Les histoires érotiques du couple Warda et Slim L’homme à la voiture noire, Troisième partie

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les histoires érotiques du couple Warda et Slim  L’homme à la voiture noire,  Troisième  partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2010 dans la catégorie Plus on est
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Les histoires érotiques du couple Warda et Slim L’homme à la voiture noire, Troisième partie
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
L’homme à la voiture noire, Troisième partie
Warda, Slim et Sofiane avaient continué longtemps leur ménage à trois. Ils se rencontraient le plus souvent chez Warda et Slim et parfois dans le logement de célibataire que Sofiane occupait dans une cité résidentielle de la banlieue ouest d’Alger. L’appartement du couple était plus grand et mieux aménagé pour le type d’activité qu’ils y menaient. Le trio semblait réellement heureux de la vie qu’il menait : une vie d’érotisme débridé et de consommation sans modération de sexe. Chaque membre du trio était au comble du bonheur. D’après les échos qui, de temps en temps, me parvenaient, il apparaissait que Warda était réellement amoureuse de ses deux hommes, qui le lui rendaient bien.
Warda me donnait rendez-vous – avec parcimonie, il faut bien l’avouer – pour partager avec moi un café ou un thé et surtout pour me tenir au courant de l’évolution des aventures de son couple (devenu depuis, trio). Elle venait maintenant le plus souvent seule, ne voulant certainement pas mettre dans le secret Sofiane, qui ne savait pas que ses amis me racontaient tout et que j’étais déclaré chroniqueur officiel des aventures amoureuses de Warda et Slim.
Je continuais donc à servir d’intermédiaire entre le couple et les lecteurs des quelques chroniques que je faisais paraître. Warda devenait de plus en plus belle. Il me semblait que le bonheur qu’elle affichait accroissait encore plus sa beauté naturelle et la rendait encore plus sensuelle. Son visage resplendissait de lumière et son corps avait atteint la plénitude de l’épanouissement. Il m’arrivait, en la regardant, de ressentir des émois qui ne pouvaient tromper sur leur signification : j’étais attiré par cette femme comme le fer par un aimant.
Je m’efforçais toujours de garder mon calme et de refouler mes mauvaises pensées, mais j’avoue que cela devenait de en plus en plus difficile. Il m’arrivait même de rêver d’elle la nuit ; et les rêves que je faisais n’étaient absolument pas innocent : ce sont des rêves qui ont souvent comme conséquence directe de salir les draps. En fait, ce n’était pas seulement sa beauté physique et la sensualité qu’elle dégageait qui était à l’origine des émois qui me traversaient. C’était surtout sa manière à elle de dire les choses, directement, sans fioritures et surtout sans fausse honte, qui me faisaient de l’effet. Maintenant encore, j’ai du mal à lui dire la vérité sur la nature de l’effet qu’elle me faisait: en la regardant et l’écoutant raconter, je bandais comme un bouc. Seulement, je m’efforçais de ne rien laisser paraître et je continuais hypocritement à sourire de manière innocente, alors qu’au fond de moi je bouillais comme de l’eau dans une marmite.
Je pense que Warda, qui était une fine mouche, était consciente de l’effet qu’elle me faisait et savait que je n’avais rien de cet intellectuel, froid et distant, que je faisais semblant d’être. Elle avait certainement dû lire dans mes yeux autant de concupiscence qu’elle lisait dans ceux de tous les hommes qui voulaient la tirer. Mais elle aussi ne laissait rien paraître et continuait à me considérer froidement, comme une star considère le journaliste venu l’interviewer; avec distance et froideur polie. Elle voulait un chroniqueur de talent, et elle l’avait trouvé. C’était tout ce qui comptait pour elle, me concernant. Elle semblait très contente de la manière dont je reprenais ses histoires (En réalité, je n’ai aucun mérite, parce que ma Shahrazade, racontait tellement bien, qu’il me suffisait de reprendre ses histoires telles quelles.)
La dernière fois que je l’ai rencontrée, elle avait l’air encore plus gai et épanoui que d’habitude. Je savais d’instinct que l’histoire de « l’homme à la voiture noire » venait de connaître un prolongement. J’étais impatient d’en connaître les détails. Et c’est ainsi que ma magnifique Shahrazade, me narra la suite de ses aventures amoureuses.
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Sofiane, la plupart du temps, vivait seul dans un appartement que son père lui avait acheté dans une luxueuse résidence pas loin de Staoueli, dans la banlieue maritime ouest d’Alger. C’était un appartement de célibataire, qui ne lui servait que pour y passer la nuit; et, avant de tomber amoureux de moi et de vivre avec Slim et moi la vie palpitante d’un couple à trois, à y amener ses conquêtes féminines. Parmi les femmes qu’il amenait souvent dans son antre de célibataire, il y avait Aïcha, son ex fiancée, devenue sa belle-mère – la femme à son père. Depuis son retour des Etats-Unis, où il avait continué ses études supérieures, ils se voyaient de temps en temps, bien entendu, en cachette de Mohand, son père.
Pour Sofiane, il s’agissait surtout de vengeance : il n’avait toujours pas pardonné à son père de lui avoir volé son amour de jeunesse. Il lui en voulait toujours d’avoir utilisé sa formidable situation financière (il était aussi riche que Crésus, disait-il) pour séduire la jeune fille qu’était alors Aïcha et pour l’épouser. Il prenait plaisir à faire pousser des cornes sur le front de son père. Pour Aïcha, il s’agissait d’autre chose : elle était toujours amoureuse de Sofiane. Passés les premiers temps de son mariage, elle avait vite découvert qu’elle avait fait fausse route et que tout l’argent de Mohand ne le rendait, ni plus séduisant, ni plus intéressant. Elle avait découvert en lui, un monstre d’égoïsme qui ne pensait qu’à son plaisir et qui jetait ses jouets, aussi vite qu’il les acquérait.
Mohand était un homme qui était né pauvre et qui avait su profiter de la situation politico-économique désorganisée du pays, pour faire fortune. Il avait eu l’intelligence de s’accoquiner avec les hommes de pouvoir, qu’il servait et qui lui renvoyait l’ascenseur. Il était aussi assez intelligent, pour ne pas laisser toute sa fortune dans le pays : il en avait transféré une grande partie à l’étranger, qu’il faisait fructifier par l’intermédiaire d’avocats d’affaires internationaux. Il savait que comme cela, sa fortune était à l’abri des retours de bâton, qui étaient nombreux dans le pays.
Mohand utilisait sa fortune en priorité pour vivre ses passions et profiter de la vie. Il aimait par-dessus tout le sexe. Et Aïcha – elle s’en était très vite rendue compte – n’avait été pour lui qu’un instrument de cette passion pour le sexe. Elle lui avait plu dès la première fois qu’il l’avait vue avec Sofiane, et il en avait fait une obsession. Il savait qu’il ne pouvait l’avoir qu’en l’épousant. Il le fit donc, en lui faisant miroiter une vie de princesse des mille et une nuits, à qui il ne manquera jamais rien dans la vie. Elle tomba dans le piège, laissa tomber Sofiane, avec lequel pourtant elle avait été vraiment heureuse – y compris physiquement – et se maria avec l’homme qui venait d’avoir quarante huit ans. Mais très vite, une fois passé les premières nuits où il avait satisfait les fantasmes érotiques qu’il avait nourris envers elle, il reprit très vite ses habitudes de coureur de jupon et de mari inconstant.
Il découchait souvent et partait pour des voyages d’affaires, qui duraient une éternité. Aïcha se retrouvait très souvent seule et commençait à regretter Sofiane. Elle le lui dit, mais pour lui c’était trop tard. Il partit donc faire ses études et ne revint que huit années plus tard. Il retrouva Aïcha aussi belle qu’avant et bien que le lien amoureux s’était rompu chez lui, il décida d’avoir avec elle des relations sexuelles, qui lui servirait surtout de vengeance. Aïcha elle, aimait sincèrement Sofiane. Elle considérait sa trahison comme une erreur de jeunesse et surtout, elle se considérait comme une victime des manœuvres diaboliques de son mari.
Ils se rencontraient de temps en temps, soit chez elle, quand le mari était absent, soit chez lui dans sa garçonnière. Ils faisaient l’amour comme autrefois, sans tabous. Aïcha était une femme qui aimait le sexe libre. Elle l’avait connu autrefois avec son fiancé, puis l’avait totalement perdu avec son mari. Et maintenant elle le retrouvait, avec bonheur, avec le retour de Sofiane. Elle attendait avec impatience les moments qu’elle passait avec son amant. Bien entendu, elle craignait que son mari s’aperçoive qu’elle était entrain de le tromper et qu’il en tire les conséquences en la répudiant.
Sofiane, lui voulait que son père apprenne la chose. Il lui en voulait tellement, qu’il voulait le faire souffrir en lui mettant la honte. Il pensait que cela allait le rendre furieux, comme lui l’avait été, huit ans auparavant, en apprenant que sa fiancée allait le quitter pour son père. En fait, je ne sais pas trop pourquoi, ce fut moi – avec la complicité de Slim – qui lui suggéra qu’il faisait totalement fausse route et que Mohand, son père serait très heureux de voir sa femme entre les bras de son fils.
- Il suffit seulement de trouver la bonne formule. Ton père est un chaud lapin et un coureur de jupons invétéré. Il suffit de lui mettre une belle femme entre les bras, en présence de Aïcha, pour que tout s’enclenche. Tu dis qu’il ne sait pas résister à ses pulsions sexuelles; trouve donc une belle femme qui l’aguichera devant son épouse, et le tour est joué.
Ce que je venais de lui suggérer était une graine qui n’allait pas tarder à germer dans les esprits très imaginatifs de Sofiane et de Slim. Un jour, Sofiane après une de nos séances à trois, me dit qu’il avait passé la nuit précédente avec Aïcha dans la villa de son père. Celui-ci était bien entendu absent.
- Je lui ai fait part de l’idée que tu m’as suggérée et elle semble complètement excitée par elle. Je lui ai bien sûr parlé de nous et de notre relation. Cela aussi l’excite au plus haut point. Et tu sais ce qu’elle m’a proposé ?
- Non !
- Que ce soit toi qui serves d’appât à mon père. Je lui avais dit combien tu étais bandante et que tu étais capable de faire tomber n’importe quel homme amoureux fou de toi. Je suis sûr qu’en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, tu le feras bander comme un âne et qu’il ne sera pas capable de te résister plus de cinq minutes ! Tu es partante ?
- …. (Je ne répondis pas.)
Je regardais Slim pour voir ce qu’il en pensait. D’évidence mes deux homes en avaient déjà parlé ensemble. Les salauds voulaient m’utiliser comme appât en m’offrant à Mohand. Je connaissais les idées de Slim en la matière; mais je croyais Sofiane plus traditionnel. Je ne pensais pas qu’il serait d’accord pour que je me donne à un autre homme que lui – et Slim. Je venais de comprendre que Slim avait déteint sur lui et qu’il voyait d’un très bon œil le fait d’appartenir à d’autres hommes qu’eux deux. Je ne savais pas si j’étais déçue. J’étais très partagée dans mes sentiments : d’un côté j’étais déçue que Sofiane veuille me partager; c’étais comme si il venait de me déclarer qu’il ne m’aimait plus. D’un autre, je savais que Slim en serait heureux.
Et puis, j’avoue que j’étais un peu jalouse de la relation que Sofiane entretenait ave sa belle-mère. Il avait beau dire qu’il ne l’aimait plus et qu’entre eux il n’y avait que le sexe et la vengeance, je savais au fond de moi qu’ils s’aimaient encore très fort. Je savais que ce que j’allais faire (parce qu’évidemment, j’avais au fond de moi, déjà accepté la mission qui m’était dévolue) allait les rapprocher encore plus et leur permettre même de vivre ensemble. J’étais perplexe. Mais en regardant Slim dont le visage montrait de l’inquiétude pour ma réponse, je me décidai à dire oui.
- OK ! Je suis partante ! Mais je n’aimerais pas que nos relations à tous les trois pâtissent de ce que nous allons faire. Je veux bien exciter Mohand, jusqu’à ce qu’il perde le contrôle de lui-même. Pour cela je sais y faire. Mais je ne voudrais pas qu’il y ait un drame. Que ton père refuse de te voir tirer sa femme et qu’il aille vers des gestes extrêmes !
- Ne t’en fais pas pour ça ! Dis Slim, je pense connaître ce genre d’homme. Je crois qu’au fond, il sera content. Cela le libèrera de ses devoirs de mari et lui laissera le chemin libre pour vivre ses amours comme il l’entend ; sans se cacher. Sa femme le trompe d’un côté et lui fera ce qu’il a toujours fait de l’autre. Chacun trouvera son compte.
- J’en accepte l’augure ! Dis-je
Et c’est comme cela que quelques jours plus tard, Sofiane se fit inviter pas sa belle-mère pour dîner. Il avait annoncé qu’il ne sera pas seul et qu’il sera accompagné par une nouvelle amie. Nous débarquâmes donc une fin d’après-midi, un début de week-end, vers dix sept heures. Le soleil était encore haut et nous fûmes reçus, dans la belle villa du couple, par Mohand qui portait une robe de chambre en soie qui lui arrivait au dessus des genoux et d’un pantalon de pyjama. Je ne savais pas s’il portait autre chose.
Mohand était un homme, d’environ cinquante-cinq ans, grand et fort, avec un petit embonpoint dû à l’âge et certainement aussi à une forte consommation de bière. Il avait un visage légèrement joufflu et une bouche gourmande (exactement celle de Sofiane !) surmonté d’une grosse moustache à la Georges Brassens. Physiquement, il paraissait ce qu’il était: un jouisseur ; un homme qui aimait croquer la vie à pleines dents. Ses petits yeux très mobiles n’arrêtaient pas de m’examiner. Il avait le regard indiscret et impudique qui trahissait ses pensées. Et ses pensées disaient que je lui plaisais et qu’il avait envie de me tirer !
Je me dis en moi-même que ma mission serait beaucoup plus facile que prévue : cet homme était incapable de cacher ses désirs et ses envies. Tout le monde pouvait se rendre compte qu’il avait des pensées ludiques et qu’il était prêt à tout pour les satisfaire. Il nous fit entrer dans immense salon dans lequel se trouvait un magnifique brin de femme, qui devait avoir environ trente ans. Je venais de comprendre pourquoi Sofiane était amoureux de cette femme, et pourquoi Mohand – le Mohand dont je venais de faire la connaissance et qui me paraissait être un sanguin, qui ne sait pas résister à ses pulsions – avait été jusqu’à voler cette femme à son fils.
Aïcha fait partie de ces femmes à la beauté discrète, mais réelle. Elle était belle sans ostentation. Elle n’était pas très grande – un mètre soixante-dix, environ – mais aux proportions idéales. Elle était elle aussi habillée d’un kimono en soie bleue qui mettait en valeur ses superbes formes : des épaules rondes, une poitrine arrogante, bien que pas très grosse, des seins de taille moyenne qui pointaient sous la soie du kimono (je savais qu’elle ne portait pas de soutien-gorge), une taille vraiment fine, un ventre plat, des hanches étroites et rondes, un fessier bien rond et haut perché et de longues jambes que le fin tissu du kimono dessinait à chacun de ses pas.
Elle avait aussi de magnifiques yeux noisette, immenses et non maquillés, des cils très longs qui donnaient de la profondeur à son regard – brillant d’intelligence et de moquerie – et une belle bouche, pas très grande mais superbement dessinée. Le menton était ferme, signe d’une volonté très forte. Elle avait aussi un port de tête altier, sur un cou long, fin et blanc. En regardant son cou, moi, une femme, j’avais presque envie de l’embrasser, tant il était attirant, beau et brillant. Ma jalousie de départ me reprit, en la voyant si belle. J’avais vraiment peur qu’elle ne s’accapare définitivement de mon deuxième amour et qu’il soit incapable de lui résister.
Elle nous accueillit avec simplicité en embrassant tendrement Sofiane sur les joues : deux baiser très sonores que son mari faisait semblant de ne pas voir, ni entendre. Elle s’approcha de moi, me regarda de haut en bas et de bas en haut, me fit un sourire lumineux et dit :
- Je crois que Sofiane a trouvé la femme qu’il attendait depuis longtemps. Tu es vraiment magnifique ! Je suis jalouse ! Tu es bien plus belle que moi ! Asseyez-vous ! Mohand va nous servir des rafraîchissements ! Qu’attends-tu ? (Elle s’adressait à son mari).
Mohand alla jusqu’au bar, qui se trouvait au fond du salon, ramena deux bière et deux jus de fruit. Il servit les jus aux femmes et ouvrit une bière qu’il offrit à son fils. Il se réserva la deuxième bière et vint s’asseoir sur un fauteuil qui me faisait face et ne me quitta plus des yeux. En fait, il me dévorait des yeux. Je lui fis un sourire aguicheur, que Aïcha intercepta, sans réaction. Elle attendit encore quelque temps, en jetant de temps en temps un regard furieux à son mari, puis n’y tenant plus elle l’apostropha :
- Oui Warda et belle et tu as envie de la tirer ! Mais soit plus discret ! C’est l’amie de ton fils !
Mohand, comme pris en faute, essaya un moment de ne plus me regarder, mais ne put pas tenir longtemps. Surtout qu’en face de lui, je jouais avec mes jambes que je croisais et décroisait, laissant au passage apparaître l’intérieur de mes cuisses et la petite culotte noire que je portais. Je voyais le visage de Mohand, qui venait tout rouge. Son regard se faisait plus perçant et je le voyais qui ouvrait la bouche comme pour mieux respirer. Il était à point !
- Viens dit Aïcha à Sofiane, accompagne-moi à la cuisine pour voir où en est le dîner ! Si je reste ici, je vais finir par faire des dégâts ! Le cochon de ton père est entrain de baver devant les belles cuisses de ton amie. J’espère que tu n’es pas jaloux !
Sofiane et Aïcha sortirent du salon et nous laissèrent seuls Mohand et moi.
- Tu sais où ils vont ? Me dit-il.
- A la cuisine !
- Non, ils vont baiser ! Ils croient que je ne suis pas au courant ! Je sais pour eux depuis longtemps ! Et en fait, je laisse faire exprès, car cela me donne l’occasion de faire ce que je veux, sans me poser de problèmes. Ma femme me trompe et je le sais ! Je la trompe et elle le sait ! Comme cela nous sommes quittes ! Il ne nous qu’une seule chose : rendre nos comportement publics. Ta présence ici est l’occasion pour faire cela. Je vais te tirer comme une bête, même si tu n’es pas d’accord et Aïcha et Sofiane nous surprendront ! Ils feront semblant de s’offusquer de la situation, mais au fond ils seront heureux et libres de s’aimer, sans se cacher de moi ! La seule perdante dans cette affaire ce sera toi !
C’était comme si je venais de recevoir un coup de gourdin sur la tête. Nous avons tendus un piège à Mohand et en fin de compte, c’était lui qui en profitait. Il était au courant depuis le début de la relation entre son fils et sa femme et il l’avait acceptée. Je me demandais maintenant quel pouvait bien être mon rôle. J’avais accepté de coucher avec l’homme dans le but de rendre service à mon amant et à mon mari. Et voila que cette coucherie ne sert plus à rien. Devais-je continuer comme si de rien n’était et baiser avec cet homme qui – je l’avoue – commençait à m’intéresser, en tant qu’amant de passage ? Ou alors devais-je tout laisser tomber, appeler Sofiane et Aïcha et leur expliquer qu’ils n’avaient plus à se cacher pour s’aimer ?
Pour gagner du temps et réfléchir, je demandais à Mohand de me faire visiter le jardin de la villa, qui me semblait immense et bien entretenu. Je savais que cela le contrariait parce qu’il avait vraiment envie de faire l’amour avec moi. Mais il ne put refuser ma demande. Il me suivit donc dans le jardin, qui effectivement était magnifique et me montra, avec une fierté non feinte, tout ce qu’il avait fait planter par des jardiniers professionnels. Il m’emmena ensuite vers la grande piscine – dont je n’avais pas soupçonné la présence – pour me la montrer avec fierté. Pendant toute la durée de la visite, il se tenait derrière moi. Je sentais son regard peser sur mes hanches, mes jambes et surtout mon cul. J’avais même l’impression qu’il respirait difficilement, tant il avait envie de s’emparer de moi. En arrivant devant la piscine, je sentais son souffle sur ma nuque; il était tout près de moi. Je savais qu’il n’allait pas tarder à faire quelque chose, pour assouvir son désir de me tirer.
J’étais en position d’attente. Je ne savais pas ce que je ressentais réellement. D’un côté son souffle sur ma nuque et sa respiration difficile titillaient mon imagination. Je le sentais tout près de l’apoplexie. J’imaginais ses puissantes mains qui étaient sur le point de sa poser sur mes hanches et les emprisonner. Je l’imaginais se coller contre mon dos pour me faire sentir son sexe en érection. Je l’imaginais portant une de ses mains sur ma poitrine pour palper mes seins. Je l’imaginais….
Et puis tout bascula d’un coup. Ses mains se posèrent effectivement sur mes hanches et me tirèrent vers l’arrière, me collant contre lui. Sa bouche vint se poser sur mon cou pour un baiser violent et mouillé. Il tendit son bassin vers l’avant pour être en contact étroit avec mes fesses et me montrer combien il bandait. Je sentais en effet son sexe dur comme de la pierre chercher la raie de mes fesses pour tenter de s’y introduire. Il faisait des petits mouvements avec ses hanches, pour bien me montrer son envie de me pénétrer.
Et moi je sentais l’excitation arriver au galop. Je ne pensais pas que j’allais être excitée par cet homme, mais je ne pus retenir ma chatte de couler et une chaleur insupportable irradier sur tout mon bas ventre et sur mes seins. J’avais envie de m’offrir à cet homme qui se tenait là derrière moi et qui me montrait, en silence qu’il voulait me posséder; qu’il voulait me tirer. Je savais qu’il n’y avait aucune tendresse chez cet homme. Tout ce qu’il voulait, c’était de satisfaire ses instincts. Eh bien, moi aussi je me rendais compte que c’était tout ce que je voulais : être tirée comme une pute par cet homme ! Ici même contre la grande table en pierre de la piscine.
Je ne pus m’empêcher de lui montrer que j’avais moi aussi envie de baiser. Je me mis à bouger les hanches, pour accompagner le frottement de son sexe sur la raie de mes fesses. Il se mit à gémir de plaisir. Il avait compris qu’il avait gagné et qu’il s’agissait maintenant pour lui de me baiser comme une bête. Je ne voyais toujours pas ce qu’il faisait derrière moi ; je ne me retournai pas, au moment où il s’éloigna de quelques centimètres de mes fesses. J’attendais impatiemment qu’il sorte son zob, qu’il relève ma robe, rabaisse ma culotte et me fasse pencher sur la table en pierre, pour me posséder comme cela, à la hussarde.
Mon attente ne fut pas longue ; il fit exactement ce que j’attendais qu’il fasse. Une fois ma culotte descendue sur mes genoux, je sentis sa main se poser sur ma chatte et ses doigts ouvrir mes grandes lèvres qui dégoulinaient de mouille.
- Tu mouilles, salope ! Tu as envie de mon zob ! Dis-moi que tu as envie de te faire tirer par Mohand ! Dis-moi que tu veux faire la connaissance du gros zob de Mohand ! Dis-le ! Dis-le !
Je ne répondais pas, mais lui montrais que j’avais envie et poussant mes hanches vers l’arrière, pour mieux sentir ses doigts qui farfouillaient dans ma chatte. Et puis, je sentais sa main quitter l’endroit, pour être tout de suite remplacée par une autre sensation, beaucoup plus plaisante: son sexe qui venait de se poser entre mes grandes lèvres. Il était dur et doux ! Je le sentais qui palpitait et qui frémissait d’impatience. Et puis d’un coup brutal, il l’enfonça à l’intérieur de mon vagin, tirant de moi un petit cri de douleur. Il m’avait vraiment fait mal ! Je ne voyais pas l’engin qui me possédait, mais je le sentais en moi : il était immense ! Long et gros ! Il était interminable ! Il me rappelait celui de Sofiane dont le gland très large me faisait mal, chaque fois qu’il me pénétrait. Son père semblait avoir le même zob ! Je n’osais pas montrer mon contentement d’être possédée comme cela, à la hussarde, par un bel engin ! Mais en moi-même, je hurlais mon plaisir ! Et Mohand, lui ne se gênait pas pour me traiter de tous les noms, en me tirant de plus en plus fort. Cela l’excitait encore plus de me traiter comme une pute, en me prenant en force et me faisant sentir la puissance de son engin. Et moi aussi, cela m’excitait ! Je savais que je n’allais pas tarder à le lui dire ! A le hurler ! A le supplier de ne pas s’arrêter ! De recommencer tout de suite après ! J’étais prise au piège de mon plaisir !
- Tu aimes salope ! Tu aimes que Mohand te baise comme ça ! Dis-moi que Mohand est ton maître ! Mohand c’est ton homme ! Dis-le ! Je te l’ordonne ! Dis-le !
- Mohand est mon maître ! Je suis sa chienne ! Baise ta chienne ! Fais jouir ta chienne ! Fais-lui connaître le septième ciel !
- Dis-moi que tu aimes mon zob ! Mon zob dans ta chatte ! Dis-le ! Ça m’excite d’entendre que tu aimes les gros zobs dans ta chatte !
- J’adore les gros zobs dans mon hatchoun ! Zob dans mon hatchoun ! Zob ! hatchoun !
- Oui ! Mon zob dans ton hatchoun ! Dans ton hatchoun ! hatchounnnnn !
Et il partit dans une immense éjaculation, accompagnée par un long hurlement de plaisir, qui venait du fond de ses entrailles. Et moi aussi je voyais arriver un puissant orgasme, qui dévala impétueusement sur moi. Il continuait à me tirer en force pendant qu’il éjaculait et que moi je déchargeais tout mon jus. J’entendais les clapotis impudique que faisait le zob de Mohand dans ma chatte complètement noyée et je sentais mon jus et le sien se mélanger et couler à l’extérieur. Cette sensation que me donnait le sperme de Mohand et ma cyprine qui coulaient entre mes cuisses pour aller se répandre par terre, ajoutait à mon plaisir, qui était déjà immense.
Il n’arrêta le mouvement de va-et-vient de son sexe, que quand il le sentit complètement rassasié et ramolli. Il le sortit de mon vagin, resta un moment immobile derrière moi me retourna pour me mettre en face de lui. Il avait le visage d’un homme heureux et repus. Il était content de lui ! Je ne savais pas pourquoi il avait cet air de contentement et de fierté. Est-ce qu’il était fier de m’avoir fait jouir ? Ou alors était-il fier de m’avoir possédée ?
- Tu as aimé ! Je suis sûr que tu as aimé ! Je craignais que tu ne sois du genre pimbêche ! Du genre qui n’aime pas vraiment le sexe ! Toi tu adores baiser ! Et j’aime ça ! Dis-moi que Mohand t’a bien fait jouir !
- Oui tu m’as fait jouir ! Mais ce n’est pas assez ! J’en veux beaucoup plus ! J’aime baiser ! Et j’aime jouir ! Baise-moi encore ! Tu as un magnifique zob ! Il est aussi beau et aussi fort que celui de ton fils ! Mais là il semble fatigué ! Laisse-moi le réveiller ! Je le veux encore ! Sinon je vais hurler que tu n’es pas assez viril !
Je me mis à genoux devant lui et pris son zob dans ma main, pour le caresser et les lécher jusqu’à ce qu’il reprenne sa belle bandaison. Il me fut très facile de le refaire bander come un âne. J’ai toujours su utiliser ma bouche, mes lèvres, ma langue et mes mains pour redonner de l’énergie aux zobs fatigués. Effectivement, le zob de Mohand était la copie conforme de celui de Sofiane, avec le même gland en forme de tête de champignon, très large. Je voulais le regarder pénétrer dans ma chatte et en ressortir. J’ai toujours adoré ce spectacle d’un gros manche, qui entrait et sortait de ma vulve et qui me limait en force. Je m’allongeai sur la table en pierre, les jambes ballantes. Il vint se mettre entre mes cuisses, les souleva pour les poser, pliées de part et d’autre de ma poitrine, et me pénétra, toujours aussi brutalement.
Je sentais, comme tout à l’heure, toute la force du zob de Mohand. Mais maintenant je pouvais le voir entrer et sortir de ma vulve. C’était divin ! Il sortait complètement de ma chatte, l’immense gland en bataille et menaçant, et repartait à l’assaut de mon vagin, qu’il pénétrait très profond en produisant un superbe clapotis impudique, qu’on pouvait entendre de très loin. Et il ressortait, superbe de force et de puissance, pour repartir immédiatement à l’assaut. C’était aussi bien du plaisir pour mes sens que pour mes yeux. Le spectacle de l’immense zob de Mohand qui entrait et sortait de mon intimité et qui était devenu le maître absolu des lieux, me transportait vers les plus hautes cimes du plaisir.
Je savais que je n’allais pas tarder à avoir un orgasme aussi fort que le premier. Mais je voulais aussi faire durer le plaisir. C’était tellement bon, que je voulais que cela dure longtemps ! Très longtemps !
- N’éjacule pas tout de suite ! Je veux que cela dure encore !
- Ne crains rien, Mohand sait faire jouir ses femelles ! Tu aimes regarder le zob de Mohand qui te possède ! Tu aimes le regarder prendre possession de ton hatchoun !
- Oui j’adore le regarder entrer et sortir de ma saoua ! De mon hatchoun ! C’est lui le maître ! Il est chez lui ! Il ordonne, elle obéit ! Tire-moi plus fort !
- Oui salope ! Je vais te tirer comme un taureau ! Je suis ton taureau ! Tu es ma génisse ! Tu es ma chienne ! Tu es une chienne ! Dis-moi que tu es une chienne ! Que tu veux que je te traite comme une chienne ! Dis ! Dis !
- Je suis une chienne ! Une chienne !
Je ne pouvais plus me retenir. Mon excitation et mon plaisir était à leur comble. Il fallait que je décharge ! Je le lui dis !
- Je vais jouir très fort ! Je vais jouir Je jouiiiiiis !
Et je partis dans un long râle, tout en déchargeant des litres de jus. Mohand, qui n’en était pas encore là, accéléra le rythme de ses coups de boutoir, ainsi que l’amplitude des va-et-vient. Son zob sortait maintenant très loin et repartait encore plus fort à l’intérieur de mon vagin. Je le voyais qui prenait un élan de plus en plus long et qui repartait, sublime de force, à l’assaut de ma chatte. Au bout d’une dizaine d’allers-retours, je le vis qui se crispa et qui arrêta sa respiration. Je vis sa bouche se tordre sous sa moustache et de la bave en couler sur la commissure de ses lèvres comme une fontaine. Il poussa un long cri de mourant et éjacula. Je vis le sperme sortir de son zob au moment où il quittait ma vulve et se répandre sur mon pubis, avant de repartir encore une fois au fond. Il éjacula ainsi trois fois avant de s’effondrer, fourbu, sur moi. Il maintenait toujours mes jambes pliées de part et d’autre de ma poitrine et resta ainsi quelques minutes, le temps de retrouver une respiration normale. Ce fut ce moment que choisirent Sofiane et Aïcha pour donner signe de vie.
- Tu as eu ce que tu voulais espèce de porc ! Hurla Aïcha. Tu as bien baisé cette salope ! Et bien tu vas voir ce que moi aussi je vais faire ! Je vais baiser avec tous les hommes qui me plairont !
- Oui avec Sofiane ! répondit Mohand, sans se démonter. Tu crois que je ne sais pas que vous êtes amants depuis longtemps ! Depuis qu’il est revenu d’Amérique ! Tu me crois si con que ça ! J’ai laissé faire parce que cela m’arrangeait ! Je pouvais courir tous les jupons qui me plaisaient, sans me poser trop de questions morales ! Alors si tu veux baiser avec mon fils, libre à toi ! Si d’autres hommes te plaisent, tu n’as qu’à te les payer ! Tout ce que j’exige, c’est de la discrétion ! Le moindre scandale qui menacera ma position sociale, je te le ferais payer ! Et tu sais de quoi je suis capable ! Aller maintenant allons manger ! La partie de jambe en l’air avec l’amie de Sofiane, m’a donné très faim.
Aïcha, Sofiane et même moi, n’étions vraiment pas très fiers de nous ! Mais quel soulagement pour le fils et la belle-mère, qui venaient de recevoir l’autorisation du père de s’aimer sans plus se cacher de lui. Nous retournâmes à la maison et Mohand et moi, allâmes prendre une douche ensemble. Nous avions même batifolé sous la douche, comme des amoureux ! C’était une situation bizarre, où le seul vrai vainqueur fut Mohand ! Il avait eu ce qu’il voulait (moi !) et avait remis sa femme et son fils à leur place ! C’est vrai que chacun y avait trouvé son compte ! Sauf moi qui me suis retrouvée piégée : Mohand m’avait tirée et même m’avait donné beaucoup de plaisir. Mais il n’était pas question pour moi de poursuivre l’aventure avec lui. D’ailleurs lui-même ne le voudrait certainement pas. Je n’étais qu’une passade ; une envie irrépressible qu’il avait satisfaite et cela lui suffisait. Il pouvait maintenant passer à autre chose.
Sofiane lui avait retrouvé Aïcha, qu’au fond de lui, il aimait toujours. D’ailleurs en les voyant ensemble, j’avais vite compris que c’étaient deux vrais tourtereaux, et qu’ils s’aimaient d’amour. Je n’avais aucune place entre eux, ou même à côté d’eux. Il me restait, me dis-je Slim, mon chéri, mon ami, mon amant ! En rejoignant la table pour dîner, j’étais un peu triste. J’avais pris énormément de plaisir sous les coups de boutoir de Mohand, mais lui déjà, il était loin. D’ailleurs il ne dina pas avec nous, prétextant un rendez-vous urgent avec un client. Il nous quitta vers vingt heures en nous disant de ne pas l’attendre, il ne rentrerait certainement pas de la nuit. Nous restâmes tous les trois, Sofiane, Aïcha et moi. Nous dînâmes rapidement presque en silence, chacun étant plongé dans ses propres pensées.
A la fin du repas, Aïcha nous invita à prendre le thé dans le salon. Nous nous y rendîmes, toujours en silence. Je m’assis sur un des fauteuils, m’attendant à ce que Sofiane et Aïcha prennent place, ensemble, sur le grand sofa. Ils s’assirent effectivement sur le sofa, mais Sofiane me fit signe de venir les rejoindre. Je ne savais pas ce que cela pouvait signifier, mais j’obéis en allant m’asseoir à sa droite, évitant de trop me rapprocher de lui.
- Approche-toi ! Qu’est-ce qui te prend ? Tu ne veux plus de moi ? Tu es tombée amoureuse de mon père ? Embrasse-moi !
J’étais abasourdie ! Mais tellement heureuse ! Toutes mes appréhensions de tantôt venaient de s’effacer comme par miracle. Le comportement de Sofiane venait d’agir comme un coup de gomme sur les idées noires que je traînais depuis une heure environ. Sofiane m’embrassa aussi tendrement que par le passé. Il était toujours amoureux de moi ! Et moi de lui ! Aïcha semblait la plus gênée des trois. Elle nous regardait avec ses immenses yeux, qui avaient perdu leur brillance et qui semblaient tristes. C’était comme s’ils nous posaient des tas de questions « Et moi dans tout cela, qu’est-ce que je deviens ? » « Suis-je condamnée à perdre pour toujours, l’amour de ma vie ? » « Ce n’est pas possible que cela finisse ainsi ! »
Comme s’il avait lu toutes ces questions dans les yeux de sa belle-mère, Sofiane l’enlaça et l’embrassa aussi tendrement qu’il venait de le faire avec moi. Ils échangèrent un long, très long baiser, d’amoureux. Quand, il cessa de l’embrasser et qu’il vit le magnifique sourire qu’elle lui envoya, il sourit lui-même de toutes ses dents et en nous regardant tour à tour, il prononça la sentence que Aïcha et moi attendions avec angoisse.
- J’aime Warda et j’aime Aïcha ! Warda aime Slim ! Slim aime Warda et bientôt, il aimera Aïcha ! Pourquoi perdre tous ces amours pour n’en choisir qu’un ! Nous avons la chance de nous aimer à plusieurs et d’aimer faire l’amour ensemble ! Continuons et appelons Slim pour qu’il nous rejoigne !
J’avais failli me lever et lancer mon bras droit vers le ciel en signe de victoire, en criant « youppie ! ». Je me retins de justesse. Mais j’étais tellement heureuse de ce que je venais d’entendre ! Mon histoire amoureuse pouvait continuer, sans être amputée ! Je pouvais garder et Slim et Sofiane ! Je venais aussi de gagner Aïcha avec laquelle j’étais sûre de bien m’entendre ! Le couple à trois que nous formions avant, se transforme maintenant en un couple à quatre : deux femmes et deux hommes. Je venais de perdre le privilège d’être la seule femme du groupe, mais en contrepartie, j’avais gagnée une amie (qui se transformera très vite en amante !).
Nous appelâmes Slim, pour qu’il nous rejoigne et vienne passer la nuit avec nous. Il ne tarda d’ailleurs pas à arriver, comme s’il se trouvait juste à côté, au moment où je l’appelais. Il s’était mis d’accord avec Sofiane pour se trouver très près au moment où on l’appellera.
Une autre histoire, à quatre commença cette nuit, qui nous donna à tous énormément de plaisir et de bonheur. Je te raconterai la suite une prochaine fois.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Ma parole cette femme est une nymphomane ni PAUPOL ni son cocu de mari ni je ne sais qui lui suffise .Basta....



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