Le mec de la librairie

- Par l'auteur HDS Pabloexperience -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le mec de la librairie Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Le mec de la librairie
Souvenir. Sa queue glisse entre mes fesses, mes muscles se sont relâchés, détendues, il est en moi, entré complètement, mon souffle se coupe une seconde, je agrippe à la table.

Frissons. Il a laissé la fenêtre ouverte. Une brise, c'est le printemps. La salive coule entre mes fesses, le long de mes cuisses. Le vent souffle doucement dessus, je ferme les yeux, et m'abandonne à la douce sensation.

Il me possède.

Marc est un beau mec. Je suis tombé sous le charme de suite, c'est rare. Il m'arrive de croiser de beaux mecs, de là à espérer qu'il me prenne... Mais là, c'était différent, il débordait de charme: un physique parfait, viril, grand, mince. Il a les gestes assurés, il ne doute pas.

J'étais en train de regarder le rayon d'une quelconque littérature dans un grand magasin. Accroupis pour mieux voir le rayon du bas. Un homme s'approche à ma gauche, je lève les yeux, et à hauteur de ma tête, j'ai son paquet offert. Mon regard le détaille, je prends mon temps. Mon regard croise alors le sien tandis que je finis de le détailler, et se perds dans son regard bleu acier. Moment de solitude, je vire au rouge. Pris en flagrant délit de voyeurisme sur un inconnue.

Il soutient mon regard. Je suis comme hypnotisé, mes genoux commencent à me faire mal. Il faut couper court! Je tente de me relever, faisant fi de mes jambes qui s'ankylosent, mais la position inconfortable trop longtemps tenu, trahit mon équilibre, et j'ai la démarche d'un homme ivre. Il me rattrape par le bras, sa poigne est rude, sans hésitations. Il me tient littéralement entre ses mains.

Dans tout autre rayon, ce geste aurait pu apparaître anodin. J'aurais pu aussi être une petite minette adorable tombé sous le charme d'un bel inconnue. Mais nous étions devant des livres parlant d'amour entre hommes, et j'étais ce mec, celui qui drague d'habitude, qui mets en avant ses atouts, et qui se retrouvait là, rougissant, faible. Je baisse les yeux, mon regard tombe sur son entrejambe. Je me mets à fantasmer. J'ai envie de le sucer, j'aimerais que le magasin dispose de toilettes, ou autre, peu importe, il claquerait des doigts, je fonderais dans l'instant.

Il me tiens toujours le bras, le moment semble interminable. Il cherche peut être ses mots, pourquoi? Il n'a qu'à me cueillir, je lui serais dévoué cet après midi.

La suite, c'est un échange de banalité. la raison reprends le dessus, mon souffle se remets à fonctionner de manière cohérente. Je prends mon panier, mes achats trahissent mon attirance pour les hommes. Il n'est probablement pas aveugle. Sa belle gueule me toise, je suis toujours sous son contrôle. mais parles! Invites moi!

Ça y est! Rendez-vous pour un verre, une fois passé les caisses. Il est à moi, enfin! Ou tout du moins je suis à lui!



Mojito. Il choisit le bar, il connait déjà, et m'emmène au fond. l'établissement ne semblait pas grand par sa devanture, mais très profond. Dans le fond, la lumière est tamisé. il s'assoit et m'invite à prendre un siège à côté de lui. Il est tactile, me touche l'épaule, me demande ce que je veux boire en posant la main sur ma cuisse. Chaque contact m'électrise, je n'écoute pas, il choisit pour moi.

Embrasses moi. Nous parlons, de tout, de rien. Peu importe, il sait où je veux en venir, il a pris l'ascendant. Mon cul me démange. L'idée de me faire prendre dans moins d'une heure m'excite énormément. j'ai chaud, je bande. Lui aussi, à n'en point douter. Il a une voix douce, et parle sans hausser le ton. Il glisse sa main le long de ma joue, puis dans le cou.

"j'ai envie de te baiser"

Il me jette ça comme un amuse gueule. Sa main glisse le long de mon torse jusqu'à mon intimité. Une fois, par une étreinte ferme, qu'il s'était assuré de mon état:

"Allez, viens!"

Escalier. Il paie. je suis absent, je le suit. Nous marchons quelques minutes, je ne repère pas le chemin. Arrivé devant son immeuble, il ouvre, nous rentrons. Dés la porte fermée, il me plaque contre le mur, et m'embrasse, à pleine bouche. Sa langue me viole, son souffle chaud me transperse. Emmènes moi chez toi vite! Je sens son odeur, son parfum est masculin. Un vrai mec, ferme, sans être brutal. Ce contact attendue est une délivrance, je soupire. Quelques secondes plus tard, sa porte s'ouvre, nous entrons, passons aux choses sérieuses!

A vos ordres. Marc est directif: il commence par me dire de me mettre à l'aise, j'enlève juste mon blouson léger. Lorsque je me tourne vers lui, son pantalon est baissé. J'avais déjà compris que j'aurais le rôle de la salope dans cette histoire.

"Non, mets toi vraiment à l'aise!"

Il se laisse tomber en arrière dans un fauteuil en toile. En quelques gestes rapides, je me débarrasses de mon haut, et de mon pantalon. je reste en caleçon, et m'approche vers lui. Je me mets à genoux, et penche la tête. Je prends son sexe dans la main, doucement, délicatement,comme une pièce de collection. Il est beau, droit, même si pas encore complètement bandé. Son prépuce est petit, et laisse apparent un gland rose brun. De mon autre main, je caresses ses cuisses, son vente. Il n'est pas poilu, et son pubis est épilé, mettant en valeur ses formes. je rapproche ma tête. Marc attends patiemment que je me mette à l'œuvre. Il semble savourer ses premières caresses. Il glisse un peu plus dans le fauteuil, comme pour rapprocher sa verge dans ma bouche.

Je glisse ma langue de son scrotum jusqu'au gland, le chemin me paraît long, presque sans fin. Puis, j'ouvre la bouche, et introduits son gland entre mes lèvres. IL sanctionne l'agression en jetant la tête en arrière et en soupirant. Il pose sa main sur ma tête. Le message est limpide, je commence à le sucer. Non! Pas le pomper, le lécher, le sucer, doucement, sans serrer trop les lèvres, sans aspirer. Juste je le suce, et sa queue achève de gonfler et d'être bien dure.

Marc savoure le moment. Je le sens complètement détendu, il s'abandonne à mes caresses, son sexe est à moi, sa main a glissé de ma tête à mon épaule. Je tente la gorge profonde, sa queue est trop longue pour moi, mais il gémit. J'insiste. La salive coule légèrement à la commissure de mes lèvres. J'entreprends un mouvement plus long du gland jusqu'au plus profond. Marc soupire à nouveau, puis s'interrompt, me plaque la main sur le front ,et se relève.

"stop! on fait une pause"

Chemise. Marc se lève. J'en reste pantois, coupé dans mon élan, les joues humides de ma salive. Je me sens ridicule. Marc est debout devant moi, presque absent, récupérant de cette montée orgasmique que j'aurais voulu lui offrir, et qu'il m'a refusé. Je reste figé, attendant les directives. Je n'ose le toucher. Il se retourne vers moi, et me tends la main, pour que je me relève. Il m'enlace et m'embrasse. je m'abandonne. D'une main, il fait glisser mon caleçon, je suis complètement nue. Il a gardé sa chemise. Je la déboutonne, il se laisse faire. Je découvre un torse bien dessiné, sans excès. J'embrasse ses tétons. je laisse aller ma langue en cercle autour, puis je les mordille. La caresse semble lui convenir, il me laisse agir.

Mon mâle. Marc est actif, c'est évident. Il me saisit le sexe, crache dans une main, et me branle vigoureusement. Il serre ma queue, je me sens à lui. Chacune de ses caresses est ferme, forte, masculine. Il me fait mettre à quatre pattes. je m'exécute sans broncher. J'aurais aimé qu'il me prenne en bouche. Il me tient pour le moment d'une main ferme, comme pour me faire comprendre sa domination. Je l'accepte tant cette idée m'excite. Il m'ordonne de poser ma tête au sol, et d'écarter mes fesses avec les mains. Ma docilité me surprends, mais j'obéis sans réfléchir, trop content de mon sort.

Je sens alors ses mains passer entre mes deux fesses. De ce simple contact, je sens d'un coup une chaleur me remplir, une sensation diffuse d'excitation et d'appréhension. Je me détends. Marc crache entre mes fesses, et étale bien sa salive par de vigoureuses caresses. il me prends les fesses, les malaxes, sans dire un mot. je suis à lui, à quoi bon me convaincre? Mes fesses sont maintenant brûlantes de son massage, et je sens déjà que ses gestes se recentrent vers le centre de la cible. Il continue avec les doigts à appuyer sur ma rondelle, elle va bientôt céder. Enfin, un doigt se risque à forcer le muscle. j'ai un petit hoquet de surprise, pourtant je l'attendais. Son autre main continue à me branler, à me malaxer les couilles, en crachant dans sa main régulièrement. Je ne sais pas combien de temps, il a pratiqué ce massage sur moi. Je commençais à sentir la salive séchée, mes cuisses, mon pubis en était recouvert. L'odeur me prenait les narines, et avait ce petit côté si repoussant en temps normal, qui devenait excitant dés qu'on la tête plaqué contre un tapis, les fesses écartées.

Supplice. Il a un doigt en moi. Ses mains sont longues et assez fines. Il ressort son doigt pour le remettre, juste le temps à la corolle de se refermer, pour la violer à nouveau, et m'arracher un gémissement. Mon trou commence à se faire à l'intrusion, et n'offre plus la même résistance, n pourrait même presque dire qu'il devient accueillant. Marc en a conscience également, puisqu'il tente le passage d'un second doigt. son premier doigt me fouille le cul, il élargit ma rondelle en faisant des cercles, il le ressort en permanence, puis d'un coup, c'est deux doigts qui sont en moi. Je me crispe légèrement, mais mon corps les appelle. AU bout de quelques minutes, c'est un troisième doigt qui rejoints majeur et index. Le passage est un peu douloureux, mais il ne faudra pas plus de temps à Marc pour se rendre compte que je suis prêt à recevoir son sexe.

Marc me fait me mettre à genoux. Ses doigts ont abandonné mon anus, détendue, que je sens crier famine. Mes jambes sont ankylosées à nouveau, décidément... Il présente son sexe devant mon visage. Sage et docile, plus que demandeur, j'ouvre la bouche. Il me pénètre lui même tenant la mâchoire.

"C'est bien!"

Cette phrase sonne comme la pire des humiliations! Salauds, je ne suis pas un trou que tu peux fourrer comme ça. Désires moi un peu! Il quitte la pièce, je reste à genoux, terrassé. Il revient, capote et gel à la main.

"Mets toi contre la table!"

Je me lève. Devant la fenêtre, il y a un bureau, pas de vis à vis. Je me penche en m'appuyant dessus. Marc ne me regarde pas et mets son préservatif. j'écarte les jambes et mes cambres. Il passe sa main entre mes fesses, deux doigts entre moi, comme pour vérifier que le trou est toujours là. Oui il est bien là, béant, appelant sa queue pour le combler. Le massage anal, et sa domination ont eu raison de mon érection, mais pas de mon excitation. Il retire ses doigts, puis les remets, cette fois, ils sont froids, glacés même! Il applique le gel autour de la rondelle, et également dedans. Sa main quitte mes fesses, il se les essuie, puis attrape mes hanches. Je sens son sexe se présenter à mon anus. Il le frôle légèrement ,comme pour faire durer un suspens vain. Première pression délicate. Le sexe force la corolle, puis s'enfonce doucement. Marc retient sa force, il me tient fermement. Son sexe semble interminable, j'ai le souffle couper. Enfin, il s'arrête, je soupire. Que c'est bon.

Entre mes reins. Il commence un lent va et viens, je m'accroche à la table. je sens chaque millimètre de sa chair rentrer en moi, me posséder. Il me fait l'amour, me donne du plaisir. Mon cul est dilaté, et n'offre aucune résistance. Pas de douleur! La préparation était à la hauteur de mon excitation. Marc accélère la cadence. Ses coups deviennent plus secs, nerveux, presque brutaux! Il se retire, pour mieux me casser le cul. Il varie les positions. Je le sens devenir frénétique, sa respiration s'accélère, ses mains qui me maintenaient fermement sont devenues moites et glisse sur mon corps.

Explosion. Il jouit. Marc Jouit en moi. Le dernier coups fut fatal, digne d'une fessée administrée par le plus violent des sadiques. Il reste contre moi, je sens ses couilles contre mes fesses, il est planté en moi, au plus profond. Il se retire, je reste un moment sur la table pour reprendre mes esprits, puis me relève, mes jambes flagellent. Marc me donne un bout de papier pour m'essuyer. le gel colle, la salive a séchée. Puis il me donne comme ultime tâche de nettoyer son sexe. Je m'exécute, incapable de moufeter. Il sens mon cul, la salive, le latex, le sperme.. ça pue. J'aime ça.

"Ok, maintenant rhabilles toi et casses toi!"

Marc n'est pas un sentimental. Je suis profondément humilié, mais rassasié. Inutile de demander un numéro. Je me rhabille et prends la porte. Une heure de trajet, mon cul fuit , béant, lubrifié, il pourrait accueillir une bande entière. Je devrais être mort de honte, mais ça m'excite.

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