Une première innoubliable - histoire érotique

Bonjour à tous,
Je suis hétéro, marié, et comme beaucoup de mes contemporains j'ai toujours eu dans un petit coin de ma tête le fantasme de la bissexualité. Fantasme que je n'avais jamais eu l'occasion (comprenez osé) mettre en pratique. Car dans ma tête tout était bien clair. Le garçon devait être beau, tendre et surtout actif... car évidemment je rêvais de pratiquer la fellation et d'expérimenter la sodomie.
Or un jour, il y a quelques années maintenant puisque c'était à l'époque de l'antique Caramail, alors que je me promenais sur les salons en rapport avec cet obsédant fantasme, je fis la connaissance d'un mec, Stéphane. Je ne sais pour quelle raison ce garçon m'inspirait confiance et le contact fut immédiatement sympa. Mon nouvel ami me demanda ce que je recherchais ( comme il est usage de le faire ) ce à quoi je lui expliquai ma démarche... qu'il comprit aussitôt. Il me répondit alors qu'il était peut être en mesure de m'aider, à cela près qu'il était passif et non actif. Débuta alors une irréaliste négociation ( irréaliste mais qui m'excitait au plus haut point ). Steph était près à me recevoir chez lui mais à la seule condition que ce soit moi qui lui fasse l'amour et non le contraire. Je lui rétorquai que s'il s'agissait pour moi d'être sucé et de le sodomiser j'avais ce qu'il fallait à la maison. Il plia (à moitié) en m'accordant la sodomie mais qu'il ne reviendrait pas sur la fellation ( autrement dit il me suce et il me fait l'amour ). Dubitatif mais néanmoins TRES excité je finis pas accepter son offre. Il me donne son adresse et 30 minutes plus tard me voici rendu chez lui. Je découvre sur le pas de la porte un beau jeune homme, chevelure brune abondante, deux magnifiques amandes en guise d'yeux, un peu pale à mon gout mais qu'importe, et svelte... il portait un jean qui le moulait à merveille et une chemise blanche ouverte sur un torse imberbe... il me plut instantanément... Je crois que j'ai eu l'air un peu idiot dans son vestibule car je bredouillais n'importe quoi. Steph me mit à l'aise, m'offrit un café histoire de faire un peu connaissance. Les libations terminées il m'entraina dans sa chambre. Je ne pouvais plus reculer. Mais de toute façon il était tellement gentil, tellement doux, tellement adorable que je ne me voyais pas faire demi tour. Je me laissais guider. Sur le lit, il me posa une question qui me déstabilisa complètement... il me demanda si j'embrassais. Ma réponse fut des plus idiotes... un truc du genre " c'est comme tu veux, je ne veux pas déranger !". Il ne se le fit pas dire deux fois. Il approcha sa bouche de la mienne et m'embrassa goulument. Sa langue trouva rapidement la mienne et d'une manière tout à fait experte il alternait sensualité et fougue dans ce baiser qui dura une éternité. Inutile de vous dire que je n'en pouvais plus. lorsque nos bouches se désunirent, nous étions toujours à genoux face à face sur son lit. Stéphane me fit doucement basculer sur le dos, se pencha à nouveau vers moi pour réitérer son merveilleux baiser et je sentis sa main se diriger vers mon sexe. D'un geste qui ne souffrit d'aucune autorité il défit la boucle de mon ceinturon, dégrafa les boutons de mon jean, cessa de m'embrasser pour se concentrer sur la meilleure et surtout plus rapide manière d'enlever mon pantalon. Je ne savais plus où j'étais. J'étais comme paralysé par le pouvoir de séduction et la douceur de cet homme. J'étais électrisé par ses caresses, hypnotisé par chacun de ses gestes. Je sentis ses deux mains agripper mon jean, puis mon boxer. En redressant la tête je remarquai que mon amant avait glissé au pied de son lit et que mes jambes pendaient au bout du lit... j'étais à la totale merci de Stéphane... mon érection était douloureuse et, mentalement, je le suppliais d'y mettre un terme. Et là, en une fraction de seconde je crois que j'aperçu les portes du nirvana. Je sentis la bouche de mon bel amant s'abattre sur mon sexe, le happer à la fois goulument et tendrement. J'eus presque envie de hurler mon bonheur tellement ce fut une sensation merveilleuse. Stéphane était un expert en fellation, vous pouvez me croire. Il sut exactement quoi faire pour me faire réagir, sut prodiguer la caresse exacte pour me faire râler. Il me donnait tant et moi en retour j'étais incapable de bouger, incapable de lui rendre sa tendresse. Mais je crois qu'il sentait qu'il me faisait beaucoup de bien et que cela suffisait à son bonheur. La merveilleuse fellation fit monter en moi un orgasme que je devinai au max de l'échelle de Richter, aussi je me redressai, lui saisis le visage entre les mains avant de jouir car je voulais à présent qu'il me fasse l'amour ainsi que nous l'avions décidé plus tôt. Mon amant acquiesça, sortit un préservatif (pour lui) et un gel lubrifiant (pour moi). Là encore j'eu l'air totalement idiot lorsqu'il fut question d'appliquer le gel sur mon anus. J'ignorais totalement comment faire et me contentai d'en mettre un peu tout autour de mon orifice. Steph, amusé et attendri par ma maladresse pris le relai et me montra comment faire. je sentis son majeur s'enfoncer en moi ce qui me crispa, plus à cause de la surprise que de la douleur. Mon anus lubrifié Stéphane m'expliqua que la position la plus simple (selon lui) consistait au fait que je me mette sur le dos, les jambes relevées et écartées. Je m'exécutai et attendis avec impatience qu'il s'immisce en moi. Et là, le drame... je sentais bien que mon bel amant s'affairait mais il n'arrivait pas à me pénétrer. Pis encore, son érection s'effaçait peu à peu... il n'y arrivait pas. Je sentais sa gène, presque son désespoir. je lui demandai s'il y avait un problème avec moi ce à quoi il répondit que le soucis venait plutôt de lui... étant passif, il n'arrivait tout simplement pas à me faire l'amour. Le pauvre était au bord des larmes. Sa sensibilité me toucha. Je le pris dans mes bras, le rassurai, et l'embrassai tendrement. Mes mains caressaient sa belle chevelure. je ne sais pas si ce fut ce geste là qui le toucha mais lorsqu'il ôta sa bouche de la mienne pour reprendre sa respiration, il m'annonça qu'il avait un cadeau à me faire et le pria cette fois de ne pas l'interrompre. Je compris immédiatement où il voulut en venir. Il se laissa de nouveau glisser au bas de son lit, et repris la merveilleuse fellation là où il l'avait laissée... je crois que toute ma vie je me rappellerai le balai que menaient sa bouche, sa langue et ses mains sur mon sexe... j'avais présagé le degré Richtérien maximum, ce fut pire que cela. Par correction, alors que je sentis que j'allais lâcher la rampe, je mis de nouveau mes mains de part et d'autre de son visage et tentai d'ôter sa bouche de mon sexe, mais il répondit à mon geste par un râle et continua son manège. Alors... alors... dix secondes plus tard, je me sentis défaillir. J'hurlai comme je n'ai jamais hurlé de ma vie... tout mon être fut dévasté par cet orgasme. En 15 années de vie sexuelle, je n'avais jamais été submergé comme je le fus ce jour là. Stephane ne perdit pas une seule goutte de mon sperme, puis recracha discrètement ma semence dans un mouchoir en papier. Il se redressa et vint s'allonger à mes côtés. Bien que littéralement paralysé par l'assaut buccal de mon beau Stéphane, je trouvai la force de l'embrasser fougueusement. Son baiser avait l'agréable gout de mon sperme. Ma main alla directement chercher son sexe fou de désir et commença à le branler. Tout en le masturbant, je continuai à embrasser mon amant presque amoureusement. N'y tenant plus, je lâchai la bouche de Steph descendis plus au sud. Ma folle masturbation continuait. J'entendais mon hôte soupirer son bonheur. Ma bouche descendait toujours. D'abords je léchai ses seins, puis ma langue descendit le long de ses abdos magnifiques... enfin j'arrivai à son sexe... mon amant allait-il me laisser prendre son magnifique sexe en bouche. J'hésitai à franchir le cap, de crainte de le braquer. Mais Stéphane vint à mon secours, comme je vins au sien plus tôt. Mon bel amant compris mon envie irrésistible de le sucer et voyant mon hésitation, posa sa main sur ma tête et la dirigea vers son pénis. Je ne me fis pas prier et commençai à le sucer frénétiquement. Quelle sensation merveilleuse je connus là... son sexe était d'une douceur incroyable. Ma langue glissait le long de cette magnifique bite. Au bout de quelques minutes, Stéphane se cambra de bonheur et me prévint qu'il allait jouir... voulant lui rendre la pareille, je continuai à sucer mon amant jusqu'au bout. Son cri de plaisir me combla de bonheur... je sentis sa semence envahir ma bouche par jets violents et épais... encore une sensation merveilleuse que je découvris là... par curiosité j'essayai d'en avaler un peu mais revint vite sur ma décision... je n'en aimais pas le gout. Stéphane me tendit un mouchoir dans lequel je crachai son sperme.
Nous avons mis au moins vingt bonnes minutes avant de recouvrer nos esprits.
Nous nous séparâmes non sans se promettre de se revoir... je lui confiai alors mon désir, si possible , de passer une nuit entière dans ses bras... ce que nous fîmes quelques semaines plus tard... mais ça, c'est une autre histoire.
Cette fois là fut ma première et inoubliable fois avec un homme... cette fois là en appela beaucoup d'autres, notamment avec mon bel amant.
J'étais hétéro en franchissant le seuil de l'appartement de Stéphane... il a fait de moi le plus heureux des bisexuels.
Seb.