TRAIN DE NUIT (4)

- Par l'auteur HDS Juju56 -
Récit érotique écrit par Juju56 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : TRAIN DE NUIT (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TRAIN DE NUIT (4)
TRAIN DE NUIT (4)

Après quelques (brèves) heures de sommeil, je me réveille doucement et je constate que je n’ai pas rêvé : ma jolie secrétaire, Caroline, est allongée nue à mes côtés. Le drap est repoussé aux pieds et je peux tout à loisir admirer ses ravissantes courbes. Son beau visage respire la quiétude. Ses seins aux pointes érigées se dressent de façon provocante, on dirait que même dans son sommeil, elle bande des seins. Un ventre plat et dans le creux de ses cuisses le mystère odorant de sa féminité.
Je ne peux résister et je m’empare d’une de ses jambes que j’écarte doucement. Dans son sommeil, elle bouge un peu et de ce fait écarte d’elle-même encore plus ses cuisses. Je vois alors sa fente luisante : elle mouille dans son sommeil. Je descends alors entre ses cuisses et commence à lécher cette belle fente qui sent si bon. Délicatement, avec mes deux mains, j’écarte ses grandes lèvres pour trouver l’objet de mon désir. Son clitoris dépasse et semble m’inviter à poursuivre mes investigations.
Je m’avance et de la pointe de ma langue, je commence à exciter son bouton. Alors que son ravissant clito se développe, je sens sur ma tête les mains de Caroline qui me caressent les cheveux. Geste très sensuel que j’adore d’ailleurs. Je comprends qu’elle est réveillée et soudain j’entends :
- Oui Mon cœur, suce ta petite salope qui adore … Continues, excite moi bien, je sens que je ne vais pas tarder à jouir.
Les halètements s’intensifient et avant que j’aie pu aller plus loin, ma tête est prise dans l’étau de ses cuisses et un long feulement m’indique sa jouissance. Je remonte à hauteur de sa bouche et l’embrasse tendrement. Nos langues se retrouvent et se mêlent sauvagement.
Elle vient se blottir contre moi. Je lui souhaite le bonjour d’un baiser sur les yeux et elle me dit que ce sera bien sur un bonjour après un tel réveil. Je vois dans ses yeux qu’elle a un souci mais je n’ose la questionner. Il lui faut maintenant réintégrer son compartiment, d’une part pour sauver au minimum les apparences mais aussi pour se laver et se vêtir. J’entrouvre la porte, un coup d’œil à droite puis à gauche et elle sort rapidement. Elle est entièrement nue et tient à la main ses mules et son déshabillé. Vision superbe de ses globes qui s’agitent doucement.
Je me prépare de mon côté : une bonne douche qui me réveille définitivement mais qui réveille aussi mon sexe. Je m’habille range mes affaires et sort dans le couloir. Si cette satanée érection voulait cesser ce serait parfait. Quelques instants plus tard, nous gagnons le wagon restaurant pour le petit déjeuner. Nous lui faisons honneur et regagnons nos compartiments respectifs. Dans 1 heure nous serons à Venise. J’ai encore vu son regard « bizarre » durant le petit déjeuner.
Arrivé à la gare, je hèle un porteur qui prend en charge nos bagages. Nous gagnons rapidement l’hôtel et je fais modifier les réservations : de 2 chambres, je passe a une suite. Il ne faut pas être hypocrite quand même …
Caroline n’était pas à mes côtés quand j’ai fait ces modifications lorsqu’elle s’aperçoit de cela et je vois son visage s’épanouir et un merveilleux sourire se dessiner.
Une fois nos bagages dans la suite, le groom reparti, je l’attrape par la main et m’empresse de la déshabiller. N’y tenant plus, je me mets nu en un tour de main et me jette sur elle pour non plus « faire l’amour » mais bel et bien « baiser ». Nous sommes deux corps enchevêtrés qui s’embrassent partout et caressent le corps pour faire monter le plaisir. Celui-ci ne tarde pas à venir et j’embroche ma belle qui n’attendait que ça. Il ne nous fallut pas grand temps à chacun pour grimper aux rideaux et jouir l’un de l’autre. Rassasiés, nous installons chacun nos affaires.
En bonne secrétaire elle se connecte sur internet pour contacter l’entreprise et voir si elle doit m’informer de dossiers en cours. Elle se met en ligne avec la collègue qui la remplace et son absence mais elle passe comme d’habitude en webcam. Elle voit et entend très bien sa collègue et soudain … se rend compte qu’elle est entièrement nue devant l’ordi. Elle coupe aussitôt la conversation et arrive ne trombe dans ma chambre.
- Didier, je viens de faire une énorme bêtise !
Elle m’explique alors et je pars d’un grand éclat de rire.
- Tu te rends compte de ce qui va se passer à notre retour ? Ma réputation de salope est faite !
- De salope surement pas Ma Chérie, mais de future femme du patron, ça c’est certain. Ne te fais pas de soucis pour ça.
Je la vois devenir pale et répéter tout bas : « de future femme du patron ? Elle reste songeuse et soudain se jette à mon cou pour le plus sauvage des baisers. Je la serre dans mes bras, l’embrasse partout, ma langue joue avec ses mamelons et je lui caresse se petites fesses fermes mais ô combien moelleuses. Petit à petit elle se calme et elle vient m’embrasser très tendrement dans un voluptueux de langues.
N’ayant notre premier rendez-vous qu’à 14 h, nous descendons sagement déjeuner au restaurant de l’hôtel. Il est maintenant temps pour moi de lui clarifier la situation. Si elle était attirée par moi depuis un long moment, il en était de même pour moi. Mais je ne voulais pas une simple maitresse, je souhaitais une femme qui partage ma vie. Je lui dis que j’ai la solution pour tout soit bien clair en rentrant à Paris. Sous prétexte d’aller voir un collaborateur, je l’embrasserai sur la bouche devant la standardiste qui est la reine du commérage en lui disant « A tout à l’heure, Mon Amour ». Je serai ainsi sur qu’en peu de temps toute la boite sera au courant. Elle me dit alors qu’un poids vient de quitter son cœur. Elle pensait qu’elle n’était qu’un agréable moment pour son patron et cela l’attristait.
C’est donc enlacés et amoureux que nous remontons nous préparer. Je passe notre rendez-vous de travail qui n’a ici aucun intérêt. Ces explications ont dû vous paraitre un peu longues mais étaient nécessaires pour la suite et les autres histoires à venir !
En sortant de notre rendez-vous Caroline se jeta à mon cou et me roula une pelle à faire pâlir tous les italiens que l’on dit dragueurs. Elle en profita pour passer la main sur la bosse qui était très visible sous mon pantalon. Elle effectua un mouvement de bas en haut avec la ferme intention de me faire jouir. Sentant la catastrophe arriver, je la décollais de moi et l’entrainait par la main. Je ne mis pas longtemps à trouver une porte cochère que j’ai poussée et qui s’est refermé derrière nous. Aussitôt, je l’ai plaqué contre le mur et j’ai remonté sa jupe de tailleur et écarté sa jolie petite culotte en dentelle. Rapidement je dégageais mon sexe et la fixant dans les yeux, je l’embrochais d’une poussée dans son vagin trempé. Je commençais des va et vient et plus ça allait, plus elle criait.
- Vas-y salop, défonce moi, bourre moi le con, je suis à toi maintenant ! Prends bien ta petite chienne !
- Oui salope, je vais gicler en toi mais je garde le meilleur pour ce soir. Tu m’as fait bander tout l’après-midi avec tes effets de cuisses donc je me paye ta petite chatte bien serrée de pucelle et je vais te l’élargir.
A ce régime-là, je n’ai pas tardé à jouir en elle et elle a poussé un cri qui a du se faire retourner toute la population de Venise. Le temps de nous remettre dans un état présentable et nous sommes sortis très dignement de cet immeuble.
Nous étions attablés à la terrasse d’un café et je la voyais se tortiller sur son fauteuil. Je lui en demande la raison et elle me dit que mon foutre coule de sa chatte vu la dose qu’elle a reçue. Sans aucune pudeur, elle passe sa main sous sa jupe et la ressortant, elle porte son doigt à sa bouche et le lèche en me fixant. Image très érotique que son geste.
Après une petite promenade dans Venise (pur vice de ma part, car je savais que la « fuite » ne devait pas être terminée), nous sommes rentrés à l’hôtel.
Nous avons pris ensemble une longue douche ensemble et ce fut bien sur l’occasion de câlineries érotiques obscènes. Mais j’avais ma petite idée pour la soirée…

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