Ma garce de secrétaire

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma garce de secrétaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Ma garce de secrétaire
Dommage, mon réveil fait cesser un rêve dans lequel j’étais avec deux jolies filles. Je me lève en vitesse, je vais être en retard aujourd’hui. Je déjeune vite, me lave comme un chat et pars rapidement. Je suis en banlieue, il me faut prendre un bus, puis un train et un autre bus. Long, mais utile si je veux gagner ma croute.
Je suis employé dans une grande surface comme adjoint au directeur, une bonne place qui offre pas mal d’avantages. Je règne sur les « hôtesses » de caisses. Je n’en profite jamais, c’est un principe. Par contre ma secrétaire elle, s’est donné à moi sans que j’en soit responsable. Elle est mariée, assez peu fidèle et surtout très dévergondée. Il nous arrive quelques fois de nous « unir » soit dans son bureau, soit dans le mien. La plus part du temps, comme je n’aime pas mêler travail et baise, nous nous retrouvons sur le coup de 18 heures pour baiser dans un petit hôtel.
Elle ne porte jamais de sous vêtement que se soit au bureau ou ailleurs. C’est parait-il pour exciter son mari qui ne la baise que rarement. Au bureau, justement pour notre première fois quand elle est venue pour me faire signer du courrier, Elle n’était pas en face, comme d’habitude, mais à mes cotés. Elle s’arrangeait en tournant les page du parafeur pour frotter ses seins sur moi. Bien sur je suis un homme et je regardais sa poitrine découverte. Quand je finissais mes signatures, elle fermait le parafeur et se penchait pour m’embrasser. Que faire dans ce cas: ouvrir sa bouche et recevoir sa langue. Je me levais et la prenais contre moi. Je sentais bien ses seins libres sous son t-shirt. Je passais ma main sous son vêtement pour caresser sa poitrine. Elle avait les seins durs, surtout les mamelons. Je passais mes mains en les caressant. Elle était libre puisque je ne la tenais pas. Elle restait contre moi, surtout son ventre qui ne cherchait qu’un seule chose: me faire bien bander. C’est vrai que je bandais plutôt bien. Quand je lâchais un sein, je mettais une mains sur ses fesse: je ne trouvais pas trace de slip. Je soulevas la jupe pour trouver la peau des deux globes. Je passais ma main entre ses fesses. Elle me laissait faire et quand j’arrivais sur son anus je le tâtais. Elle tendait ses fesses vers ma main. Elle voulait que j’entre le doigt dans son cul, je le faisais, comme je le faisais aller et venir: elle gémissait Je continuais jusqu’ au moment où elle était secouée par un orgasme.
Je la mettais nue: elle était sensationnelle et sexy au possible. Je me demande bien pourquoi son mari la délaissée. Pour me récompenser sans doute de ce que je venais de lui faire, elle se penchait pour sortir ma bite et me sucer. Sa façon de faire une fellation me faisait jouir rapidement: après tout je ne me gênais pas pour lâcher mon sperme dans la bouche. Je pensais qu’elle allait le cracher: pas du tout, elle le dégustait longtemps avant de l’avaler à toutes petits gorgées. Cette fois nous arrêtions les frais.
La fois suivante se passait dans son bureau. Quand elle a vu que c’était moi, elle posait ses jambes sur le bureau, pour montrer son sexe. Elle commençait à mouiller. Comme si elle était pressée, elle posait une main sur son clitoris pour prendre de l’avance. Je venais vers elle dans l’intension de la baiser: elle prenait à nouveau ma bite pour me faire jouir.
C’est cette fois là que je lui demandais de ne plus s’amuser au bureau. C’est elle qui trouvait le lieu idéal, cet hôtel.
Donc nous nous y retrouvons chaque fin d’après midi. Nous retrouvons toujours la même chambre, nous sommes presque chez nous. Jusqu’à ce jour nous n’avions jamais baisé à proprement parler. Cette première fois, je la déshabillais lentement en l’embrassant partout Quand elle était nue, je me déshabillais rapidement. Elle me voyait nu pour la première fois. Ce qui l’intéressait en premier était ma bite. Elle aurai voulu me sucer encore. Je ne le voulais à aucun pris: je préférais la sucer. Aussi, un peu déçue de ne pas avoir ma semence dans la bouche, je passais ma langue un peu partout dans sa chatte. Je me fixais un but: son cul. C’était là que je l’avais faite jouir la première fois. Ma langue allait donc vers son cul. Cette fois ce n’était plus une simple caresse avec mon doigt: je tournais ma langue autour de son anus, sans chercher à y pénétrer. Pourtant c’est elle qui le demandait. Alors j’obéissais: ma langue s’enfonçais à moitié dans son rectum, je la faisais aller et venir. Elle bougeait son corps en cadence. Quand ma langue fatiguée de cette façon de faire, allait plus haut, c’était pour entrer dans son con, directement. Ma langue trouvait une goût différent que dans le cul. Je trouvais aussi l’endroit le plus sensible: elle en jouissait. Elle jouissais également quand je léchais son clitoris.
Cette fois je bandais tellement que j’avais mal à la bite. Il me fallait absolument absolument la baiser. Je revenais sur elle, l’écrasant un peu: ses seins se dégonflaient. J’étais bien juste au niveau de son sexe. Il était mouillée, comme j’aime. Je posais ma bite sur sa chatte. D’un grand coup de rein j’étais à son col de la matrice: elle grinçait il me semble. Je ne restais pas longtemps à cet endroit: je la limais violemment. Elle se plaignait sans arrêt comme si je la faisais souffrir, alors qu’elle ne demandait pas mieux d’avoir ma bite en elle. Je la limais, elle suivait mes mouvements de vas et viens. Nos lèvres étaient soudées, nos langues se livraient un grand combat dans nos bouches. Elle était drôlement dépravée, elle entrais deux doigts dans mon cul. Je renâclais jusqu’a moment où elle a réussi à me faire jouir.
Elle aussi jouissait souvent, elle était insatiable. Elle me faisait bander en me suçant la bite: il la lui fallait vite dans son corps, n’importe où, mais en elle. Quand après la’voir eu dans son con ou son cul, il lui fallait lécher la dernière goutte de sperme.
Une de nos baises était particulièrement relevée: elle avait porté une gode de bonne taille. Avant que nous baisions elle tenait absolument se le mettre dans le cul; directement, comme ça, sans préparation. Elle était couchée sur le dos, les jambes écartées le gode posé sur son anus. Il hésitait un peu: une sodomie à sec ne devait pas être très amusant. Elle forçait beaucoup pour en rentrer quelques centimètres. Je la regardais en bandant dur. Et petit à petit elle arrivait à tout rentrer. Elle ne voulait surtout pas que je la touche. Je voyais la cyprine couler vers son cul: c’est-ce qui finalement l’a faire jouir. Elle conservait toujours le gode dans son anus. Elle me tendait maintenant les bras pour que je l’ embrasse. Je me contentais de lui lécher les lèvres, tout en la pelotant. J’avais envie de la baiser, malgré le gode, je me mettais sur elle et sans rien lui demander je la lui mettait dans son con déjà ouvert et mouillé. Je sentais le gode immobilisé dans son anus, il ajoutait à mon plaisir. Je limais rapidement jusqu’à éjaculation. Cette fois c’est elle qui demandait d’arrêter. Je bandais encore, pour ne fois: je l’obligeait à me sucer sans se servir de ses mains. Je sentais son palais sur mon gland, je m’arrangeais pour passer entre sa langue et une joue, pour finalement aller jusqu’à sa glotte. Elle avait la nausée: je m’en fichais et je jouissais tout au fond de sa gorge.
J’ai eu une autre envie qui se poursuit encore: je la voulais avec une autre femme. Elle ne voulait pas ça. Je l’obligeais tout simplement en ne lui faisant pas l’amour pendant une huitaine de jour. Pourtant elle venait se masturber devant moi dans le bureau. Quand elle a compris qu’il fallait qu’elle trouve une comparse, elle a vite trouvé une autre fille sans doute moins sexy qu’elle, mais avec un air coquin qui semblait dénoter une certaine vulgarité et une sensualité à fleur de peau. Le plus étonné était le portier de l’hôtel de nous voir à trois.
Dans la chambre je leur demandais de se mettre vite toute nue. Elles faisaient mieux que ça: chacune déshabillait l’autre: c’était plus excitant pour moi. La nouvelle venue était bien comme je le prévoyait, sacrément dépravée comme ma secrétaire: pour elle le sexe était une nécessité. Elles s’ entrainaient dans le lit, se mettaient aussitôt en 69. Elle se suçaient comme si les deux savaient bien se baiser. Ma coquine de secrétaire m’avait cachait qu’avant de venir avec sa compagne elle avait appris ce que l’autre savait.
C’est ainsi que j’ai pu les baiser toutes les deux, d’abord la nouvelle qui était dessus pendant le 69 que j’enculais et ensuite l’autre que je baisant dans le con très mouillé. A peine je finissait de jouir que la deuxième fille venait sucer ma bite pleine de sperme et de cyprine.
Cela doit faire plus de deux ans que nous baisons à trois presque touts les jours

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
hummmmmmmmm super



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