sans titre

- Par l'auteur HDS Valvan -
Récit érotique écrit par Valvan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : sans titre Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2005 dans la catégorie Plus on est
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sans titre
<p>Je suis infirmière à domicile depuis 2 ans maintenant. Ce boulot me permet de rencontrer des gens de tous univers et horizons (barraqués, vicieux, moches, pervers, mignons, timides...).Ma spécialisation me permet de cotôyer beaucoup de sportifs et ce que j'aime par dessus tout c'est de mater leurs corps bien fait. J'en profite, qui ne ferait pas la même chose!!!
Jusqu'à présent je ne faisais que regarder et fantasmer mais sans trop savoir ce qui c'est passé je me suis retrouvée avec 2 mecs dans une situation relativement compremettante.
En effet, ce mardi matin j'effectuais ma tournée quotidienne et mon dernier patient était un basketteur opéré d'un genou. Ce jour là donc , canicule oblige, j'étais vêtue d'une robe courte légère, rouge et de dessous en dentelle de la même couleur.
Mes cheveux bruns étaient remontés en chignon pour mettre à nu ma nuque et éviter d'avoir trop chaud.
En arrivant chez ce patient, j'étais assez impressionnée par sa maison avec interphone, piscine...
Je sonnais et me présentais, un homme m'ouvrît, je rentrais dans la cours, me dirigeais vers l'entrée où il m'accueillît. Il était grand, mince mais musclé, très à mon goût. Il m'indiqua où se trouvait mon patient, je sentais son regard insistant posé sur moi. Il passait de ma poitrine, à mes hanches, à mes jambes. Je montais à l'étage et sentait son regard posé sur mon cul, j'ondulais un peu lus que d'habitude pour l'exciter un peu.
Je trouvais mon patient sur une banquette entrain de regarder un match de basket. Il me souriait, me salua. Je m'approchais, posais ma malette. Je me trouvais face à lui légèrement penchée, il matait mes seins sans aucune gêne, son regard descendait pour me détailler.
Il me dit qu'il ne s'attendait pas à une infirmière comme ça, qu'il pensait que j'étais une apparition. J'ai souri, je l'ai regardé et je lui ai pris sa main pour la poser sur mon sein et lui ai rétorqué : " Vous pensez toujours que je suis un mirage !!!".
Il me caressait les seins et son autre main remontait le long de ma cuisse. Cette situation m'excitait au plus au point et je sentais que ma petite culotte commençait à s'humidifier. Je finis le pansement comme je le pus. Il se manifestait de plus en plus vigoureusement. J'allais lui demander d'arrêter quand son ami s'est posté dans l'encadrure de la porte et a souri et nous a dit : "alors, je vois que ce soin a l'air très agréable, j'ai bien envie de me faire réconforter par une infirmière moi aussi." Il s'est approché à commencer à me caresser.
Je ne pouvais plus rien faire, je sentais leurs mains s'insinuer sous ma robe et cherchant à retirer mes dessous.Ils rigolaient, et m'ont dit "Tu sais que tu vas réaliser plusieurs de nos fantasmes : baiser une infirmière cochonne et se partager le même petit cul."
J'étais mal à l'aise et je savais que je ne pouvais m'échapper. J'en étais à ces réflexions quand j'ai senti un doigt s'infiltrer dans ma chatte, je ne pus retenir un gémissement.
"Elle a l'air d'aimer ça notre petite infirmère, elle n'a pas fini de hurler, cette petite pute. Allez maintenant, enlève ta robe, et mets toi à quatre pattes devant ton malade". Je m'exécutais. Il me matait et se marrait toujours.
"Allez approche un peu qu'on en profite, allez à quatre pattes, voilà, tu comprends vite, oui c'est ça déboutonne sa braguette et sort sa queue et suce là bien, se serait dommage qu'on ait à se plaindre de toi auprès de ta hierarchie!!!"
Je suçais cette énorme bite qui grossissait dans ma bouche. Il gémissait et me traitait de putain d'infirmière. Je sentais des mains sur mes fesses et qui faisaient descendre mon string plein de mouille.
"tu verrais comment elle a la chatte humide, elle est timide mais elle aime ça,je pense qu'on va bien s'amuser."
J'avais une bite énorme dans la bouche, j'avais du mal à respirer et des doigts qui me lustrait la chatte et mon petit trou. J'étais de plus en plus excitée...

Fin de la première partie.


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