Avec mes amantes, je suis heureuse.

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Avec mes amantes, je suis heureuse. Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2016 dans la catégorie Plus on est
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Avec mes amantes, je suis heureuse.
Je me réveille dès que le poste se met en route. J'éteins aussitôt pour ne pas réveiller Charline, mon amie depuis deux mois. Je me lève lentement pour ne pas faire de bruit. Elle se réveille, me faire retomber sur le lit. Je ne résiste que pour la forme. Elle m'embrasse comme elle sait si bien le faire: je goûte à sa salive qui ressemble à du miel. Je réponds pour ne pas la laisser sur une mauvaise impression dès le matin. Charline, fait parti de ces filles qui quand elle veulent jouir ne lâche pas prise.
Nous nous étions rencontrées chez des amis. Là nous avons surtout bavardé, un peu écœurées de voir ses couples se faire du bien sans penser à plus loin. Ce n'est qu'en sortant que j'ai eu envie d'elle. Je l'embrassais longuement sur le palier. J'aurais tout aussi bien le faire devant les autres. C'est là que j'ai goûté sa salive que j'adore depuis. Nous sommes allées chez elles. Nous nous sommes embrassées plusieurs fois avant de penser à nous caresser. Je crois que c'est elle qui a commencé par me toucher un peu les seins. Je ne sais par elle, mais moi je mouillais pas mal depuis le début. Je me suis laissée faire: elle avait trouvé le décolleté que je portait plutôt dégagé.
Elle y avant passé une main pour attraper un mamelon. Je suis très sensible des seins. Rien que le contact d"'un main me faire gonfler les seins. Évidemment avec elle mes seins me semblaient encore plus gros.
Jusqu'à présent je n'avais connue qu'une fille assez dévergondée pour me faire l'amour. Le reste de mes baises étaient toujours avec des garçons. J'aime assez sentir dans mon sexe, la bite dure d'un homme. S'il me ma met par derrière j'aime presque autant: j'en jouis.
Mais ce soir là Charline me faisait oublier tout ce que je savais sur l'amour. Je me trouvais faible femme devant elle. C'est elle qui m'a déshabillé, qui m'a caressé le sexe et fait jouir. C'est elle qui sortant ses godes m'a faire jouir autant qu'avec un mâle. Elle m'a tout appris des amours lesbiens. Elle m'en a tellement appris que ce matin, une fois de plus, elle m'embrasse tellement qu'elle me fait mouiller alors que je suis pressée pour aller au travail.
Elle me fait remettre sur le dos, m'embrasse les deux seins, m'excite encore plus. Sa bouche vient sur ma poitrine qui comme d'habitude gonfle. Elle pose sa langue sur mon nombril où elle la rentre.
Elle me fait des chatouilles: je résiste tellement elle m'excite en faisant ce petit geste. Sa main va sur mon sexe. Elle ne fait que l'envelopper sans rien y faire de particulier, sinon "peigner" ma fourrure que je laisse pousser depuis que nous sommes ensemble. Enfin elle se décide, juste parce que je suis pressée. Elle passe un doigt sur mon anus, s'y attarde un petit moment avant de venir prendre mon bouton pour le caresser. Elle me fait jouir.
Elle ne me libère qu'à ce moment. Je suis maintenant très pressée. Je m'habille maintenant après avoir passé rapidement un coup d'eau sur le visage, sans prendre le temps de me maquiller un peu. Je n'ose pas la regarder: ses soupirs me font savoir quelle se donne du plaisir toute seule. En sortant je lui jette un baiser avec la main. J'ai à peine le temps de la voir avec un gode dans son sexe, à moins que ce ne soit dans l'anus. Si je restais encore, j'aurais envie d'elle. Nous nous rattraperons ce soir.
Enfin la journée est finie. Je rentre chez nous. Je pense en route dans le bus qu'elle va ma donner aussi du plaisir: je décide même de l'enculer même si elle ne me le demande pas. Je sais qu'elle en a envie depuis un moment. Je suis bien gênée dans ce bus collé contre une jolie fille qui me sourit sans arrêt. Pas possible elle me drague. Je sens qu'elle met quelque chose dans la poche de mon imper. Je descends à l'arrêt suivant: ses yeux me fixe quand je descends. Je ne prête plus d'attention à cette fille; Enfin j'arrive chez nous. Charline est là, comme à son habitude, elle travaille plus tard que moi et fini plus tôt. Nous nous embrassons encore, comme toujours elle me fait fondre. Elle m'entraîne dans la chambre. Nous sommes vite nues. Elle arrache toujours en me léchant les seins. J'ai pu prendre sans qu'elle s'en rende compte le gode dont j'ai besoin. Pendant elle descend sa tête vers ma chatte, Je lui mouille l'anus: comme elle sait que souvent je lui met eux doigts à cet endroit, elle ne réagit pas trop. Parc contre quand elle sent que ce n'est pas ma main, elle devine mes intentions: elle ouvre ses fesses. Je rentre relativement facilement l'engin dans son cul. Elle gémit comme toujours quand elle a du plaisir. Je le lui mets à fond:- Oui, encule moi plus fort.
- Comme ça ?
- Oui, et plus vite.
Elle prend un tel plaisir qu'elle en oublie de me sucer. Tant pis pour moi. Je l'encule longtemps, même quand elle me dit qu'elle jouit. A la fin elle n'en peut plus. Tant pis. Je tiens maintenant à lui faire l'amour seul. Je me tourne en position pour lui passer ma langue sur sa moule. Ce n'est pas une nouveauté: c'est que se soit moi qui le fasse sans qu'elle le demande. Il faut dire que je pense souvent depuis tout à l'heure à cette fille dans le bus.
Charline jouit sans arrêt avec ma langue qui la fouille. Elle me laisse faire, mais se met sur moi.
J'écarte les jambes pour qu'elle aussi me fasse jouir. Nous aimons faire des 69. C'est agréable même pour après: nous retrouvons sur la langue de l'autre le goût de sa propre cyprine; Ainsi je sais que je suis plus salée que Charline. Elle tient absolument à me rendre la pareille: elle me met son gode dans l'anus. Je suis couchée sur le ventre, elle écarte mes fesses, les embrasses un peu. Passe sa langue sur ma pastille et enfin pose lentement le gode. Elle m'encule avec lenteur en me faisant languir. Je suis obligée de lui dire de ma le mettre profond. Elle me le fait, passe une main sur mon con, trouve le clitoris. Elle me fait jouir de deux cotés à la fois. J'hurle en jouissant.
Le lendemain encore elle me léché le clitoris, Cette fois j'ai un peu e temps devant moi: je prend une douche: j'en profite pour me donner du plaisir avec le jet. D'habitude mes fantasmes vont sur Charline. Cette fois je pense à cette satanée fille du bus. Je jouis ainsi, en l'imaginant sensuelle.
Je part, en attendant le vus je retour le papier que cette fille m'y a mis: "Rendez-vous au café face à l'arrêt du bus". C'était hier, donc ce soir. Je sais devance que j'y serai. La journée me paraît bien longue. Je ne pence qu'à cette nouvelle fille. Enfin je suis libre. Je la vois en face de moi, loin devant. Nous descendons ensemble. Je peux enfin voir sa silhouette: elle me parait bien faite. Nous entrons ensemble. Une table nous attend au fond de la salle. Nous nous installons en face pour mieux nous voir. Nous attendons qu'un garçon nous serve une bêtise avant de parler. Nous nous présentons: elle c'est Jordanne et moi Yvette. C'est terminé, elle me prend une main, la caresse longuement. Ja la laisse faire pour lui prendre mon tour son autre main. Je vais me mettre à ses cotés. Nous pouvons nous parler dans le creux de l'oreille Nous nous disons des choses qui sont des invites. Elle me dit qu'elle préfère les filles au garçon depuis toujours. Je lui dis que je suis avec une autre fille et que je ne le regrette pas. Je pousse même à lui dire que si elle me veut………………Ça tombe bien elle me veut. Nous prenons rendez-vous pour le lendemain dans la soirée. Je prétexte une urgence pour ne pas venir; Charline me croit. Me voilà embarquée dans je ne sais qu'elle histoire de cul.
Chez Jordanne. Je suis reçu comme une reine: elle a mis les petits plats dans les grands. Le repas est léger, bien cousu. En réalité nous laissons le repas pour nous consacrer à des baisers. C'est moi qui pose ma main sur sa cuisse. Elle me laisse faire en me regardant bien dans les yeux. Je monte vers sa chatte. Elle ouvre les jambes pour me permettre d'arriver à son sexe tout humide déjà.
Je ne finaude pas: nous sommes ensemble pour prendre du plaisir, alors je vais lui en donner. Je trouve rapidement son bouton: je le caresse lentement comme j'aime. Nos lèvres sont toujours ensemble. La salive n'a pas le même goût que celle de Charline. Je la masturbe un bon moment: je la sens jouir plusieurs fois. À son tour. Moi aussi je jouis grâce à ses doigts. Nous nous devons, nous nous embrassons encore en nous caressant. Elle le fait mieux que Charline. Nous nous déshabillons pour aller au lit. Sans délai elle se met à mes pieds, me lèche les jambes depuis les chevilles jusqu'à la foune. Je suis trempée quand elle arrive à mettre sa longue dans le vagin. Elle la faut aller et venir. Je me laisse faire un moment avant de vouloir moi aussi la sucer. Nous voilà parties pour un 69. Si elle n'a pas de gode, elle sait se servir de ses doigts. Elle me les rentre dans le cul de telle manière que je jouis plusieurs fois. Je veux lui en faire autant: je n'ai pas l'habitude de mettre ma main dans un cul. Je la ratte totalement. Pour elle ce n'est pas grave, elle m'apprendra; Nous recommençons à baiser plusieurs fois.
Il est tant de partir, pour nous revoie ce sera dans le bus d'où nous sécherons nos boulots le temps d'un après midi.
Pour Charline, rien de changer. Nous baisons toujours avec autant de plaisir et d'ardeur, surtout elle. Plus le temps passe et plus elle a des besoins nouveaux. Maintenant elle aime les doubles pénétrations alors que j'y suis opposée dès qu'elle a voulu me le faire la première fois: j'ai eu mal au cul. Elle non, elle se régale quand je l'encule pendant qu'elle se baise.
Cette double vie me convient absolument.

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