Un soir d'orage

- Par l'auteur HDS Maitresteeve -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un soir d'orage Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Un soir d'orage
Par un soir d’orage.

Chapitre 1 : le désir, suprême instant avant le plaisir

16 août 2010.
Il est 23h00, nous sortons d’un restaurant gastronomique réputé de la Bourgogne. Il fait lourd, l’orage gronde au loin. Quelques gouttes font leur apparition.
Le voiturier, approche l’imposante berline allemande. Il sort, rejoint ma femme sur les marches, la protégeant d’un parapluie il l’accompagne jusqu’au véhicule. Regard discret, mais envieux.
Ma femme porte une robe légère couleur taupe, de viscose et de soie, griffé Christian Dior. L’humidité ambiante fait que le tissu lui colle à la peau, laissant deviner les marques de son string.
Le décolleté est profond, ajusté par une broche de diamant à sa base. Elle ne porte pas de soutien gorge, on imagine à peine la pointe de ses seins.
Parée de ses escarpins chocolat à talons hauts et lanières aux chevilles, il se dégage un certain érotisme de cette vision, sans vulgarité ni provocation.
Mon épouse est blonde, 1m70, peau blanche voir laiteuse, 40 ans, elle est fine, des jambes élancées qui captent le regard, pour remonter sur ses petites fesses, qui paraissent rebondies sous sa fine robe.
Elle n’aime pas la couleur de sa peau, au milieu de ces femmes qui ont passées leur temps à défier la palette des nuanciers du beige clair au marron châtaigne, sur les plages de la côte. Sa peau est restée blanche, mais c’est en cette période qu’elle attire le plus les regards. Elle rappelle ces femmes bourgeoises dans les années folles qui se distinguaient des filles des champs, en se fardant de poudre blanche.
Je suis pour ma part habillé d’un costume de Lin bleu roi à rayures blanches de chez Kenzo, chemise en coton du Nil et cravate assortie. Cette soirée est la conclusion d’un gros contrat que je viens de remporter. Plusieurs mois de travail, de stress, de tension dans le couple.
J’ai également la quarantaine, le teint mat, châtain grisonnant. Un physique ordinaire, mais une présence, une aisance dans le verbe, et une autorité naturelle, qui ne laisse pas indifférent la gente féminine.
Je prends le volant. Nous avons bu plus que de raison. Nous prenons de petites routes à travers la campagne, roulant doucement. Soleil couchant, au milieu des nuages gris noirs, moiteur sur les sièges en cuir de la berline.
Je caresse les genoux de ma femme, en remontant le liseré de sa robe. Je la sens réceptive, l’ouverture légère de ses cuisses est un signe que je connais bien après ces 15 années de vie commune.
J’effleure des mes doigts le fond de son string, les cuisses s’ouvrent un peu plus.
Je me gare enfin devant le perron de notre résidence, nous descendons, d’un pas empressé.
La lumière rasante refusant de se mélanger au noir obscur de l’orage, fait ressortir le blanc maculé de notre façade. Un léger nuage de vapeur flotte au dessus de la piscine, accentué par l’éclairage posé au fond du bassin. Le vent se lève.
La porte fermée, je plaque ma femme le long du mur de l’entrée. Baiser fougueux. Les corps se frottent, les mains parcourent. Elle remonte sa cuisse le long de ma jambe droite. Ma main glisse jusqu’à l’entrée de sa lingerie. Mes caresses sont plus précises, plus appuyées.
De mon autre main, je caresse puis pince le bout de ses seins. Ses yeux brillent. Elle entrouvre la bouche, ferme les yeux. Le maquillage est léger, les lèvres sont pulpeuses…humides.
Je fais glisser, la bretelle droite de sa robe, puis la gauche. Je me recule. Le tissu glisse, puis se suspend à la pointe de ses seins. Je tire légèrement dessus, et l’ensemble tombe à ses pieds.
Un éclair à travers la baie vitrée puis le son assourdissant du tonnerre, il est tout proche.
Elle porte, un string de satin et dentelle, de chez Lise Charmel, couleur bleu nuit. Elle est splendide, légèrement cambrée en avant. Son sexe m’invitant à la caresse.
« Non pas tout de suite », lui dis-je. « Ouvre du champagne, je reviens »
Je m’éclipse à l’étage, je redescends rapidement, elle attend dans le salon 2 coupes à la main.
Nous trinquons à notre amour. Elle retire ma cravate, défait un à un les boutons de ma chemise. Ses baisers s’attardent sur la pointe de mes seins. Ses doigts s’attardent sur ma ceinture.
Je la repousse, et l’entraîne vers la table en teck du salon. Je la soulève, pose ses fesses sur le rebord, l’invite à s’allonger. Ses jambes sont dans le vide, elle porte encore ses hauts talons. Je m’agenouille, écarte ses cuisses, les portes au dessus de mes épaules.
Je caresse l’intérieur de ses jambes, me rapproche des zones érogènes. Le fond de sa culotte est collé comme aspiré par sa vulve. Une légère trace d’humidité apparaît à l’endroit le plus sensible.
J’appuie sur le tissu, pour le rendre encore plus humide. Un râle…
Je prends chaque bord de son string et l’abaisse délicatement, jusqu’aux chevilles. Un pied, puis l’autre ; elle est nue, entièrement offerte.
Son sexe m’apparaît enfin, il est bombé, rasé au niveau du clitoris, surmonté d’un triangle blond roux. J’aime égarer mes doigts dans ce buisson légèrement épais, signe d’une féminité assumée. Je n’aime pas les sexes imberbes, souvenir de puberté sans exploit.
Ma langue glisse dans l’entrecuisse. Je parcours ses lèvres d’un filet d’air, j’effleure, en haut, en son centre, en bas. Je passe une phalange sur la verticale de la muqueuse.
J’observe son bas ventre se soulever, les pointes de ses seins dressées au plafond.
Ma langue rentre alors en jeu. Je titille, je lèche l’extrémité du clitoris. Je passe entre les petites et les grandes lèvres. Je m’insinue à l’entrée du vagin.
De ma main gauche, je pose mon index à l’entrée de son anus. Je le flatte, exerce une légère pression, entre la pointe du doigt, la ressort.
Les cuisses s’ouvrent encore un peu plus, le souffle est court. Elle est trempée. L’humidité de son excitation coule entre ses cuisses ; permettant ainsi une intromission plus aisée dans son petit trou.
J’explore les moindres recoins de son sexe. Je sors un plug de ma poche, le présente à l’entrée de son anus ; elle soulève les fesses ; je pousse ; l’objet disparait au fond de ses entrailles. Un râle puissant sort de sa bouche.
Je commence alors des mouvements de va et vient,… lents…. très lents…, tout en gobant l’intégralité de son sexe, et jouant de ma langue experte. Elle est au bord de l’explosion.
Je retire le plug de son anus, je me relève, elle ouvre les yeux, je la domine débout entre ses cuisses, elle, allongée sur la table. Une inquiétude passe dans son regard, angoisse mêlée d’un désir suprême presque malsain.
Nouveau coup de tonnerre….encore plus proche…plus fort.


Chapitre 2 : notre vraie nature, le prix à payer

Je prends le plug encore souillé de ses entrailles, lui présente et je dis:
- « suce-le »
- « non pas ça » me répond-elle sur un ton implorant
- « je ne le répèterai pas une autre fois. …Suce-le !»
- « S’il te plait, mon petit cul n'est pas propre....tout ce que tu veux mais pas ça»
- « tu sais ce que signifie, ce refus », lui dis-je d'un ton glacial « dis le moi !! »
- « je devrais être punie si….. » mon regard est insistant « ….si quoi ? »
La voix tremblante elle me répond « ….si je veux jouir ce soir »
" Exact, et je suis d'humeur à faire durer ton plaisir ce soir, par conséquent...ta souffrance"
"Prend la position. Tout de suite"
Elle se redresse de la table, se dirige au milieu du petit salon face à la cheminée.
Elle lève les bras tendus derrière la tête, et écarta ses jambes.
" Ne bouge pas je reviens". De ma visite à l’étage en début de soirée, j’avais pris soin de redescendre avec le plug et une mallette.
J’entre à nouveau dans le salon, j’abaisse la luminosité de l’allogène. Son reflet m’apparaît dans la grande baie vitrée. Au loin je vois les éclairs, tension électrique présente sur la moindre parcelle de peau de ma femme.
Elle est toujours dans la même position.
" Baisse les yeux, cambre toi, et écarte plus les jambes....et surtout je ne veux pas t'entendre....pas un son"
J’ouvre la mallette. Elle en connaît le contenu par cœur.
Je commence par lui bander les yeux.
Je pose ensuite un à un, sur la table basse, les objets qui amèneront ma femme à la soumission la plus totale.
Je mets une pince à sein à l'extrémité de chacun de ses tétons. Ces pinces sont composées d’une vis qui permet d’ajuster la pression.
Elle fait une grimace tout en serrant les dents, « Aiihe… » Faible mais intolérable à mes oreilles.
Je ramasse son string, en ressort le fond encore humide de ses sécrétions, et le passe du haut de son pubis à l’extrémité de sa raie culière. Il maintenant trempé, souillé. Je prends le bout de tissu.
« Lèche » Elle pose la langue et remonte sur le tissu. J’en profite pour lui enfourner le tissu suintant dans la bouche. Elle ne dit rien, serre les dents.
Je positionne ensuite 2 pinces vibrantes sur ses petites lèvres et les mets en marche. Ces pinces sont un vrai supplice. Mélange de souffrance et de plaisir. On y règle à la fois la pression et la vitesse des vibrations.
Elle se cambre aussitôt un peu plus.
Mon doigt glisse sur son clito, il est trempé.
" Ne crois surtout pas que tu vas jouir aussi facilement"
Je fais un tour de vis supplémentaire à chaque pince. Les bras se replient, les genoux fléchissent.
« Tient la position !!! ». Elle se redresse, relève le menton comme par défis.
Je passe alors dans son dos, la penche en avant.
Je positionne à nouveau le plug dans son anus et lui murmure à l'oreille "tu vas bientôt me supplier de sucer tout ce qui va passer dans ton petit cul de soumise" .

J'en profite pour augmenter l’intensité des vibrations des pinces clito, et j'attends de la voir bouger sensiblement le bassin, signe de son plaisir.
Plaisir que je prends soin d’atténuer en resserrant les pinces, diminuant les vibrations, retirant le plug….et inversement pendant de longues minutes.
Je sors alors un martinet. Je passe les lanières le long de ses cuisses. Elle reconnaît aussitôt l’objet. Le duvet de sa peau se redresse. Je la remets en position. Fesses cambrées.
"Serre les dents et silence"
Je lui retire les pinces vibrantes du clitoris. Des signes de soulagement et de frustration se mélangent sur son visage.
Je fouette une première fois ses fesses légèrement, puis de plus en plus fort, jusqu'à voir la peau blanche rougir, marquée, zébrée.
Je vois des goûtes de sueur perlées sur son corps.
Je prends alors un vibro et lui passe délicatement sur son clitoris.
L’effet est instantané, elle se cambre, bombe le torse et tremble ; elle est proche de la jouissance, j'arrête aussitôt.
Je retire la culotte de sa bouche.
"Est ce que tu veux jouir ?"
"Oui s'il te plaie, fais moi jouiiiiiiiir……. !!!"
"Qu'est que je dois faire pour te faire jouir ?"
"Tu dois.., tu dois me faire souffrir"
"Veux tu souffrir ?"
"Oui je le veux !!!!!!!!"

Je reprends le martinet, je passe les lanières délicatement sur le haut des ses fesses, sur le bout de ses seins. « Pas un seul son, c’est bien compris »
Je suis derrière elle, une vue imprenable sur ses parties intimes.
Puis d’un geste brusque, je fouette son entre cuisse, et les extrémités des lanières viennent s'abattre sur son clitoris gonflé de plaisir.
Les cuisses se resserrent aussitôt, un son rauque sort de sa bouche. « Pardon,…pardon… » Me dit-elle implorante.
"Pour cette rébellion et ces paroles qui ne sont pas dignes de la femme censée être mon épouse, tu prendras 3 coups supplémentaires, écartes les cuisses et comptes"

Elle se remet en position, beaucoup moins prétentieuse que précédemment.
Je prends mon temps, je vois qu’elle tremble un peu. Et d'un mouvement circulaire de bas en haut j'abats les lanières sur son clitoris.

"1" , dents serrées.
Le second est plus violent et plus rapide.
"2", une larme coule sur sa joue.
Je prends mon temps pour le troisième coup. J’observe, le corps fébrile, l’odeur de la peur se dégage de sa sueur. Enfin j’abats le martinet de telle sorte que toute la surface de son clitoris soit touché.
"3", la voix est à peine perceptible, mais la fierté est là, elle a tenu bon.
Elle sait qu’aucune autre femme ne pourrait procurer un tel plaisir à son mari. S’abandonner sans concession, dans la confiance réciproque et absolue.
Je reprends le vibro, et lui passe délicatement sur ses petites lèvres.
Son souffle s'accélère, ses jambes ne la tiennent plus.
Je ressors le plug d’un geste brusque.
Les yeux toujours bandés, je passe le plug sous son nez
« Que sens-tu ? »
« ….l’odeur de mon petit cul »
« Ouvre la bouche, et si tu veux jouir ce soir, suce-le"
Elle ouvre la bouche, et pose sa langue sur l'extrémité du plug.
"J'ai dis suce le" tout en continuant mon action sur son clitoris.
Elle enfourne alors le plug dans sa bouche, entièrement, et le suce.
"Dis moi ce que tu es, j'écoute"
" Je suis ta soumise"
"Et quoi d'autre"
"Je suis ta petite salope de soumise, qui aime souffrir pour jouir"
"C'est très bien, et tu aurais pu éviter ce qui va venir, si tu avais été obéissante dès le début"
"Penche-toi "
Nouveau coup de tonnerre, les baies vitrées tremblent.
Je fini de me déshabiller. Elle porte toujours ses talons hauts. Elle s’appuie sur le rebord de la cheminée.
Je prends position derrière elle, lui écarte les fesses, et flatte son anus avec mon sexe tendu.
Je rentre l'extrémité, la ressort et re-rentre à nouveau.
Puis d'un mouvement précis et rapide, je la sodomise de toute la longueur de mon sexe.
Une fois calé au fond de son intestin je commence les va et vient de plus en plus rapides.
Elle ondule des fesses, signe de son plaisir, je la sais très sensible de l'anus.
Mais je ne veux pas jouir dans son cul ce soir.
Je ressors mon sexe, couvert de son plaisir anal.
Je la retourne et je la fais mettre à genoux.
"Suce ma bite soumise, et nettoie la bien, je veux la voir briller"
Cette fois-ci elle n'ose pas me dire non.
Je retire son bandeau.
Elle ouvre la bouche et enfourne mon sexe, le nettoyant sur toute sa longueur, malgré un air de dégoût.
« Si ton petit cul avait été propre tu ne ferais pas cette tête. Ne t’inquiètes pas, je vais t’enculer et tu vas me sucer, jusqu’à ce qu’il ne reste aucune trace ni odeur de ta souillure. »
Je la prends ainsi à 4 ou 5 reprises. Pénétration anale, lente, profonde toujours plus profonde, suivie d’un retrait rapide ; puis fellation….aussi profonde que la sodomie précédente.
Je fais durer le plaisir, mais elle est experte en fellation. Elle pompe, lèche, soupèse et gobe les bourses.
Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche, elle me regarde et sait d'avance qu'elle n'a pas le choix. Ce soir, il faudra tout avaler sans en laisser tomber une seule goutte.
Une fois fini, et signe de sa soumission totale, elle ouvre la bouche me montrant que ma semence règne désormais au fond de son estomac.
Je la relève.
Je la fais asseoir sur le canapé de cuir.
Elle ramasse son string, posé aux pieds du canapé, le frotte sur son clitoris, allant même jusqu’à le rentrer dans son vagin et son petit cul. Le regard est malicieux et plein de défi. « Fais moi couiner maintenant » et elle porte l’étoffe à sa bouche, dents serrées.
Elle adore me prouver qu’elle sait se faire salope, sans être soumise.
J’écarte ses cuisses, me mets à genoux et commence un cunnilingus, lent, délicat.
Je titille, je lèche, je suce et mordille son clitoris à la fois. Son sexe est dégoulinant.
Elle ne résiste pas longtemps à ce régime.
Elle se cambre et se met à hurler sa jouissance, finissant à moitié inconsciente.
Elle finie par se blottir dans mes bras.
Je la regarde et lui dis simplement "je t'aime"
"Moi aussi je t'aime".
L’orage, s’éloigne, la tempête est passée, sa violence a certainement du laisser des traces…..

Maitre Steeve.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'adore votre histoire. j'adorerai que mon mari me fasse la même chose, mais je n'ai jamais osé lui avouer mes fantasmes. votre femme a de la chance....La suite Svp. Isabella



Texte coquin : Un soir d'orage
Histoire sexe : Une rose rouge
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