L'Italienne et l'Allemande

- Par l'auteur HDS Paroxyton -
Récit érotique écrit par Paroxyton [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'Italienne et l'Allemande Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2010 dans la catégorie Plus on est
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L'Italienne et l'Allemande
Je ne sais pas comment j'en suis arrivé là, enfin si tout à été vite en fait. L'un de ces déplacements à l'étranger où je ne connais personne et même le simple fait d'aborder des gens me fatigue. Et puis toujours ce désir, comme libéré, je ne cesse de sentir ces désirs monter en moi, cette femme est splendide et je l'imagine déjà à genoux en train de me prodiguer une fellation; et que dire de celle-ci que je prendrai bien là, contre le mur...pff, je n'en peux plus, la fatigue sûrement.
Quelques heures plus tard, me voilà au bar de l'hôtel. Ambiance feutrée et aussi stérile, personne ou presque si ce n'est au fond, cette femme qui boit un verre.
Je n'y fais pas attention au début, puis ces fantasmes qui reviennent à la charge, je la regarde un peu mieux : elle doit avoir mon âge, c'est à dire 30 ans, plutôt jolie: brune, les cheveux longs, fine aussi.
Sans que je ne comprenne trop comment, mes idées dépassent le simple fantasme et voilà que je me lève pour m'approcher d'elle et lui parler...elle sourie, répond même, le 1er contact est passé et même plutôt bien (mince alors, je n'en reviens pas). Très vite, je découvre qu'elle est italienne mais elle parle très bien le français, elle attend sa collègue allemande qui doit arriver pour dîner. "Plus on est de fous et plus on est de fous" lui dis-je en rigolant alors qu'aussitôt mes idées perverses reviennent à la charge : et si nous baisions tous les trois? Cette idée passe un instant par ma tête. Je ne l'ai jamais fais et ne pense même pas à ce stade que ce soit possible...mais bon, l'idée déjà réchauffe mon corps et me rend plus gaillard. Le temps de lui proposer un verre et sa collègue arrive. Un autre genre, même âge, mais tout aussi jolie et sexy.

"Et si, et si..." me dis-je. J'ai l'impression que mes pensées m'excitent et que j'en tremble alors je prends sur moi. Nous discutons, discutons, buvons un puis deux puis trois verre et la discussion file inexorablement vers le sexe. Les yeux se croisent, les regards pétillent. Elles doivent sentir mon désir, elles doivent lire dans mon esprit ces images qui se bousculent. Je les imagine s'embrassant langoureusement alors qu'elles se dévêtissent l'une et l'autre, et moi je suis là, et les regarde, posant une main sur les fesses de l'une et l'autre main à caresser les cheveux de l'autre pour finir par joindre ma langue à ce baiser si intense. Je trépigne, je le sens...et là, je les vois elles aussi s'agiter légèrement sur leur banquette.
"Et si, et si..." alors dans un moment de folie ou de courage, je lâche cette phrase que je ressasse depuis une éternité dans ma tête "ça vous tente de finir nos verres dans ma chambre?" à peine ai-je fini qu'un sentiment de terreur me traverse le corps "et merde, je me grille, et merde, elles vont me planter là". De surprise en surprise, elles se regardent très vite, sourient et acquiescent. Oui, elles veulent bien. Nous prenons nos verres, la bouteille et montons.
Dans l'ascenseur leur corps se frôlent, l'une d'elle s'approche doucement de moi sans avoir le temps de me toucher lorsque l'ascenseur s'arrête à l'étage.
Mon cœur bat la chamade lorsque j'ouvre la porte et les invite à entrer. Je me reprends peu à peu en me disant que si elles sont là, c'est que vraisemblablement elles attendent quelque chose elles aussi, alors je donne des signaux plus évidents. À leur passage devant moi, je les regarde bien fixement, bien coquinement et ferme la porte derrière moi en lâchant d'un ton joueur mais certain "que la fête commence, vous êtes à moi désormais..."

Steffi (l'italienne) rigole et s'approche de moi d'un air coquin et me dit en passant sa main sur son torse "ah ouais? Et que vas tu faire de nous, nous sommes deux contre un". Charlotte (l'allemande) s'est déjà installée sur le lit, allongée, les jambes légèrement repliées mais nous voyons tout : sa culotte sous sa robe nous est offerte, je lui fais remarqué, elle rougie un peu mais reste ainsi alors que Steffi vient maintenant se coller à moi. Elle me caresse le torse, alors que je pose l'une de mes mains sur ses fesses pour les caresser et lui demande "vous avez déjà couché ensemble les filles?". La réponse est non, mais les baisers de Steffy sont déjà entrain de glisser le long de mon cou alors que je fixe du regard Charlotte qui admire le spectacle. Steffy nous précise tout en continuant son petit jeu qu'elle a déjà couché avec une autre femme et qu'elle a adoré ça. Charlotte elle, répond que jamais avec une femme juste une fois avec deux hommes. Moi? Jamais à trois, mais je ne préfère rien dire à cet instant de peur de briser l'ambiance. Je continue à fixer Charlotte alors que je commence à embrasser Steffy. Nos langues s'entremêlent alors que je tends la main à Charlotte qui se lève aussitôt pour nous rejoindre.
Je veux les voir, alors je recule un peu et Steffy se jette sur Charlotte, elle l'embrasse, lui caresse les fesses, lui remonte légèrement la robe pour faire apparaitre ses fesses qu'elle caresse avec soin. Charlotte ferme les yeux, elle semble apprécier, Steffy continue son jeu, elle lui caresse les seins, lui mordille l'oreille, joue avec Charlotte. Je caresse à mon tour Steffy comme pour l'encourager à continuer, mes mains pétrissent ses fesses à travers son pantalon, Charlotte se lâche peu à peu et commence à glisser sa main sur moi : mon torse, puis descend vers mon sexe déjà tout dur. Elle ouvre mon pantalon et sors ma verge toute tendue, elle commence à le caresser, à le branler alors que Steffy lui titille les seins du bout de la langue.
Puis Steffy se tourne vers moi et se met à genou pour prendre en bouche ma queue alors que Charlotte vient m'embrasser…

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Texte coquin : L'Italienne et l'Allemande
Histoire sexe : Une rose rouge
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