Escaliers

- Par l'auteur HDS Ouplaboum -
Récit érotique écrit par Ouplaboum [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Escaliers Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Escaliers
J’habite dans le même immeuble à Paris depuis bientôt 6 ans. Vous connaissez Paris et ses légendaires relations de voisinages : à peine se dit-on bonjour, jamais on se parle, on feint même de s’ignorer quand on se croise au supermarché..


Dans mon immeuble, il y a cette femme, une très jolie fille de 33-35 ans, grande, brune, les yeux noirs, élancée. Pas un canon, mais elle a réellement quelque chose de « chien », un vrai truc. Ce n’est pas du charme au sens conventionnel du terme, mais elle dégage quelque chose de littéralement animal.

C’est donc quelqu’un que je croise relativement souvent, environ une fois tous les 15 jours.


Il y a presque 6 mois, je la croise dans le couloir qui fait office de hall d’immeuble. C’est un vieil immeuble qui date du milieu du siècle je crois, dans les quartiers bourgeois de Paris. C’est un couloir qui fait environ 10 mètres de longs pour 1m20 de large.

Elle était habillée tout en noir : jupe et longues bottes, col roulé et imperméable.

JE la croise donc pour la première fois dans ce couloir, au niveau des boites aux lettres (elle regardait son courrier), il n’y avait que nous deux. J’étais pressé, mais innocemment, et je dois dire un peu comme un gosse de douze ans, je me dis « je vais m’arrêter, faire semblant de regarder mon courrier, elle saura mon nom ». Je commence donc mon manège, mais je remarque qu’elle ne se retourne même pas. J’essaye de tourner discrètement la tête afin de croiser son regard. Mon regard se bloque sur ses jambes pendant l’espace d’un instant. C’est évidemment le moment qu’elle choisi pour enfin tourner la tête. JE sens alors son regard posé sur moi, je lève les yeux un peu penaud, elle me plante ses yeux noirs droit dans les miens pendant 3 ou 4 secondes qui me parurent une éternité. Voyant que j’étais mal à l’aise elle me demande de but en blanc « problème de torticolis ? ». JE suis métis, donc je n’ai pas pu rougir (), mais j’étais vraiment mal à l’aise. Avant que j’ai pu répondre quoi que ce soit, elle me lança un grand sourire, tourna les talons et avança dans le couloir en direction des escaliers. Je reste là pendant quelques secondes avant de réaliser que je n’ai même pas pu regarder quelle boite aux lettres elle avait ouvert.


3 semaines se passent sans que je la croise, puis de nouveau je la rencontre, dans les escaliers cette fois : elle descendait, je montais. ME reconnaissant, elle me lance un nouveau grand sourire et me dit « alors ce cou, ça va mieux ».Cette fois-ci je ne laisse pas démonter te lui répond du tac-au-tac : « mieux oui. Merci beaucoup ».Un peu surprise de ma réponse, elle laisse éclater un petit rire, descend encore deux marches, s’arrêtent sur la même marche que moi , me regarde dans les yeux et pense à haute voix « ça pourrait être marrant », et elle continua son chemin.


10 jours se passent encore et je la croise tout en bas de l’escalier. C’était un samedi après-midi, pluvieux. Quand nos regards se sont croisés, elle et moi sommes restés immobile quelques instants, en se regardant dans les yeux, en silence. Nos regards disaient : « on le fait ou pas ? ». Il y avait une électricité, une tension sexuelle quasiment palpable tellement ce moment fut intense. Comme je restais surplace, un peu pétrifié, elle s’approcha de moi, me colla la main sur le sexe, qui commença déjà à durcir et me dis « oui ça va être marrant ».


Elle me prend par la main, m’emmène derrière les escaliers où il y a un espace accessible mais complètement caché des regards.

C’est alors qu’elle me planta sa langue dans la bouche et m’embrassa. Elle avait une langue douce, chaude et humide, un peu comme un sexe de femme. Elle était surtout très agile et rapidement mon sexe devint énorme. Comme je suis assez doué pour les bisous dans le cou (c’est ce qu’on me dit..), je commença à lui mordiller le cou et je sentis des frissons passer dans son corps.


Elle portait un jean cette fois mais cela ne m’empêcha pas de le déboutonner rapidement et de lui caresser le clitoris. Il était déjà dur, ses lèvres écartées et son vagin humide. JE commence à lui caresser son bijou, à le frotter avec passion, douceur et dextérité. JE lui enfonça un doigt, puis deux, et commença à frotter sur le point G, tout en continuant à m’occuper de son clitoris avec mon pouce. Elle commençait à gémir doucement, à fermer les yeux. Ses joues sont devenues rouges de plaisir, ses yeux plissés me demandaient de continuer. Alors j’entrepris de lui mettre un autre doigt dans les fesses, tout en en gardant un dans son chatte maintenant trempée et en m’occupant toujours de son clitoris.

J’ai alors senti des soubresauts dans son bas-ventre, elle s’est cambré, puis m’a mordu l’épaule tout en cachant un petit cri… elle venait de jouir, juste comme ça, en quelques minutes !


Alors elle me regarda droit dans les yeux et commença à déboutonner ma braguette. Mon sexe était dur comme un roc, mon gland turgescent ! Elle le prit à pleine main sans le regarder, lâche un petit sourire et me susurra à l’oreille, « je vais te sucer comme jamais on t’as sucé ».


Elle descendit sur ses genoux tout en continuant à me regarder. Elle décalotta ma bite et l’enfoui d’un seul coup au fond de sa bouche. J’ai cru que j’allais éjaculer sur le champ !! Puis elle recula doucement la bouche et commença à jouer avec sa langue sur mon gland, tout en maintenant la bouche bien fermé sur mon sexe. Puis elle a commencé à me manger les couilles, à me lécher ma verge à l’enfouir de nouveau dans sa bouche, elle aspirait tout ce qu’elle pouvait et me branlait de toutes ses forces.


Au bout de 5 minutes de ce supplice divin, ne tenant plu, j’ai senti mon gland qui se gonflait de plaisir, elle s’est arrêté une seconde, m’a regardé dans les yeux et m’a dit « je veux tout dans ma bouche ». Elle mi alors toute son hardeur à me branler, la bite entière dans sa bouche, me malaxant les couilles à la limite de la douleur et je sentis que mon sperme montait inexorablement, que le plaisir allait m’envahir. Bizarrement, à ce moment là, mon esprit était concentré sur le bruit des gouttes qui tombait dans la cour, juste de l’autre côté de l’escalier. Je ne tenais plus, ma bite paraissait énorme dans sa bouche, elle accéléra encore le mouvement et j’ai éjaculé une quantité énorme de sperme au fond de sa gorge. Les paupières fermées et les yeux révulsés, je laissait le plaisir s’installer dans tout mon corps. Elle gardait ma bite encore 3 bonnes minutes en bouche, en continuant ses mouvements de va-et-vient et elle m’a complètement vidé.


Alors elle se releva, reboutonna son pantalon, me sourit et me dit « j’avais jamais vécu un truc pareil, j’espère qu’on ne se croisera plus »… Puis elle m’abandonna là, le sexe à l’air encore chaud.

JE me suis rhabiller et je suis rentré chez moi pendant qu’elle sortait de l’immeuble pour vaquer à ses occupations.



Je n’avais jamais connu d’expériences aussi spontanées, animées par autant de plaisir…

JE croise encore cette femme de temps en temps, elle ne me regarde même plus !!

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Texte coquin : Escaliers
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