La morsure du soleil.

- Par l'auteur HDS Evita -
Récit érotique écrit par Evita [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La morsure du soleil. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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La morsure du soleil.
Du plus loin que je me rappelle, j’ai toujours fantasmé sur les femmes. Je suis clairement hétéro mais j’ai toujours été attirée par les charmes féminins. La douceur de la peau, la finesse d’un trait, ou la lourdeur d’un sein m’ont souvent troublée.
Je n’avais jamais fait l’expérience d’amours saphiques… jusqu’à il y a peu.
Je suis une femme du sud au teint mat. Les yeux noisette plutôt clairs et une crinière de cheveux épais noirs et bouclés. Je ne suis pas spécialement mince mais la largeur de mes hanches renforce la finesse de ma taille. Ma poitrine est généreuse. Mes seins ont toujours fait la fierté de mes décolletés et ont toujours fait fantasmer mes amants. (Je me suis rendue compte depuis cette histoire qu’ils ne faisaient pas fantasmer que les hommes.) Ils sont fermes malgré un bon 95D. Je suis toujours épilée. Intégralement épilée. J’ai toujours apprécié la douceur de mon sexe épilé et depuis que j’habite sous les tropiques, l’épilation intégrale est d’un point de vue hygiénique, un vrai bonheur…
Je suis professeure et le jeu des mutations m’a fait poser mes valises à l’autre bout du monde. Le mois de juin arrive enfin et nous ne supportons le surcroît de travail que grâce à l’arrivée prochaine de vacances bien salutaires. Nous sommes épuisés. La chaleur ici est suffocante. Ici ni clim, ni même un ventilateur dans les salles…
Une de mes collègues avait organisé ce samedi là un apéro chez elle pour fêter la fin de l’année scolaire.
L’après midi, nous avions toutes les deux pris le soleil sur la plage. Après un bon bain dans les eaux turquoise du lagon, nous nous sommes allongées sur le sable, le corps alangui et offert aux rayons brûlants du soleil.
Ma collègue est aussi blonde que je suis brune et aussi fine que je suis ronde. C’est une très jolie fille, qui n’a pas froid aux yeux et arbore des tenues légères que lui permet la finesse de sa taille. Elle est vive, drôle. Nous avons la même vision des choses et sommes rapidement devenues inséparables au travail. Elle a, toujours sur le ton de la plaisanterie, fait des remarques sur mes seins qu’elle trouvait superbes. J’aurais dû me douter… Cet après midi là, je posais discrètement mes yeux avec envie sur son corps à peine caché par le minuscule maillot qu’elle portait.
Epuisées par notre semaine, nous ne tardons pas à nous endormir. Nous nous réveillons un peu plus tard, affolées d’avoir oublié l’heure. Il ne restait que peu de temps pour les préparatifs de la soirée.
Je rentre chez moi pour une bonne douche. Elle m’appelle et me demande de lui apporter un baume après soleil. Le soleil de l’après midi avait été meurtrier…
« Ne t’inquiète pas, j’arriverai un peu en avance pour te porter tout ça. »
Je raccroche. J’enduis mon corps d’huile irisée qui me fait une jolie peau satinée…, sans oublier les plis de mon intimité qui deviennent d’une incroyable douceur. L’envie ne m’en manque pas, mais je n’ai pas le temps de m’attarder sur ces caresses malgré le plaisir qui ne tarde pas à m’envahir.
J’enfile une robe longue, légère. Pas de sous vêtement ce soir. Il fait décidément trop chaud. Le corsage fleuri de ma robe met en valeur ma poitrine. Quelques bijoux assortis. Je m’enveloppe de parfum et pars.
Elle sort de la douche. Elle m’accueille sur le pas de la porte, vêtue d’un simple paréo blanc noué autour de sa nuque.
Sa peau est rougie et brûlante. Le contraste est délicieux. Elle file à la salle de bains. J’installe pendant ce temps quelques verres sur la table et allume des bougies sous la varangue. La nuit est chaude et une oppressante moiteur règne.
Elle ne tarde pas à m’appeler : « peux-tu m’aider ? »
J’entre dans la salle de bains. Elle est nue. Je suis stupéfaite. Je la trouve magnifique. Des petits seins arrogants, un sexe entièrement épilé et des fesses petites mais bien rondes et… toutes rouges !...
Avec un large sourire, elle me demande de lui passer de la crème dans le dos. Je dépose du bout des doigts le produit, et avec des gestes que je veux les plus doux possible, masse sa peau délicate. Elle ne tarde pas à fermer les yeux. J’ose le bas du dos. Elle ne dit rien. Alors je m’enhardis et badigeonne ses fesses.
Mes mains glissent sur sa peau. Je sens une douce chaleur envahir mon bas ventre. Je fais durer le plaisir et lentement, lentement fais pénétrer la crème. J’en passe une nouvelle fois sur le dos. Sa respiration se fait plus rapide. Je vois son visage dans le miroir. Les yeux toujours clos, elle passe sa langue sur ses lèvres et les mordille nerveusement.
Je lui demande alors de s’allonger car je n’ai pu atteindre les plis de ses fesses, partie la plus rougie.
Elle m’entraîne dans sa chambre. S’allonge sur le ventre. Je m’assieds près d’elle, masse à nouveau sa peau. Je tente de verser à nouveau de la crème mais elle ne tombe pas du flacon. Je décide de le secouer et une énorme quantité de crème tombe sur et entre ses fesses. Elle éclate de rire, moi aussi. Je suis confuse, m’excuse. Elle dit alors : « C’est pas grave, on ne va pas gâcher toute cette crème ! Continue ! » Je m’exécute, ramasse le produit laiteux, et en badigeonne ses jambes.
Je passe à nouveau mes mains sur ses fesses, les faisant glisser sur sa peau. Elle les tend alors en arrière, les écarte, m’offrant la vue de son intimité ouverte. Elle se tord comme une liane. Elle dit alors d’une voix fiévreuse : « Continue… »
Je glisse mes doigts sur sa peau, le long de ses fesses, puis au milieu. J’étale la crème. J’hésite, puis effleure plusieurs fois son petit trou qui ne tarde pas à réagir sous mes doigts. Elle ne réagit pas. Je le masse alors franchement. J’y glisse un doigt une fois, puis deux, trois… C’est doux. Il est comme aspiré par de puissantes sucions. Elle gémit. Je glisse une main entre ses jambes. Elle est trempe. Je passe un doigt sur son clitoris. Il est tout dur, dressé par le désir. Je glisse à nouveau un doigt entre ses fesses et l’enfonce doucement. Je branle son petit cul, son clitoris. Mes doigts glissent, entrent et sortent frénétiquement. Ses cuisses sont, elles aussi, trempes et je sens la mouille couler le long des miennes. Mes doigts la fouillent et entrent en elle. J’enfonce un doigt, puis deux. Au troisième, elle gémit de plus en plus fort et jouit dans un cri frénétique. Un jet de cyprine coule dans ma main.
Elle la prend et la porte à son visage, lèche sa mouille sur mes doigts. Je caresse doucement sa bouche et étale la cyprine sur ses lèvres.
Elle se retourne me regarde et m’embrasse. C’est un baiser d’une incroyable douceur. Nos langues se cherchent, se mêlent. Elle suce la mienne. Je l’enfonce dans sa bouche, tête sa langue. Je mordille ses lèvres, les lèche. Elles sont gonflées, chaudes et humides. C’est un baiser d’une sensualité inouïe. Envie de la boire. Je suis comme sur une autre planète. C’est surréaliste. J’en ai envie encore et encore. Envie qu’elle me gouine encore. Elle dégage mon décolleté, suce un téton qui se dresse à m’en faire mal, le titille du bout de sa langue et l’aspire entre ses lèvres. Elle plante ses yeux dans les miens et dit : « ils sont vraiment magnifiques ! ». Elle lèche mes seins, les embrasse.
Tout à coup, la sonnerie retentit, nous ramenant brutalement à la réalité. On sursaute. Oh ! Les invités !... Elle me laisse avec regrets, remet son paréo et avant de quitter la pièce, se retourne pour un dernier baiser.
Je reste hébétée, chancelante. Je bande comme une folle et mon clitoris est terriblement dur. J’essaie de me calmer, me ressaisis et me refais une beauté.
La soirée aura été longue. Certains m’ont trouvée « bizarre ». J’étais obsédée par ce qui venait de se passer. Elle, très à l’aise et comme à son habitude très volubile, passe la soirée entre éclats de rire et verres qui tintent. Ses regards se sont souvent faits insistants. Le désir ne m’a pas quittée de la soirée. Nous nous sommes croisées une fois en cuisine. Elle m’a plaquée au mur et m’a enlacée.
Les derniers convives partent enfin. Je prétexte de l’aider à ranger et dis à mon compagnon que je rentrerai plus tard.
Elle raccompagne les derniers invités. Je suis en train de ranger quelques verres. Elle arrive alors par derrière, soulève le tissu de ma robe, s’accroupit et passe un coup de langue entre mes fesses. Surprise, je ne réagis tout d’abord pas puis lui tend ma croupe. Elle suce alors mon petit trou. Le plaisir m’envahit d’un coup.
Sans un mot, elle se relève, me retourne et m’embrasse. Le même baiser. Le même désir. Intact. Encore quelques gorgées de champagne…
La nuit s’est prolongée dans la fièvre. On a baisé comme deux chiennes en chaleur. On ne pouvait plus s’arrêter. Nos corps n’étaient plus qu’objets de désir.
Le lendemain, un avion me ramenait en France. J’ai senti longtemps le contact de sa langue sur mon sexe et la brûlure de ses baisers.
Demain c’est la rentrée et je la revois enfin…

Les avis des lecteurs

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histoire excitante en diable. Félicitations pour ta plume et ta sensualitée

Histoire Erotique
très bien!



Texte coquin : La morsure du soleil.
Histoire sexe : Une rose rouge
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