Gardienne de nuit (fin)

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Gardienne de nuit (fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Gardienne de nuit (fin)
Enfin la nuit s'achève, mon travail aussi. J'ai mis de l'ordre dans ma toilette, rangé mon godemiché. Je rentre chez moi vers 8 heures. Je me couche aussitôt pour dormir. Il manque quelque chose d'important. J'écarte mes jambes pour une dernière masturbation. J'ai des fantasmes sur la fille qui, après avoir fait semblant de jouir avec un homme m'a embrassée et branlée cette nuit. Je dois la revoir tout à l'heure chez elle. Je me vois déjà entre ses bras, ses mains me caressant le bouton. Soudain le trou noir: je m'endors.
En me réveillant j'ai encore ma main entres mes cuisses, bien bloquée sur mon bouton. Je repense encore à cette nana: je mouille. Je ne peux me retenir, je me masturbe à nouveau, cette fois en faisant participer mon autre main pour me branler le cul. J'arrête avant la fin. Je me lève en vitesse, sinon je serais en retard. Je m'habille juste pour que je ne soit pas nue: une courte jupe écossaise, un t-shirt presque transparent. Les sous vêtements restent chez moi, posés sur le lit. En taxi je suis rapidement à l'adresse qu'elle m'a donnée.
L'ascenseur me mène à son étage. J'ai juste le temps de sonner que la porte s'ouvre sur elle. Elle est presque nue, avec une vêture encore plus simple que la mienne: un simple foulard autour des seins et un autre autour de sa taille. Je suis à peine rentrée qu'elle m'embrasse encore mieux que cette nuit. Je fonds sous son baiser. J'ai besoin de ses caresses: il y a tellement longtemps que je n'ai pas fait amour avec une autre fille. Elle me fait asseoir sur le divan, vient à mes coté.
- Je m'appelle Yvonne, et toi ?
- Moi c'est Aline.
- Tu aimes ta place ?
- Bien sur, surtout maintenant avec les caméras qui me permettent de voir tout ce qui se passe dans les chambres: la preuve hier, je n'ai pas manqué un seul épisode de votre baise. J'en ai bien profité en me branlant et jouissant plusieurs fois.
Elle me raconte son histoire: ********- "J'ai commencé dans la vie par les caresses d'une autre fille de mon âge. J'ai aussitôt apprécié et je lui rendais. Nous sommes restées ensemble pas mal de temps. Pour faire comme les autres filles j'ai voulu baiser avec un garçon. J'ai eu mal la première fois. C'était normal semble-t-il. J'ai recommencé plusieurs fois pour arriver à devoir simuler un orgasme. Je préférais les rapports entre filles.
Plus tard j'ai trouvé un place d'entraîneuse dans une boite. Je suis toujours au même endroit. Une copine, celle avec qui j'étais hier chez nos clients me prenait en charge. Elle devenait mon amie et ma protection. Pour gagner ma vie il faut que je fasse boire un max au client, en principe 3 bouteilles d'un champagne bas de gamme. C'est elle qui me disait que pour gagner bien mieux ma vie je devais sortir avec des clients. J'avouais que je préférais les filles. Un matin en sortant de la boite elle me demandait de venir chez elle. Elle voulait simplement me tester. Nous avons fait l'amour ensemble. Elle préférait les hommes à cause de leur bite. Elle avait un godemiché, le sortait pour me le mettre. Je devais baiser avec lui comme avec une vraie queue et surtout jouir. Je ne pouvais pas le faire: elle me baisait elle-même, pour au bout d'un instant suffisant elle me demandait de contracter les muscles du vagin pour faire croire que je jouissais. En faisant comme prévue, elle-même croyait que je venais d'avoir un orgasme: j'était prête à faire de mon corps ce que je voulais. Je voulais surtout gagner des sous en plus. Une semaine sont arrivés deux hommes de province bourrés de fric. Nous avons mis un bout de temps à les convaincre de sortir avec nous: nous les embrassions. Je me souviens même avoir fait bander volontairement mon client.
Ces clients réguliers n'étaient pas les seuls pour nous. Il faut dire que ne n'est pas avec ce que le patron nous payait que nous pouvions vivre. Ceux avec qui nous étions hier nous les connaissent depuis des années. Je ne couche qu'avec un des deux, le moins repoussant. Nous commençons toujours pas leur donner in spectacle particulier: nous baisons avec ma copine. C'est le seul moment où je jouis vraiment. Ensuite ce ne sont que simulacre" **********Cette confession terminée qui mettait les rapports entre nous au net, nous recommençons à nous embrasser. Je suis plutôt passive avec les filles. Je la laisse prendre les initiatives. Elles ne tardaient pas: Elle m'embrasse à nouveau, passe une main sous ma jupette, part à la recherche de je ne sait quel sous vêtement inexistant. Je sentais sa main fouiller toute ma féminité. Je fermais les yeux pour profiter de l'instant. Elle me caressait le tour de l'anus, venait me doigter. Elle ignorait totalement le clitoris. J'aurai aimer qu'elle me branle comme à la fins de la dernière nuit. Elle me caressait le pubis. Enfin ses doigts venait là s'où je tire le plus d'orgasmes. Sa façon de faire était celle d'une fille lesbienne, totalement lesbienne. Elle frôlait le bouton, le lâchait pour y revenir. Il me tardait qu'elle me fasse jouir une bonne fois. Elle murmurait- Toi aussi, branles moi.
- Fais mois jouir j'en crève d'envie.
- Tout à l'heure, ensemble.
Je passais ma main sous son foulard qui me gênant, je l'enlevais. Je lui voyais enfin son bas ventre, avec une légère fourrure, comme moi. Elle écartait ses cuisses en attende de ma main. Je caressais l'intérieur des cuisses, en remontant vers son sexe. Je ne faisait pas comme elle, j'allais directement vers son clitoris il étais en légère érection. Je le frottais avec deux doigts comme pour moi.
A son tour elle recommençait la masturbation. Je devais me retenir pour ne pas jouir avant elle. Quand à bout de nerfs nous jouissions c'était un véritable volcan pour nous deux. Je ne pensais par jouir autant d'une aussi simple caresse. Nos lèvres à nouveaux recommençaient leurs jeux avec nos langues bien liguées pour une bataille.
Elle m'enlevait le t-shirt, je lui dénouais son autre foulard. Nos poitrines dévoilées étaient à la merci des caresses de l'autre. Je regardais ses seins qui attiraient mes mains: les seins était durcis par le désir, ses tétons aussi durs que de la pierre. Ma poitrine ne devait pas être dans un autre état.
Elle m'a fait coucher sur le tapis. Elle est venue sur moi me donner ses seins et prendre les miens. Nous avons du rester ainsi plusieurs minutes.
Et puis elle est descendue plus bas: elle m'embrassait le nombril, le pubis avant d'enfouis sa bouche dans mon entrejambe et me donnant la sienne. Je crois qu'elle appréciait le goût de ma cyprine comme moi j'aimais la sienne. Nos langues ne chômaient pas du tout. La mienne passait de son petit trou à son clitoris comme la sienne. Elle rentrait sa langue dans le vagin. Elle ignorait que j'adorais cette fantaisie.
La seule chose dont je me souviens de cet épisode est que pour moi ce n'était que jouissance sur orgasmes. Ce qui m'excitait le plus étaient ses seins sur moi pendant ce 69.
Nous nous sommes rassissent. Nos lèvres à nouveau prises dans un baiser plein de cyprine. Elles trouvait que nous étions sales: il fallait que nous prenions une douche ensemble. Je me doutais bien que le coup de la douche n'était qu'une autre façon de nous faire jouir.
Donc toujours nues, nous nous sommes dirigées vers la salle de bain, unie pas nos mains sur nos tailles. Nous étions à coté de la baignoire, la douche grande ouverte, le jet très puissant. Nous attendions simplement que l'eau soit assez chaude. Elle m'a fait entrer la première. Elle restait hors de l'eau. Pourtant c'est elle qui prenait le pommeau pour faire couler très fort le jet sur le sexe que j'ouvrais en grand. Elle savait comment faire jouir une autre fille avec le jet. Je jouissais sans arrêt. J'en arrivais à crier ma jouissance sans fin. A son tour, elle prenait ma place, me demandait de la masturber avec le jet. Je la faisais également jouir.
En sortant nous nous essuyons l'une l'autre. A dire vrai la fin du séchage était une autre façon de nous faire du plaisir: elle enfonçait une bonne partie de la serviette, presque la moitié dans mon vagin qui se dilatait comme jamais. Elle ne le lâchait que pour appuyer en cadence sur la serviette. Je ne résistais pas à cette façon de me faire branler. J'étais appuyée sur le lavabo, les mains pendantes, les jambes écartées, avec le clitoris entraîné avec la serviette dans le vagin. Je suppose même qu'une bonne partie de mon anus était avec.
J'aurais voulu lui rendre la même chose: ça m'étais totalement impossible. Alors, elle seule s'est rentrée la serviette. Elle s'appuyait contre moi. Je lui caressais les seins en l'embrassant dans le cou.
Enfin nous allions dans la chambre pour continuer à jouir. Elle sortait un drôle de godemiché, très long par rapport au mien.
- Nous allons nous faire jouir ensemble par là où tu veux, devant ou derrière.
- Avec ça ?
- Oui tu verras comme c'est agréable de se le mettre là où on aime. Moi je, le prend toujours pas le cul.
- Je préférerai par le vagin.
- Comme tu voudras, couche toi très près de mon con.
Je faisais comme elle voulait. Elle enfilait son engin loin dans mon vagin. Elle approchait ses fesses de moi, pour se le mettre dans l'anus et s'enculer. Elle le tenait par le centre et si au début les mouvements étaient lents, vers la fin ils étaient drôlement rapides. Je me souviendrais toujours de nos jambes emmêlées dans cette accouplement hors normes. Je me souviens aussi du plaisir qu'elle m'a donné en me baisant comme l'aurait peut être fait un homme.
Nous nous rencontrons souvent. Quand elle vient à l'hôtel avec ses "clients" elle termine sa baise avec moi qui l'installe sur le comptoir,jambes ouvertes pour que je la suce comme nous aimons. Elle me rend la pareille derrière le comptoirs quand je me tourne vers elle pour écartermes jambes et lui donner mon sexe à lécher.

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Texte coquin : Gardienne de nuit (fin)
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