Terma 65 - Omar le rouquin (1) :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 65 - Omar le rouquin (1) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 65 - Omar le rouquin (1) :
Je suis Omar le rouge, car je suis rouquin. J’ai 45 ans et divorcé depuis 5 ans seulement. J’ai été marié entre 30 et 40 ans et j’ai eu trois enfants. Quant ma femme m’a divorcée, elle a gardé la maison, les enfants et une rente, par le tribunal. Elle a gagné car elle avait découvert que j’avais des relations sexuelles avec d’autres hommes. En effet, j’avoue que bien avant mon mariage, vers 20 ans, un vieux voisin de mes parents, nommé Moussa, et qui tenait un grand magasin de vêtements et de gadgets, m’attirait souvent dans son antre, au fond du magasin et m’offrait quelques vêtements de jeune, gratuitement. Et il en profitait pour me peloter et me caresser le derrière et cela m’excitait beaucoup. Et un jour, le soir, après la fermeture de son magasin, il m’attira sous prétexte d’un cadeau et sous la faible lumière du fond, il m’excita, me peloter puis réussit à me calmer et me faire sucer sa queue tout en me préparant ma Terma dénudée. Puis, grâce à une pommade et sa technique des doigts, il m’ouvrit l’anus, l’assouplit puis me pénétra avec sa grosse queue gonflée. Il m’a fait un peu mal mais il avait de l’expérience. Et j’avais certainement des prédispositions, car après un moment, c’était moi qui tendait la Terma vers son gros zeb pour augmenter les sensations agréables qui me donnaient des frissons dans le corps et des démangeaisons dans le cul. Ensuite, il a éjaculé dans mes entrailles et m’a montré son sperme et comment lui nettoyer la queue avec ma bouche et mes lèvres. Depuis ce jour, et pendant trois années, il me niquait deux à trois fois par semaine, au fond du magasin. Parfois, c’était moi qui venait le relancer et pour m’exciter encore, il me disait à grosse voix que ce n’était pas moi qui le demandait mais ma Terma affamée de son gros zeb, ce qui était vrai. Il utilisait ces mots crus qui ajoutaient à mon excitation. Et Moussa ne refusait jamais de nous faire plaisir, à moi et à mon cul, sa queue est toujours prête à la saillie.
Et puis, sa femme est décédée, et comme il n’avait pas d’enfant, il fit le projet de m’avoir chez lui, dans sa maison, pour disposer de mon cul à son aise. A ce moment, j’avais environ 23 ans et un beau corps épanoui. Alors, il planifia un programme et commença d’abord par demander à mes parents de me prendre comme apprenti vendeur dans son magasin, moyennant un petit pécule et m’apprendre aussi le métier. Mon père tomba dans le piège, il fut enchanté et accepta. Ainsi, depuis ce jour, mon patron Moussa pouvait, chaque soir, juste après la fermeture à 19h, me niquer à son aise, au fond du magasin. Moi aussi j’étais enchanté, comme mon père mais pour une autre raison. Ensuite, Moussa programma exprès, des activités supplémentaires, telles qu’il nous fallait travailler souvent tard au magasin, au-delà des 19h. Notre zone de quartier n’étant pas très sure, mon père demanda à Moussa s’il pouvait me loger chez lui, ces soirs là, question sécurité. C’était exactement ce que mon patron avait planifié. Alors, il multiplia les travaux du soir, tellement de fois, que je couchais pratiquement cinq nuits par semaine, chez lui. Malgré qu’il y avait une chambre d’amis, bien équipée, dans la maison, Moussa décida que nous coucherons ensemble, dans son lit conjugal, et tous nus sous un drap unique. Il disposait ainsi de moi toute la nuit, corps à corps. Et depuis, dans son lit conjugal, il me niquait chaque soir deux à trois fois, selon son aise ou sa puissance, comme si j’étais sa femme.
Et cela a duré pendant trois autres années jusqu’à mes 26 ans. Entre temps, mon corps s’est encore mieux développé, surtout la largeur de ma Terma et la grosseur de ma poitrine, ce sont ces deux atouts sexuels de mon corps que Moussa manipulait en abondance chaque nuit avec ses mains et son zeb. Mon patron décida que j’étais exclusivement disponible pour son zeb, mais comme j’avais une grande Terma qui tendait outrageusement le derrière de mon pantalon et qui pourrait attirer surement des dragueurs, il fallait trouver un subterfuge. Alors, il m’obligea à laisser pousser de grosses moustaches et une belle barbe.Ainsi, je ressemblais plutôt à un beau jeune homme bien bâti et viril. C’était très amusant, car ainsi, il m’est arrivé d’attirer, quelques fois, des femmes qui m’offraient leur chatte et même des jeunes hommes qui m’offraient leur Terma, mais que j’ai du refuser. Nous vivions ainsi,sans problème ni au travail ni au niveau de mes parents. Le soir, nous achetions notre repas dans un restaurant prêt de chez lui et que nous complétons par des fruits et des boissons. Et juste après diner, il m’entrainait vers le lit pour la première séance de plasirs et de jouissances. Souvent, il me niquait par derrière mais parfois, couché sur le dos, il me demandait de m’assoir sur ses cuisses et d’enfoncer son zeb dans mon cul et de danser comme je le désire. C’étaient des séances formidables et je me donnait à fond sur le lit qui grinçait de nos fougueux débats. Mais un jour, notre intimité a été dérangée.
En effet, Moussa a reçu un parent du bled, pour affaires, et qui devait loger une semaine à la maison. C’était un vieil homme de 50 ans environ, très robuste et très poilu. Moi, il m’a plu tout de suite car il se dégageait de lui une certaine puissance naturelle, une virilité rurale, du bled. Il doit avoir un corps robuste et un zeb très conséquent. Oui, il m’a plu et je l’ai désiré pour ma Terma, mais c’était interdit. Moussa ne voulait pas montrer nos relations sexuelles à son parent et il fallait s’organiser dès la première nuit. Pour dormir, on a donné la chambre d’amis à l’invité et Moussa dans sa chambre et moi sur le canapé du salon, j’étais le plus jeune. Après un bon diner acheté en grande partie, et un peu de télé, nous sommes allés nous coucher vers 23h environ. Vers 2h du matin, je fus réveillé par notre invité, en pyjama, et qui était penché sur moi. Il me chuchotait qu’il voulait me recouvrir le corps, qui était en partie dénudé. J’étais couché, nu comme à mon habitude avec Moussa, et sur le ventre. Je me suis redressé un peu pour constater qu’en effet, le drap s’était écarté et mon corps était presque totalement nu, surtout du dos aux pieds. Ainsi, mon gros derrière, large, tout lisse et blanc ainsi que mes belles cuisses étaient nus devant les yeux de notre invité. Il regardait ma Terma avec avidité, les yeux ronds, fixes et la bouche ouverte. Je savait qu’il me désirait. J’ai jeté un coup d’œil du coté de son pyjama et la grosse bosse au niveau de la braguette traduisait nettement qu’il bandait fort de la queue. Il me couvrit faiblement avec le drap mais il s’assit à mon coté. Sa main se posa sur mes cuisses puis monta à ma Terma qu’il caressa et s’infiltra dans son sillon vers mon anus. Il gémissait et marmonnait des mots que je ne comprenais pas. Mais j’avais saisis ce qu’il désirait, et moi aussi j’étais disponible à cela car mes démangeaisons au cul ont démarré aussitôt que j’ai vu qu’il me regardait le derrière. J’ai un peu soulevé la Terma vers sa main qui caressait et il a comprit mon signal d’acceptation. Alors, il a écarté le drap pour découvrir directement la chair de mon cul et mes cuisses et sa main reprit ses caresses chair à chair et se glissa vers mon anus. Son autre main a sorti son zeb du pyjama et il commença à se branler malgré qu’il était déjà gonflé. Pour le rassurer, j’ai glissé ma main droite vers son zeb que j’ai empoigné fortement et je l’ai un peu branlé. Il était dur et doux à la fois. J’ai remarqué qu’il était aussi gros sinon plus que celui de Moussa et ça m’a ébranlé au cul. Il fallait faire vite et je me suis redressé le drap sous le bras. Et nu, je l’ai entrainé vers sa chambre. Par désir, excitation et joie, j’ai ondulé du derrière devant lui, en marchant pour l’affoler encore plus. Dans la chambre, il a jeté son pyjama par terre et, nu comme moi, j’ai vu un corps poilu et viril qui me donna des frissons de jouissance dans mes fondements. J’ai empoigné son zeb que j’ai avalé et je l’ai sucé un moment en caressant ses couilles et ses poils du pubis. Puis le me suis mis à genoux sur le lit, jambes et cuisses largement écartées, offrant totalement mes fesses, et mon anus à notre invité. Et sans préparations, il a tenu son zeb à la main et l’a plongé dans mon cul. Mon anus, déjà palpitant, s’était ouvert avec plaisir à ce pieu de chair si délicieux et le zeb s’est enfoncé jusqu’aux couilles dans mes entrailles. Puis tenant fermement mes hanches, il a démarré une longue série acharnée de vas et viens. A chaque enfoncement, il hurlait de joie et moi je gémissait de cette saillie virile que j’attendais et désirait. Il me sodomisa pendant un bon quart d’heure, à fond et enfin, il éjacula par quatre fois dans mon cul. Ses jets étaient puissants et me bombardaient mon fond de son sperme brulant mais si délicieux. J’étais comblé de cette sodomie, une niquée surprise pour ce soir mais formidable. Ensuite, il s’est couché sur le coté, le zeb dressé presque à la verticale. Je vous disais que c’était un rural viril. J’ai avalé encore une fois son zeb pour le sucer et le nettoyer. C’est seulement à ce moment là que nous avons un peu discuté et qu’il m’a dit si j’étais la femme de Moussa. Ses termes m’avaient d’abord un peu choqués mais j’ai vite accepté ses paroles. Oui j’étais la femme de Moussa depuis le décès de la sienne et même avant, je lui donnais ma Terma. Il m’a affirmé que ma terma l’a ébloui dès qu’il l’a vue et, me caressant de nouveau les fesses, il désirait une seconde sodomie, son zeb était bien gonflé et dur comme un pilon. Aussitôt désiré, aussitôt exécuté. Mais je le voulais par devant. Je me suis en position, le dos sur le lit et les jambes et cuisses haut levés et largement écartés, offrant mon anus sous mes couilles. Il empoigna son zeb, se mit entre mes cuisses et me pénétra avec rage. Il tomba sur ma poitrine, étourdi par cet enfoncement jusqu’aux couilles. Son ventre claqua sur le mien et il me baisa le cou. Nous étions affamés et sa violence était le seul remède pour nous satisfaire. Il m’a sodomisé pendant plus d’un quart d’heure cette fois et quant il a éjaculé par trois fois nous avons hurlé ensemble. Il m’a aussi longuement peloté les seins qu’il a embrassés et sucé. Il venait du bled mais il savait niquer et donner du plaisir avec tous les secrets du corps. Sa femmes doit avoir une grosse poitrine car on voit qu’il a l’habitude de presser, de malmener puis de baiser et sucer les seins. Il m’a fait mal mais c’était si agréable que j’en redemandais. Son zeb dans mon cul, sa bouche sur mon sein, ses mains sur mes fesses et hanches, j’étais comblé de partout. C’était nettement mieux qu’avec Moussa.
Ensuite, je suis allé me laver dans la salle de bain avant de rejoindre mon canapé au salon. Il s’est aussi lavé après moi et rejoint sa chambre. On avait peur que Moussa se lève, pour pisser ou autre et nous découvre dans la chambre. Il était déjà plus de 3h et je n’ai pas pu dormir normalement. Ma Terma me démangeait et je rêvais du zeb de notre invité. Alors, n’en pouvant plus, je l’ai rejoins dans sa chambre. Il était environ 4h du matin. Il dormait et je l’ai réveillé en lui disant que mon cul était affamé de son zeb. Cela lui a aiguillonné la queue qui s’est redressée. Je l’a sucé un moment et branlé avec force jusqu’à le rendre gonflé et très dur. Pour cela je me suis assis sur sa poitrine, lui tournant le dos et lui offrant ma Terma. Il a comprit et a commencé à me caresser et lécher les fesses et mon anus. Il a introduit ses doigts dans mon cul et m’a manipulé l’intérieur. Ses baisers bruyants m’ont excité et j’ai constaté que sa queue se gonflait encore plus et durcissait, je voyais ses veines qui gonflaient à éclater. Il fallait agir, alors, toujours lui tournant le dos, assis sur ses cuisses, j’ai pris son zeb et je l’ai introduit dans mon cul, doucement, à la main. Je l’ai gardé à la main et je le faisais entrer au maximum puis je le ressortais. Puis je l’enfonçais de nouveau et faisais avec quelques vas et viens avec sa presque totalité mais sans le lâcher. Je le pressais en même temps. Je l’entendais souffler, gémir et presque crier. Moi aussi, en jouant avec ce gros zeb, je gémissais et parfois un choc de jouissance me faisait presque crier. On essayait d’étouffer nos cris, de peur de réveiller Moussa. Enfin, il me toucha le dos, s’accrocha à mes hanches et essaya de se soulever. Alors j’ai libéré son zeb. Il commença alors ses vas et viens puissants et accélérés par des coups de reins qi le soulevaient et me faisaient sursauter sur le lit. Après une quinzaine ou plus de secousses, il arriva au top et soudain il libéra son zeb qui explosa son éjaculation par quatre jets. A chaque jet, il se souleva brusquement et m’entrainait avec lui et lançait son sperme chaud dans mes entrailles. Après son quatrième jets, il se relâcha et libéra aussi mes flans. Je me suis laissé tombé le dos sur sa poitrine pour gouter au maximum ce plaisir du zeb dans mon fond inondé de son jus. Puis, je me suis glissé sur le coté et après un moment, constatant l’heure, je me précipité vers la salle de bain pour me laver et même me doucher rapidement, avant de rejoindre mon canapé. Lui aussi, je l’a entendu qui se lavait et se douchait puis rejoindre son lit.
Quant Moussa s’est réveillé, on faisait semblant de dormir, lui dans la chambre et moi au salon. Pendant toute la semaine, comme Moussa ne pouvait pas me baiser à la maison, il le faisait au fond du magasin, juste après la fermeture. Une petite sodomie rapide et une éjaculation pressée, ce qui ne contentait pas du tout ma Terma. Mais la nuit, quant Moussa s’endormait, j’allais rejoindre notre invité et il me sodomisait à fond, par derrière et par devant avec fortes éjaculations, pelotages et embrassades et à l’aube tout devenait normal. Et ce fut ainsi pendant toute la semaine. Et en partant, Si Sourdi, c’était son nom, m’a promis de revenir souvent et le plus tôt possible. J’étais enchanté et conquis par cet homme, car non seulement il baisait bien et avait un gros zeb plus grand et plus puissant que celui de Moussa, mais il avait de l’imagination dans ses sodomies et de la résistance. Durant les quatre années suivantes, Si Soudi tint parole, puisqu’il revint plusieurs fois et nous avons réussit à prendre nos plaisirs et jouissances sans que Moussa s’en rendre compte. J’étais comme une femme infidèle et cela me faisait fantasmer agréablement. J’avais maintenant 30 ans et un corps formidable pour ceux qui désiraient ma Terma, mais ma moustache et ma barbe avaient aussi de l’effet sur le femmes. A plusieurs reprises, mes parents m’ont proposé le mariage et m’ont présenté plusieurs filles, toutes intéressantes mais j’ai toujours refusé sur des prétextes divers.

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