TRAIN DE NUIT (5)

- Par l'auteur HDS Juju56 -
Récit érotique écrit par Juju56 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : TRAIN DE NUIT (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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TRAIN DE NUIT (5)
J’avais prévu que nous allions à la découverte du centre-ville pour dénicher un resto sympa. Pour l’occasion ma belle s’était habillée sexy : Un top blanc légèrement transparent, une mini-jupe, des bas noirs et des chaussures à hauts talons (10 cm) et rien d’autre. Elle mit quand même un manteau ne voulant pas déclencher l’émeute dans les rues et nous sommes partis à l’aventure. Nous avons trouvé un joli restaurant et nous sommes installés. Elle avait bien entendu ôté son manteau et je devinais ses tétins tendus par l’excitation qu’elle m’avoua :
- Mon Chéri, je suis super excité car c’est la première fois que je fais ça ! Me sentir le minou à l’air me procure de belles sensations et je mouille déjà.
- Je ne te crois pas !
- Tu vas voir que je ne raconte pas de blagues.
Sa main disparut sous sa jupe et farfouilla. Il n’y avait pas besoin d’être grand clerc pour deviner ce qui se passait sous la table. Un bref gémissement de sa part et la main ressortit. Elle me tend un doigt devant la bouche et je m’empresse de le sucer ! Effectivement son nectar est divin. C’est à ce moment-là que le serveur intervint pour nous proposer un apéritif. Ce que je ne savais pas, c’est que pour se toucher, elle avait remonté sa mini. Je vis le serveur rougir. Il partit passer commande et Caroline m’expliquât alors qu’il avait eu une vue plongeante sur sa chatte rasée de frais et qu’il ne devait avoir aucun doute sur ce qu’il y avait sur son doigt.
- J’avais pourtant essayé avec toi au bureau mais tu ne voyais rien.
- Tu crois ça ? Quand tu t’asseyais négligemment sur le coin du bureau je regardais toujours la couleur de ta culotte et ça me faisait bander grave. J’avais envie de te caresser mais je n’osais poser la main sur ta jambe.
- Ce n’est pourtant pas faute de vouloir te tenter et tu m’aurais regardé dans les yeux, je suis sûr que tu te serais lancé.
Le serveur revint avec nos verres et profita encore de la vue de la chatte de Caroline. Elle me dit une fois qu’il soit parti qu’elle allait l’allumer pendant le repas.
Il revint prendre notre commande et comme inadvertance, une des bretelles du top de ma Chérie glissa sur son bras. Arrivé avec les entrées, il constata que la seconde bretelle était aussi sur le bras. Ce fut pire lors du service de la viande, le top qui était devenu bustier était légèrement descendait au début de ses seins. Le pauvre malheureux avait une bosse qui déformait le pantalon et louchait sur la poitrine de Caroline. Elle me dit d’attendre le dessert et que là elle l’achèverait. En effet quand il arriva avec les desserts le top avait « négligemment poursuivi sa descente et laissait voir ses tétins. J’ai cru que les yeux du serveur allaient lui sortir de la tête. Elle se rajusta quand même pour les cafés !
En sortant, elle éclata de rire dans la rue et je lui dis qu’elle avait fait fort et qu’elle m’avait étonnée et surprise. Elle me répondit qu’elle aimait allumer mais sans aller plus loin. Elle rajouta que moi j’étais maintenant bien plus que son patron et qu’elle se donnait entièrement à moi.
Arrivé à l’hôtel, je commandai une bouteille de champagne pour finir la soirée en beauté. Lorsque j’arrivai dans la chambre, elle était entièrement nue couchée sur le dos et les jambes remontées et écartées dans une pose merveilleusement impudique. Mon sexe ne mit pas longtemps à réagir et se retrouva vite au garde à vous. Coup de sonnette à la porte. Elle me dit qu’elle va ouvrir ; Elle enfile son peignoir mi cuisses et sort de la chambre. Au bout de quelques secondes, elle me dit que je peux venir et je la trouve assise sur le canapé, son peignoir ouvert. Elle riait et me dit que lorsqu’elle avait ouvert la porte, le peignoir ouvert, le maitre d’hôtel avait fait celui qui n’avait rien vu mais que son pantalon prouvait le contraire.
Elle enleva son peignoir et tous deux nus, l’un a côté de l’autre nous avons bu une coupe. Elle me dit qu’elle boirait bien autre chose et se pencha vers mon sexe qui menaçait d’exploser. La pointe de sa langue tournait sur mon gland qu’elle avait bien décalotté et agaçait le petit trou de ma verge. Elle la lécha des couilles jusqu’au gland et l’engloutit entièrement. De sa main, elle faisait des allers retours sur ma tige qui commençait a sérieusement à palpiter. Je luis dit que si elle continue, elle va rapidement avoir des soucis, ce à quoi elle répondit qu’elle adorait ce genre soucis. Elle m’aspirait le gland avec délectation tout en continuant à me branler. Je lui dis que j’allais jouir et elle retint mon sexe dans sa bouche en continuant de plus en plus vite. Soudain je me sentis partir et je lui envoyais trois longs jets de sperme qu’elle avala sans en perdre une goutte. Elle se redressa et m’embrassa, sa langue vint chercher la mienne. Pour la première fois je goutais à ma semence qu’elle avait gardée en bouche et trouvait le geste très érotique. Après une douche réparatrice et quelques coupes de champagne, ils décidèrent de dormir car le lendemain matin ils avaient leur dernière réunion et repartaient le soir par le train à Paris.
A son réveil, Didier sentit des picotements dans le bas du ventre. Entrouvrant les yeux, il vit que Caroline l’avait pris en bouche et le branlait avec fougue. Il adorait être réveillé de cette façon. Elle l’aspirait très fort et avant que Didier puisse la prévenir, il lui envoya une grosse quantité de sperme dans la bouche qu’elle but avec dans les yeux une expression de plénitude.
- Bonjour Ma Chérie, merci pour un si agréable réveil.
- De rien Mon Cœur mais Monsieur le Directeur mais maintenant tu vas être sage et je saurai te récompenser ce soir dans le train.
Ils se préparèrent tranquillement et bouclèrent leurs valises. Ils descendirent déjeuner et Didier en profita pour demander à la réception de se charger de faire transformer les billets des 2 singles en billet d’un compartiment a 2 et de venir lui confirmer la réservation.
Ils passèrent la matinée avec les clients italiens et à 12 h tout était réglé. Il déclina leur invitation pour déjeune en tète a tète avec Caroline. Ils trouvèrent un sympathique restaurant sur la place Saint Marc et partirent ensuite main dans la main déambuler dans Venise. Apercevant la vitrine d’une bijouterie, cela donna des idées à Didier qui vint avec Caroline regarder la vitrine. L’œil de celle-ci repéra une bague en aigue marine qu’elle trouvait très jolie. Sans dire un mot de plus Didier l’entraina à l’intérieur et le bijoutier fit essayer à Caroline la bague. Elle la trouvait certes très jolie mais dit à Didier que ce n’était pas dans ses moyens. Il lui dit que peut être elle pourrait trouver autre chose et discrètement tendit au bijoutier sa carte de crédit et paya. Il demanda alors à Caroline si elle avait trouvé quelque chose. Celle-ci répondit par la négative. Didier la prit par la main et commença à sortir. Soudain Caroline lui dit :
- Didier attends quand même que j’ôte cette bague.
- Mais ma Chérie, c’est mon premier cadeau pour toi. Ainsi tu auras un souvenir du début de notre relation.
Devant le magasin, Caroline lui sauta au coup et l’embrassa à perdre haleine. Il sentait les seins de sa compagne s’écraser voluptueusement contre son torse et c’est alors qu’il remarqua que sous sa robe, elle avait « oublié » de mettre un soutien-gorge. Il le lui dit et elle répondit que si elle avait oublié le haut elle avait aussi oublié le bas. Cela excita Didier et il se retrouva rapidement en érection.
Ils rentrèrent tranquillement a l’hôtel et attendirent de se rendre à la gare où leur palace roulant les attendait. Caroline en profita pour demander à Didier si elle pouvait porter cette en arrivant au bureau. Il lui répondit qu’il y comptait bien et d’un geste, il enleva la bague de l’annulaire de la main droite pour la mettre à la main gauche, ce qui bien sur serait significatif aux yeux de tout le personnel de la société.
Ils prirent alors leurs bagages et partirent pour la gare…

La suite à venir

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Histoire Erotique
J'ai bien apprécié ces récits, et attends la suite



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