La terrasse du café.

- Par l'auteur HDS Pabloexperience -
Auteur homme.
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Récit libertin : La terrasse du café. Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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La terrasse du café.
Haaaaa Paris! Voilà une histoire toute fraîche. J'adore me balader à Paris, et ces derniers jours,
il a fait particulièrement beau, ça annonce le printemps, et il fait même très chaud. Et que fait-on
un lundi quand tout le monde (sauf moi) en est à accomplir son dur labeur enfermé dans un bureau? Je
sors!

Alors, le programme était simple, débarquer en train, et flâner, ne rien faire, me laisser guider et
découvrir de nouveaux endroits. Je descendais le boulevrad Sébastopol, une boisson à la main, vers
le centre de la capital. Il faisait assez chaud pour la saison, et je dois le confesser, c'est le
genre de saison qui me donne des envies torrides. La croisée de quelques travailleuses du sexe ,
dont une particulièrement jolie achevèrent d'installer à mon esprit l'envie de baiser. Finalement,
voila un bon programme, me balader, et pourquoi pas rentrer dans le nid conjugual détendue et
apaisé. Toujours est-il que mes ambitions n'étaient pas de m'arrêter de suite, mais plutôt
d'attendre.

J'arrivais sur le quartier des halles, bondé. Trop de monde pour moi. je remontais alors sur le
marais, et arrivait sur une petite place. J'avais suffisemment marché, et j'avais besoin de repos.
Je m'asseyais donc un café, et commandait un petit noir en terasse. C'est le meilleur moment de
l'année, et j'avais bien l'intention de buller au soleil. L'endroit était calme, et seul un mec
était attablé à côté de moi. Plutôt beau mec d'ailleurs. Son regard se leva de son bouquin, et il me
détailla avant de se replonger dans sa lecture. Je laissais tiédir mon breuvage, prenant juste le
temps, ne pensant à rien. Le mec posa alors son bouquin, et commença à faire la conversation, vous
savez, juste pour parler, le beau temps, Paris qui n'est plus ce qu'il était, etc... Le tutoiement
fut de rigueur au bout de quelques phrases.

Il appela alors le serveur, et régla sa note, puis ajouta "celle de mon ami aussi". Un peu surpris,
je ne savais pas vraiment quoi dire.

"Chez toi, ou chez moi?" était la phrase qui décodait toute la situation.

Pour être honnête, j'étais un peu surpris. Pas de me faire emballer par un mec à qui j'ai donné tous
les signaux, surtot ici, dans le quartier, mais surtout par la rapidité et de côté directe du mec.
Mais j'avais envie de baiser, et je n'ai plus l'âge de faire ma mijorée.

N'étant pas du quartier, nous allâmes chez lui... en face du café. 2ème étage d'un immeuble en plein
quartier bobo. A peine la porte fermée, mon inconnu se tourne, et m'embrasse à pleine bouche. Goùt
café. Après quelques minutes d'une étreinte brûlante, sentant mon t-shirt se coller à ma peau dans
ce petit appart où il faisait chaud, je repoussais légèrement mon amant pour reprendre mon souffle.

Il m'invita à prendre place sur le canapé.

"Mets toi à l'aise, enfin, plutôt à poil, c'est mieux!"

Chose faîte en deux temps trois mouvements, mon jean serait devenu une éponge autrement. Et ma queue
avait soudainement prit toute la place dans mon slip. Je me retrouvais donc, confortablement
installé dans le canapé, face à mon amant qui avait aussi retiré ses fringues. Beau mec, je vous
dis. Simple, mince, cheveux courts grissonant, m'empêchant de lui donner un âge, des yeux bleu
acier. Et puis, une belle queue. Encore tombante, avec des traits bien dessinés, un prépuce assez
court. Elle était au repos d'une dizaine de cm, mais assez épaisse. Juste dessous, une belle paire
de couilles pendaient, le tout rasé de prêt.

Il s'approcha de moi, qui ne regardait que sa queue, affalé. du bout des doigts je caressais son
corps, dont il semblait très fier. je me redressait, puis lui livrait un banal compliment, et fit
face à sa queue que je caressais. Je faisais durer cet instant, celui juste avant de gouter une
nouvelle queue. La salive le venait à la bouche, puis j'ouvrit les lèvres, et entreprit de faire
durcir l'engin. Il soupirait à chaque allés et venues, que je voulais lent, et profond. Sa queue
finit par devenir bien dure: 15 bon cm de chair, plutôt épais, rien que pour moi en cette instant.
Ma main lui caressait sa belle paire, et un doigt glissai, sans effort entre ses fesses.

Puis, je me jetais en arrière, et releva mes hanches. Je ne vous fait pas un dessin, moi aussi, je
voulais me faire pomper. Pour l'anecdote, j'avais rasé aussi mon sexe, peut être pas aussi bien que
mon camarade du moment, mais j'ai prit cette habitude récemment. Mes amants aiment, et ma femme,
après un peu d'incompréhenssion, n'y a pas vu d'inconvénients.

Il se mis à 4 pattes et commença à me sucer hardemment, me caressant les cuisses, la raie. Je
m'abandonnais, fermait les yeux. Sa main frottait un peu plus profond dans ma raie jusqu'à mon petit
trou. Il faisait de plus en plus chaud, et la sueur entre mes lobbes faisait office de lubrifiant.
J'écartais les cuisses, signal pour lui, que mon anus n'offrirait aucune réistance. Détendue, la
queue gluante de salive, je le laissais me pénétrer doucement. Forcément, devant la facilité avec
lequel le premier avait trouvé sa place, il enfonça un second doigt. Il arrêta de ma sucer, et remua
d'un coup ses doigts, m'arrâchant un long râle de surprise. Il tenait sa prise, et achevait sa
préparation, tout en caressant mon sexe bien droit.

Puis, il retira ses doigts. Pas besoin de parler, je me retournais et me cambrais, lui offrant mon
oeillet. j'enfonçais ma tête dans les coussins, prêt à recevoir la queue épaisse de mon amant. je
l'entends s'activer dans un tiroir. J'aurais aimé lui mettre la capote moi même. J'adore ça. D'une
main, il me caresse les fesses, puis je sens soudain, le liquide froid, et ses doigts l'étaler, puis
enfoncer ses doigts glissants dans mon trou, sans effort.

Il retire ses doigts et présente son sexe. Entrée lente, poussée régulière. Sa queue est large, je
vais la sentir passer. J'ai le cul moite, gluant, glissant. une fois passé le gland, elle coulisse
sans problème jusqu'au fond, me coupant le souffle. Quelques secondes de répit, et il commence à me
baiser, je me cambre plus, je la sens bien, chaque centimètre glisse en moi sans résistance. Je
couine comme une salope, la tête dans les coussins.

Il accélère le rythme, me baisant vraiment brutalement. Je sens son souffle fort, et son gémissement
à chaque effort pour me baiser plus fort. J'ai les jambes tremblantes. il retire sa queue, contemple
quelques secondes mon trou ouvert, et la recale au chaud d'un coup sec. J'aime cette sensation quand
on se fait enculer, ce petit manque quand il se retire.

Au bout de quelques minutes à me limer, il s'arrêta. Et se retira. Il glissa ses doigts rapidement
dans mon cul, puis m'invita à se retourner. Il avait enlevé la capote, et me présentait son sexe.

"ne me fais pas jouir, vas y doucement"

J'enfouranis sa bonne queue. Elle sentait mon cul. Cette pratique, j'ai eu beaucoup de mal à m'y
résoudre, je fermais les yeux et m'abandonnais. Il imposa son rythme, et me baisa doucement la
bouche. Il se retira, et partit chercher de l'eau. Il faisait terriblement chaud, tout me collait à
la peau, surtout le cuir du canapé. Il s'assit à côté de moi pour reprendre son souffle. Nous nous
branlions doucement, mutuellement. Je L'embrassais longuement.

"Allez à toi maintenant"

il releva ses jambes, je glissais mes doigts, son cul était dilaté, ils rentrèrent sans effort. Il
m'indiquait la petite table où se trouvaient les capotes. Je l'enfilait rapidement. Ma queue est
plus fine, mais un peu plus longue. Je lui présentais afin qu'il la lubrifie lui même, puis je
faisais couler une bonne dose de gel. Je me présentait face à lui, il avait les fesses sur le bord,
et il tenait ses jambes relevées. Pendant un long baiser, mon gland passait sans effort le rampart
de l'anus. Il se jeta alors en arrière, et j'ai commencé à le baiser profondément pendant qu'il
gémissait sans retenue.

Puis il se releva, et je le prit debout. Les va et vient allaient de puis en plus vite. Il me
stoppa.

"Je veux qu'on jouisse ensemble"

On s'allongea donc au sol, il était plus frais que le reste, mais pas très confortable. Je lui
branlais rapidement sa queue, et lui faisait de même. Je sentais que je n'allais pas tarder.. Il mit
alors du lubrifiant dans sa main, et ma branla à toute vitesse. Je jouis alors dans sa main, en
l'embrassant.

C'était mon tour de lui rendre la pareil. Je me baissais vers son sexe, et commença à le sucer
pour lui redonner toute sa vigueur après la sodomie. Elle sentait toujours aussi fort le cul. Je
pompais et aspirait de toute mes forces, puis je crachais dans ma main et activait alors le rythme
jusqu'à l'orgasme, en partie sur moi.

Nous restâmes un moment allongé, à nous embrasser. Ce n'est pas ce que je préfère, je suis plutôt du
genre à partir comme un voleur, une fois que j'ai eu mon compte. Mais la chaleur m'avait coupé les
jambes. Nos queues étaient retombées, gluantes, et nos culs étaient bien dilatés. Je n'avais aucune
envie de partir, j'étais bien là.

Mon amant du jour m'invita à utiliser sa douche avant de repartir, il avait le sourire, la partie
lui avait plu. Pour tout vous dire, moi aussi. Les plans improvisés sont les meilleurs.
Sa douche était petite, juste une personne. Je rentrait dedans, et commençait à me laver, à l'eau
tiède, ça fasait un bien fou. En sortant de la cabine, mon amant était là, à me regarder, et il
avait retrouver toute sa forme. Assis sur les toilettes, il me tira vers lui, et m'embrassa le
corps. Puis les fesses. Il avait la queue à nouveau dure, et s'était bien branlé pendant que je
prenais ma douche. Son doigt glissa dans mon anus encore bien large. Il ouvrit le tiroir à sa portée
et reprit une capote. Je n'étais aps trop sur de vouloir remettre ça, mais je n'en étais plus à me
poser des questions.

Une fois équipée, lubrifiée, je m'assis sur lui, lachant un hoquet, me surprenant moi même en
m'empalant d'un coup sur son manche. Puis, je coulissais sur sa queue. La situation était peut être
excitante, mais il faut admettre que ce n'était pas très confortable. Alors, je me suis levé, et il
m'a prit longuement, sauvagement contre le lavabo. J'avais le cul en feu, et je n'en pouvais plus.
Il était éssouflé. Je m'agenouillait alors devant lui et entreprit de le pomper à fond. Il me baisa
la bouche à grand rythme, puis je le sentit partir, et il jouit pour la seconde fois, mais son jus
attérit sur mon menton, et son torse.

une seconde douche, puis un verre, et je rentrais chez moi, sans regretter cette super aventure.

Les avis des lecteurs

Voila le genre d'aventure qui me fait bander rien qu'en m'imaginant dans une situation identique. J'adore!

Histoire Erotique
histoire simple , bien raconté , mais je l ai bien sentie faire son travail d eveil des sens , faut dire qu aussi je me retrouve un peu dans l histoire , merci du bon moment

Histoire Erotique
merveilleux; je rêve de vivre la même chose, je t'envie; j'aurais aimé être à ta place!!!!



Texte coquin : La terrasse du café.
Histoire sexe : Une rose rouge
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