linda et les flics

- Par l'auteur HDS Coco -
Récit érotique écrit par Coco [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : linda et les flics Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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linda et les flics
Il faisait beau et extremement chaud cet après-midi là. Il faisait tellement beau que Da avait décidé d’aller faire un tour de voiture dans le nord. Elle n’avait plus de copain depuis trois semaines et toutes ces amies étaient occupées. Linda s’ennuyait toute seule et elle avait besoin d’un homme. Trois semaines déjà que sa petite chatte n’avait pas été visité! C’était long, trop long.

Elle a donc pris une douche, elle c’est crèmée et parfumée. Elle est restée nue, le temps de préparer son sac à dos. Da n’a pu s’empêcher de s’arrêter devant le miroir afin de se regarder et de se caresser un peu. Elle commença par prendre ses seins dans ses petites mains, ses seins étaient trop gros pour ses mains mais une main d’homme en était pleinement satisfaite. De ses délicates mains, donc, elle malaxa ses seins, elle pétrit ses mamelons jusqu’à ce qu’ils se dressent arrogament. Puis elle lècha le majeur de sa main droite et enfoui sa main entre ses jolies cuisses. Elle glissa lentement son doigt mouillé sur sa fente, lentement de bas en haut. Un frisson l’a parcouru, elle recommença et cette fois elle se diriga vers son cher clitoris. Elle commença de le caresser tout doucement. Elle se mordit la lèvre inférieure et agita son doigt un peu plus rapidement. Son clitoris lui procurait de fortes sensations et elle s’en délectait. Elle jouit de se plaisir solitaire et s’imagina se faire prendre par un homme viril et autoritaire. Elle se reposa quelques minutes sur son lit puis elle alla s’habiller. Elle mis une camisole munie de très très fine bretelles, une mini-jupe moulante et une paire de sandales, aucun sous-vêtement. Elle voulait faire tourner les têtes, elle voulait que ses seins pointent au travers de sa camisole, elle voulait que ses fesses rebondissent dans sa minuscule jupe.

Ça faisait déjà une bonne demi-heure qu’elle roulait sur l’autoroute des laurentides. Les fenêtres étaient ouvertes et la musique jouait très fort. Elle faisait attention de ne pas excéder la vitesse permise. Elle fut donc surprise de voir une auto-patrouille, qui faisait du radar sur le coté de la route, démarrer derriere elle sans toutefois allumer ses gyrophares. L’auto-patrouille ne faisait que la suivre, avec à son bord deux agents masculins. Au bout de quelques minutes, le véhicule policier changea de voie vers la gauche et vint se placer à la hauteur de son véhicule. Le policier qui était du coté passager était carrément viré sur son siège et regardait en direction de Da tandis que le regard du conducteur alternait entre Da et la route. Elle remarqua vite leur petit manège et fit exprès de laisser tomber sa bretelle sur son bras gauche sans toutefois les regarder, elle adorait faire son agace. Puis la voiture de police ralentit et vint se repositionner derrière elle. La jeune femme crut alors que les deux flics c’était assez rincé l’oeil et qu’il allaient maintenant retourner à leurs tâches. Mais ce ne fut pas le cas, les gyrophares se mirent à tournoyer et la sirène se mit à hurler puis les policiers lui firent signe de se ranger sur le coté.

Elle avait aimé jouer leur petit jeu quelques minutes plus tôt, elle se plaisait toujours de jouer les allumeuse et d’ensuite laisser les hommes avec leur érection entre les mains mais là ce n’était plus drole du tout. Que pouvait-il lui reprocher, elle n’avait enfreint aucun règlement au code de la route. Elle sentit la frustration monté en elle, les deux machos c’était rinçé l’oeil et maintenant ils allaient lui donner une amende, elle comptait bien protester.

Une fois les véhicules stoppé, les deux policiers s’approchèrent du véhicule de la jeune femme. Le conducteur vient à la hauteur de sa fenêtre et engagea les procédures habituelles :

- Bonjour mademoiselle, je vous arrête parce que vous rouliez un peu vite.

- Pardon monsieur,en aucun temps je n’ai dépassé la limite permise sur cette autoroute, rétorqua aussitôt la jeune femme.

- Calmez vous jeune fille, je vous trouve très nerveuse, auriez-vous quelque chose à cacher. Veuillez sortir du véhicule immédiatement!

- Quoi! Mais c’est complètement absurde!

- Sortez de votre véhicule, mademoiselle ou vous serez accuser d’entrave au travail des policiers!

Elle sortit de son auto en soupirant et en jurant.

- Je vous trouve très énervé mademoiselle, lui dit le deuxieme flic, vous sembler avoir quelque chose à vous reprocher. Nous allons devoir vous fouiller!

- Non, mais vous n’êtes pas sérieux! Répondit la jeune femme.

- Veuillez mettre vos mains sur le capot madame, immédiatement!

Ne sachant plus à quoi s’en tenir, elle fit ce que les patrouilleur lui avait dit. Elle posa ses deux délicate mains sur le capot de la voiture de police. L’un des patrouilleur lui ordonna d’écarter les pieds puis il commença de la fouiller. Il passa ses mains sur ses épaules et les fit glisser lentement jusqu’à ses petits poignets. Ensuite il posa ses mains sous ses aisselles et les fit glisser le long de son corps jusqu’à atteindre ses hanches. Il posa ses deux mains alentour de la cuisse droite et les passa ainsi sur toute la longueur de la jambe. Il fit la même chose avec la jambe gauche sauf que lorsqu’il fut rendu à la cheville, plutôt que d’enlever ses mains de son corps, Da sentit les mains du policier remonter lentement sur son mollet puis sa cuisse mais il n’arrêta pas là, il poursuivitt sa progression et vint plaquer sa grosse main sur la petite chatte, nue sous la jupe. Da le repoussa vivement et lui dit d’enlever ses sales pattes de sur elle. Elle fut rapidement maîtrisée par les deux policiers et celui qui avait effectué la fouille dit à son collègue :

- C’est bien ce que je croyais, port illégale de mini-jupe sans sous vêtement, passe lui les menottes!

Avant qu’elle n’ait eu le temps de réfléchir, elle se retrouva menotté au travers des fenêtres de la voiture mais d’une drole de façon. Elle n’a qu’une seule main d’attacher, une menotte autour de son poignet gauche, la chainette qui fait le tour du cadrage de la portière de la voiture de police et l’autre menotte autour du même poignet. Aussitôt elle demande :

- Pourquoi m’avez-vous attaché ainsi!!

Le policier qui avait effectué la fouille repond :

- Nous allons te laisser une chance et si tu te comporte bien tu pourras partir sans trop d’ennuis avec la justice. Tu va bien écarter les jambes, je vais relever ta jupe et tu vas te caresser avec ta main libre.

- Mais vous êtes fous, jamais de la vie!!

- C’est ça ou bien le tribunal petite agace!


Elle se mit à insulter les policiers, quand même elle était une fille bien élevé mais fut surprise de sentir sa chatte s’humecter et dû s'avouer que sa position commencait à l’exciter. Elle cessa ses excès de langage commenca de se faire suppliante au près des deux flics :

- Bon, d’accord mais ensuite vous me laisserez partir et je n’aurai qu’a me toucher seulement?
- Commence toujours et on verra!

Da se passa lentement le majeur dans la bouche puis fit descendre sa main le long de son corps jusqu’à la rencontre de son jardin d’amour. Elle fit glisser son doigt mouillé à l’intérieur de sa fente et commenca de caresser tranquillement son clitoris gonflé par l’excitation.Au début elle se caressait lentement seulement pour satisfaire le regard des deux voyeurs de flic puis peu à peu elle sentit une délicieuse jouissance monter en elle, ses jambes commencèrent à faiblir, ses genoux fléchirent tranquillement. Les menottes glissèrent le long du cadre de la portière et elle se retrouva bientot accroupit, sa main attachée qui s’agrippait au cadre de la portière, les jambes grandes écartées. Elle se masturbait vigoureusement devant ces deux flics qui bandaient au travers de leur uniforme. Ils l’a regardait se faire jouir, sa chatte ruisselante qui déversait son jus sur l’intérieur de ses cuisses. Elle eu un fulgurant orgasme qui fit trembler tout son corps. Elle poussa un délicieux soupir, ce qui eu pour effet de faire augmenter encore un peu plus la taille des sexes des deux agents voyeurs. Le premier flic ne pu se retenir et il sorti sa bitte de son pantalon et commença à se masturber. Il avait une magnifique queue que Da se mit à admirer, c’était maintenant elle la voyeuse. Elle regarda cette main virile s’affairer sur ce beau pénis et elle eu envie de le prendre en bouche, elle était toujours accroupie, elle fit signe de son index et le flic s’approcha sans hésiter. Da enleva la main du policier de sa propre queue, saisie cet engin de plaisir avec sa main délicate, elle continua la masturbation de façon lente puis elle approcha le pénis de son visage et elle fit glisser le gland sur sa joue douce, sur son front et son autre joue. Le flic n’en pouvant plus, passa sa main derrière la tête de la douce, lui saisi fermement les cheveux et l’intima de le faire jouir de sa jolie bouche. Elle le suça goulûment, caressa ses couilles, elle glissa même son doigt près de l’anus du flic et le sentit frémir dans sa bouche. L’homme la prévint qu’il était sur le point de jouir, elle le finit à la main et il éjacula sur son cou.

Son collègue qui était resté à l’écart pour le moment, n’avait pas l’intention de rester ainsi avec son érection mais lui ce qui l’intéressait c’était la petite chatte ruisselante. IL s’approcha de Da, il détacha les menottes et l’aida à se relever. Il l’amena près du capot, l’a fit penché par en avant et mettre ses mains sur le capot de l’auto-patrouille . Il sorti sa queue et présenta son gland à l’entrée de la petite chatte toute mouillé. Da sentie dès lors que son nouvel amant était mieux membré que le premier, le gland qu’elle sentait à l’entrée de son sexe semblait être d’une taille qu’elle n’avait encore jamais connue. Le flic l’a pénétra doucement et elle sentie sa chatte remplie comme jamais. Il commença à aller et venir dans sa petite chatte, Da adossa sa joue droite sur le capot et se mit à sucer son index. Cette grosse queue allait la faire jouir bientôt, après trois ou quatre minutes de se traitement elle sentie la jouissance monter en elle et elle s’en délecta. Elle jouie tout en gardant son doigt dans sa bouche et elle gémit la bouche pleine. Le flic se retira mais il n,en avait pas encore finit avec sa chatte aimante. Il retourna Da et l’étendit sur le dos sur le capot, il l’a saisi par les cuisses et l’installa de façon à se que ses fesses se retrouve sur le bord du capot, un peu dans le vide. Il prit son pénis en main, toujours aussi dur et il l’a pénétra à nouveau, en missionnaire, elle couché sur l’auto et lui debout. Maintenant qu’il savait que la chatte de Da était habituée à la grosseur de son membre, il l’a pilonnait sans retenu. Le premier flic qui se remettait doucement de ses émotions, s’approcha et se mit à lui caresser les seins et à l’embrasser de façon fougueuse. Da se faisait baiser comme une salope, elle avait la langue d’un mec dans sa bouche et la magnifique queue d’un autre mec dans sa chatte, et elle adorait. Le flic avec la grosse queue se mit à gémir, il était au bord de la jouissance et ralentissait un peu la cadence. Da écarta celui qui l’embrassait et lui caressait les seins, elle se releva et saisi l’autre par les fesses et elle se mit à le tirer, à chaque va et vient elle ramenait la queue dans son ventre de façon brutale.

- je vais jouir , dit le flic . Da était au bord d’un orgasme grandiose :
- Oh oui, oui, oui jouis en moi, aaaaaah oouuiiiii!!!
Le flic planta sa queue au fond de son vagin et il éjacula des torrents de sperme. Les seins et le ventre de la belle se mirent à trembler tellement l’orgasme était fort. Elle se laissa retomber sur le capot, à bout de force.
Les deux flics aiderent Da à s’installer dans son auto, l’a gratifierent tous deux d’un baiser sur la joue et d’un : -Merci mademoiselle . Et il partirent continuer leur travail. Elle était morte de fatigue et retourna chez elle avec le souvenir d’une extraordinaire baise.

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