La vacherie de Caro

- Par l'auteur HDS Pensée de plume -
Auteur femme.
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Récit libertin : La vacherie de Caro Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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La vacherie de Caro
Je passais sous la douche, essayant de me calmer un peu, ne sachant pas quoi penser ni quoi ressentir. La soirée pourtant avait bien commencée.
Ma mère venant de se remarier avec l'homme qu'elle fréquentais depuis 6 ans, elle m'avait laissé la maison pour moi, m'autorisant les fêtes tant que rien n'était cassé. Le temps commençait à se réchauffer j'avais donc décidé d'inviter quelques amis dans la propriété, c'est une grande maison sur trois niveaux : rez de chaussée, premier étage et grenier aménagé pour moi à l'occasion de mes 19 ans. À l'extérieur un grand jardin et une piscine creusée, derrière un terrain pour 2 chevaux. La belle vie mais sans pour autant que je m'en vente car je sais que pour en arriver là je devrais travailler dur. Quoi qu'il en soit en arrivant mes amis ne s'étaient pas retenus de commentaires. J'avais profité de cette fête pour inviter un nouvel ami, qui avouons le, ne me laissait pas de marbre, même si, bon, très peu de garçons me laissent de marbre. J'aime les jeux de séductions et je ne suis pas du genre à me poser avec une seule personne, je préfère rester libre.
Pourtant lui, il me plaisait vraiment beaucoup.
Étant donné que presque tous mes amis étaient célibataires, j'avais équilibré le plus possible la balance: 6 filles 4 garçons, plus mon voisin (qui est aussi mon cousin) que j'espérais pouvoir caser ce soir là.
Je m'étais habillée de façon à la foi élégante et sexy, une robe rose pastel légèrement transparente, qui arrive jusqu'aux genoux, un léger décolleté laissant deviner ma généreuse poitrine, des escarpins à légers talons, et mes très longs cheveux auburn relevés dans une broche, un doux parfum se libérant à mon passage, on peut dire que pour Alexis, je n'avais pas renoncé aux efforts. C'est mon cousin Franck qui arriva en premier, lui aussi très élégant, tout de gris vêtu et fraîchement rasé ce qui m'étonnais vu qu'il avait pour habitude de mettre des jeans amples et de garder une barbe de 3 jours, il avait sans doute lui aussi prévu de ne pas finir la soirée seul.
Caroline arriva en deuxième, très belle et toujours aussi provocante par ses tenues ne cachant que le strict minimum, les autres invités arrivèrent et Alexis ne venait pas. Il arriva une heure en retard, une bouteille de crémant à la main et un beau bouquet de lys pour moi, je le remerciais en lui disant que ce n'était pas la peine.
La soirée se déroulait bien, tout le monde s'entendait, les uns parlaient avec les autres, certains dansaient, un couple avait l'air de se former. Un couple? Soudain mon cœur stoppas net le couple était Caroline avec MON Alexis le mien, et elle n'était pas sans ignorer l'effet qu'il me faisait. Je sentais le sang bouillir en moi, envahie par la jalousie. Je passais une heure à les observer flirter, sans prendre attention au reste, sans remarquer que j'étais observée de loin moi aussi. Je les vis alors se lever et se diriger ver le premier étage, je les suivais discrètement, caroline emmenais Alexis dans une chambre. J'entendais leurs voix:
- Tu es certaine qu'on peut entrer ici ?
- bien sur ne t'en fait pas je connais bien la maison c'est une chambre d'amis.
Non hors de question je n'étais pas d'accord, mais que pouvais-je dire?
Sans réfléchir ni même savoir pourquoi je décidais de les suivre. Qu'allais-je faire? Entrer ? Non j'étais trop bien élevée pour faire çà. Pourtant la porte était entrouverte et je ne pus m'empêcher de jeter un œil.

Caroline l'avait amené sur le lit, elle était déjà déshabillée, ce qui, au vu de ses vêtements n'avait pas du être bien laborieux. Seul son string était encore sur son corps bronzé et ses cheveux raides blond faisaient une crinière, elle ondulait son bassin et sa respiration se faisait très forte. Alexis lui caressait les mollet puis remonta lentement sur ses cuisse et il lui agrippas violemment les fesses en l'embrassant férocement. Un frisson parcourus mon corps, j'étais furax, mais ce que je voyais m'excitait beaucoup. Il lui suçait un sein pendant qu'elle continuait ses mouvements du bassin, elle lui agrippait les cheveux, puis une main descendit vers le pantalon d'Alexis, faisant apparaître un membre d'une taille démesurée. je sentais l'excitation se faire de plus en plus forte, je mouillais abondamment, tandis que les ébats de caro et Alexis passaient au niveau supérieur, elle le branlait énergiquement pendant que lui s'occupait de sa petite chatte totalement épilée, puis elle descendis, se mit à le sucer, il lui pris la tête et commençait à lui enfoncer sur sa grosse verge, elle semblait à bout de souffle, quand à moi je sentais ma cyprine couler le long de ma jambe, ma petite culotte de dentelle ne pouvant plus retenir toute ma mouille.
Soudain j'entendis quelqu'un monter, je me précipitais discrètement dans la chambre à coté et faisait semblant d'en sortir.
C'était Franck, il me regardait de façon étrange.
- ah tu étais là, je te cherche depuis 20 minutes, qu'est-ce que tu faisais ?
- Rien, dis-je sèchement, je me reposais je suis fatiguée. Je m'en voulais de lui répondre de cette façon, le pauvre n'y était pour rien. Je décidais donc de lui dire ce qui me tracassait
- excuse moi c'est juste que...
Je sentais son regard sur ma jambe, il avait du remarquer, gênée je l'invitais à entrer dans la chambre de ma mère, nous nous assîmes sur le lit, je poursuivais l'air de rien.
- hé bien j'ais vu que Caro plais plus à Franck que moi, et je suis un peu déçue. En même temps cela parait logique elle est bien plus sexy que moi.
- pas tellement, tu sais, sa main venais de se poser sur ma cuisse à la foi chaude douce et ferme, je te trouve bien plus sexy que caroline, si tu veux savoir çà fait même bien longtemps que je rêve de pouvoir te donner du plaisir, pouvoir te toucher ; son visage s'était approché du mien, le rythme de mon cœur s'accélérait; t'embrasser, et je n'ais que faire que nous ayons du sang en commun qui coule dans nos veines, tu m'excites vraiment beaucoup; il commençait à me caresser la cuisse, et je ne savais plus quoi faire j'étais déboussolée sans rien ajouter je lui dis simplement :
-je monte prendre une douche le laissant seul dans la chambre.

Une douche oui, j'en avais bien besoin tout ces évènements me bouleversaient, et dire que Franck me rendait indifférente aurait été un mensonge. J'avais 19 ans lui 21 et nous avions toujours été proche, son corps ne m'était donc pas passé inaperçu, un très beau corps d'ailleurs, 2metres05 de corpulence moyenne avec des muscles seulement au bras mais bien dessinés et des yeux gris clairs qui lancent un regard fourbe, mais ce que j'avais toujours aimé étaient ses mains, très larges, des mains d'hommes pourtant bien entretenues et douces, je ne connaissait pas son intimité mais mes fantasmes lui révélaient une carrure très avantageuse.
L'eau coulait sur ma peau tandis que les images que j'avais vu m'excitaient de plus belle et les paroles de Franck ne faisaient qu'accentuer cette excitation.
C'est alors que je sentie deux mains puissantes me saisir les seins, et un membre dur se coller contre le bas de mon dos, je me retournais. C'était Franck, je voulus dire ou faire quelque chose mais il m'en empêcha il me dit:
- tu aurais du fermer à clef !
Et m'embrassa tendrement. Je m'abandonnais complètement à lui, ses main passaient de mon ventre au bas de mon ventre, à mes fesses, sa langue puissante venait me voler mon souffle, je commençait à lui passer la main dans les cheveux, puis sur le torse, l'eau brûlante créait de la vapeur tout autour de nous, il me colla au mur carrelé et glacé qui me fis frissonner de plaisir.
Je ne me retenais plus au contraire je prenais des initiatives, je pris son sexe dans ma main, il n'étais pas très long, à vue de nez j'aurais dit 12 centimètres, mais son épaisseur équilibrais largement la taille, je levais mes yeux pleins de malices vers lui, puis me mettais à genoux face à lui. je le branlais d'abord lentement, hésitant à entrer ce gros membre dur dans ma bouche, je lui léchais la hampe puis passais sur son gland avec gourmandise, l'eau se mélangeais à l'odeur de son chibre ce que j'adorais, je passais mes lèvres autour de son gland puis les glissais jusqu'au bout et je commençais une ou de foi, puis je mis le gland en entier, et puis le reste en jouant avec ses couille de ma main gauche, la droite pressant sur ma chatte toute excitée. J'accélérais le rythme, il me pris la tête dans ses mains avec douceur et imposa son rythme, sa bite était grosse et j'ouvrai la bouche le plus possible, de peur de lui faire mal avec mes dents. Il accélérait de plus en plus et plus profond aussi, j'avais l'impression d'étouffer, mais j'aimais çà. Il me demanda de me retirer car il allait jouir, je lui fis signe que non, je voulais sa semence dans ma bouche, je senti son sperme chaud envahir ma bouche et couler dans ma gorge.
Il me releva et m'embrassa, la bouche encore pleine de sa semence.
J'étais tout de même un peu déçue car j'étais très excité et j'avais envie de sa bite dans mon ventre, lui aussi sans doutes car il lui fallu à peine 2 minutes pour être à nouveau sur pied, la bite dressée.
j'étais ravie, il m'avais savonnée, je rallumais l'eau, je voulais m'appuyer au mur mais il refusa, je m'entourais à lui de la jambe droite, mes mains agrippant ses épaules et, sans plus attendre il enfonça sa queue en moi, l'épaisseur me fit mal, malgré les hommes que j'avais déjà rencontré, je n'en avais jamais vu de si grosse, je gémissais à la foi de plaisir et de douleur, puis il la mis complètement et commença à s'activer, j'ondulais de plaisir, je l'embrassais, son rythme était difficile à suivre, il me disait en en même temps à quel point il avait rêvé de ce moment, à quel point il avait fantasmé sur ma peau toute pâle et mes courbes de rêve. Mes seins se balançaient en rythme, çà le rendais fou, mes petites fesses fermes et rondes se trémoussaient, je sentais le plaisir se faire plus fort j'allais jouir, je m'activais de plus en plus, comme si mes pulsions dominaient mon cerveau, et là il me colla au carrelage froid, j'atteins un orgasme puissant que jamais je n'avais ressentis, mon corps de cambrais, je criais malgré moi, il me rejoignit dans un râle profond, inondant mon vagin de son sperme. J'étais au paradis. Je lui souris et l'embrassa.
Nous finîmes la douche et en descendant j'espérais que personne ne m'ait entendue. En bas tout était calme, certains c'étaient endormis, un autre couple avait disparus, mais personne ne semblais se douter de quoi que ce soit. Caro et Alexis étaient encore en haut, mais je ne m'en souciais plus vraiment, je me retournais pour voir Franck, il parlait à 2 amies, en me voyant il me fit simplement un clin d'œil...

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