trois filles, cinq mecs, Fin

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : trois filles, cinq mecs,  Fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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trois filles, cinq mecs, Fin
A peine entrée Patricia enlève son manteau. La pute, elle est prête à l’emploi. Des bas et jarretelles, et rien d’autre, pas de soutien gorge, pas de culotte. Jean-claude la saisit par le bras et la jette sur un matelas :
- Tu en veux encore salope, tu n’as pas assez baisé ? Tiens, prends ma queue dans la choune, putain, je vais t’en donner de la bite.
- Doucement, calme toi, tu oublies les règles du jeu.
- Mais le jeu est finit depuis que tu es partie. Maintenant on ne joue plus ? Alors ou tu écartes tes cuisses et tu la fermes, ou tu te casses.
- Salaud, tu sais que j’ai trop envie de vos queues.
- C’est bien, dis moi que tu es une chienne soumise et que je te fais du bien.
- Oui, je suis une chienne soumise et lubrique, c’est bon ta grosse trique, défonce moi la chatte.
Il la baise à grands coups de reins, lui balance des obscénités et insultes qu’elle doit répéter.
Il se retire, elle reste sans bouger, cuisses ouvertes, et attend le prochain client. Jacques laisse sa place à Jean-claude dans la bouche de Guillaume, et s’installe pour la pilonner à son tour. Il la fourre profond, et elle l’encourage avec des mots grossiers :
- Cette queue mon salaud, qu’est ce que je la sens bien. Enfonce toi jusqu’aux couilles, prend moi comme une truie en chaleur, fais moi jouir comme une chienne………….
Il la fait venir à deux reprises et se retire. C’est au tour de Manu de se farcir son abricot liquoreux, puis vient mon tour. Elle est épuisée et je l’aime tendrement.
- Merci mon chéri, tu es gentil. Qu’est ce qu’ils m’ont mis ces salauds.
- Tu t’attendais à quoi à venir nous voir avec ta tenue de pute.
- Tu as raison, mais je ne me pleins pas, j’aurais juste aimé un démarrage plus en douceur.
- Tu as vu le jeune, il s’est pris une double anale. Ca te tente ?
- Ah non, sans façon, même pas une double vaginale. Je veux rester étroite pour mieux vous sentir en moi.
- Et une double classique, devant et derrière ?
- Alors là oui sans problème, même une triple avec ma bouche. En fais c’est pour ça que je suis revenue.
Je me retire et demande deux volontaires pour la prendre. Jacques se couche sur le dos, elle le chevauche, et son huître gourmande absorbe ses 22 cm. Elle a le cul en l’air, offert, à tous les manches de bonne volonté, et on passe tous les quatre dans son tube. Ceux qui ne sont pas entre ses cuisses se font sucer.
Manu se couche prés de Jacques, elle change de monture, et on remet ça. Puis elle nous enfourche, Jean-claude, moi, et même Guillaume qui baise sa première femme. Vu la matraque qu’il se tient à la fin de la séance, sûr qu’il a apprécié.
Ses trous sont enfin rassasiés et on va pouvoir se soulager.
Jean-claude qui a eu l’idée du final passe le premier. Elle est à genoux devant lui, bouche fermée, yeux ouverts, et tient une assiette sous son menton. Le vieux vicelard se masturbe énergiquement tout prés de son visage et lui crache son sperme à la gueule. Il a encore des giclées bien fournies et l’asperge copieusement. Il se recule, nous invite à l’imiter, et se branle de plus belle pour préparer la deuxième couche.
Guillaume est jaloux, aimerait le même traitement. Jean-claude lui promet que se sera pour une autre fois, et rajoute :
- Mais si tu veux bouffer du foutre tu peux la nettoyer avec ta langue et lui rouler des pelles pour partager ta récolte. Je veux qu’elle bouffe elle aussi.
- Moi je veux bien, mais si elle…..
- Qu’elle veuille ou pas on s’en fout, on n’est plus dans le jeu, c’est notre pute obéissante, et elle fait ce qu’on lui dit.
On l’assaisonne tous de nos épaisses décharges, et on lui sert une deuxième ration.
Elle a le visage couvert de nos semences dont les plus grosses coulées se sont déversées dans l’assiette. Elle lape la moitié du contenu et laisse l’autre à Guillaume. Il nettoie l’assiette puis s’attaque au visage souillé de notre belle putain. A maintes reprises il récupère nos spermes de sa langue et partage avec elle dans des roulages de pelles de plus en plus torrides. Je crois qu’il va aussi aimer les filles.
Il ne reste plus de trace de notre orgie, et on décide de partir, Patricia et moi. Jacques et Manu nous emboîtent le pas, seul Guillaume reste avec Jean-claude pour une soirée de débauche.
Jacques et Manu rentrent chez eux après de chaleureux au revoir.
La nuit commence à tomber, et je n’ai pas envie de rentrer chez moi. J’espère passer la nuit chez elle, et appellerais mon patron pour prendre le lundi en congé, et rester avec elle. Elle est enchantée de ma proposition, me promet de ne pas en parler à Joëlle, et m’invite à la suivre en voiture. On est au parking et on gagne son appartement :
- J’ai du mal à marcher, vous m’avez cassé le cul. Dommage que Marie ne soit pas là pour me lécher et me soulager.
- Je peux la remplacer, si tu veux.
- J’aimerais bien, mais juste la langue, rien d’autre.
- Pas de problème, j’ai trop baisé pour remettre ça.
On est dans sa chambre, elle a enlevé son manteau et s’allonge quasiment nue sur le lit. Elle est moitié à plat ventre, moitié sur le côté, replie la jambe du dessus, écarte ses fesses et attend. Je me déshabille et m’installe, la gueule dans sa raie :
- Oh tu me fais du bien, salaud, c’est trop bon. Ta langue est aussi bonne que celle de ma petite copine, on dirait que tu me fous un bonbon à la menthe dans le cul. Lèche la fente chéri, broute moi le fion, fourre moi ta langue dans l’anus………………..
Je sais que je ne l’enculerais pas ensuite, mais je prends quand même un réel plaisir à la satisfaire.
Je la lèche de longues minutes, et elle me propose de me lécher à son tour. Elle n’a connu que des culs féminins, et aurait aimé qu’on lui donne nos trous à déguster l’après midi, et autre chose qu’elle ne veut pas me dire. On inverse les positions, elle me rend la politesse, me doigte pour m’ouvrir et me pénétrer de son organe musclé. C’est délicieux et je me laisse faire avec de longs soupirs reconnaissants.
On va prendre l’apéritif, mais avant elle veut faire pipi et prendre une douche.
- Et faire pipi sous la douche, ça te dit ?
- Comment çà ?
- J’ai un fantasme que je n’ai jamais réalisé, me faire pisser dessus par une femme.
- Je crois qu’on est fait pour s’entendre, j’ai le même fantasme. Je n’ai pas osé te le dire tout à l’heure, mais c’est après midi quand vous m’avez couvert le visage de sperme j’espérais que vous alliez me nettoyer, surtout le vieux vicieux, en m’urinant dessus.
Elle finit de se dévêtir et on est dans le bac à douche. Je suis à genoux devant elle. Quelques gouttes s’échappent de sa fente, puis un petit filet vrillé et tremblant qui m’éclabousse, et enfin un jet dru qui s’écrase sur ma poitrine. Son urine légèrement dorée et faiblement odorante est chaude à souhait, et je me caresse pour l’étaler sur mon corps. Elle s’éclaircit, ne sent plus et j’ai envie de la boire. J’ouvre la bouche, me penche pour la recevoir et remonte jusqu’à sa source. Je n’avale pas, et son pipi joli s’écoule sur mon menton, mon cou, mon torse, et je me lave avec. Elle pose ses mains sur ma tête et me plaque contre elle :
- Tu es trop salaud, c’est génial. Tu es aussi pute que moi, je réalise ton fantasme, mais n’oublie pas qu’après c’est à ton tour.
Elle a terminé, et me relâche. Je me relève la bouche remplie, je crache tout sur mon ventre et étale sa liqueur sur ma queue et mes couilles.
Elle est à mes genoux. Mon urine plus foncée et odorante écrase ses pointes de seins. Elle s’éclaircit, s’atténue, et à son tour elle me prend en bouche et remonte jusqu’au robinet dont elle gobe le bout. Je la maintiens contre moi :
- Il va falloir que l’on se fasse un vrai plan pisse, salope. Tu es aussi chienne que moi, et je veux que l’on s’offre des litres et des litres de jus.

A suivre………………

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