L'amour au bureau, je n'y croyais plus. Merci Karine. (2)

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L'amour au bureau, je n'y croyais plus. Merci Karine. (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2010 dans la catégorie Plus on est
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L'amour au bureau, je n'y croyais plus. Merci Karine. (2)
J'ai déjà eu l'occasion de discuter avec Fatima, elle est sympa, et je l'aborde sans hésitation. Je lui dis que l'on se doute qu'elle sait ce que l'on fait avec la porte fermée, et que ma collègue est un peu inquiète, qu'elle tient à ce que cela reste secret. Elle me dit de ne pas nous en faire, qu'elles, les femmes de ménages de bureaux, ont l'habitude de ces situations. Puis elle me raconte les aventures de certaines de ses consœurs qui sont tombées sur des bureaux ouverts et où les couples en action les invitaient à les regarder, à se masturber, à participer.
La salope. Je suis sûr qu'elle me raconte des histoires, et m'avoue ses fantasmes. Elle en a assez de cette porte fermée et aimerait bien s'amuser avec nous.
Dès le lendemain je fais part à Karine de ma discussion, et on tombe d'accord. On attend quelques jours et dès qu'elle en état d'offrir à nouveau sa chatte on laisse la porte ouverte.
Dès notre première séance elle a pris goût à me faire jouir deux fois. Comme tous les jours elle vient de me faire une pipe express, a tout avalé, et je dois bien m'occuper d'elle avant de décharger à nouveau.
J'ai le pantalon baissé, elle, la jupe retroussée, et je la prends en levrette en surveillant la porte. Enfin Fatima pointe son nez. Elle s'excuse et fait mine de repartir. Je ne dois pas laisser passer l'occasion et c'est sur un ton autoritaire que je lui ordonne d'avancer et de fermer la porte à clé. Elle s'exécute et je sais que c'est gagné. C'est elle qui m'a soufflé l'idée mais il faut faire comme si ça venait de moi.
- Avance, je vais te montrer ce qui l'a fait gueuler à cette salope.
Je me retire, donne une grosse gifle sur les miches de ma copine:
- Fous toi à poil salope, on a de la visite, montre comme tu es belle.
Elle n'avait enlevé que sa culotte et se débarrasse de tout le reste. Je me déshabille moi aussi. On est nu comme des vers, et je la prends par le petit trou. Je m'amuse à ressortir totalement pour exhiber mon manche et son trou, et la reprend pour son plus grand plaisir non dissimulé. J'invite Fatima à s'approcher, nous mâter de près, se masturber. Elle déboutonne son tablier et glisse sa main dans sa culotte.
- Ca t'excite un vieux porc qui ramone une belle salope. Entend comme elle jouit cette pute. Et toi aussi tu mouilles, ca te plait de nous voir forniquer. Qu'est ce qui te plait le plus, ma queue, ou son garage à bites? Peut-être les deux?
Je la fais s'avancer encore et me fais sucer. Elle gobe sans hésiter ma trique parfumée du cul d'une autre.
- Salope, j'étais sûr que tu étais une salope. Oui, pompes moi bien, ensuite tu vas enlever ton slip et bouffer le cul de cette chienne.
Elle s'applique à me sucer, puis plonge sa gueule dans la raie ouverte de ma complice (mes gifles, mes insultes, étaient prévues, pour allumer davantage notre beurette.). Elle est accroupie et s'amuse du cul qui lui est offert à m'en rendre jaloux. Elle s'éclate la salope, à doigter et lécher ce trou que je viens de farcir.
Je glisse ma main sous son tablier. Elle a une toison bien fournie, qui tranche avec la chatte épilée de Karine. Je lui masse la vulve, enfouis les doigts dans son huître ouverte. Elle me laisse la visiter et gémit de plaisir. Elle a quatre doigts dans le cul de sa partenaire, et celle-ci l'implore de la fister:
- Mets-moi ta main. J'ai envie d'un fisting anal. Enfonce toi, n'ai pas peur, je te veux au fonds de moi.
Fatima est hésitante et je lui saisis le bras pour l'aider à avancer. Karine crie comme une possédée, et l'encourage encore. Cette fois ca y est. Sa rondelle s'est élargie au maximum pour laisser passer l'objet de ses désirs, et se referme sur le petit poignet de son amante:
- Oh c'est bon, c'est trop bon, tourne ta main, fouille moi, je suis ta salope, Karine la pute qui en veut plein le cul, n'arrête pas, c'est sublime..............................
Mes doigts pleins de mouille se retirent et pénètrent sans résistance le fion de notre bonniche. Je bande comme un âne et veux me la faire:
- Relève-toi, je vais m'occuper de ton cul pendant que tu t'occupes du sien.
Elle obéit et je retrousse son tablier, puis je m'agenouille pour lui brouter son petit trou, avec quelques dérapages dans sa choune poilue. Je me relève, plaque mon gland sur sa pastille, et la transperce avec délice. Si Karine n'en finit plus d'aligner des obscénités et insultes, elle, reste très réservée et n'a que quelques soupirs et gémissements pour que je sache que je lui fait du bien. Elle continue à fister ce cul offert, de plus en plus loin, et je la matraque de plus en plus fort.
Je me retire et ai une envie subite à laquelle je n'avais jamais pensée. J'ai les valseuses bien pendantes et j'ai envie que Fatima les enfonce à la place se sa main exploratrice. Elle la retire, j'approche mes boules de ce gouffre béant, et notre nouvelle copine de jeu les introduit l'une après l'autre. L'œillet de mon hôtesse se resserre doucement et je suis bloqué en elle. J'ai la queue dressée et demande à Fatima une petite gâterie qu'elle exécute avec application. Elle glisse sa main entre mes cuisses pour atteindre la chatte de Karine, et dès les premières caresses celle ci l'invite à la fourrer profond. Après un fisting anal, elle s'éclate de ce fisting vaginal, avec des cris et un vocabulaire très hard.
Je sens ma sève qui monte, et prévient ma suceuse. Elle se retire une seconde pour me dire qu'il n'y a pas de problème, et me reprend. Je voudrais lui baiser la bouche, mais mes couilles coincées dans l'étau anal de l'autre pute empêchent tout mouvement. Je saisis alors à deux mains la tête qui est penchée sur mon manche et la fait aller et venir fermement pour enfouir mon gland dans sa gorge. Je jouis à flots en exprimant ma victoire:
- Oh oui, je viens. Prends tout salope et avale. Oui, régale toi putain, tu es aussi gourmande que l'autre chienne, on vas bien s'amuser tous les trois................................
Elle bouffe tout, me nettoie, puis délicatement, avec ses doigts dégoulinants de mouille elle ouvre le cul qui m'emprisonne pour me libérer.
Karine entre alors en colère contre sa rivale:
- Salope tu as bu le sperme de mon mec, mais tu vas le payer. Tu vas me bouffer la chatte puisque tu aimes le jus de sexe. Déshabilles toi et mets-toi à genoux, la tête en arrière.
Fatima obéit, surprise et apeurée. Sa maîtresse vient au dessus d'elle, écrase ses lèvres sur sa bouche et se fait brouter. Cette beurette doit lécher aussi bien qu'elle suce, et ma collègue n'en finit pas de gémir, de jouir. Puis elle frotte sa choune sur tout le visage, et le recouvre de sa liqueur. Elle se recule, s'agenouille, l'embrasse, la lèche pour la nettoyer, puis elles terminent par une longue pelle torride qui me rend jaloux. Je demande ma part, et ai droit à leur soupe de langue.
On se rhabille, et on s'excuse auprès de Fatima si on l'a un peu maltraitée. C'était son baptême du feu, on voulait la tester, et elle a passé les épreuves avec succès. Elle est notre égale, et on ne tient pas à la dominer. A l'avenir elle pourra elle aussi nous insulter, être tour à tour soumise ou maîtresse.
Notre baise a duré près d'une heure, et Fatima a encore deux heures de ménage à faire. Karine lui propose de l'aider, je me joins à elles, et en une heure tout est fini.

Le lendemain on refait la même séance sauf que les filles inversent les rôles. J'encule Fatima et me fait sucer par Karine. Puis j'encule Karine tandis qu'elle fiste le cul de Fatima. Puis Karine me suce après avoir fourré mes burnes dans le petit trou de Fatima, et lui fiste la chatte. Enfin les deux fille finissent entre elles et Fatima se fait dévorer le minou par cette pute de Karine qui se montre de plus en plus salope. On partage encore les tâches de ménage.

Karine n'est pas jalouse, mais veut m'avoir quelques fois rien que pour elle. Elle a pris goût à l'amour avec une fille, mais voudrait n'avoir ma queue que pour elle, encore plus mon sperme que pour elle. Fatima n'est pas accro et accepte de participer selon notre désir. On fixe donc un planning qui satisfait tout le monde:
Lundi et mercredi: je ne baise qu'avec Karine, et Fatima peut nous voir en faisant le ménage.
Mardi et vendredi: on baise tous les trois.
Jeudi: Karine quitte le boulot de bonne heure pour un cours de gym. Je baise avec Fatima.
Nos baises continuent à ce jour, et on s'invente de nouveaux jeux pour garder une envie toujours intense.
Notre dernière trouvaille est la suivante:
Une des deux me suce, à fonds, avale, pendant que l'autre me doigte le fion. Puis je m'allonge sur le bureau, le cul au bord, et celle qui m'a sucé vient sur moi en 69, et bloque mes jambes relevées sous ses bras pour que j'ai le cul bien offert. J'ai son huître plaquée sur la gueule et je lui fouille le cul de ma main. Elle me branle énergiquement. L'autre me broute les couilles, me bouffe le cul, me le doigte, introduit des objets protégés par un préservatif. Je sais qu'un jour elles me fisteront.
Dans l'une ou l'autre des positions Karine est toujours aussi volubile et nous motive de son langage ordurier que je ne lui connais qu'en cette circonstance.
Celle qui me masturbe me fait jouir dans sa bouche et recrache tout dans la bouche de l'autre qui avale goulument, chacune ayant ainsi sa ration. Puis elles s'allongent côte à côte sur le dos, se tournent l'une vers l'autre pour s'embrasser à pleine bouche tandis que je leur bouffe la chatte et m'abreuve de leur offrande liquide.
Quand on baise à trois, on fait toujours le ménage, mais au milieu. On se fait une baise plus courte avant, le ménage qui me permet de récupérer, puis la même baise, parfois plus longue, où elles échangent les rôles.
Je suis comblé, et vais au boulot avec plaisir.
Merci Karine, merci ma chérie, merci ma salope, merci ma pute.

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