Petite histoire de TGV

- Par l'auteur HDS Véronica -
Récit érotique écrit par Véronica [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Petite histoire de TGV Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)

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Petite histoire de TGV
Depuis longtemps déjà mon Doudou me racontait ses fantasmes et ses jeux dans les trains, lorsqu'il était plus jeune et à l'époque où il découvrait les plaisirs de l'exhibition et du voyeurisme. Je dois avouer que cela l'excitait et cette excitation, que je ne partageais pas vraiment, m'amusait tout de même un peu. Avec le temps, et au fil de nos fantasmes autour de ces possibles rencontres, je dois tout de même avouer que cela me titillait un peu et je prenais, moi aussi un certain plaisir à imaginer une rencontre possible avec un inconnu dans le train . Tous les possibles permis, puisque peu de chance de revoir cet homme. Juste une parenthèse que l'on ouvre au début de son voyage et que l'on referme à son arrivée.
Mais voilà nous y étions, ce jour évoqué, et tant de fois rejoué à souhait au grès de notre imagination allait arriver.
Nous devions nous rendre à Paris mais nous ne partions pas ensemble . Il me conduisait le matin de bonne heure à la gare et après un long baiser langoureux, non sans m'avoir regardé longuement, appréciant ma tenue, il me dit de prendre soin de moi et d'être sage.
Ce que je lui promis sans encombre. Je lui rendis son long baiser en l'embrassant à pleine bouche, d'une manière très goulue afin de l'exciter un peu et lui donner des envies pendant son trajet. Je fis glisser ma jambe le long de sa cuisse pour que mon genou, très délicatement, vienne caresser son entrejambe, ce qui le fais sourire.
Tu me sembles avoir l'air joueur, coquine que tu es.
Je lui souris avec un air malicieux et, sans un mot de plus, monte dans le train.
Je me dirige vers ma place, personne n'est encore arrivé. Dans ma petite tête commence à affluer des images et je commence mon petit film des possibles. Je prends un livre et attends le départ du train, tout en regardant du coin de l'œil les derniers passagers qui montent. Puis un Monsieur très sage, très sérieux vient prendre place à côté de moi.
Pas un bonjour, pas un petit de la tête, rien. Il n'a pas l'air rigolo lui, bon tant pis.
Il sort son ordinateur et en professionnel coincé , s'active au travail.
Je l'observe un moment, puis me replonge dans ma lecture, je crois qu'il n'y en à rien à attendre, même pas le style à vous inviter à boire un café.
De toute façon je n'attendais rien et je n'étais pas là pour chercher une aventure, en fait ce qui m'amuse c'est le jeu de la séduction. Pour moi c'est le moment le plus amusant, le plus croustillant, ce qui me titille vraiment. Oui cette phase, de la découverte de l'autre est pour moi la plus importante, c'est à ce moment que l'autre se dévoile un peu, avec quelle délicatesse va-il vous aborder, la finesse de son approche, qui fera que j'ai envie de me laisser séduire ou pas. Je ne cherche pas absolument un mec pour le plaisir uniquement, non je ne suis pas en manque et je dois avouer que mon Doudou s'occupe très bien de moi avec prévenance, avec attention, avec beaucoup d'amour aussi, donc de ce côté-là tout va bien.
A force de délirer sur les rencontres dans les trains j'attendais donc de faire une rencontre impromptue et je dois tout de même avouer ma déception.





Au bout d'un moment, mon voisin toujours imperturbable, je décide d'aller me dégourdir un peu les jambes et me dirige vers les toilettes. En avançant, j'en profite pour regarder les passagers et essayer de surprendre un regard joueur, peut-être des amoureux en train de se caresser, mais non, rien de tout cela comme si tout le monde était encore endormi, ankylosé, les sens pas encore en éveil.
Je reviens prendre ma place et constate que mon voisin s'est absenté, peut-être est il allé prendre un café au bar, tiens je n'ai pas eu la curiosité de m'y aventurer.
Je suis moi aussi un peu fatiguée, il faut dire que la nuit a été courte et je m'endors.
On ne peut dire que le train soit l'endroit le plus confortable pour se reposer, et donc je tourne et retourne en essayant de trouver une position la plus confortable possible. Je finis par me rendre compte que mon voisin a rejoint sa place.
Tout à coup j'ai l'impression qu'une caresse très délicate, aussi légère qu'une plume m'effleure. Surprise. Me serai-je à ce point trompée sur mon voisin? Non, pas possible. Et non, effectivement, en entrouvrant furtivement une paupière je me suis rendu compte que j'avais changé de voisin.
Je dois avouer que cette caresse très furtive est très agréable et décide de me laisser faire encore un peu pour voir jusqu'où ira l'audace de ce Monsieur. Je me rend compte que ma jupette est remontée un peu et laisse voir ma peau délicate en haut de mes cuisses, juste au dessus des bas. Je décide donc d'ignorer cette dernière observation.
Ses caresses devenaient de plus en plus appuyées et il a aussi plus d'audace car sa main remonte jusqu'à la lisière de mes bas...Je trouve cela amusant pour ne pas dire très excitant. Je dois avouer que ma petite culotte commence a en ressentir les effets, je crois qu'elle commence à être très mouillée... Oui,je dois l'avouer cela m'excite beaucoup d'autant plus que sa main devient plus audacieuse... Hummm!!! Je crois que j'en gémis ce qui encourage notre audacieux. Il écarte tout doucement mon petit string et glisse ses doigts dans ma petite fente toute mouillée.
Ah! je ne peux retenir ces petits gémissements... Je crois que je prend vraiment beaucoup de plaisir, ma jupette est complètement remontée en haut de mes fesses. Sourires. Me voit on en passant dans l'allée? Et puis tant pis pour ceux que cela choque et tant mieux pour ceux que cela amuse. Je pense à mon doudou et l'imagine en train de sourire s'il était en train d'assister a pareille scène dans un train...
Il a tellement imaginé cette situation. Amusant, si j'avais pris mon ordinateur, il aurait pu me voir et, le ventre serré me regarder...
Ma main devient aussi audacieuse et se met à remonter le long de sa cuisse pour arriver à son entrejambe, et je dois constater que cela ne le laisse pas indifférent non plus. Il est très dur...
Je le caresse de plus en plus fort et je jouis pleinement en me mordant les lèvres.

Mais l'on annonce l'arrivée prochaine du train en gare et je dois avouer que je suis sauvée par le gong....Oufff!!!

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Texte coquin : Petite histoire de TGV
Histoire sexe : Une rose rouge
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