A l'ombre des maris. Troisième partie: Fatia,Fatna et moi

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : A l'ombre des maris. Troisième partie: Fatia,Fatna et moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2010 dans la catégorie Plus on est
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A l'ombre des maris. Troisième partie: Fatia,Fatna et moi
A l’ombre des maris

Troisième partie : Fatia, Fatna et moi
Le lendemain, en effet, Fatna et sa belle-mère vinrent ensemble. Fatia portait Larbi, le bébé de Fatna, qui venait d’avoir un an et le déposa dans une poussette/berceau, que transportait sa belle-fille.
- Il ne nous gênera pas, me dit Fatia avec son merveilleux sourire. Il ne va pas tarder à dormir.
Elle me tendit les lèvres pour que je l’embrasse, me montrant par là que, ce jour, c’était elle la patronne et que c’était avec elle, en priorité, que je devais batifoler. Elle avait été vite d’accord pour laisser Fatna l’accompagner et partager notre couche. Mais avant que nous fassions quoi que ce soit, elle me raconta l’étrange histoire qui leur était arrivée toutes les deux, au retour de Fatna à la maison, après avoir fait l’amour avec moi.
La belle-fille en rentrant avait l’air heureuse et épanouie. Elle montra immédiatement à sa belle-mère les stigmates de sa matinée d’amour avec moi. Elle écarta les pans de la robe de chambre pour lui monter tout le sperme séché qu’elle avait encore sur elle. Cela excita tellement sa belle-mère, que sans même réfléchir à ce qu’elle faisait, elle se mit à la lécher. La vue du sperme et aussi et surtout l’odeur qu’elle avait sur elle – une odeur de femme qui venait de faire l’amour, mélange de foutre, de sueur et de cyprine – l’avait affolée. La relation que Fatia avait avec le sperme était une relation bizarre et passionnelle. Elle aimait à la folie le goût et l’odeur du foutre de ses amants. Elle ne résista donc pas à la pulsion d’aller lécher sa belle-fille pour ramasser et avaler le sperme, même séché, qu’elle avait sur elle.
Et du sperme, Fatna en avait partout : sur le visage, le cou, la poitrine le ventre et même sur le pubis. Fatia commença par celui qui était apparent et que sa bru avait sur le visage. Elle se mit donc à lui lécher avec avidité les joues, le menton, le nez et même le contour des yeux. L’étonnant était que Fatna, toujours avide d’apprendre les choses du sexe, laissait faire sa belle-mère et y prenait même du plaisir. Les coups de langue de plus en plus insistants sur toute sa figure l’avait mise en émoi. Et quand la bouche de sa belle-mère descendit sur son cou puis sur sa poitrine et sur ses seins, elle sentit sa chatte qui commençait à couler. Elle ne connaissait pas encore cette sensation d’excitation provoquée par les baisers d’une femme. Elle avait bien entendu ses amies de Hassi Messaoud lui parler de leurs expériences avec d’autres filles, mais elle n’en avait jamais tenu compte. Elle ne les avait peut-être même pas crues. Mais là, elle ressentait une très forte émotion sous les coups de langue experte de Fatia.
Cette dernière, pour le moment ne pensait qu’à récupérer tout le foutre qui se trouvait sur le corps de sa belle-fille. Elle m’avoua plus tard qu’elle n’était même pas consciente de ce qu’elle faisait. Ce n’était qu’au moment où elle s’était retrouvée à genoux devant sa belle-fille entrain de lui lécher le pubis et de lui écarter les cuisses pour avoir accès à sa chatte, qu’elle prit conscience qu’elle était entrain de faire quelque chose d’anormal. Elle arrêta brusquement l’action de sa bouche et de sa langue et leva la tête pour lancer un regard inquiet à Fatna. Ce qu’elle vit l’encouragea à continuer, sans plus se poser de question. La fille était aux anges; elle avait le sourire éclatant d’une amante qui prenait un plaisir fou à se faire lécher. Elle ne disait rien, mais poussait ses hanches vers l’avant pour que son pubis reste en contact avec la bouche de sa belle-mère. En même temps elle ouvrait ses cuisses au maximum, pour lui permettre un accès plus facile à sa chatte.
Fatia se leva, pris la main de sa bru et l’entraina dans sa chambre. Elle l’allongea en travers du lit, lui fit lever et écarter les jambes et plongea sa bouche dans la chatte offerte. Elle entendait Fatna qui gémissait de plus en plus fort et qui tenait la tête qui était entre ses cuisses, en lui appliquant des pressions de plus en plus fortes et en l’obligeant à aller et venir de plus en plus vite sur sa chatte. Elle tirait même sur les cheveux de sa maîtresse et remontait ses hanches très haut, pour accentuer la pression de la bouche. Elle sentait la langue de Fatna qui la pénétrait et qui ramassait toute la cyprine qu’elle pouvait, ainsi que le reste de sperme qui était encore resté à l’intérieur. Elle sentit la jouissance arriver subitement et, dans un long cri de plaisir, déchargea tout son jus dans la bouche de sa belle-mère.
Au bout d’un moment, quand l’une et l’autre reprirent leurs esprits et que Fatia sortit sa tête d’entre les cuisses de sa bru, elles se regardèrent avec des yeux où l’étonnement le disputait au bonheur. Fatna tendit les bras vers sa belle-mère, toujours à genoux au bas du lit, pour la forcer à venir s’allonger près d’elle. Elle se blottit dans ses bras, en l’embrassant sur tout son visage. Elle lui fit comprendre, qu’elle avait vraiment aimé ce qu’elles venaient de faire et qu’elle en voulait encore.
- C’était très bon ! Tu sais t’y prendre pour faire jouir une fille ! Tu as dû coucher avec beaucoup de femmes !
- Non ! C’est la première fois ! Je ne sais absolument pas ce qui s’est passé dans ma tête pour faire ça ! Tu dois me prendre pour une folle ! Le pire, c’est que j’ai vraiment aimé te sucer la chatte ! Elle avait encore le goût et l’odeur du sperme de Rafik !
Rafik, bien entendu, c’était moi ! Quand j’ai entendu cette histoire de la bouche de Fatia, je n’en crus pas mes oreilles. Mais c’était tellement érotique ! Tellement bandant ! Je pris la belle-mère entre mes bras pour lui rouler un pelle et lui dire à l’oreille :
- Tu n’arrêtes pas de m’étonner ! Tu es entrain de devenir une bisexuelle, sans même l’avoir cherché ! Et tu sais quoi ? Çà me fait bander rien que d’y penser ! Je voudrais bien vous voir à l’œuvre ! Tu veux ?
Fatia ne répondit pas. Elle m’embrassa avec fureur sur la bouche; s’éloigna de moi; pris sa belle-fille par la main et l’entraîna sur le lit. Fatna se laissait faire sans encore comprendre ce qui allait se passer. La belle-mère s’assit au bord du lit, releva le bas de sa robe, enleva sa culotte et s’allongea sur le dos les jambes écartées et la chatte exposée. Elle regarda sa bru et lui ordonna :
- Bouffe-moi la chatte, comme j’ai bouffé la tienne hier.
Fatna me regarda pour voir ce que je pensais de la proposition ; je ne dis rien, mais lui fis un grand sourire, qui n’était rien d’autre qu’une invitation à exécuter l’ordre de sa belle-mère. Elle se mit à genoux par terre, pour être au niveau de la chatte de sa partenaire et sans plus tarder, plongea sa tête entre les cuisses ouvertes et se mit à lécher et sucer goulument. Le cunnilingus auquel j’assistai, debout à côté du lit, était vraiment phénoménal. Fatna mettait tout son cœur et sa volonté dans ce qu’elle faisait. Je ne voyais que l’arrière de sa tête qui allait et venait sur la chatte de sa partenaire, en tirant d’elle des petits cris de plaisir. Fatia ne me quittait pas des yeux ; elle souriait en me regardant : je ne savais pas encore si réellement elle prenait du plaisir ou si elle faisait semblant. Et puis, je vis ses yeux se voiler et ses lèvres s’ouvrir pour laisser passer des flots de salive. Je savais maintenant qu’elle était toute à son plaisir.
Je me dis qu’il était maintenant temps que moi aussi j’entre dans la course. Je me plaçai derrière Fatna, qui était agenouillée par terre. Je relevai le bas de sa robe en coton pour avoir accès à ses fesses. Elle portait une petite culotte noire, en coton.. Je la rabaissai pour dénuder sa chatte. Je lui relevai les hanches pour qu’elles soient à hauteur de mon engin, raide comme un mât de tente et qui piaffait d’impatience. Sans plus attendre et sans même chercher à lubrifier l’entrée, je pris la belle à la hussarde, en poussant des han de plaisir à chaque pénétration. Je ne savais pas si Fatna prenait du plaisir à se faire tirer comme cela; elle avait la tête emprisonnée entre les cuisses de sa belle-mère qui l’en empêchait de sortir, en la tenant par les cheveux.
Mais moi j’étais heureux dans ce vagin, visqueux, brûlant et moulant. Fatia relevait la tête pour me regarder pilonner la chatte de sa maîtresse, avec ses yeux toujours voilés par le plaisir qu’elle prenait sous la bouche de sa belle-fille. Elle me souriait pour m’encourager à continuer. Un moment, je vis ses lèvres s’étirer et devenir minces et blanches, comme elles avaient perdu tout le sang qu’elles contenaient. Elle avait subitement arrêté ses cris et sa respiration devint haletante; elle banda tous ses muscles et releva ses hanches très haut, puis poussa un énorme râle et déchargea dans la bouche de sa partenaire. Elle continua un moment à obliger la tête de Fatna à continuer ses mouvements d’allers-retours sur sa chatte, puis s’affaissa totalement sur le lit, relâcha la tête de sa partenaire et lui permit de sortir d’entre ses cuisses et de reprendre sa respiration.
Fatna tourna la tête pour essayer de me voir pilonner sa chatte. Elle ne put rien voir, mais me montra qu’elle aimait que je la tire en gémissant fortement. Elle bougeait ses hanches au rythme de mes coups de boutoir et se mit à soliloquer :
- Bon ! C’est bon ! Montre à Fatia combien tu aimes baiser ta pute ! Pute ! Nique ! Nique ! Je vais jouiiiir !
Et effectivement elle eut un orgasme très fort et déchargea à l’intérieur de son vagin, qui maintenant dégoulinait. Mon sexe, qui continuait à aller et venir avec force, produisait de curieux clapotis à l’intérieur du tunnel. Fatna laissa tomber la tête entre les cuisses de Fatia, qui était restée à la même place. Je sentis la jouissance arriver avec force et lançai une première giclée de foutre à l’intérieur du vagin de ma belle. Je sortis rapidement et en répandis le reste sur le bas de son dos et ses fesses en frottant mon sexe contre eux. Fatna se retrouva ainsi pleine de sperme. Ce que sa belle-mère vit immédiatement et se mit à lécher et avaler avec délectation.
Nous nous retrouvâmes au lit tous les trois à batifoler comme des gamins et à faire l’amour comme des bêtes. Nos corps ne voulaient plus se séparer. Ils étaient heureux d’être ensemble, de s’interpénétrer, de former une masse compacte, comme s’il ne s’agissait que d’un seul individu. Nous nous aimions ainsi à trois, formant un trio d’amants inséparables et insatiables. Nous passâmes ainsi plusieurs mois, au cours desquels, nous avions tout essayé en matière de sexe et d’érotisme. Fatia et Fatna étaient réellement heureuses de partager l’amour que chacune avait pour moi; et aussi de s’aimer maintenant comme des amantes.
Fatna avait même fait l’effort d’éveiller son jeune mari aux plaisirs de l’érotisme. Petit-à-petit, grâce à mes conseils, et surtout grâce à ceux de sa belle-mère, elle fit connaître à Mohammed, les vrais plaisirs du mariage. Il était maintenant devenu accro à sa femme et aux nuits torrides d’amour qu’elle lui réservait. Elle m’affirmait que sur les conseils de sa belle-mère, elle mimait le plaisir et la jouissance et qu’elle avait même fait croire à son compagnon qu’il était son maître au lit. Qu’il lui était devenu indispensable et que chaque fois qu’il la prenait, il la faisait monter au septième ciel. Il en était fier comme un coq. Elle m’avait même avoué qu’elle se sentait beaucoup mieux comme cela. Elle n’avait jamais eu de sentiment de culpabilité vis-à-vis de son mari, quand elle le trompait, mais maintenant elle était plus sereine : elle faisait son devoir d’épouse et donnait du bonheur à son conjoint. Quant à elle, son bonheur elle le prenait ailleurs, avec ses amants de cœur : sa belle-mère et moi.
La belle histoire se continue jusqu’à maintenant, avec un développement un peu bizarre. En effet, au cours d’une de nos séances à trois, Fatia avait émis le désir d’avoir un enfant de moi. Elle venait d’avoir quarante deux ans et le démon de la maternité commençait à la titiller. Je pensais qu’il ne s’agissait que d’une de ses nombreuses lubies. En fait, il n’en était rien : elle voulait vraiment avoir un bébé de moi. Elle avait même été chez sa gynécologue et avait enlevé le stérilet qu’elle portait depuis des lustres.
- Ou bien c’est toi qui me fais un enfant, ou bien ce sera Lahcen ! Moi je veux que cela soit toi ! Jusqu’à maintenant je n’avais pas voulu d’un autre enfant que Mohammed. Mais aujourd’hui, c’est peut-être à cause de mon âge, je veux goûter encore une fois à la grossesse et à l’accouchement. Et puis, je voudrais garder une trace de mon amour pour toi.
Les choses ne s’étaient pas passées exactement comme Fatia et moi, l’avions programmées. Au lieu que ce soit elle qui tombe enceinte tout de suite, ce fut Fatna qui devint grosse du fruit de nos relations intimes. Sans rien nous dire, ni à moi, ni à sa belle-mère, elle avait abandonné la pilule et un mois après tomba enceinte. Elle nous l’annonça avec beaucoup de fierté : comme si elle venait de réaliser un exploit. Fatia fit contre mauvaise fortune bon cœur et continua d’aimer sa belle-fille comme avant. Cela ne l’empêcha pas de continuer à vouloir tomber enceinte elle-aussi le plus rapidement possible. Elle ne le fut que trois mois plus tard, quand le ventre de Fatna commençait déjà à grossi et à devenir énorme.
Notre relation à trois, y compris nos séances d’amour torride, continua pendant toute la période de grossesse de mes deux maîtresses. La seule différence était que maintenant, l’une et l’autre, se pavanaient, tous les soirs aux bras de leurs maris - fiers comme des coqs - exposant leurs gros ventres à l’admiration et/ou à la jalousie des voisins et des voisines. Quand Fatna accoucha - d’une fille - elle resta près de deux mois, sans sortir et sans venir à nos rendez-vous. Elle était toute à son - notre - bébé. Nous ne recommençâmes à nous aimer et à refaire l’amour, avec toujours autant de plaisir, qu’après ces deux mois de sevrage.
Fatia accoucha trois mois plus tard - d’une petite fille, elle-aussi. Elle mit moins de temps que sa belle-fille à reprendre ses relations avec moi (et aussi avec Fatna). Et aujourd’hui encore, nous continuons à nous aimer, à l’ombre de leurs maris respectifs, fiers d’aimer et d’être aimés de leurs épouses.
- FIN-

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