Solange la bourge « Saison 2 » : Enculée comme une pute par un jeune maghrébin. (Partie 10/10)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Solange la bourge « Saison 2 » : Enculée comme une pute par un jeune maghrébin. (Partie 10/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Solange la bourge « Saison 2 » : Enculée comme une pute par un jeune maghrébin. (Partie 10/10)
Le récit qui va suivre fut tiré d’une des nombreuses histoires que Solange avait vécues avec l’approbation de Patrick, son mari candauliste. Après avoir recherché dans son journal intime, parmi les 250 histoires à raconter, elle choisit son aventure avec Nassim. Patrick aimait voir son épouse dans des parties de sexe où se mêlaient, l’humiliation et la soumission. Il voulait la savoir baiser par des individus, jeunes ou vieux, blancs ou noirs, il aimait le contraste et voulait surtout que sa femme jouisse afin qu’elle en redemande. Solange vous narre donc cette histoire.

Il y a quinze ans de cela, Martin le fils de Patrick et de Giselle allait fêter ses vingt ans, pour ma part, j’allais sur mes trente et un ans. Fils de parents divorcés, cette fête organisée chez sa mère ne pouvait se passer sans son père. Celle-ci était prévue dans la belle propriété d’Alain l’ami de Giselle, vers Orléans. C’était un samedi de juin, le temps était magnifique, les tables étaient installées sous des barnums à l’extérieur et le salon salle à manger s’étaient transformés en salle de danse. Alain, par courtoisie nous avait proposé gentiment une chambre d’ami. La majorité des invités étaient des connaissances d’Alain et de Giselle et bien entendu des amis d’enfance et de fac de Martin.

À trente ans, je me sentais plus proche de Martin le fils et de ses amis, que de sa mère et de son beau-père Alain et tous leurs amis qui frôlaient la soixantaine. Je choisis un ensemble, veste de Jean un peu délavée, mini-jupe, bas auto fixant, et un débardeur blanc à fines bretelles, des escarpins à talons aiguilles.
— Les invités vont croire que tu es ma fille, me lança ironiquement Patrick.
— Je fais trop jeune ? Répondis-je un peu déçue.
— Non, les copains de Martin vont baver et lui demander dans quelle fac tu étudies et s’il t’a déjà sauté, et les amis de Giselle poseront aussi la même question. J’imagine les vieux copains d’Alain dire : « elle s’appelle comment cette pute ? »— Oh, non ! Tu trouves que je fais, heu… pute ?
— Un peu. Disons que tu vas attirer les regards, mais c’est très bien ainsi, ça va faire chier Giselle de te savoir si belle et que tu es ma femme. Alors profite bien de la soirée.
— J’espère bien, ça fait longtemps que je ne me suis pas éclatée à danser !
— Éclate-toi comme tu veux.

Puis Patrick vint m’embrasser en m’étreignant tout en caressant mes rondeurs par-dessus ma jupe jusqu’à son pan.
— Elle est à la bonne longueur, ni trop courte pour ne pas voir ta culotte et ni trop longue pour que des mains sachent ce qu’il y a en dessous.
J’haussais les épaules et lui rétorquais :— Tu sais ce qu’il y a en dessous ?
— Moi oui, les plus enhardis le sauront sans doute ! Enfin, comme je t’ai dit, profites-en.

   Nous étions mariés depuis cinq ans que, je connaissais Patrick pour son candaulisme parfois exagéré, je pensais que si personne ne se retournait sur moi, il en serait contrarié, alors je ne touchais rien à ma tenue, j’allais me maquiller avant de rejoindre les abords de la demeure où était dressé l’apéritif. Je ne faisais que des sourires de convenance aux invités puisque je ne les connaissais pas et je laissais mon mari vaquer vers ses vieilles connaissances d’avant son divorce. Que ce soit femmes où hommes, leurs regards me considéraient de la tête aux pieds, et apparemment, ma tenue si désinvolte et presque incitatrice, devait faire de moi une fille aux mœurs légers, voire une catin !

            Martin me voyant un peu perdu, à l’écart vint à moi pour me présenter à ses amis. Enfin, la monotonie de cette soirée qui se profilait s’estompa en la présence de Nassim, un étudiant en deuxième année d’histoire à Poitiers, qui était celle de la spécialisation en vue d’obtenir une licence. Étant professeur d’histoire depuis cinq ans, nos atomes crochus se révélèrent très vite. Ainsi lorsqu’une personne venait à nous avec un verre à la main pour échanger, notre conversation barbante les faisait s’en aller au plus tôt. Patrick, un peu avant d’aller à table nous rejoignit :— Je te présente Nassim. Nassim mon mari Patrick.

            Je poursuivais en expliquant à Henri notre parcours similaire dans notre intérêt pour l’histoire. En tant que candauliste et entremetteur déclaré, en tout cas en ce qui me concerne, il glissa dans la conversation :— Je me posais la question, de vous voir ensemble depuis si longtemps, « tiens, le petit maghrébin est en train de draguer ma femme ».
— Ho ! Fis-je un peu gênée non pour moi mais pour Nassim, excusez-le, mon mari a l’art et la manière de mettre les gens mal à l’aise.
— C’est faux ma chérie, qu’un jeune homme drague ma femme est très valorisant pour moi. Je suis sûr que vous ne pensiez pas que ce vieux que je suis à vos yeux, puisse être marié et coucher avec une telle merveille, non ?
— Non monsieur, je ne savais pas, répondit-il en baissant les yeux.
— Nassim, tu es de quel origine, tu as quel âge ?
— J’ai vingt et un ans, je suis français mais mes parents sont originaires du sud tunisien à la limite de la Lybie.
— Et blague à part, tu la trouve comment ma femme ?
— Arrête Patrick, dis-je avec lassitude, tu vois que tu mets Nassim dans l’embarras.
— L’embarras ? L’embarras d’être obligé de parler de fac, d’histoire, de cours, plutôt que de te dire qu’il aimerait t’avoir comme prof pour des leçons particulières, pas vrai Nassim ?
— Qu’est-ce que vous cherchez, s’insurgea enfin l’étudiant, vous êtes un raciste refoulé et votre fantasme serait qu’un arabe se paye votre femme ?
— T’inquiètes Nassim, elle s’est déjà faites baiser par des maghrébins, mais peut-être pas par un tunisien. Sache que je ne suis pas raciste, mon plus gros défaut que les hommes ne me reprochent pas, c’est qu’on regarde ma femme, qu’on la trouve belle et qu’on la désire.

Puis, il leva son verre et trinqua avec Nassim qui lui rendit un large sourire ressemblant à de la complicité. Patrick s’en alla, la gêne était passé de Nassim à moi-même. Mon mari avait parlé sur le ton de la légèreté, comme s’il parlait avec de vieux copains, alors que je le ressentais comme m’offrant aux désirs d’un homme sous sa bienveillance. Plus tard, j’allais revivre ce genre de situation qui se nomme le marché aux esclaves, pour n’être considéré que comme une femme qu’on dispose sous le regard consentant de son mari et c’était ce que je ressentais ce soir-là. Un silence de quelques secondes s’installa entre nous, qui parut durer une éternité. Je brisais ce silence maladroitement :— Vous n’avez pas répondu à sa question Nassim, comment me trouvez-vous ? Puis je me rattrapais un peu tardivement. Oh ! Excusez-moi, c’est à mon tour de vous mettre dans l’embarras.
— Ce que je pense de vous ? Dommage que les places soient nominatives et que nous ne soyons pas à côté l’un de l’autre.

Nassim fit un pas en arrière, puis me considérant il ajouta : « Sinon j’aurais pu vous dire que le repas s’éternise et que j’ai hâte de danser avec vous, surtout les slows. » Tout le long du repas, Nassim jetait des coups d’œil à mon encontre. Je m’ennuyais à table, j’avais hâte d’être à l’après repas. Dès le fromage servit, les amis de Martin n’attendirent pas l’arrivée du gâteau, ils s’engouffrèrent dans la pièce aménagée pour la danse et sous le tintamarre d’une musique puissante, ils se mirent à danser. Quelques secondes plus tard, je sentis le souffle chaud se répandre sur mon cou.
— Tu viens danser, nous n’avions pas fini notre conversation ?
C’était Nassim qui, sous le regard de Patrick, m’invitait dans un tutoiement plus intime. Je me levais et le suivais dans la salle.
— Pour ce qui sont des slows, j’ai bien peur qu’il faille attendre longtemps ! Braillais-je pour me faire entendre.
— Tu as raison, mais tu peux me tutoyer tu sais !
— Qu’est-ce que vous dites ?
— Viens !

Il me prit par la main pour le suivre. Plutôt que de réapparaître côté dîner, nous nous éclipsions derrière la demeure vers le parking qui se prolongeait au jardin, très peu éclairé et surtout beaucoup plus calme. Ne sachant pas trop quoi dire, ni que faire, arrivés à la dernière voiture, je m’arrêtais et me reposais contre son coffre, bras ballants :— Si tu ne veux pas attendre trop longtemps, on peut danser ici si tu veux ?
— Sans musique ? Lui demandais-je.
— Pour t’avoir dans mes bras, je n’ai pas besoin de musique.

Il me tendit ses bras. Je me levais et j’entourais son cou de mes mains. Les siennes m’attirèrent à lui, en collant nos corps, et machinalement nous nous mîmes à nous déhancher presque lascivement sur une musique imaginaire. Nassim allait dire quelque chose, mais il se retint. Attendait-il que je lui demande la suite de son « je » pour que je parle ? L’incongruité du lieu, et du couple improbable que nous formions dansant l’un contre l’autre dans le noir et sans musique, ne me donnèrent que l’envie d’être passive et d’être guidée. Ses mains collées contre mes fesses me plaquèrent contre son bas ventre. Il m’enserra plus intensément contre son bas-ventre où je perçus que son sexe amorçait son érection. J’étais flattée de ressentir son désir envers moi, cependant je demeurais dans mon oisiveté, n’osant, ou ne voulant provoquer la suite. Je ne pouvais pas, ne pas sentir sa grosseur, il en était conscient. Il devait prendre mon indolence comme une acceptation, ou une résignation de femme soumise. Ses lèvres se posèrent sur mon cou, sensuellement elles remontèrent jusqu’à suçoter mon lobe.
— Ton mari a dit que des arabes t’avaient déjà possédée, pourquoi a-t-il dit ça ? Chuchota-t-il à mon oreille.

Je ne lui répondis pas, trop attentionnée à la caresse de sa main gauche sur ma jupe, qui ostensiblement mais avec douceur, glissait vers ma cuisse. J’étais à l’écoute de cette main caressante qui flattait mes chairs au-dessus de la jarretière de mon bas, lorsque ses phalanges parcourant ma fesse se rendraient compte que sous cette jupe de Jean j’étais nue :— Tu ne portes pas de culotte ? Me murmura-t-il ?
— Non, lui soufflais-je.
— C’est ton mari qui veut ça ?
J’étouffais un « oui » tandis que sa main estimait mes rondeurs en s’insinuant du bout de ses doigts dans ma raie de manière plus charnelle qu’impudique.
— C’est ton mari ou ton maque ? T’es une…
Ne sachant pas, il ne termina pas sa phrase, d’ailleurs je le coupais presque en susurrant un « c’est mon mari, ne cherchez pas à comprendre ». Il se tut quelques secondes, sans doute dubitatif à mon comportement nonchalant. Ses baisers glissèrent de mon oreille, sur ma joue, puis sur mes lèvres dont il me força à les entrouvrir avant d’y plonger sa langue. Le bécotage se transforma en une étreinte avide et lascive, presqu’à en oublier que sa main avait contourné mon bassin pour fourbir mon pubis glabre.

            J’avais oublié sa main, le lieu, le désir, l’envie d’être sa chose, j’avais tout oublié, lui aussi. La concupiscence, la sienne, celle de me posséder, la mienne, qu’il me prenne dans le seul but de jouir, nous fit oublier que nous étions sur un parking plongé dans l’obscurité, mais qu’il aurait pu advenir que…Je ne l’ai su que le lendemain, mais il était advenu que Giselle, la mère de Martin et ex de mon mari, était sortie de la maison pour aller chercher dans sa voiture, le cadeau d’anniversaire. Nassim et moi avions ignoré sa présence, mais qui avait dû durer assez longtemps pour qu’elle en ébruite des détails à beaucoup.

            Ainsi, abandonnée au jeune tunisien, je goûtais à sa main qui se rassasiait mon pubis de bébé alors que sa langue me dévorait mes lèvres. Le vrai Nassim allait se dévoiler au fur et à mesure qu’il découvrait mon assujettissement à son encontre :— Salope ! Suis-moi !

Il me prit par le poignet et m’entraîna vers le jardin, dans un endroit plus isolé. Nous nous sommes arrêtés vers une cabane où, sans plus attendre il m’avait plaqué contre la porte :— Retire ça ! Vociféra-t-il tout en tirant sur la manche de ma veste.

Je lui obéissais tandis qu’accroupi, il faisait glisser le long de mes cuisses ma mini-jupe. Son visage se plaqua contre mon ventre. J’écartais mes jambes, ses doigts écartèrent mes lèvres et dans un clapotis de ma jute et de sa salive, sa langue me forniqua bruyamment la vulve. Il ne se retirait que pour reprendre son souffle sans mot dire, avant de se repaître de nouveau de mon inimité. Des doigts englués de ma quintessence de femme lustraient mon anus désireux d’être outragé, tant j’en connaissais la jouissance qu’il pouvait me procurer. Je serrais sa nuque pour qu’il ne se dérobe de mon bas-ventre. Il se retira violemment.
— Tu m’étouffes putain ! Laisse-moi faire !

Une goulée d’air et il se replongeait dans mon entrecuisse. Deux de ses doigts violèrent mon œillet flétri, je me mis à gémir. Dans mon insouciance et la volupté où je me trouvais, j’ôtais mon haut, mon soutien-gorge. D’une main je caressais la tête de Nassim et de l’autre, je massais mes seins tout en pinçant délicatement entre deux phalanges mes tétons acquis à mon plaisir. Il se releva, pantalon à ses pieds. Il se tenait droit devant moi, tout en me tenant par les hanches. Voulant découvrir son sexe, bien que nous fussions dans la pénombre de la nuit, je le défiais du regard, et tout en continuant de me palper de manière dégradante mes seins, de mon autre main, je me saisis de son sexe, aussi raide qu’une matraque, ni trop long ni trop épais. Je me mis à le masturber. Il se laissa faire tout en adulant mes hanches. Après quelques secondes, il dit d’un ton neutre mais ferme :— Tourne-toi, j’ai envie de t’enculer.

Je fermais les paupières tout en baissant le visage en signe de subordination. Je me retournais face à la porte de la cabane, m’accrochant de mes deux mains à la poignée, j’écartais mes pieds et je me cambrais. Ses mains se posèrent sur mes fesses que je sentis s’écarter. Un crachat éclaboussa ma peau, puis un second. Il se racla la gorge et un dernier souilla ma croupe offerte. Son gland s’enduisit de ses glaires avant de venir buter contre mon anus. J’essayais de me détendre bien que mes mains se crispèrent à la poignée. La pression de son gland augmenta peu à peu. Élargissant mes chairs, je ressentis la douce brulure de sa hampe qui s’infiltrait de toute sa longueur dans mes intestins. Bien que son ventre soit collé à mes fesses, il donna un coup de rein, désirant me pénétrer davantage.
— Pute de ta race, t’aime te faire enculer, réponds ?
— Oui, j’aime ça, dis-je en toute impudicité tout en me cambrant plus que de raison.
— Salope ! Tu lui diras à ton mari qu’un arabe t’a enculé ? Je vais te défoncer ton cul ! Réponds, tu vas lui dire ?

Je n’eus pas à lui répondre, il s’auto excitait à m’injurier. J’éprouvais son envie de me posséder dans ses propos mais aussi maintenant par ses coups de boutoir, secs et violents, de ses testicules qui battaient le haut de mes cuisses dans le clapotis glauque de son sexe qui me sodomisait sauvagement. Il ne pouvait savoir que sa frénésie de vouloir me défoncer comme il disait et désirait le faire ardemment, sans doute dans le but de m’affliger de la souffrance et de m’avilir, renforçait mon plaisir de cette pénétration anale que j’affectionnais plus que tout.

            Je me mis à gémir, osant ahaner des « encore, encore… » à chacun de ses coups de rein.
— Ta gueule ! A t’entendre en redemander tu vas me faire jouir !
— Ah, c’est bon, vas-y, encore… Pleurais-je de jouissance.
— Ta gueule putain ! Vociféra-t-il en m’assénant une claque sur ma fesse.
Son rythme effréné se ralentit, mais la puissance de son ventre à vouloir me pénétrer s’amplifia, secouant mon corps à presque me faire m’effondrer. Ma lourde poitrine qui ballotait sous moi venait cogner contre mon visage. Les minutes s’écoulaient.
— Je vais jouir dans ton cul !

Quelques coups de rein plus tard, je sentis son corps se raidir, ses mains s’agrippèrent à la chair de mes hanches à me faire mal. Me tirant à lui pour qu’il m’empale au plus profond, il poussa un son rauque et je ressentis son sperme chaud venir inonder mon anus. Impossible de me contrôler et de retenir mon corps qui fut parcouru de tremblements. Mon orgasme m’anéantit totalement. Les jambes chancelantes, j’avais du mal à reprendre mon souffle, je percevais le fruit de ma jouissance ruisseler entre mes cuisses. Nassim tout en restant en moi se pencha sur mon dos, de ses mains il malaxa mes seins sadiquement.
— Enculer une prof d’histoire, non pas une prof d’histoire, une pute. Une pute de française et la souiller dans son cul ! Putain, tu ne peux pas savoir comme c’est trop cool !

Il se retira après m’avoir proféré d’autres injures. Exténuée, je restais prostrée, les mains sur la poignée de la porte. Son sperme dégoulinait, se mélangeant à mon jus. Il était reparti vers les invités. Sans doute fier de m’avoir possédée, sodomisée, insultée, souillée… Ce qu’il ne pouvait savoir, c’est que c’était dans cette ignominie que ma jouissance, mon orgasme étaient la plus intense. Je renfilais ma jupe et ma veste de Jean, faisant attention de ne rencontrer personne, je regagnais la salle de bain de l’étage, près de notre chambre. N’ayant pas encore recouvré tous mes esprits, flottant encore dans la volupté de cette relation, avant de faire couler l’eau de la douche, je me mis à me masturber en enduisant le bout de mes doigts, de son sperme et de ma jouissance.

Les propos que je viens d’utiliser, sont assez soft, car j’imagine que le site n’accepte pas le racisme, ce qui est normal, toutefois, ceux de mon mari était assez anti-arabe pour le jeu. Quant à Nassim, très respectueux au début, fut très raciste envers moi, envers la blanche française. Pour lui me sodomiser devait être le summum de l’avilissement.
Je me suis rendue compte que c’est dans ce que j’évoquais, c’est-à-dire le non-respect de ma personne que j’avais des orgasmes bien plus conséquent qu’autrement. Ainsi bien plus tard j’ai consulté un psy, pour essayer de savoir le pourquoi, et non de remédier à mon état, puisque je m’y complais au travers de la jouissance.

Fin de la deuxième saison
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