9 jours tranquilles à Antibes. 4e chapitre.

- Par l'auteur HDS Henrivakan -
Récit érotique écrit par Henrivakan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : 9 jours tranquilles à Antibes.  4e chapitre. Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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9 jours tranquilles à Antibes. 4e chapitre.
(pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.


A midi 30, je viens juste de sortir de la douche quand mon portable sonne. C’est peut-être Gaëlle … Non, c’est Sylvie.
Carine ne vient pas, mais elle, elle est d’accord. Je lui donne mon adresse et lui explique comment venir.
Youpi ! Elle arrive dans une heure. Moi qui commençais à croire que mon après-midi était foutue.
Elle a bien compris ce qui l’attendait. Elle n’est pas surprise, qu’à peine arrivée je me jette sur elle.
Une fois nus tous les deux, elle me fait une fellation plutôt maladroite. Je l’arrête et je propose :
-« On peut peut-être passer à autre chose ? »
Sylvie, blottie contre moi, aimerait savoir ce que j’ai fait à leur voisine du camping pour provoquer de tels orgasmes. La curieuse !
Je fais semblant d’être gêné :
-« Ben on a fait plusieurs trucs, mais ça m’embête de te dire ce qui l’a faite prendre son pied, je voudrais pas que tu pense que c’est une salope. »
-« Allez, dis-le moi. »
J’arrange un peu la vérité :
-« Ben, elle a voulu que je l’encule … » « Tu es choquée ? » (Elle a l’air troublé).
-« Non, non, c’est juste que je suis surprise … »
-« Tu ne vas pas me faire croire que tu n’aimes pas la sodomie … »
Je sais bien que la plupart des filles n’aiment pas ça. Je sais aussi qu’elles n’osent pas l’avouer de peur de passer pour des pucelles coincées.
-« Ben, parfois j’aime bien. » Elle se reprend vite, car elle a compris ce qu’elle risque. « Mais je ne le fais qu’avec des garçons que je connais bien. »
-« On se connais déjà pas mal tous les deux. N’est-ce pas ? » Dis-je en riant.
-Non, non. Tu es bête ! »
J’essaye de la faire changer d’avis. J’ai fait la démonstration que j’étais un expert, elle peut donc me faire confiance …
Rien à faire, c’est « niet » !
Puisque je n’ai pas droit à son cul, je m’occupe de sa chatte entièrement épilée. J’opte pour un classique « missionnaire » suivi par une « petites cuillères » accompagné d’un « touche-minou ».
En bon gentleman, j’attends qu’elle jouisse pour y aller aussi. Rien de fabuleux dans tout ça …
Après cette séance, je lui demande de me raconter sa vie intime et celles de ses copines.
J’apprends ainsi que Clara est très attirée par les blacks. Elle est allée 2 fois en Martinique et c’était pas pour bronzer.
Carine est très sage. Elle n’a connu qu’un seul homme. Il s’appelle Pierre, il est gentil et sympa. Ils se voient tous les week-end. En ce moment il travaille et il doit venir les rejoindre mardi prochain.
Sur elle-même, j’apprends qu’elle a eu pas mal d’aventures. Elle s’imagine être une femme libérée. Elle profite de la vie comme elle vient. Elle prend son plaisir sans rien attendre en retours, sans remord et sans jalousie. Elle ne fait aucune difficulté pour me raconter ses diverses aventures sexuelles. Une seule est un peu hors norme : elle a couché avec deux garçons. Cette expérience lui a laissé de très bons souvenirs, sauf l’épisode de la double pénétration qui fut raté (douleur, mec qui n’arrivait pas à rester en place –probablement une bite trop petite-).

Ce qu’elle m’a dit sur Carine me donne encore plus envie de m’en occuper. Réussir à me taper une fille sage et fidèle, c’est un exploit qui est dans mes cordes.
Puisque Sylvie n’est pas jalouse, y’a pas de raison que ça la gène que j’essaye de me faire sa copine.
Je parle à Sylvie de mes intentions.
-« t’as aucune chance avec elle. » Me dit-elle.
-« On peut toujours essayer. Si tu m’aides à la chauffer, je te donnerais une récompense. »
-« Laquelle ? »
-« Je te ferais bien jouir. »
-« T’es vraiment un salaud. » Ça, ça veut dire qu’elle est d’accord.

J’aurais probablement pu remettre le couvert, mais je veux garder des munitions pour ce soir.
Il fait très chaud, je me lève, j’augmente la clim, je vais prendre une petite douche.
En revenant je demande à Sylvie si je peux la prendre en photo. Elle est si jolie ainsi nue sur les draps blancs (ces flatteries ne servent qu’à la faire céder).
Elle me fait promettre de ne jamais les montrer et elle accepte. Elle va même jusqu’à prendre des poses très osées.
La prochaine fois il faudra que je prépare mon caméscope pour filmer nos ébats. Ce sera encore mieux.
Je la laisse partir avec la promesse qu’elle fera ma publicité auprès de Carine.
Dans mon calepin je note :
Pipe : moyen. Baise : moyen. Sodo : refuse pour le moment. Décidément, tout ça n’est pas brillant. Si je n’avais pas besoin d’elle pour appâter Carine, je crois bien que je l’aurais laissée tomber.
Je complète les fiches de Clara et Carine avec ce que j’ai appris sur elles.

Sur mon portable (que j’avais éteint) il y a un message de Gaëlle –tiens elle se souvient de moi- :
-« Salut Henri. C’est Gaëlle. J’espère que tu t’amuses bien. Pour moi ça se passe très bien, si tu vois ce que je veux dire. J’espère te revoir bientôt. Bisou. »
Bon sang ! Elle me dit ça pour m’exciter ou pour me rendre jaloux ? Il faut absolument que je trouve un moment pour la voir ! Pour aujourd’hui c’est râpé.
Je la rappelle. Comme d’hab, je tombe sur sa messagerie. Je laisse un mot gentil « tu me manque, j’ai très envie de toi» (c’est vrai que j’ai très envie de la revoir !).

Je me prépare pour mon rendez-vous du soir.
Je retrouve Sarah à l’heure convenue. Elle est sublime. Habillée d’une robe moulante encore plus sexy que celle d’hier. J’en oublie la rancoeur que j’avais.
La soirée est délicieuse dans ce piano-bar. Nous parlons de tout et de rien comme de vrais amis. Seul bémol, elle ne veut pas aborder les questions sexuelles.

Vers 11h30, je la raccompagne chez elle. Elle m’invite cette fois à rentrer et m’amène dans sa chambre.
Je lui retire sa robe et fait apparaitre ses sous-vêtements en dentelle noire. Je la caresse. J’aurais bien léché ses aisselles (les femmes adorent ça), mais avec la chaleur qu’il fait aujourd’hui je vais tomber sur de la transpiration ou du déodorant –beurk-. Je préfère me limiter à son cou.
Je malaxe sa poitrine opulente. Je dirige ma main vers son slip, je l’écarte et je m’attaque à son sexe épilé.
Avec application je lui tripote la chatte. Je tente d’enfoncer un doigt dans son vagin. J’ai juste le temps de constater qu’il est trempé, car elle m’arrête.
Elle me fait basculer, ouvre ma braguette et en extirpe ma queue.
Elle reste un instant ébahie, en admiration devant le morceau !
Contrairement à mes espérances, elle ne fait que me branler. Je lui demande d’y mettre la bouche. Elle refuse poliment. Je propose de la pénétrer. Elle refuse !
C’EN EST TROP !
Je lui demande des explications.
-« Il faut d’abord que je te connaisse mieux … »
J’éclate !
« Ecoutes, moi je ne peux pas attendre. » … « Le premier soir c’est juste un baiser. Le second c’est une branlette. Si j’ai de la chance le troisième soir j’aurais droit à une fellation. Et ainsi de suite. A ce rythme-là, à la fin de mes vacances je ne t’aurais toujours pas baisée ! » « Toi, comme moi nous devons assumer nos désirs. Si tu ne m’offres pas ce que je veux il est inutile de se revoir. C’est toi qui décides. Si tu veux me revoir, tu me téléphones. »
Je rajuste mon pantalon et je pars, sans lui laisser le temps de réagir.
La balle est maintenant dans son camp.
Je suis trop énervé pour aller voir une autre fille. Je risquerais d’être violent.
Je rentre chez moi.
En chemin, j’espère que Sarah va me téléphoner pour me supplier de revenir la prendre. Mais rien. Va-t-elle réaliser que son comportement de midinette est ridicule ?

Pour me détendre je fais un peu de bricolage. J’installe mon mini-caméscope de manière à ce qu’il filme bien le lit, sans être visible. Les filles refusent d’être filmées et lorsqu’elles acceptent, elles ne sont plus naturelles.
Je trouve une bonne cachette dans ma valise que je place sur la table en face du lit. Je la maintiens entrouverte. Ainsi c’est parfait, il me suffira de mettre l’appareil en route avant que ma victime arrive.
Je m’endors enfin.

VENDREDI, 4e jour à Antibes

Je me réveille en pleine forme. Je bande comme un cerf. Pour un peu, je me serais branlé…
Quel est le programme d’aujourd’hui ?
Je rallume mon portable. Il y a un SMS de Coralie. Elle souhaite que je la rappelle.
A peine j’ai fini de le lire, la sonnerie retentit. C’est Coralie –elle insiste celle-là-.
Elle part aujourd’hui, elle veut me dire au revoir. Après tout, pourquoi pas. Ça me permettra de tester mon installation cinématographique. Je lui dis de passer.

Elle arrive essoufflée et transpirante. Elle s’est tapée 2 kilomètres à pied pour venir et avec son sac à dos !
Elle n’a plus que 15 minutes de libre si elle ne veut pas rater son car.
C’est suffisant pour sa « spécialité ».
Je sors ma queue et elle se met au travail. C’est génial, comme à chaque fois. Et, bien sur, elle avale tout et me nettoie avec sa langue.
En galant homme, je l’emmène jusqu’à son car avec mon scooter. Je ne fais que la déposer, les effusions et les adieux me débectent.

De retours chez moi, je vais voir si la caméra a bien fonctionnée. C’est juste un essai, ce film-là je ne le montrerais pas aux copains. Me faire sucer par une boutonneuse, c’est pas très glorieux. … Mais ça restera un bon souvenir.

Je téléphone à Sylvie. Elle est avec Clara et Carine en excursion dans l’arrière pays, J’avais zappé ce projet.
Je leur fixe un rendez-vous à leur retour, vers 17h30 dans un café.
Il me reste Gaëlle. Si j’ai de la chance elle sera libre cet aprem …
Je l’appelle et elle décroche –c’est rare-. Elle est super contente de m’entendre. Elle est à la plage et me propose de l’y rejoindre.
Pour une fois qu’elle est libre et moi aussi, y’a pas à tergiverser.
Je la retrouve enfin –il y a beaucoup de monde aujourd’hui-.
Nous nous embrassons.
Elle me caresse de manière indécente.
Pour la calmer un peu, je lui demande de me faire le récit de ses aventures des derniers jours –si elle en a vraiment eu-.
Et bien, elle en a eu ! Elle me raconte qu’elle est sortie avec un grand type baraqué, genre maitre nageur qui est serveur dans un restau. Ils ont couché ensemble et il était assez doué. Malheureusement pour elle, il ne l’a pas sodomisée.
Ce court récit ne l’a pas calmée, bien au contraire.
Voilà maintenant qu’elle veut me sucer devant tout le monde ! Je la repousse.
Elle se jette sur moi. Je suis hyper gêné.
« Laisse-moi au moins la prendre en main » (pour ceux qui n’auraient pas compris, elle parle de ma bite).
Je mets une serviette sur moi, et je la laisse toucher.
« MMMM ! Elle est toujours aussi grosse !... »
Elle retire brutalement la serviette et s’enfuit en riant aux éclats. Je me cache comme je peux. Je me rajuste maladroitement et ramasse les affaires qu’elle a laissées.
Quelle gamine !
Je rejoins Gaëlle qui rigole toujours.
J’hésite entre rire à mon tours et lui filer une paire de claques.
« Viens chez moi, je vais te faire payer tes bêtises ! »
Elle me suit en riant.

Je profite qu’elle soit dans la salle de bain pour brancher le caméscope. Et je l’attends tout nu sur le lit.
Elle revient enfin, jolie, pure et rayonnante. On lui donnerait le bon dieu sans confession. Pour le moment ce n’est pas une Ostie que je veux lui mettre dans la bouche.
Elle me suce un peu, puis elle se met à 4 pattes.
Je sais ce qu’elle attend. J’avais préparé le lubrifiant. Je l’encule.
J’en profite un maximum. Elle aussi.
Je change de position, je la place sur le dos, les jambes sur mes épaules.
La pénétration est très profonde. A chaque fois que tout est entré, Gaëlle en a le souffle coupé. Ses yeux s’écarquillent.
Lorsque je la sens proche de la jouissance, je sors entièrement. Son trou du cul est béant, c’est spectaculaire. J’applique le précepte : « retarder la jouissance décuple la jouissance ». Elle m’implore de revenir. Je me plante à nouveau puis je recommence le même manège.
A la troisième sortie, elle n’en peu plus.
« Reviens ! Reviiiiens ! »
J’y retourne et donne des grands coups bien profonds.
Elle jouit. Moi aussi. Nous nous affalons, repus.
Son corps est encore secoué de spasmes lorsqu’elle me dit en hoquetant :
-Salaud, t’es un salaud ! C’était super bon ! »

Nous nous rhabillons. J’arrête discrètement la caméra (le film devrait être mémorable), et je l’amène boire un verre à la terrasse d’un café.
Elle m’informe qu’elle part demain matin faire un circuit touristique avec ses parents. Elle ne rentrera que mardi. Ça va être difficile de se revoir.
-« Mes parents me font chier. Avec eux il faut toujours aller visiter des musées, des châteaux ou des églises. Ils n’aiment que le passé et la poussière. Moi je veux vivre ! »

Je la raccompagne près de chez elle, je l’embrasse et je m’en vais.

Fin du 4e chapitre.

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