Titre de l'histoire érotique : Un maître providentiel
Récit érotique écrit par Ali [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Un maître providentiel
Une expérience extraordinaire m'est arrivée au cours d'un voyage nocture. A 51 ans passés, je ne soupçonnais pas que j'allais me découvrir, (n'est-ce pas?) bisexuel. C'est vrai que dans ma jeunesse, beaucoup d'homos actifs ou passifS ont ''soupiré'' pour mon corps vraiment canon, mais ça me laissait toujours de marbre, l'un deux est resté d'ailleurs un ami intime, sans plus. Je garde encore une belle gueule de gitan, de fesses vraiment pas mal, mais hétéro encore sans aucune embiguité.
J'étais donc, en route pour Tunis, de nuit, dans un taxi collectif. Le trajet est long et il fait froid. J'étais fatigué et j'avais tendance à m'assoupir, dans une position inconfortable. Ma tête lourde de sommeil, penchaient douloureusement ver la droite, sur l'épaule d'un passager que je ne connaissait pas. Il était assez jeune et en me reveillant de temps en temps, je n'ometais pas de m'excuser. A chaque fois, il me chuchotait à l'oreille un ''je vous en prie'' trés doux, suave même. Ainsi, il est vrai, et j'en ai fait donc l'expérience, que la nuit, la fatigue aidant, les pulsions les plus profondes, les plus refoulées, se libèrent et ne rencontrent aucune entrave du surmoi, dont la vigilence se trouve fortement amoindrie. Rassuré ensuite, par l'amabilité de mon voisin, je me suis endormi pour de bon. Un bonne heure est passée, avant que je ne me réveille de nouveau, pendant que le taxi roulait dans la nuit. Je découvre enfin que ''ce'' n'était pas un rêve: MOn voisin me caressait le sexe sur la braguette rebondie de mon jean. Asurément, j'ai apprécié dans le sommeil, j'ai encore plus apprécié dans la réalité. Me voilà arrivé à Tunis, flanqué d'une compagnie inattendue. Nous allons tous les deux, de connivence, illico presto dans un petit hôtel où, pour la première fois, j'allais découvrir l'autre façon de faire l'amour. Je pensais d'abord que ça allait être une parenthèse, pour assouvir ce désir violent qu'on venait de m'arracher dans des circonstances assez spéciales, tout de même. Mais mon compagnon saura être un maître talentueux dans l'art de révéler des dons cachés de bisexuel. Il s'était pris merveilleusement bien, avec un art consommé des caresses qui ont réveillé en moi, des douceurs et des plaisirs que j'ignorais totalement. Ce matin là, aprés une bonne douche et quelques remontants, il venait de me dépuceler l'anus, sans que ne sois en aucune manière préparé à une telle perspective. Cela s'est passé pourtant trés bien. Aujourd'hui, aprés plusieurs années, je lui en suis toujours reconnaissant: grâce à lui je profite mieux de mon corps, ma plus grande jouissance est de reçevoir en moi, un membre bien calibré, d'un amant vigoureux qui me triture la cavité, met à l'épreuve l'élasticité de l'anneau et m'inonde de son jus, pendant que je râle de jouissance. Ma récompense ne se fait jamais attendre: c'est une soumission complète à ses moindres envies.
J'étais donc, en route pour Tunis, de nuit, dans un taxi collectif. Le trajet est long et il fait froid. J'étais fatigué et j'avais tendance à m'assoupir, dans une position inconfortable. Ma tête lourde de sommeil, penchaient douloureusement ver la droite, sur l'épaule d'un passager que je ne connaissait pas. Il était assez jeune et en me reveillant de temps en temps, je n'ometais pas de m'excuser. A chaque fois, il me chuchotait à l'oreille un ''je vous en prie'' trés doux, suave même. Ainsi, il est vrai, et j'en ai fait donc l'expérience, que la nuit, la fatigue aidant, les pulsions les plus profondes, les plus refoulées, se libèrent et ne rencontrent aucune entrave du surmoi, dont la vigilence se trouve fortement amoindrie. Rassuré ensuite, par l'amabilité de mon voisin, je me suis endormi pour de bon. Un bonne heure est passée, avant que je ne me réveille de nouveau, pendant que le taxi roulait dans la nuit. Je découvre enfin que ''ce'' n'était pas un rêve: MOn voisin me caressait le sexe sur la braguette rebondie de mon jean. Asurément, j'ai apprécié dans le sommeil, j'ai encore plus apprécié dans la réalité. Me voilà arrivé à Tunis, flanqué d'une compagnie inattendue. Nous allons tous les deux, de connivence, illico presto dans un petit hôtel où, pour la première fois, j'allais découvrir l'autre façon de faire l'amour. Je pensais d'abord que ça allait être une parenthèse, pour assouvir ce désir violent qu'on venait de m'arracher dans des circonstances assez spéciales, tout de même. Mais mon compagnon saura être un maître talentueux dans l'art de révéler des dons cachés de bisexuel. Il s'était pris merveilleusement bien, avec un art consommé des caresses qui ont réveillé en moi, des douceurs et des plaisirs que j'ignorais totalement. Ce matin là, aprés une bonne douche et quelques remontants, il venait de me dépuceler l'anus, sans que ne sois en aucune manière préparé à une telle perspective. Cela s'est passé pourtant trés bien. Aujourd'hui, aprés plusieurs années, je lui en suis toujours reconnaissant: grâce à lui je profite mieux de mon corps, ma plus grande jouissance est de reçevoir en moi, un membre bien calibré, d'un amant vigoureux qui me triture la cavité, met à l'épreuve l'élasticité de l'anneau et m'inonde de son jus, pendant que je râle de jouissance. Ma récompense ne se fait jamais attendre: c'est une soumission complète à ses moindres envies.
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