week-end d'été (2)

- Par l'auteur HDS Journal -
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Auteur homme.
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Récit libertin : week-end d'été (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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week-end d'été (2)
Week-end d’été (2).

Lorsque nous arrivâmes à la soirée, je m’aperçus au nombre de véhicules garés que la plupart des invités étaient déjà présents. Nous devions être environ une soixantaine de personnes. En quittant le parking, je remarquai que la fine jupe de ma femme était légèrement translucide ; on distinguait un peu le galbe de ses cuisses ainsi que la forme de ses fesses rondes ondulant sous le tissu. Le mouvement de sa belle croupe était légèrement accentué par le port des hauts talons. Ça me fit légèrement bander dans mon pantalon à pinces ; ce qui ne se voyait pas trop. Je la rejoins et tout en lui passant une main sur les fesses lui tint à l’oreille le constat que je venais de faire sur son anatomie. Elle me demanda d’ôter la main et me dit et que ça la mettait mal à l’aise. Tout en m’exécutant, je lui répondis « mais non, rassures- toi, personne ne remarquera rien . D’autant que la nuit tombera bientôt ». Le cocktail avait lieu à l’extérieur.
Le maître des lieux vint à notre rencontre pour nous accueillir. Il s’agissait d’un homme un peu plus jeune que nous, noceur ,lubrique invétéré et alcolo. Il provoquait souvent les jolies femmes lors des soirées en ville. Et je me dis que ce soir, étant chez lui, on n’allait pas y couper et que ça ferait jazzer pendant quinze jours. Ah tu ne sais pas…
Bref, il nous servit un verre tout en complimentant ma femme sur sa beauté, et en mâtant son cul au passage. Je vis qu’elle était toujours mal à l’aise alors je m’interposai discrètement et engageai la conversation. Je déteste ces soirées mondaines où toute la bourgeoisie de la ville se retrouve dans un brouhaha hypocrite et faussement joyeux. La plupart du temps les filles forment des clans, passent leur temps à se comparer et à dire du mal des absentes. Du côté des hommes, ce n’est guère mieux, ils ont toujours ce besoin macho de se mettre faussement en valeur et en général n’écoutent qu’eux-mêmes, fats et satisfaits. Enfin, je fis un effort pour être avenant et j’écoutai pour la nième fois le président du Rotary tenter de me convaincre de rejoindre son club. Mais au fond je n’avais qu’une envie, faire l’amour à ma femme, la faire jouir longtemps, puissamment, quasiment de façon animale, jusqu’à épuisement de nos deux corps. Et je me demandais comment je la prendrai tout à l’heure : dans la voiture sur le chemin du retour, sur la table de la terrasse, dans la cuisine ou bien dans notre lit ?
La nuit tombée, les convives rentrèrent par petits groupes à l’intérieur de la demeure et se mirent à danser. Ma femme adore danser, c’est pour cette raison qu’elle est toujours partante pour ce genre de soirée. Bientôt les garçons déjà un peu éméchés se livrèrent à un petit numéro de « chippendale « , se mirent torse nu, et, avec leur ceinture enlacèrent les plus jolies femmes par le cou en les attirant contre eux pour danser . Ma femme se prêta au jeu. Malgré le ridicule de la situation je la trouvais vraiment sexy et j’avais très fort envie d’elle. Bientôt elle ôta ses chaussures pour danser. Là je compris qu’elle avait forcé sur le champagne et qu’elle était ivre. Je m’approchai d’elle et tentai de la convaincre de rentrer. Mais rien n’y fit, elle m’envoya balader me disant qu’elle s’amusait et qu’elle avait envie de danser. Elle me passa subrepticement la main sur ma braguette et me promit de fougueux ébats. Je n’avais plus qu’à prendre mon mal en patience et surtout réfréner l’érection qui commençait à poindre dans mon pantalon. Je l’enlaçai et dansai avec elle.
Au bout d’un moment, je la vis vaciller et heurter un meuble, les coupes vides posées dessus tombèrent et volèrent en éclats. La situation commençait à devenir incontrôlable et du côté des « chippendale » ce n’était guère mieux. Notre hôte avait attrapé le foulard de soie d’une copine, l’avais mis dans son slip en dansant et voulait lui repasser autour du cou. Il se prit une gifle magistrale et la copine quitta la soirée sur le champ. Plus tard, j’appris, que la soirée s’était terminée à 7 heures du matin, les types complètement bourrés avaient fini à poil en tentant de se masturber.
Ma femme avait quitté la pièce. Je ramassai ses escarpins et je la cherchai dans les salons, elle n’y était pas. Dans l’état où elle était il n’y avait que deux solutions, où elle était allée chercher du champagne ou bien elle était aux toilettes. Je me dirigeai vers la cuisine, elle n’y était pas non plus. Enfin je me risquai de monter à l’étage. Je la trouvai sur le pallier face aux toilettes, allongée sur la moquette.
Elle dormait à poings fermés. Je tentai de la réveiller doucement en lui parlant, rien n’y fit. Je la secouai légèrement, en vain. Je me décidai alors à lui glisser la main entre les cuisses, lui remontant la jupe sur ses hanches. Et là je découvris une auréole sur son string, elle mouillait. Le petit numéro de chippendale l’avait excitée et sa chatte était trempée. Je glissai deux doigts sur son string et commençai à la masturber doucement. Cela lui fit l’effet d’un électrochoc et elle se réveilla en sursaut. Mais que fais-tu me dis-t-elle ?, tu es malade ? Je lui répondis que je tentais seulement de la réveiller et qu’il fallait qu’on y aille. Elle ne pris pas la peine de remettre sa jupe en place, signe qu’elle avait aimé cette caresse sur son petit minou. Je le fis donc à sa place, lui remis ses chaussures et l’aidai à le relever. Tout en la soulevant, je remarquai que ses tétons pointaient au travers de son soutien gorge et de son bustier. Dès lors, je savais que malgré son état d’ébriété son désir était intact et qu’elle s’offrirait à moi.
Je dus la soutenir jusqu’à la voiture. A peine avais-je démarré qu’elle s’effondra sur le siège et s’endormit à nouveau. Je savais qu’il faudrait encore attendre un peu avant d’assouvir le désir que son corps venait de manifester. Tout en conduisant, je la regardais et j’admirais les courbes rondes de ses seins qui me réjouissent si souvent.
Arrivés à la maison, je dus la porter jusqu’à notre chambre. Je la déposai doucement sur le lit et j’entrepris de la déshabiller. Ce ne fut pas facile de la maintenir assise pour ôter le bustier et le soutien-gorge. Elle ne me facilitait pas les choses non plus et s’amusait de la situation en riant aux éclats devant mon embarras. Une fois allongée, je fis glisser sa jupe. Aussitôt elle écarta les cuisses et glissa la main dans son string. Elle se masturbait pendant je me déshabillais. Lorsqu’elle me vit nu, la queue dressée, elle me dit « prends-moi, fais moi jouir ». je m’allongeai entre ses cuisses, écartai son string et je plongeai dans son minou touffu. J’adore l’odeur de musc de sa chatte lorsqu’elle chaude. Je me mis à lui lécher doucement la vulve de bas en haut , appuyant ma langue un peu plus fort lorsque je fus sur con clito. Elle se mit à gémir, ses lèvres s’ouvrèrent et son miel se mit à couler sur ma langue, dans ma bouche et sur mon visage. J’introduisis doucement deux doigts dans sa chatte trempée, tout en continuant à la lécher. Je la masturbais de plus en plus fort, j’avais son miel jusqu’aux oreilles. Maintenant elle criait à chaque coup de langue. Elle m’agrippa par le cou et pressa ma tête sur sa chatte. Elle devenait gourmande et ondulait, poussant son bas ventre contre mon visage. Au bout de quelques instants elle s’immobilisa net, tout en ahanant . Je pris son orgasme à pleine bouche. Elle était ravie.
Je me redressai un peu, j’avais envie d’elle comme un fou, la queue tendue et dure comme une trique. Je lui pris un sein à pleine bouche et me mis à le téter , je lui pressais doucement l’autre sein et lui enfonçai ma bite tout au fond de sa chatte chaude et crémeuse. Elle se remit à gémir immédiatement. Je fis quelques va et vient en sortant ma queue complètement à chaque fois avant de la reprendre ; ce qui la fit gémir un peu plus fort. J’étais toujours arrimé à ses seins.
Collé à elle et bien profond dans son minou je sentais son plaisir monter. Je l’embrassai voluptueusement, nos langues s’entremêlèrent et se léchèrent. J’augmentai la pression de ma queue au fond de sa chatte et à chaque mouvement je sentais la paroi de son vagin contre mon gland. Je la pénétrais de plus en plus fort. C’était divin et à ce moment là je sentis les spasmes de son fourreau doux et moelleux sur ma queue. Elle jouissait en poussant un râle de plaisir. Je ne pu tenir plus longtemps et explosai à mon tour lâchant quatre longues giclées tout au fond de sa chatte.
Nous restèrent ainsi quelques instants sans bouger, reprenant notre respiration tout en s’embrassant. Une fois que mon sexe commença à ramollir, je me retirai, regardant sa vulve ouverte. Ma semence se mis à couler le long de ses fesses. Elle glissa aussitôt la main dans son minou en appuyant deux doigts sur sa vulve encore chaude et s’endormit immédiatement.
J’éteins la lumière et me couchai à mon tour.
(à suivre…)

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Mmmm.. une belle histoire qui me donne bien envie de la même chose.



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