Souvenir de jeunesse (7) : vive le sport

- Par l'auteur HDS PP06 -
Récit érotique écrit par PP06 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenir de jeunesse (7) :  vive le sport Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenir de jeunesse (7) : vive le sport
Je n’ai jamais été un grand sportif, sauf pendant ma vie d’étudiant.
Depuis que je suis marié, quelques entrainements le dimanche pour pouvoir participer au cross du Figaro, un incontournable. L’habitude est prise, courir fait du bien.

Martine, elle, a commencé à fréquenter une salle de sport après la naissance des enfants, une manière de garder la ligne. A l’époque c’était de la culture physique, parfois de l’aérobic, de la gym en dansant, popularisée par l’émission « Gym tonic » à la télévision.… Maintenant ce n’est plus une salle de gym, mais un centre de fitness, elle ne fait plus de la culture physique mais de la cardio, des abdos-fessiers ou du Pilate.

Martine est maintenant une habituée, je suis allé avec elle 3 ou 4 fois, mais bof ! Je sais que Martine aimerait que j’y aille plus souvent pour perdre le petit ventre qui pourtant m’a couté très cher en bon repas.

Nous sommes au mois de juin, j’avais environ 35/40 ans, je ne me souviens plus exactement, Martine m’annonce que pour fêter la fin de la saison, le club organise une soirée. Bien sûr je suis invité « je n’ai pas envie d’y aller seule ». Jamais rebuté par une coupe de champagne, il n’est pas question que je me défile.

Ce samedi soir, nous laissons les enfants chez mes beaux-parents. C’est tout bénef, demain matin grasse matinée.
La soirée est libre, nous arrivons au club de gym prêt à faire la fête. Il fait très chaud, Martine s’habille léger, petite robe d’été boutonnée devant de haut en bas. Elle me conseille de prendre mon maillot de bain, car souvent ce genre de fête se termine dans la piscine.

Il y a du monde, beaucoup de monde, plus de 200 personnes, membres du club, invités et « personnalités ». Petites visites des installations en arrivant, Martine m’accompagne, elle m’explique en détails les activités possibles, les salles de cours, le plateau pour la muscu rempli d’engins de torture de toutes sortes.
Je découvre la grande piscine qui jouxte un espace extérieur souvent utilisé pour la bronzette. Là, des tables sont dressées avec petits fours et boissons.

Martine me présente les personnes avec qui elle se retrouve toutes les semaines dans son cours, pas vraiment des amis, des connaissances qui se croisent régulièrement au club : Simon, Vincent, Joseph, Julie, Jean-Pierre, … je ne me souviens plus de tous. Vincent est venu seul, sa copine n’a pas pu l’accompagner. Julie est mariée à Jean-Pierre, il vient régulièrement avec sa femme, il fait déjà partie du groupe. Je sens que Martine aimerait bien que j’en fasse parti moi aussi.

Je passe sur les discours officiels … le buffet est pris d’assaut …
L’ambiance est chaleureuse, bon enfant. Plusieurs couples dansent. Les esprits s’échauffent au bout de quelques coupes de champagne ou de verres de punch.

Le temps passe … la plupart des invités sont déjà partis. Simon lance l’idée attendue de tous, « si on allait se baigner » … direction les vestiaires, on se sépare les femmes à droite, les hommes à gauche.
Regroupement dans la piscine, Martine a mis un bikini assez sage, ne laissant voir que la naissance de ses seins et la moitié de ses fesses. Chacun plonge, joue, nage. J’en profite un peu, je n’ai pas suffisamment l’occasion de nager.

La fête touche à sa fin, l’une après l’autre les personnes quittent la piscine. Notre petit groupe décide aussi de s’en aller.

Au vestiaire, nous sommes surpris, alors que nous pensions nous séparer, les hommes à gauche, les femmes à droite, le gardien n’a laissé qu’une seule sale ouverte, regroupant toutes les affaires dans une même pièce.

Il faut d’abord passer à la douche avant de se rhabiller, vestiaire commun, douches communes. Nous y allons tous ensemble, il y a avec nous, Jean-Claude et sa femme Julie, Vincent, Simon et Joseph.

Trois hommes et un couple sont déjà là. Nous sommes tous un peu gênés, mais pas de problème tout le monde garde son maillot juste pour se rincer. Je me retourne vers le mur pour laver popaul dans le maillot du geste délicat du mec qui se gratte les couilles.

L’eau qui coule sur tout le corps est bien agréable, je ferme les yeux pour gouter ce petit moment de bien-être.

Tout à mon plaisir, je me retourne lentement, surprise, sans aucune hésitation nos amis tombent leur maillot, Simon le premier exhibant une queue asses longue, les autres suivent sous le regard intéressé de Martine et de Julie.
Voyant tous les hommes nus, je repense à la chanson de Pierre Perret « Tout tout tout, vous saurez tout sur le zizi » …
Martine non plus n’hésite pas, son soutien-gorge saute, suivi de près par sa culotte, à côté de moi Julie est déjà nue, tout le monde me comprendra c’est vers elle que se tourne mon regard.

Martine ne se cache pas, n’essaie pas de protéger sa nudité, bien au contraire très à l’aise, nue au milieu de nos amis, face à eux. Eux ne se gênent pas pour admirer sa poitrine, sa fine toison, ses fesses potelées dont le blanc fait ressortir la sensualité.
Julie aussi a droit à toute notre attention, surtout la mienne.

Sous la douche, Martine tourne sur elle-même, laisse couler l’eau le long de son corps, se lave en se caressant les seins, la chatte, les fesses. Je vois les queues se tendre, son but est atteint.

Je profite surtout de la scène offerte par Julie, elle aussi se lave de façon sensuelle pour le bonheur des mâles présents. Suis-je plus excité par le spectacle que m’offre Julie, ou par celui que Martine offre aux hommes qui l’entourent ?

Julie se retrouve rapidement dans les bras de son mari, quelques bisous, ils se lavent mutuellement, de tendres caresses, elle le branle en souriant, il a l’air aux anges. C’est beau, c’est excitant… Je les regarde, alors que ma femme a relevé ses cheveux dans un geste naturel, les bras en l’air, qui lui fait remonter sa poitrine.

Simon s’approche de Martine « je te lave le dos ? », et sans attendre sa réponse, prend du savon au distributeur et commence à lui passer la main sur les épaules, sur les bras, sur les fesses, il la lave consciencieusement, au passage sa queue frôle Martine. Il se rapproche, se colle contre elle, passe sa main devant pour lui « laver » la poitrine, se frottant à elle par derrière. Tout le monde rit sans s’en offusquer. Martine laisse faire, un sourire éclatant inonde son visage, elle apprécie la caresse.

Vincent se déplace devant elle « Je prends le relais » et tandis que Simon continue de lui laver/caresser le dos, avec ses mains et avec son sexe, Vincent se charge de ses seins, longuement, tendrement, il insiste, s’attardant sur ses tétons, sa main passe sur son ventre, descend le long de son pubis, ses doigts se perdent dans sa toison, il glisse sa main entre ses jambes. Martine écarte un peu les cuisses, ferme les yeux et se laisse emporter par cette double caresse. Elle frisonne, me regarde sans me voir, le plaisir se lit sur son visage.

Des pieds à la tête, Martine est couverte de savon, pleine de bulles blanches, seuls ses tétons roses et sa toison brune crèvent ce voile immaculé. Joseph s’approche, sourire aux lèvres « Oh, la belle savonnette, viens me laver », Martine ne se le fait pas dire deux fois, quittant les mains qui s’occupaient d’elle, elle passe ses bras autour du cou de Joseph et se colle à lui. Elle bouge légèrement pour le laver partout avec son corps, l’un contre l’autre, ses seins contre son torse, ventre contre ventre, pubis contre pubis, cuisses contre cuisses. Elle prend sa tâche très au sérieux, aucune partie ne doit être oubliée, il sera bien propre. Joseph n’est pas en reste, il lui lave/caresse les fesses et la tient serrée contre lui.
Elle ondule des hanches, frottant son pubis contre sa queue surement déjà bien raide. J’ai remarqué qu’il est circoncis, j’imagine son gland décalotté en contact avec sa chatte, avec son clito.

Je tourne les yeux, Vincent est en train de laver/caresser Julie sous le regard hilare de Jean-Pierre, son mari, j’ai envie de l’aider. Vincent se retourne et donne une petite tape sur les fesses de Martine « attention tu vas l’user à force », tout le monde rit. Martine se détache légèrement de Joseph qui bande, la queue en l’air.

Je m’approche de Julie, elle me sourit « Je vais te laver, toi aussi tu dois en avoir besoin ». Elle prend du savon, me frotte le torse doucement, tendrement, sa main descend elle me savonne le ventre, me savonne la queue… ça mousse. Sans hésiter, elle me branle en me regardant dans les yeux.
Vincent est toujours à côté d’elle. Avec un air coquin, Julie dépose un baiser sur mes lèvres, tandis qu’elle étale du savon directement sur la queue de Vincent, qui en profite aussi pour l’embrasser.
Julie, une « savonnette » dans chaque main, nous branle en cadence Vincent et moi, quatre mains parcourent son corps, chacun un sein, chacun une fesse, on se partage ses baisers.

Je ne peux détacher mes yeux de Martine, elle a l’air toute petite dans les bras de Joseph, leurs bouches sont collées, ils échangent un baiser langoureux. Joseph d’une main lui pétrit les fesses en la tenant serrée contre lui, de l’autre main il lui malaxe un sein. Martine, pendue à son cou, a posé une main sur une partie de son anatomie « que rigoureusement ma mère m’a défendu de nommer ici », elle le masse lentement. La queue de Joseph se tend entre les doigts experts de Martine.

Un cri retenti, répercuté à l’infini sur les murs de faïence… Le silence s’installe, plus aucun bruit, excepté celui d’une douche qui coule au loin.

Fasciné, je les regarde … Martine se détache un peu de son chevalier servant, lève les yeux vers moi, le visage affichant le sourire radieux d’une femme après l’orgasme. Je n’entends pas ce qu’elle essaie de me dire, mais je peux lire sur ses lèvres « ça va mon chéri ? », et pose à nouveau ses lèvres sur celle de Joseph.

Toujours la queue dans la main de Julie, je bande sans essayer de me cacher.

Une sonnerie nous informe que le club va bientôt fermer.

Martine pose sa main sur mon épaule, me secoue légèrement me tirant de ma torpeur « Patrick, on y va ? ».

J’ouvre les yeux, « Où suis-je ? », Martine est avec Julie et quelques femmes, les hommes sont de l’autre côté, tous sont en maillot, moi aussi. Mon esprit a vagabondé. J’espère que ce rêve ne déforme pas trop mon caleçon.

Direction le vestiaire, je prends Martine par la taille, serré contre elle, hanche contre hanche, pour bien marquer que c’est ma femme.

Notre petite troupe un peu bruyante envahi le vestiaire, chacun cherchant ses affaires. Quelques personnes sont déjà en train de s’habiller. Certains mecs ne se gênent pas pour aller et venir nus devant les rares femmes encore présentes. J’aperçois des fesses, je mate discrètement pour n’apercevoir qu’un sein vite recouvert.

Martine se tourne vers le mur, sans hésiter elle enlève son soutien-gorge et baisse sa culotte. Ses fesses blanches attirent les regards, certains apprécient en connaisseur. Sur le côté, on doit avoir une vue directe sur sa poitrine. Elle se saisie d’une serviette pour se sécher rapidement, le geste est sensuel.

La voir nue me donne des idées, certainement pas qu’à moi… Je m’approche d’elle, dépose une bise dans son cou en la prenant par les épaules, elle frisonne, pas de froid, tourne la tête vers moi, je lui dépose un baiser sur les lèvres.
Me reviennent en mémoire nos vacances au camping, le soir où nous avons pris une douche avec un couple, elle leur tournait aussi le dos, la prenant par les épaules c’est moi qui l’avais fait se retourner pour la montrer de face, j’y pense mais là je n’oserais pas le refaire.

Martine me repousse gentiment : « va vite t’habiller ». Elle n’a pas l’air trop gênée de la situation ; moi je suis très excité de la voir ainsi nue, même de dos, devant ses amis et quelques inconnus.

J’imagine que tous les hommes présents doivent apprécier le spectacle. Chacun son fantasme, mais ce sont des gentlemen, ils ne regarderaient jamais une femme qui se change, ils savent rester discrets. Comme je le suis, avec les deux jeunes femmes blondes qui se changent dans un coin du vestiaire. Jolies femmes, avec des petits seins comme je les aime, l’une est une vraie blonde, l’autre je ne sais pas elle a un sexe rasé tout lisse… mais bien sûr je ne les dévisage pas, c’est tout un art de savoir regarder sans être vu.

Pourtant, je devine les yeux de nos amis braqués sur Martine. J’évite de croiser leur regard, pas de connivence, ils peuvent mater autant qu’ils veulent, mais je ne voudrais pas qu’ils s’aperçoivent que ça me plait, encore moins que ça m’excite.

Trop occupé avec mes blondes et à « surveiller » Martine, je ne fais pas attention à Julie, qui elle aussi est nue à deux mètres de moi, je m’en rends compte un peu tard, elle a déjà troqué son maillot de bain pour des sous-vêtements, alors qu’elle passe son soutien-gorge, dommage.

Martine fouille dans son sac pour prendre ses vêtements, se faisant elle s’expose un peu plus. Cette fois, elle ne cache plus grand chose.
Lentement elle fait un striptease à l’envers, sa culotte est vite passée, mais sa toison brune n’a plus de secret pour personne… La robe est enfilée, le boutonnage par devant lui prend du temps, commençant par le bas, les pans sont largement ouverts. « Cachez ce sein que je ne saurais voir », mais que tout le monde a déjà bien vu.… Chacun peut admirer avec quelle grâce, et quelle discrétion, elle fait profiter de ses charmes tous ses admirateurs.

Je sens bien que Martine prend plaisir à ne pas se rhabiller trop vite. Ne devrait-elle pas faire plus attention ? Sa petite exhibe ne me déplait pas, bien au contraire, je ressens le même picotement que chaque fois qu’elle se change sur une plage. Heureusement que j’ai déjà passé mon pantalon.

Martine s’assoie pour se sécher les pieds, se faisant, elle pose son pied sur le banc, face à Simon qui ne perd rien du spectacle, sa culotte n’a plus de secret pour lui. Un pied après l’autre, sans se presser. Je suis habillé, je l’attends tout en discutant avec ses amis. Elle se penche pour ranger ses affaires dans son sac, montrant ainsi ses fesses, non montrant sa petite culotte blanche à ceux qui n’avaient pas encore eu la chance de la voir. Et devant ? Zut, je n’ai pas eu le temps de découvrir ce que, bien placés, Jean-Pierre et Vincent peuvent voir.

En faisant une bise à chacun, Martine discute avec Joseph. Il nous invite à finir la soirée chez lui, sans rien me demander elle accepte. Chacun regagne son véhicule. Vincent devant part en moto, je le suis ne connaissant pas l’adresse où nous devons nous retrouver.

Nous arrivons chez Joseph, petit chahut dans l’ascenseur. Tandis que nous nous installons, il va immédiatement chercher à boire, jus de fruit pour tous… on est des sportifs… Nous trinquons… les conversations vont bon train.

Personne ne connaissant, Joseph nous propose de visiter son appartement, ce sera rapide ce n’est pas bien grand, un salon avec cuisine américaine et une petite Mezzanine accessible par une échelle verticale en bois, sa chambre est en haut.
Il nous invite à monter « à l’étage » et passe devant. Martine le suit, je la regarde d’en bas, vue imprenable sur ses cuisses et sur ses fesses. Je ne suis pas le seul, 4 paires d’yeux accompagnent le mouvement. Heureusement qu’elle n’a pas oublié de mettre sa culotte. Quoique !

D’en haut, Joseph lui tend la main pour l’aider à gravir les dernières marches. Ses yeux s’égarent, je me demande ce qu’il peut voir dans son décolleté. Rapidement nous sommes tous un peu à l’étroit dans cet espace réduit. Il nous présente son home : juste la place d’un lit bas, au ras du sol, et un petit placard. Dans un coin une salle d’eau.

La visite est rapide, pour redescendre il passe le premier « pour tenir l’échelle », nos amis le suivent l’un après l’autre, c’est au tour de Martine, je fermerais la marche. Je lui tiens la main tandis qu’elle pose son pied sur l’échelle, par réflexe je regarde dans son décolleté comme Joseph il y a quelques minutes, il est bien sage, Joseph a dû être déçu. Je vois en bas 5 paires d’yeux qui me regardent, ou plutôt qui doivent vérifier si Martine a toujours sa culotte, même Julie s’est jointe aux hommes. Martine descend échelon par échelon en faisant attention, il ne faudrait pas qu’elle tombe, elle doit bien se douter être l’objet de toutes les attentions.

Tandis que je m’engage à mon tour sur l’échelle, une main se tend pour aider Martine, est-ce Joseph ou Vincent, peut être Simon, se faisant il passe ses mains sur ces hanches et dans le mouvement remonte sa robe jusqu’à la taille. Elle tombe dans ses bras sous les rires de tous nos amis.

J’arrive en bas, Martine a rabattu sa robe et la lisse pour arranger sa tenue. Elle me regarde avec un petit sourire « oups ! désolée ».

« Qui a soif ? Vous pouvez vous resservir », petites discussions un verre à la main, pas assez de place pour tous s’assoir.

Personne ne s’éternise, nous regagnons notre voiture pour rentrer chez nous. Je serre Martine dans les bras …elle me chuchote simplement « Ils sont sympa mes amis, Non ? ». Moi en riant, « maintenant, ils doivent tous savoir que tu portes une culotte blanche », elle me sourit d’un air coquin. Je n’insiste pas, savourant ce moment inattendu.

Cette fois Martine prend le volant, je vais avoir 20 minutes de repos.

Dans la voiture, comme chaque fois que Martine conduit (ou une autre femme d’ailleurs), je suis attiré par ses cuisses, j’aime le ballet de ses jambes qui s’écartent et se resserrent, passant du frein à l’accélérateur.

Très vite je commence à somnoler, je ferme les yeux goutant le plaisir de me faire conduire.

« Patrick, tu rêves… nous sommes arrivés », Une main sur mon épaule Martine me secoue gentiment, je n’ai rien vu de la route. Nous sommes arrivés dans le parking de notre immeuble. J’ouvre un œil, bercé par le ronron de la voiture, je me suis assoupi, mon esprit est reparti vers les douches. Martine me sourit « Dis donc, je ne sais pas ce qui hante tes pensées mais vu ton sourire, ce ne devait pas être désagréable ».

En lui rendant son sourire, je la prends dans mes bras et l’embrasse, retrouvant les mêmes gestes que lorsqu’étudiant je la raccompagnais chez elle. Je déboutonne sa robe et lui caresse les seins, je réalise qu’elle n’a pas remis son soutien-gorge. Je repense à tout à l’heure, en montant à l’échelle, Joseph a-t-il pu s’en apercevoir ? Et quand elle est tombée de l’échelle dans les bras de … je ne sais plus qui, il a bien dû s’en rendre compte.

Je la pelote amoureusement, mes lèvres collées aux siennes. Au moment où je me penche pour lui sucer les tétons :« Nous serions mieux chez nous, tu ne crois pas ? Nous n’avons plus 20 ans »
Avant de descendre de voiture, alors qu’elle s’apprête à refermer sa robe, j’arrête son geste « comme ça tu es belle, il n’y a que nous » et déboutonne les derniers boutons retenant les deux pans de sa robe.

Dans le parking, sa robe s’ouvre largement en marchant, nous sommes seuls, mais excités par le risque qu’une voiture n’arrive … cela nous rappelle certains soirs peu après notre mariage, Martine dansant nue dans le parking, prenant l’ascenseur dans le plus simple appareil jusque chez nous… montée d’adrénaline assurée.
Main dans la main, elle rejoint l’ascenseur la poitrine à l’air, les pans de sa robe volent autour d’elle. D’un geste machinal, elle referme sa robe lorsque la porte de l’ascenseur s’ouvre, on ne sait jamais.

Jouant les jeunes, tandis que nous montons au septième ciel (enfin au cinquième étage), je la caresse et l’embrasse. Petit coup au cœur, l’ascenseur s’arrête au rez-de-chaussée… fausse alerte, il n’y a personne. A cette heure peu de risque de rencontrer un voisin. Dommage ?

Sur notre palier, les clés à la main, je passe devant pour ouvrir notre porte. Surprise, Martine me suit nue (en culotte), elle tient d’une main sa robe qu’elle a enlevée en sortant de l’ascenseur. Petits frissons garantis. Le risque de se trouver nez à nez avec notre voisin est faible, pourtant nous y pensons, nous l’imaginons tous les deux.

On ne va pas s’éterniser sur le palier, je la laisse passer et referme la porte les yeux rivés sur ses fesses. Pas le temps d’aller dans notre chambre, juste deux baisers torrides de la porte à notre canapé … il en a vu d’autre. Ah, s’il pouvait parler !

Ce soir-là, en prenant une douche réparatrice, Martine me fait remarquer « Quelle forme mon chéri ! C’est faire du sport qui t’a mis dans cet état ? ».

Je ne sais pas ce qui m’a décidé, deux jours après je suis allé m’inscrire à la salle de gym, plutôt au centre de Fitness.

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