bandes aller dans d’autres salons.
Quand à moi je restai attendant un geste de Kader.
Au bout de quelques instants, je vis Kader me faire un signe de tête, je m’excusai auprès de la personne qui me parlait de commerce international, me levai et paris vers l’endroit où Kader se tenait.
Il me dit "C’est maintenant pour toi, je t’ai réservé trois saoudiens, je leur ai expliqué ce que tu étais, ils ont hâte de faire connaissance avec ton petit cul"
Je suivis Kader, il ouvrit une porte et me dit "Voilà c’est là".
J'entrai dans un immense salon dont le sol de marbre blanc était couvert de somptueux tapis d'orient.
Cette pièce devait faire au moins 200 m², tout au bout sous un splendide plafond de bois de santal sculpté de feuilles d'or il y avait un salon marocain où se tenaient trois hommes d'une quarantaine d'années.
Contrairement à ce que je pensais, je ne me trouvais pas en présence de personnes grasses comme le sont généralement les riches saoudiens, ils semblaient minces et étaient beaux, l'un d'eux me fit signe d'approcher et me dit "Tu es Damien et moi je suis Fouad et voici Fayçal et Farouk.
- Je suis très honoré messieurs.
- C'est nous, sais-tu pourquoi tu es ici ?
- Oui et c'est de mon plein gré.
- Bien, pour commencer viens t'asseoir avec nous et buvons quelque chose.
- Avec plaisir".
Je m'installai près d'eux et Fayçal me servit un whisky.
Fouad me dit "Maintenant, nous aimerions que tu nous fasses un strip-tease et que tu nous montres le trésor que tu caches au milieu de tes deux collines".
Je me levai et leur tournant le dos, je me dévêtis tout en tournant lascivement mes hanches.
Quand j'eus baissé mon slip je leur fis face, ils avaient ôté leurs habits et je me trouvai face à trois sexes en érection, le membre de Fouad était très gros et très long, beaucoup plus volumineux que celui de Kader, celui de Fayçal était un peu plus fin mais plus long tandis que Farouk arborait un pénis un peu plus court que les deux autres mais beaucoup gros. Aucun des trois priapes ne faisaient moins de 25 centimètres, je sentis une douce chaleur m'envahir le bas ventre. "Mets-toi à quatre pattes me dit Fouad".
Je m'exécutai, il se positionna derrière moi et me caressa la raie de son énorme gland turgescent, cet attouchement me provoqua une étrange sensation de plaisir, un gémissement s'échappa de ma bouche, un doigt de Fouad pesa sur mon œillet et me pénétra, je fermai les yeux et savourai la caresse, un autre doigt vint rejoindre le premier puis un troisième et un quatrième, je planai littéralement sous ces allées et venues qui lentement m'ouvraient le sphincter.
Fouad prolongea très longtemps ce préliminaires si bien que quand ses doigts m'abandonnèrent, j'avais les fesses brûlantes et je laissai échapper des petits râles de bonheur, le gros bout durci se posta contre ma pastille et mon amant entreprit de m'enfesser en de petits coups de reins, bien que largement ouvert, le passage du gland m'arracha un cri de douleur, mais une fois qu'il fut passé au lieu de s'enfoncer à fond en moi, mon mec commença à m'assouplir la rondelle par de petits va et viens, au début je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant ça me faisait mal, j'avais l'impression d'avoir le cul coupé en deux, puis peu à peu la souffrance fit place à une douce sensation de bien-être, je sentis mon fondement se décontracter, s'ouvrir totalement, c'est le moment que choisit Fouad pour s'enfoncer dans mon arrière-train jusqu'à la garde.
Quand les poils follets de ses couilles touchèrent ma croupe, je sus qu'il était entièrement en moi, je sentais palpiter au fond de mes entrailles ce pénis qui m'emplissait complètement.
Je soupirai de plaisir et tendis mes fesses vers mon homme pour accentuer la pénétration, me prenant aux hanches, Fouad se mit à me limer avec douceur me faisant perdre totalement pied, ce formidable phallus qui me forait les reins me procurait à chaque allée et venue des éclairs de jouissance qui remontaient par vagues de mon bas-ventre, je m'abandonnai corps et âme à cette bite roide qui me faisait tant de bien, je rejetai la tête en arrière et fermant les yeux, je laissai le plaisir prendre possession de mon être.
Soudain je sentis contre ma joue quelque chose de dur et doux, j'ouvris les yeux et me trouvai en présence d'une queue dressée, j'ouvris la bouche et avalai l'objet de ma dévotion, pendant ce temps le troisième s'allongea à mes côtés et posa sa verge érigée dans une de mes mains, je me mis à la branler doucement.
Celui que je suçai m'immobilisa la tête et se mit à me tringler les lèvres comme si il s'agissait de mon cul, celui que je masturbai jouit et je reçus ses jets abondants dans la paume de la main.
Tout à coup, plaquant mon visage contre son pubis, Farouk car c'était lui juta en râlant, son sperme crémeux coula dans ma gorge et je l'avalai avec délice.
Je ne savais plus depuis combien de temps Fouad me possédait, j'avais atteint le point de non-retour et roulant des hanches en cadence, je me mis à délirer.
C'est à cet instant que, s'enfonçant au plus profond de moi, Fouad éjacula en râlant, ses jets de semence épaisse fusants contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un spasme foudroyant, je me cambrais et un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" pulsa de me lèvres.
Fouad se retira et aussitôt, une pine raide força l'orée de mon anus m'arrachant un gémissement.
Fayçal car c'était lui, se mit à me besogner à une vitesse folle, je croyais qu'il allait me déchirer le cul si il continuait comme ça, son membre sortait presque entièrement de moi pour replonger la seconde suivante au fond de mon anus, le plaisir ne fut pas long à refaire surface en moi, je me mis à gémir sous les coups de boutoir que mon amant m'assenaient, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, sa pine coulissait sans aucune gène dans ma grotte bien ouverte et lubrifiée par les assauts de Fouad.
Soudain, mon homme s'arrêta et me prenant à la taille, me fit basculer, je me retrouvai allongé sur le dos, mon amant sous moi continuant à me pilonner le rectum avec des "HAN" de bûcheron.
Une verge érigée força mes lèvres, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer avec avidité tandis qu'une autre se posai sur ma main, j'enroulai mes doigts autour de la colonne de chair et commençai à la traire.
Farouk, car c'était lui déchargea, sa liqueur gicla sur mon ventre, je lâchai la biroute à demi flaccide et entrepris de ma masser la poitrine avec le foutre qui la maculai.
Je sentis sur ma langue la bite de Fouad tressauter, il colla mon visage contre son pubis et explosa en feulant, ses longs jets de semence se déversèrent dans ma gorge et je les bus avec un plaisir évident, pendant ce temps là, Fayçal me possédait toujours avec la même fougue m'amenant au septième ciel, je ne vivais plus que pour et par la hampe qui me défonçait le fondement, mon fessier brûlait, je voulais que ce priape dur reste éternellement en moi tant le plaisir qu'il me donnait était grand, mon corps sautait chaque fois que mon mec me bourrait, je me sentis perdre totalement le sens des réalités, je sombrai dans l'univers cotonneux où seul compte le bonheur physique, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, je me mis à hurler toutes les phases du fade par lesquelles je passai.
Plongeant au plus profond de mon être, Fayçal éjacula en râlant, ses traits de sperme fusants le long de mes parois en fusion me déclenchèrent un fabuleux orgasme, mon corps se tendit comme un arc, mes jambes battirent l'air et de ma gorge pulsa un hurlement de jouissance "aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh" puis je retombai lourdement sur mon amant les yeux clos, cuisses écartées.
Fayçal se retira et aussitôt, on me releva les cuisses pour les mettre sur des épaules et un formidable pénis me pénétra et se mit à aller et venir entre mes fesses avec lenteur, bien que je fus très ouvert par les assauts que je venais de subir, je poussai un petit cri de douleur quand le gland de Farouk déflora ma corolle.
Mais sous les mouvements répétés de cette virilité dans mon tunnel intime le mal s'évanouit pour une fois de plus faire place à une douce langueur, qui je le savais allait se transformer en un plaisir intense.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à rouler des hanches en cadence creusant mes reins pour venir à la rencontre du membre qui m'enfilai, je tendais mon cul pour recevoir encore plus, je voulais que Farouk tout entier entre en moi, je n'étais plus qu'un cul gigantesque affamé.
Mon homme enleva mes jambes de ses épaules et les releva vers ma tête, de sorte que mon trou ressorte plus encore favorisant l'angle de pénétration, de cette manière mes fesses n'étaient plus un rempart, tout le phallus pénétrait dans ma grotte, c'était merveilleux.
Je ne savais plus depuis combien de temps, mon mec était en moi mais je voulais qu'il y reste pour me procurer sans fin ce plaisir qui m'envahissait.
Soudain, je sentis des gouttes humides pleuvoir sur mon corps, Fayçal et Fouad s'étaient astiqués et déchargeaient sur moi, quand ils eurent terminés, ils essuyèrent leurs sexes sur moi, du bout de la langue, je récupérais le foutre qui me maculait le visage.
Les coups de boutoir de Farouk étaient tellement brutaux que je décollais du tapis chaque fois qu'il me défonçait la raie.
J'avais le cul complètement éclaté, et sous les assauts répétés de mon amant, je me tordais sous lui comme un damné griffant ses épaules de mes ongles, ma tête ballottait de gauche à droite, je n'étais plus que jouissance, seul pour moi comptait le formidable pal qui me ramonait le rectum, je me mis à délirer.
Farouk planta sa pine au plus profond de mon cul en fusion et explosa en feulant, son épais liquide séminal inondant mon canal bouillonnant me provoqua un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc, mes doigts griffèrent les tapis, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à ce magnifique phallus, je hurlai de jouissance puis je retombai lourdement au sol, mon mec me décula et aussitôt un autre corps s'allongea sur moi et m'enfessa d'un violent coup de reins.
Je ne sais ni combien de fois ni combien de temps je fus enculé, mais quand les trois hommes m'abandonnèrent, je me couchai en chien de fusil pour récupérer ma respiration, j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, mon fondement était complètement éclaté et la semence coulait tout le long de mes cuisses, j'avais les lèvres gonflées à force de sucer.

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