Titre de l'histoire érotique : Deuxième fantasme

- Par l'auteur HDS Andrew24 -
Récit érotique écrit par Andrew24 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Deuxième fantasme Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Deuxième fantasme
Ok je dois l'avouer, ma petite expérience de la dernière fois a été encore plus excitante que je ne l'avais pensé. J'ai adoré mettre par écrit tout ce que mon imagination perverse me dictait! Je ne peux m'empêcher de sourire en pensant que des inconnus vont lire tout ça et vont découvrir cet aspect de moi que personne ne devine jamais! Comme prévu, j'ai bandé comme un âne en écrivant, et quand j'ai eu fini, la branlette a été un vrai bonheur! J'avais rarement autant éjaculé (faut dire que ça faisait un moment que je m'étais pas vidé les couilles), je me suis retrouvé avec un bonne dose de sperme sur le ventre, sans moyen d'atteindre une salle de bain pour nettoyer ça sans réveiller toute la maison... Que faire? Je l'ai étalé, comme on étale une crème solaire, avec une sensation mêlée de dégoût et d'excitation. J'ai fini tout poisseux, les mains moites et le ventre collant. J'ai enfilé un T shirt et suis allé me coucher tel quel, mais la sensation était trop plaisante, j'avais encore la bite à moitié dure, je me suis offert un autre petit soulagement, histoire de vidanger tout ça.

Bref, me revoilà ce soir, tout excité et bien partant pour recommencer l'expérience. Je ne sais pas encore de quoi je vais vous parler, j'ai mis tout mon "talent" dans l'histoire d'hier, je ne sais pas si je vais arriver à refaire ça. On verra bien ce qui me vient!

En fait si je sais de quoi je peux vous parler. J'ai même 2 idées d'ailleurs. Je pourrais parler de mon fantasme de baise en public. Me faire observer de toute part pendant qu'on me ramone le fion, ça m'a toujours fait rêver! Ou bien sinon j'ai aussi une histoire sur un petit jeu que j'ai en tête, un genre de délicieux sévices, où l'attente et les préliminaires dureraient une éternité jusqu'à n'en plus pouvoir. Arf je ne sais pas trop, difficile de choisir. Les deux m'amusent autant.

Disons que ce soir ça sera l'exhibition, et que pour le reste, je garde ça bien au chaud pour plus tard! Reprenons l'histoire où on l'a laissée la dernière fois, donc.



Ca doit bien faire un mois et demi maintenant que les vacances sont finies pour moi. Retour à Paris, ciao les plages au soleil du sud de l'Europe. Ca a été des vacances de dingue finalement, et dire que j'avais peur de m'ennuyer avec la famille sur le dos tout le temps! Je ne sais même pas comment il s'appelait, mais putain qu'est-ce qu'il m'a bien baisé! Toutes les excuses étaient bonnes pour m'éclipser de la maison familiale et aller frapper à sa porte. Pas de blabla, que de l'action. De la baise bestiale, dans tous les sens et dans toutes les situations! Un véritable pied. Une initiation au sexe entre homme bien meilleur que je ne l'aurais imaginé, et une véritable révélation pour moi, qui a balayé bien des certitudes en moi.

Mais voilà, toutes les bonnes choses ont une fin, me voilà rentré à Paris et je reste sur la mienne, de faim... Je me suis inscrit sur un site de rencontre gay pour essayer de trouver un nouveau copain de jeu, mais je vais de gros lourds en gros nases, sans parler des beaufs qui veulent se faire passer pour des tombeurs... Incroyable le nombre de types qui disent avoir une grosse bite dès les 3 premières phrases de chat ! Si encore c'était vrai pour la moitié d'entre eux, mais dès que la webcam entre en jeu je découvre la triste réalité : un engin quelconque voire médiocre qu'ils prennent fièrement en main comme un trophée en espérant qu'une mauvaise lumière soit disant "tamisée" me fasse voir les choses plus appétissantes qu'elles ne sont en réalité. Je ne suis pas un dingue des queues grand modèle (une normale bien agile me va aussi bien) mais merde, je déteste qu'on essaie de me mentir sur la marchandise, alors par principe je les envoie bouler.

Bref avec tout ça je ne baise pas, et ça, ça ne va pas! Me voilà réduit à me branler et à m'enfiler un gode acheté à la va-vite en repensant à mes vacances! C'est d'un triste! J'en ai plein le cul, ou justement pas en fait, alors je me remet devant mon pc et cherche sur google un endroit sympa où sortir. J'ai entendu parler de saunas où on ne va pas que pour suer, je ne sais pas si c'est vraiment comme je l'imagine, mais si c'est le cas je vais bien m'amuser. Je note une adresse au hasard et file sous ma douche. Il va être 17h, horaire où les hommes sortent du bureau, on est vendredi et il devrait y avoir du monde j'imagine. Mais avant tout j'ai envie de me faire beau. Les fringues seront vite retirées j'espère, alors je mise tout sur le reste : je me lave le corps et les cheveux, me tond la barbe et met quelques coups de ciseaux dans la touffe qui borde ma bite, déjà à moitié bandée à l'idée de ce que je vais peut-être trouver là bas. Je décide de faire la totale question lavage, et colle le pommeau de douche à l'entrée de mon cul. L'eau tiède entre dans mon fondement. La sensation est nouvelle, surprenant et bien plaisante. Il n'en faut pas plus pour que je bande totalement! Je renouvelle l'expérience une fois, puis une autre, puis une autre, puis plein d'autres en fait, et pas que dans un souci d'hygiène je dois l'avouer...
Une fois satisfait et bien préparé, j'enfile quelques fringues un peu au hasard et sort de chez moi.

Voilà la fameuse porte. L'entrée est discrète, une simple porte foncée et une glace qui me renvoie mon reflet sur le côté comme pour un immeuble de bureau un peu design, difficile de deviner ce qui se trouver derrière ça! Après tout je ne vois pas à quoi d'autre je m'attendais, il n'allait pas y avoir des paillettes et des spots éclairant le ciel parisien! Bref, je m'avance et pousse la lourde porte noire. Un espèce de grand type me toise, un genre de videur j'imagine. Je dois satisfaire aux critères de la maison a priori, puisqu'il ne dit rien et me montre le chemin. Je passe à la caisse et j'arrive aux vestiaires. Je vois un type dos à moi se déshabiller, attraper une serviette et passer rapidement dans la salle suivante, la bite à l'air. Bon, et bien au moins ici on ne perd pas de temps avec les politesses, on sait pourquoi on vient et on se met en condition on dirait! Je m'exécute, retire toutes mes fringues, agrippe la première serviette que je vois et m'avance, un peu timidement.

J'arrive alors dans une grande salle, avec une piscine au centre. L'air est très humide, les vitres toutes embuées. Des hommes nus nagent comme si de rien n'était, mais ils ne sont pas bien nombreux. La majeure partie des "baigneurs" sont agglutinés sur les bords de la piscine, en paire ou plus. Des gémissements viennent de tous les côtés, j'entends plein de voix pousser des râles ou se donner des directives... "Plus bas!" "Plus vite!" "Plus fort!" "Non attends, là comme ça!" Mon dieu, mais c'est le temple de la baise ici! Comment un tel endroit peut exister là, en pleine ville, sous le nez des passants qui ne se doutent de rien! Je n'en crois pas mes yeux, l'expérience va être belle, et je ne veux pas rater le moindre recoin de l'endroit! La baise attendra bien que j'ai fait le tour du propriétaire.

J'emprunte donc un petit couloir. Des salles assez petites sont situées des deux côtés, parfois fermées par une porte, parfois par un simple rideau. La lumière est faible et colorée différemment selon les pièces d'après ce que je peux voir. Les râles sont toujours présents, les gémissements répondent à l'appel, tout va bien. Je vois du coin de l'oeil des couples qui forniquent, classiquement ou pas. Un homme de 45 ans environ tient en laisse un jeune garçon sans doute tout juste majeur qui lui lèche le gland presque avec amour. Salle suivante, nouvelle ambiance, un homme est menotté à un lit, une cagoule sur la tête, à quatre pattes, le cul bien ouvert tourné vers l'entrée. Un autre lui éjacule sur les fesses au moment où je passe, puis sans un mot sort de la pièce, et, en arrivant à mon niveau, me dit "tient il est à toi si tu veux, profite, son cul est moelleux comme une bouche!". L'homme attaché, entendant cela, semble flatté et excité à l'idée qu'un nouvel inconnu lui fouille l'anus, et m'appelle de ses mouvements salaces du bassin. Je décline l'invitation. Ce n'est pas de ça que j'ai envie ce soir.

J'arrive finalement au bout du couloir. La dernière porte contient un hublot tout embué derrière lequel je ne vois rien ou presque. J'entre, la porte se referme derrière moi.

Je me trouve dans une atmosphère épaisse. L'air est opaque et chargé de vapeur. Ce que je suis con, j'en avais oublié qu'il était censé y avoir un sauna dans cet étrange endroit! Je me ressaisit et avance à tâtons. Mes doigts suivent le mur à l'aveugle. Je bouscule un homme, enfin je suppose qu'il y avait un homme au moins dans cet amas remuant et haletant là assis sur le banc! Je m'avance encore un peu et décide de m'asseoir. Le banc est carrelé et froid, le contact avec mes fesses envoie un frisson tout le long de ma colonne vertébrale. Je m'étends un instant, et prête l'oreille aux bruits qui m'entourent. Des gens baisent tout autour de moi, ça ne fait aucun doute! Je sens l'excitation qui monte de plus en plus. Je commence tout juste à me toucher, quand j'entends la porte qui s'ouvre. Un homme entre, je suppose. Une ombre semble s'approcher.

L'homme arrive à mon niveau, il va passer devant moi. Je saisis l'occasion, et lui mets une main au panier! Il ne semble même pas surpris de trouver une main inconnue qui lui tripote la queue, sûrement un habitué j'imagine. Il s'arrête, se tourne vers moi, se penche et me roule une pelle bien baveuse! Ca, je ne l'avais pas vu venir! Je me suis fait baiser de plein de façons cet été pendant mes vacances, mais mon initiateur ne m'a pas une seule fois embrassé! Trop direct pour ça, j'imagine. Et voilà que cet inconnu me travaille la langue avec la sienne! Il me mordille la lèvre inférieure un instant puis m'enfourne à nouveau sa langue vigoureuse en pleine bouche. Le baiser est si impérieux que j'en suis figé sur place, comme à sa merci. En une seule caresse buccale il a fait de moi son jouet!

En même temps ses mains caressent mon corps. Il joue avec mes tétons, les pinces doucement puis un peu plus fort. Je me découvre une nouvelle zone érogène, et ça me plait bien! Des décharges électriques partent de mes tétons et diffusent dans tout mon être! Il passe ensuite ses mains sur mon bas ventre, s'approche de mon sexe, l'effleure... et passe à côté pour atteindre mes cuisses. Il les masse fermement, joue avec, caresse l'intérieur et frôle de plus en plus ma queue qui durcit, sans jamais la toucher clairement. Il rie, ça l'amuse de me faire languir le salop! Puis, sans prévenir, il ramène mes jambes vers mon torse. J'attrape instinctivement mes genoux et me retrouve là, affalé sur le dos avec l'entrée de mon fion, le lieu de tous mes plaisirs, présenté directement à un inconnu dont je discerne à peine les traits du visage!

Il essaie d'y insérer un doigt, et semble surpris de constater que ça rentre sans peine aucune. Il faut dire que je me suis un peu amusé seul dans ma douche avant de venir, mon cul en est encore tout palpitant et détendu... J'ai été un vilain garçon et il le voit bien. Il m'inflige alors une claque bien nette sur les fesses! Sa main me fouette la peau, je sursaute.

"Ca t'apprendra à t'amuser sans moi!"

Pas le temps de répondre, en voilà une autre qui arrive. Je laisse échapper un petit cri, il m'en remet une nouvelle, plus forte. Ma peau est rougie par l'afflux sanguin, il me fesse à présent toujours au même endroit de sa main large et puissante. Les claques s'enchaînent de plus en plus vite, la douleur laisse progressivement la place au plaisir. Quelle salope je fais, même les gifles me font bander! Mes gémissements changent de ton, je ferme les yeux et me laisse aller, je lâche mes genoux et écarte mes fesses de mes propres mains.

"Mais tu aimes ça ma parole! Voilà pour toi alors!"

Il me fesse frénétiquement, comme un petit garçon puni, et moi je bande si fort que le moindre contact avec ma bite pourrait me faire jouir sur place! Je lui dis d'y aller encore, plus fort! Il répond à ma demande aussitôt, et après quelques minutes de ce traitement seulement, au comble de l'excitation, je jouis en criant mon plaisir. Mon sperme gicle, j'en reçois les premiers jets sur le visage. Mon homme semble surpris, et regarde les effets qu'il a eu sur moi.

"Mais quelle chienne tu fais! Et tu lèches ton propre sperme maintenant! Tient, en voilà encore un peu!"

Il essuie le sperme présent sur mon ventre avec ses doigts et me les enfile dans la bouche. Je lèche avec gourmandise, et les nettoie comme il faut. Des ombres se sont approchées pendant ce temps, sans doute attirées par les exclamations de mon doux bourreau et le bruit des claques sur mes fesses. Je sens qu'on m'observe alors que j'ai le cul offert à la vue de tous et les lèvres encore souillées de mon propre sperme. Je suis mortifié de honte, mais en même temps...

"Bon, pas la peine de perdre du temps à te préparer le fion à ce que je vois, tu es déjà plus que prêt pour la suite!!"

Ce faisant, sans plus de préparation, mon homme m'enfile d'un seul coup sa queue en entier dans le cul. Aucune douleur, juste de la surprise. Merde, après tout, je ne l'ai même pas bien vue cette queue et voilà que je l'ai en moi, il n'y a plus de politesse! Pas le temps d'être faussement offusqué, je me concentre sur mes sensations. Elle me remplit bien le cul cette bite, elle a l'air d'être de bonne taille. Pas très large, ok, mais bien longue. Moi qui me suis fait défoncer tout l'été par une bite épaisse et trapue, voilà qui promets d'être nouveau! Je gémis, et mon homme commence alors ses mouvements de bassin. Que j'aime ça! Je reçois ma dose de bite, et je la déguste comme un accroc. J'entends des voix inconnues autour de moi, des gens ricanent.

"Il aime bien ça le petit nouveau on dirait!"
"Tu parles, regarde moi ça, il en a pour son argent! Il se fait enculer et il n'en a pas assez, il se caresse encore la queue!"
"Un vrai sac à foutre, remplis-le comme il faut Karl!"
"T'inquiète pas pour ça, je vais lui donner tout ce que j'ai à cette petite pute, qu'il ait envie de revenir très vite! Allez viens ma salope, je vais te montrer mon jeu préféré!"

Disant ça, il s'apprête à se retirer. Je le retiens en serrant mes cuisses autour de ses hanches, en gémissant un "nooooooon...".

"Oh mais dis donc, c'est qu'il a vraiment faim ce cul! Regarde Karl, il veut pas te laisser partir on dirait."
"Je vois ça oui. Très bien, dans mes bras! On ira là-bas même si je dois te porter!"

Il se penche sur moi et m'attrape comme si je ne pesais rien. Il me porte comme un môme, et marche vers la sortie de la salle. Je suis là, les bras autour de son cou, les cuisses autour de son bassin, prêt à toutes les acrobaties pour ne pas déculer! Les gens me voient à présent plus clairement alors que nous avançons dans le couloir où l'air est clair et sec. Les amis de mon baiseur nous suivent en ricanant, les hommes dans les salles aux portes entrouvertes de part et d'autre du couloir nous toisent, et moi je suis là, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Je fais des petits mouvements, un léger déhanché lubrique pour sentir encore cette bite remuer en moi. Qu'elle est bonne! Je regrette juste de ne pas avoir eu l'occasion de la goûter avant de l'avoir dans le fion! Sûr que le goût m'aurait enivré bien plus que n'importe quel alcool!

Mon homme pousse une porte fermée, me pose par terre et me montre pourquoi il m'a amené ici. La salle semble banale, hormis un détail : l'un des murs est en fait une baie vitrée, qui donne directement sur la rue! J'ai un mouvement de recul, les hommes rient autour de moi!

"Tu hésites finalement? Tu n'aimes plus qu'on te voie tel que tu es? Rassure-toi, regarde de plus près et tu vas comprendre pourquoi cette pièce est le clou de ce sauna..."

Je ne comprends pas... Et puis je vois ce qui m'avait échappé. Les passants marchent, passent et repassent, sans me jeter le moindre regard. Une jeune fille passe et semble me fixer, puis se recoiffe et s'en va.

"Il vient de comprendre les gars! C'est une glace sans tain, ils ne te verraient pas même si tu faisais tout pour ça... Remarque, je suis sur le point de t'enculer sous leur nez, je ne vois pas trop ce que tu pourrais faire de plus pour attirer leur attention! Attention quand même, c'est le risque qui rend cette salle si amusante... Si l'un d'entre eux s'approche de trop près, alors il nous verra. Croise les doigts pour qu'il aime ce qu'il voit et cherche à rentrer et te faire ta fête!"

Un sourire se dessine sur mon visage. La situation me plait plus que je ne pourrais le dire. Sans un mot, je fixe Karl droit dans les yeux un instant, puis me retourne pour être debout face à la glace. Je plaque mes mains contre la paroi, écarte les jambes, cambre les fesses autant que je le peux, et dis:

"Et bien viens me baiser, et donne à tes amis le spectacle qu'ils attendent!"

Les rires et les exclamations d'encouragement de mon "public" sont accompagnés par des sifflements. Karl s'approche de moi, place ses mains de chaque côté de mes hanches, m'attrape fermement, et enfonce son gros manche en moi d'un seul coup. Je gémis de satisfaction, et regarde les passants à travers la glace alors que mon homme me fait du bien. Il n'y va pas de main morte, met toute sa force dans chaque coup de rein. Il me baise de toute la longueur de sa grosse bite, m'arrachant à chaque fois des râles de plaisir. Mes mains moites collent à la vitre, je vois mon souffle qui dessine un nuage de buée juste face à moi.

Plus d'une fois je crois qu'un passant vient trop près de la vitre, qu'il va me voir, mais aucun ne semble prêter attention à ma débauche. Seuls les hommes autour de nous, dans la salle, accompagnent mon extase de leurs cris et de leurs insultes. Certains baisent entre eux en même temps, d'autres s'approchent de nous. Je sens à présent des mains étrangères qui me touchent, me palpent, sans aucune douceur. Un doigt est enfoncé entre mes lèvres. "Tient salope, suce-moi ça!" Je m'exécute avec délice, tandis qu'une autre main me pince les seins. Une autre se met à jouer avec ma queue toute bandée. Si la rue me voyait, les gens bien pensants de Paris seraient bien étonnés!

Karl continue à me besogner comme un forcené. Il m'encule encore et encore. Il doit avoir de l'entraînement, parce que son endurance est hors du commun! Je suis au summum du plaisir, je prends mon pied comme un damné! Il râle en enfonçant sa grosse bite en moi de plus en plus fort, de plus en plus vite. J'essaie d'accompagner ses mouvements en contractant mes fesses à chaque fois qu'il recule.

"Mais quelle pute tu es! Regardez ça les gars, celle salope est en train de me traire la bite avec son cul! Un vrai massage du gland! Il a le cul plus entraîné que la bouche d'une pute à Boulogne!"

Son râle devient de plus en plus guttural, de plus en plus fort. Il n'est plus qu'un long cri bestial maintenant, et, d'un seul coup, toutes les mains étrangères s'éloignent, comme si un signal leur avait été donné. Karl se retire, on appuie sur mes épaules pour que je me mette à genoux et que je me retourne, juste à temps pour que mon homme enfile son gland entre mes lèvres. Il lâche alors son dernier cri, et l'accompagne d'un puissant jet de sperme que je reçois directement sur la langue.

"Tient avale ça, on sait que tu aimes ça!"
"Va-y, tu verras qu'il est sûrement meilleur que le tien!"
"Et n'en perds pas une goutte!"

Pas besoin de me le dire deux fois. J'avale goulûment, en de grosses gorgées la semence de mon homme. Elle est chaude et gluante, si épaisse que j'ai presque du mal à tout avaler assez vite! Puis, je nettoie le gland avec ma langue, et lèche la dernière goutte qui perle le long du frein. Tandis que je m'applique, je ne remarque pas les hommes qui se sont avancés autour de moi et qui se sont mis à se branler tout ensemble. Je reçois presque sans y prêter attention leurs éjaculations sur mon corps. Ils gémissent leurs orgasmes, m'insultent une dernière fois, et sortent, me laissant là, sali et chancelant. Je reste étendu un instant sur le sol, un peu sonné par les évènements.

Un homme passe dans la rue, je jurerais qu'il m'a sourit.

Sans doute mon imagination.

Quoi que...

Voilà, c'est fini pour ce soir. Elle est un peu longue cette histoire, ça a été bien plus loin que ce que j'avais en tête au départ. Ca me plait bien en tout cas, je trique à mort et mon gland baigne dans son délicieux jus. Je vais vite aller m'occuper de lui et j'espère que vous en avez fait autant, n'hésitez pas à m'envoyer vos commentaires et à plus tard pour d'autres histoires.

Les avis des lecteurs

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ON VOUDRAIT BIEN VIVRE EN VRAI CETTE HISTOIRE AVEC TOI.JE BANDE !et je vais aller me
soulager !!!

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Moi je veux etre le gars qui passe

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BELLE HISTOIRE TRES ENVIE D ETRE A SA PLACE MERCI JE VOUS QUITTE POUR ALLER ME SOULAGER

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Ton histoire m a fortement excité, j aimerais bien avoir une photo de topi a poil la
bite bien raide.



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Deuxième fantasme
Histoire sexe : Une rose rouge
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