en réponse à Georges

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : en réponse à Georges Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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en réponse à Georges
POUR GEORGES

Ma fleur était intacte à 25 ans, je ne l‘ai perdu qu‘après. Depuis le temps que je jouis j’ai eu
largement l’occasion de me faire dépuceler. Voici un récit raccourci de ma vie.
Je devais avoir 14 ans quand je me suis mise sérieusement à la masturbation, tout ça pour avoir vue
une vague cousine qui se donnait du plaisir sous la douche: jambes écartés, le jet vers son entre
cuisse, les yeux dans le vague et un soupir final et ces simple mots:
- Enfin depuis que j’en avait envie j’ai bien jouis.
Dès le lendemain, à mon tour en me douchant j’ai fais l’essai: une surprise de sentir un bien être
m’envahir: je gardais le jet un bon moment sur mon sexe quand j’ai eu la deuxième surprise, je
sentais monter un plaisir innommable qui semblait monter de ma chatte pour aller partout. Mon corps
était secoué d’une vague qu’il me tardais déjà de retrouver. J’ai recommencé de suite après ce
premier orgasme (je n’ai connu ce mot que bien plus tard). J’ai joui encore plus vite.
Je suis sortie de la douche totalement conquise. J’ai trouvé un autre moyen de jouir quand je
passais la serviette pour m’essuyer.
Je ne pouvais m’empêcher de parler à Katie, ma meilleur amie de ce que je venais de découvrir. Elle
se moquait de moi, parce qu’elle le faisait depuis un ou deux ans.
Je l’aurai giflé: pourquoi elle ne m’en avait jamais parlé avant. Elle avait un peu honte de prendre
du plaisir en solitaire. Pourquoi rester seule alors. Je l’invitais pour le Samedi soir pour la
nuit, ma mère en été satisfaite. Je n’ai jamais su si c’était à cause de la présence d’une copine,
où de ce qui risquait de se passer entre filles.
Car il s’est passé ce que je redoutais tout en l’espérant. Nous nous sommes couchées, Nous avons
reparlé de nos plaisirs. Du coup nous avons repoussé le drap, nous avons enlevé nos chemise de nuit
de petites filles sages. Nous décidions de nous masturber en nous regardant pour que nous ayons un
plaisir en commun et non plus solitaire. Katie avait les jambes bien ouvertes. Je voulais en voir
plus, je me mettais au pied du lit, mes jambes aussi ouvertes que les siennes. Nous pouvions voir
nos chattes sans peine. Je me souviens encore que je mouillais sans arrêt. Katie me disait qu’elle
avait réellement envie de se branler. Sa main venait sur la chatte. Elle écartait les lèvres pour
faire ressortir son bouton. Moi, aussi je n’en pouvait plus, je commençais à ma masturber en la
regardant. Nous avons joui comme jamais. Elle a eu encore envie un moment après quand j’étais près
d’elle. Elle m’a donné aussi envie. Elle a eu l’excellente idée de me demander de la caresser. C’est
à partir de cet instant que mon orientation sexuelle c’est conclue. J’ai pris du plaisir en lui en
donnant. J’ai aimé aussitôt sentir ma main sur un sexe féminin mouillé. J’ai adoré lui caresser la
chatte, partout, même dans des endroits que je ne connaissais pas encore. Je l’ai faite jouir
plusieurs fois. Elle me le rendais bien.
Petit à petit nous en sommes venues aux 69. J’ai aussitôt adoré le gout de sa chatte et de sa
cyprine. Je pense qu’elle n’était indifférente à mes fluides.
Un jour elle a déménagé. Je ne l’ai plus revue. Dommage, je ne sais même pas si elle aime toujours
les filles, si elle est mariée, enfin je ne connais plus rien sur elle.
J’ai bien du me contenter de ma main pour jouir. Elle me manquait terriblement. Dans mon malheur
j’ai eu la chance de trouver une femme plus âgée.
J’allais chez elle, une voisine, Henriette, pour porter un journal de ma mère. J’entrai chez elle
sans frapper. Je me suis senti indiscrète quand je l’ai vue nue, les jambes écartée sur un fauteuil:
elle se branlait. Elle m’a vue juste au moment où j’allais partir, toute rouge sans doute.
- Approches toi, n’ai pas peur, je me fait plaisir.
- Je n’ose pas.
- Tu te masturbe bien quand même ?
- Oui, mais depuis que Katia est partie……….
Je me tais, j’en ai trop dit.
- Katia, vous faisiez l’amour toutes les deux ,
- Oui, ça nous arrivait des fois.
- Des fois ou souvent ?
- Souvent.
- Viens, aimons nous.
J’avoue que sa proposition n’était pas pour me déplaire, alors, je suis allé vers elle.
J’étais encore jeune, elle m’a fait assoir sur ses genoux, m’a déshabillé sans que j’ai honte. Elle
m’a embrasé sur la bouche comme dans les films. Elle ne savait pas que c’était mon premier baiser.
J’aimais quand sa langue venant chercher la mienne. Elle m’embrassait toujours quand elle pose une
main entre mes jambes. Je les écarte vite tellement je suis excitée. Elle trouve ma chatte toutes
mouillée. Je sens sa main envelopper ma chatte et deux doigts se poser sur mon bouton. Elle le
caresse bien mieux que Katia. Je sais que je sursaute, que mon ventre se creuse quand sa caresse est
plus forte. Elle s’arrête souvent pour me donner l’occasion de désirer encore plus ses doigts. Et
enfin je me détend comme un ressort. Il crois que j’ai crié quand elle m’a achevé d’un orgasme
inconnu.
Elle me demandait si je savait sucer une fille, à ma réponse, elle ouvrait ses jambes pour me donner
sa chatte et tous ses trésors. Je la suçais à peine quand elle m’a demandé de venir me coucher avec
elle.
Dans le lit, nous nous sommes mises en 69. Je me souvient encore quand elle me suçait en mettant un
doigt dans l’anus. Je découvrais le plaisir anal. J’en faisait autant. Elle voulait par contre
trois doigts dans son cul. Ca me semblait beaucoup, pour elle c’était une autre façon de la sodomie.
Ce n’est que plusieurs semaines plus tard que je pouvais « avaler » trois doigts dans mon derrière.
Je commençais à travailler et j’étais toujours avec ma voisine Henriette. Elle était vicieuse sans
vulgarité. C’est elle qui m’a demandé de me faire dépuceler. Nous ne pouvions pas baiser normalement
toutes les deux si je gardais encore ma fleur.
Il a fallu que je trouve un garçon apte, d’après moi, à me faire femme. Je ne le trouvais jamais:
celui là est trop grand, l’autre pas assez. Bref j’avais envide de me faire sauter la capsule comme
d’aller me pendre. Je tombais quand même sur un nommé Georges. Il me plaisait, il semblait gentil et
je ne pensais pas que sa bite soit trop grosse. Je me suis carrément offerte, comme une pute. Il a
vite fait le tour du problème: en moins de 8 jours nous étions couchés chez lui. Je ne regardais
rien d’autre que lui. Il m’a déshabillé habilement.
J’ai eu peur quand je voyais sa bite: elle me semblait énorme. Il m’embrassait, me caressait la
poitrine ,moins bien qu’Henriette, mais suffisant pour m’exciter assez. De toutes façon qu’il me
baise bien ou non était secondaire. Quand la bite en entrée en moi, j’ai serré les dents. Il m’a
fait mal en déchirant mon hymen. Je l’ai senti me pénétrant jusqu’au fond: j’ai senti un léger bien
être juste au moment ou il crachait sa semence. J’était devenue femme. Il a voulu m’enculer. Je
voulais essayer avec une bite et non plus des doigts; Il m’a bien mouillé l’anus quand j’étais en
levrette: je sentais sa salive sur mon cul quand il crachais dessus. J’ai senti sa queue quand il me
la mise dans le cul. Il me faisait mal. Ce n’est que quand je me suis détenu qu’il est entré au fond
de mes entrailles. Pour me consoler de m’enculer, il me branlait le clitoris, maladroitement, comme
font les hommes qui ne possèdent pas de la même sensibilité que les filles.
Enfin, il me sodomisait. Il devait y trouver son plaisir puisqu’il jouissait encore une dernière
fois au fond de mon cul. J’aurais aimé qu’il me lèche la chatte et ensuite l’anus. Il a du oublié.
Je suis parti, il a été mon seul homme, même si j’ai des godes, je les préfère à une bite réelle.
Henriette a inauguré avec moi le gode qu’elle venait d’acheter. Elle me la mis dans le vagin,
lentement en s’arrêtant souvent: j’ai joui pour la première fois de mon vagin avec une bite. Elle me
la mis ensuite sur l’anus. J’ai poussé pour qu’il entre à fond et j’ai encore joui. J’ai rendu ce
qu’elle m’avait donné.
Plus tard j’ai eu pas mal d’amantes, j’en ai encore une aujourd’hui. Je sais que c’est ma dernière:
j’ai 45 ans, l’âge où on s’assagi.

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