Solange : La première « offrande » ! (Partie 2)

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Solange : La première « offrande » ! (Partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2020 dans la catégorie Plus on est
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Solange : La première « offrande » ! (Partie 2)
Après l’épisode de la boite de nuit où cette professeure d’histoire géo n’avait pas osé baiser avec un inconnu, ce qui avait quelque peu déçu son futur mari Patrick, Solange n’avait qu’une envie, lui faire ce cadeau afin de lui prouver et de lui montrer tout l’amour qu’elle lui portait.

Le jour « J » était arrivé, quelques semaines avant leur mariage, Solange avait 26 ans. Patrick habitait un studio puisqu’il venait de divorcer de Mathilde. En effet, celle-ci n’était pas du tout portée sur le sexe, cela avait fait monter des tensions dans leur couple. Ils ne faisaient l’amour que deux à trois fois par mois, de surcroit uniquement en position du missionnaire et puis dodo. Son ex épouse écartait les jambes et soupirait plus qu’elle ne jouissait. Alors très vite il avait repris ses habitudes de célibataire pour avoir des conquêtes, jusqu’à ce qu’il rencontre Solange, la femme qu’il voulait épouser par amour et la partager avec des inconnus pour son plaisir.

Ce samedi après-midi Solange fit les courses afin d’être tranquille pour le week-end qu’elle devait passer avec son amant comme elle le faisait toutes les semaines. C’était au mois de juin, il faisait beau, arrivée chez lui en fin de journée, elle embrassa son chéri puis prit la direction de de la salle de bain afin de prendre une bonne douche, il faisait chaud et elle se sentait moite, elle voulait être très propre et nette pour l’amour de sa vie. Elle était nue, en train de s’essuyer lorsque Patrick la rejoint en lui disant :— Fais-toi belle ma chérie. Ce soir, nous sortons.

Il ne lui avait pas précisé où il sortait, mais Solange n’avait même pas pris la peine de le lui demander, elle était heureuse de passer la soirée en sa compagnie. Elle prit son temps pour se préparer, se maquiller afin d’être la plus jolie possible, Patrick aimait la voir ainsi. Elle avait enfilé une jupe plissée anthracite lui arrivant à mi-cuisses, une paire de bas et des chaussettes longues par-dessus et un gilet croisé pour se rendre le plus sexy possible, elle se sentait très belle dans cette tenue.

Fière d’être vêtue ainsi, Solange alla se présenter à Patrick qui regardait une émission à la télévision. Elle fit un tour complet devant lui en lui demandant comment il la trouvait :— Tu es magnifique ma chérie mais ce soir, tu ne mets pas de soutien-gorge ni de petite culotte.
Surprise de sa remarque, elle ne dit toujours rien, elle prenait cela pour un jeu et c’était tellement excitant de le voir sourire comme ça. Néanmoins, elle était un peu inquiète, car sa lourde poitrine était nue sous son gilet et toute personne la voyant ainsi pouvait la deviner facilement. À ce moment-là, elle voulait en savoir plus, elle lui posa la donc la question :— Où m’emmènes-tu mon amour ?

Patrick n’avait pas voulu lui en dire plus sur l’endroit où ils sortaient, il dit simplement :— C’est une surprise. Jouissive pour moi comme pour toi. Tu verras, tu dois me faire confiance.
Ces propos commencèrent à exciter Solange, elle se posait beaucoup de questions mais elle se sentait en parfaite sécurité avec Patrick à ses côtés.

Le moment était venu, une fois prêts tous les deux, ils prirent leur voiture et roulèrent jusqu’à la destination finale. Pendant tout le trajet, elle s’efforça à ne rien demander, ils discutèrent de choses et d’autres sans aborder le sujet de la soirée.

Après une petite demi-heure de route, ils étaient arrivés vers 19h00 à Rueil Malmaison dans une belle propriété idéalement située, dans un parc privé de plusieurs hectares, avec une vue panoramique côté jardin, arboré et fleuri. Cette résidence était située dans un quartier calme où de magnifiques villas étaient toutes plus belles que les autres.

Après avoir stationné leur véhicule sur le parking privé sur le devant de cette magnifique demeure, ils furent conviés à pénétrer dans une belle salle de réception au rez-de-chaussée, où une bonne cinquantaine d’invités était déjà présents. Comme il faisait beau, tout le monde pouvait déambuler du salon aux barnums installés dans le jardin. Solange comprit que cette soirée dinatoire était une inauguration organisée par une grande société de la région. Patrick ayant réalisé le reportage sur un nouveau concept qui avait duré quatre mois, ainsi qu’une publicité pour cette société, fut invité pour fêter et inaugurer la campagne. Il connaissait donc très bien le PDG, propriétaire des lieux et certains de ses directeurs.

Remplie de honte et très gênée par sa tenue, Solange ne savait plus où se mettre. En effet, tous les regards se posaient sur elle, d’autant plus que Patrick n’hésita pas à rencontrer toute l’assemblée afin de présenter sa fiancée. Tous les hommes rencontrés, la dévisageait, la détaillait de la tête au pied, ils la déshabillaient littéralement, leurs regards en disaient long. Patrick s’amusait d’exhiber Solange et prenait un malin plaisir d’entendre certains hommes dire :— Quelle chance tu as Patrick d’avoir une femme aussi belle et sexy.
D’autres hommes, lors de cette soirée, furent directs pour lui faire des propositions telles :— T’as un numéro pour te joindre ? J’aimerais passer une soirée plus que sympathique avec toi.

Ils étaient nombreux à croire que Patrick était encore marié, vu leur différence d’âge, voyant Solange à ses côtés, ils pensaient qu’elle était une poule de luxe, une Escort-girl, surtout à la vue de sa tenue qui dénotait avec les autres femmes, en tailleur ou vêtements conventionnels. L’un d’eux s’était même enhardi en lui demandant son tarif. Un ingénieur de la société, un type célibataire, bedonnant proche de la retraite, un type sans gêne, s’était permis de lui dire : — Vous avez des seins magnifiques, vous avez raison de ne pas les mettre en cage, j’adore leurs ballotements lorsque vous marchez.
Tout ceci lui avait semblé durer une éternité, elle fut en pleine confusion, elle était dans un état d'infériorité, avec un sentiment d'humiliation devant ces personnages qui s’étaient exprimés sans gêne, ni pudeur.

Solange ne s’était pas amusée ce soir-là, jusqu’à ce que Patrick l’invite à le suivre. Elle ne se posa pas de question, toujours soumise à son chéri, elle était plutôt ravie de quitter toutes ces mondanités. Lorsqu’il avait ouvert la porte de la chambre, elle était heureuse de s’isoler pour un petit câlin entre amoureux.

Quinze jours avant cette soirée, Patrick avait rencontré Maurice, le PDG et Richard, le directeur pour finaliser et valider le film qu’il avait réalisé. Maurice lui fournit une invitation pour lui et pour son épouse :— Je suis en instance de divorce, je viendrai avec ma fiancée.
— Ha ! Vous avez une fiancée, comment s’appelle-t-elle ?
Patrick en toute franchise, expliqua son histoire et lui avait parlé de la différence d’âge qu’avait Solange avec lui. Connaissant sa société de production, le PDG lui avait demandé s’il faisait des films porno. Puisque c’était très lucratif, Patrick en avait, en effet, réalisé quelques-uns. Lors de la présentation du film publicitaire, il lui demanda :
— C’est lors d’un tournage hot que vous avez rencontré Solange ?
— Non ! pourquoi dites-vous cela ?
— J’aime tellement les petites putes. Mais attention, ne vous y méprenez pas, je ne dis pas ça pour votre fiancée ! » Avait-il ajouté pour se rattraper.
— Solange, n’est pas une pute puisqu’elle ne se fait pas payer.
Avait bien insisté Patrick pour se faire comprendre. Puis Maurice surenchérit : — Et si je repasse un autre contrat avec vous, serait-elle encline à être câline avec moi ? Dit le PDG sur un ton ironique.
— Pourquoi pas, je pense que le deal est correct.

Puisque c’était dans son idée d’offrir Solange à un inconnu gratuitement, un jour ou l’autre, il pourrait ainsi égayer la soirée. Son directeur Richard étant là, il a bien voulu jouer le jeu et ensemble, ils avaient mis au point le déroulement de cette petite réunion intime et perverse.

Ce soir-là, peu de temps avant de monter dans la chambre, Patrick alla trouver le PDG et le Directeur en leur disant qu’il monterait dans la chambre dans cinq minutes en compagnie de Solange. Vers 23 heures, Patrick voulant pousser Solange dans ses derniers retranchements afin de savoir jusqu’où elle pouvait aller pour lui, une fois dans la chambre, il lui mit un bandeau sur les yeux en disant : — Ce n’était pas ta soirée, je m’en suis rendu compte, alors que je t’avais promis que celle-ci serait jouissive. Le moment est venu pour toi de prendre ton plaisir.

Solange se sentant prise au piège, un moment de recul, montra une certaine crainte. Voyant cela, il poursuivit : — Si tu m’aimes, fait ce que je te demande, ce sera notre plaisir.
Solange sincère et respectueuse dit d’un ton presque ironique :— Oui Monsieur !

Au vu de sa réponse, Patrick ressentit une certaine complicité entre eux et une soumission de la part de sa future épouse, il comprit à cet instant qu’elle serait également sa salope. Il la fit mettre à quatre pattes sur la moquette devant le lit, Solange dans cette position pensait qu’elle devait s’apprêter à lui faire une fellation, elle en était déjà toute excitée. Elle entendit la porte s’ouvrir, elle ne savait pas qui entrait, personne ne parlait.

Le PDG, la soixantaine, petit, ventru, chauve, transpirant beaucoup et le Directeur la cinquantaine, grand plutôt bel homme, cheveux et barbe courte brune pénétrait dans la pièce sans que Solange ne sache qui était ces hommes et combien étaient-ils. La consigne était qu’ils ne parlent pas afin qu’elle ne puisse reconnaitre leur voix. Ce fut à cet instant que Patrick dénoua le gilet de Solange, laissant apparaitre sa fabuleuse poitrine puis retroussa sa jupe sur ses reins, offrant ainsi son beau cul nu aux deux inconnus.

La main de Maurice le PDG s’était posée sur mes fesses, elle comprit que ce n’était pas celle de son chéri. Il n’y avait pas un bruit, elle n’entendait que le souffle d’un homme et seul Patrick lui demandait si elle aimait… Les caresses étaient tendres, elles savaient lui donner un plaisir crescendo, sans la brusquer, attendant presque que son corps en redemande pour poursuivre plus loin. Ainsi il cracha sur son anus, l’avait délicatement lustré avant d’enfoncer son doigt, il avait détendu ses sphincters avant de la dilater davantage d’un second doigt. Elle avait adoré ce moment, avec ce mélange de propos un peu dévergondé de Patrick, car oui, il l’offrait à un inconnu qui lui donnait du plaisir et en même temps elle savait par l’intonation de sa voix, que lui aussi prenait le sien, ils étaient tous les deux dans une sorte de communion perverse.

Maurice se branla entre la raie de ses fesses et entre ses cuisses avant de l’enculer. Richard le directeur quant à lui regardait le spectacle en se masturbant. Solange aimait se sentir ainsi, elle gémissait assez fortement.

Maurice voulait que le moment s’éternise, il retirait sa verge et attendait que la pression retombe avant de la perforer de nouveau. Pendant que Patrick lui disait simplement : Tu aimes ça salope ! Hein ! ». Lorsque son excitation fut à son comble, il éjacula dans sa capote et laissa la place à son Directeur. Maurice se coucha sous elle, glissa sa tête sous sa poitrine et la téta pendant que Richard la sodomisait à son tour. Maurice se tenait maintenant devant elle et enfila sa bite ramollie dans sa bouche et Patrick giflait ses seins qui ballotaient en disant : « T’aimes te faire enculer ! Hein ! » À cet instant Solange cria son plaisir, sa jouissance avait explosée. Elle eut un orgasme assez foudroyant de par la situation mais aussi d’avoir été possédée de la sorte.

Avant de redescendre elle était allée dans la salle de bain pour se nettoyer puis avec Patrick, ils étaient à la fête comme si rien ne s’était passé, finir la soirée un verre à la main. Solange croisait des regards, avait trinqué sans le savoir avec les deux types qui l’avaient baisée sans savoir qui l’avait sodomisée. Ce fut très jouissif, pour Patrick et le but qu’il s’était fixé. En rentrant en voiture, Patrick étant enchanté, Solange s’était dite que c’était une première fois, mais loin d’être la dernière.

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