Terma 77 : Anissa la passionnée et son mari impuissant (1)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 77 : Anissa la passionnée et son mari impuissant (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 77 : Anissa la passionnée et son mari impuissant (1)
Je suis Anissa, 20 ans et nos parents m’ont mariée à Allal, mon cousin, 40 ans, il y a six mois. Mon cousin travaillait à l’étranger depuis l’âge de 20 ans et vivait avec une étrangère, mais il y a 4 ans, il a eu un accident de travail qui l’a rendu impuissant sexuellement. C’est alors que sa compagne étrangère, après quelques disputes, l’a quittée et Allal, grâce à une belle rente de maladie, a essayé de vivre seul pendant ces 4 ans, mais ce fut tellement difficile qu’il décida de rentrer au pays. Il acheta une maison et l’équipa complètement mais il ne souffla mot de son problème sexuel. Il recruta une pauvre femme de 50 ans pour lui faire la cuisine et le ménage chaque jour et n’essaya même pas de se marier, de peur d’être découvert et un homme démuni sexuellement était mal vu chez nous. Pour moi, mon père avait une trop nombreuse famille de 12 enfants dont 8 vivaient toujours chez nous. Je ne sais toujours pas comment, moi et ma plus grande sœur Zina, nous avions réussi à terminer nos études secondaires et réussi à entrer en fac de lettres. Nous avons toujours été amies, complices et confidentes. La vie à la maison étant devenue difficile et impossible, nous avons réussi à obtenir une chambre à deux en cité universitaire et une bourse pour la restauration. Rapidement notre vie se partageait entre les cours et la cité et nous visitons rarement notre famille.
Ma sœur Zina a toujours été de caractère et de mœurs libres au point qu’elle avait des copains même au lycée. Elle se faisait peloter et embrasser et recevait des lettres d’amour et moi, j’avais toujours eu envie de l’imiter mais j’avais peur de la famille. Et quant on est passé à la fac, rapidement Zina a eu un copain très intime qui insistait pour coucher avec elle. Et un soir, alors que je dormais dans l’autre lit, je fus réveillée par de légers chuchotements. J’ai alors constaté que Zina et son copain couchaient dans son lit et leurs mouvements montraient clairement qu’ils baisaient. Je voyais le corps de son copain, nu au dessus d’elle et ses reins qui faisaient leurs mouvements de vas et viens sexuels. Leurs halètements de plaisir et surtout les gémissement de ma sœur étaient clairs. J’ai continué à les observer en douce et j’ai pu voir le sexe du copain quant il s’est redressé pour retourner ma sœur à genoux sur le lit. Il s’est mis derrière elle et je l’ai vu plonger son long sexe dans l’entre cuisses de ma sœur. Je ne sais si c’était dans sa chatte ou dans son cul. J’ai observé longuement leurs ébats jusqu’à l’éjaculation du copain. Il avait sorti son sexe et s’est branlé un moment puis il a éjaculé sur les fesses de ma sœur. Puis, ils se sont rhabillés et sorti ensemble. J’ai constaté que mon sexe mouillait à fond et que ma main y était enfoncée depuis un moment, sans que je m’en sois rendu compte. J’ai alors décidé d’avoir moi aussi un ami et de baiser comme ma sœur le plus vite possible. Le lendemain, à la fac, vers midi, ma sœur ayant remarqué mon attitude différente des autres jours, m’a demandé si j’ai bien dormi hier soir. J’ai répondu positivement, mais elle me connaissait trop bien et savait exactement quant je mentais. Alors, elle m’a avoué franchement que ce n’était pas la première fois qu’elle couchait avec son copain, mais qu’ils le faisaient dans des endroits et des hôtel, chers et dangereux, alors ils ont décidé pour la chambre. Et pour ne pas me gêner elle décida dorénavant de baiser en soirée et libérer son copain et la chambre avant 20h. Elle me regardait, attendant ma réponse, et comme j’hésitais, elle a ajouté que si ça ne me gênait pas de les voir baiser, ils peuvent continuer à baiser durant la nuit comme hier soir et même jusqu’au matin. Ses paroles m’ont beaucoup excitées, elles collaient exactement à mes désirs cachés et j’ai secoué la tête positivement. Elle m’a embrassée et promis de m’aider à exprimer mes désirs si je le voulais. Le même soir, alors que je bachotais au lit, ils sont venus et elle m’a présenté son copain, un étudiant de 4em année sciences, plus âgé que nous et très beau. Après une demi heure de discussions et de caresses ils ont eu envie de baiser, alors Zizi s’est vite déshabillée mais son copain hésitait et voulait le faire sous les draps. Mais Zizi lui a dit je l’avais déjà vu nu, ainsi que son zob hier soir. Alors, Aziz ôta ses vêtements devant moi. Il bandait déjà depuis un moment et la vue de son zob a été encore un choc agréable, excitant pour moi. Alors Zizi, qui me comprenait sans parole, pendant qu’elle s’allongeait le dos au lit, elle me lança un clin d’œil complice et me dit que je ferais mieux de me mettre à poil sous le drap pour me branler à l’aise. Et j’ai obéit, enlevant mon pyjama et allongée sur mon lit, jambes et cuisses écartées, j’ai commencé à me masturber à l’aise, en les observant. Déjà, le zob de Aziz était dans la chatte de ma sœur. Elle levait ses jambes haut et il la pilonnait de vas et viens énergiques. Je voyais une partie de son zob chaque fois qu’il reculait pour mieux s’enfoncer ensuite dans ma sœur. Et ces aperçus de zob, brillant et gonflé m’excitaient tellement que j’ai obtenu un orgasme avant le premier de ma sœur. J’ai étouffé mon plaisir mais Zizi a hurlé quant elle a eu son orgasme et s’est tendu à fond pour gouter le zob. Et nous avons tous continué à nous faire plaisir, eux en couple et moi en solitaire. Puis, fatiguée à le faire seule, je me suis tourné de l’autre coté. Pendant presque une heure, ils ont baisé et rebaisé avec cris, gémissements et halètements et moi je me faisais un cinéma dans la tête me mettant à la place de ma soeur avec ce beau zob en moi. Enfin, ils se sont arrêtés et il y a eu un long silence. J’allais m’endormir quant, soudain, je ressentais une présence qui se penchait sur mon lit. J’ai ouvert les yeux et j’ai découvert Aziz, qui se penchait sur moi et il était toujours nu et, horreur, moi aussi, sous le drap qu’il rejeta à coté. J’ai voulu réagir mais il me retint les bras et, souriant, il me désigna ma sœur. J’ai tourné la tête vers elle et elle me regardait en souriant et m’encourageait de la tête. J’avais compris qu’elle m’offrait son copain, et son zob, pour me dépuceler. Ne sachant pas si j’étais d’accord ou non, j’ai laissé faire. Aziz m’a installée, dos sur le lit, jambes et cuisses écartées et la chatte bien offerte. Et je voyais bien ce zob mince mais si long et avec une tête plus grosse que le tronc et qu’il tenait à la main. Puis il frotta doucement et plusieurs fois son zob sur et entre les lèvres de ma chatte et mon clitoris. Il était dur et j’étais excitée à fond et j’avais chaud. Enfin, il pénétra ses doigts puis les retira mouillés, alors il poussa lentement son sexe. Je le sentais qui pénétrait le vestibule de ma chatte et cela me donnait déjà du plaisir. Il fit plusieurs vas et viens sans me pénétrer complètement et cela me chauffait le corps, le sexe et la tête. Et soudain, une douleur brève comme une étincelle et en même temps, je ressentait le zob dans ma chatte. Et il stoppa immédiatement, et la douleur aussi, s’estompa et la sensation que son zob avait brisé ma barrière et pénétré ma chatte. Il m’avait dépucelé. Il me demanda si j’avais mal et s’il devait se retirer. En réponse, je jetais mon bassin et mes reins brutalement vers son bas ventre. Et cela fit pénétrer son zob complètement jusqu’aux couilles, dans ma chatte. Il comprit ma demande et me donna un petit baiser. Puis il fit bouger lentement son zob dans ma chatte, reculant et avançant doucement et d’une faible distance et cela commençait à me faire battre le cœur et accélérer mon souffle. Il se tourna vers ma sœur et leva le pouce de victoire. Mais lui aussi, je voyais qu’il haletait et bougeait du tronc à chacun de ses faibles pénétrations. Puis il accéléra et à partir de ce moment j’ai pratiquement perdu une bonne part de conscience. Au début j’ai moi aussi commencé à accélérer les mouvements de mes reins pour gouter son zob dans mon intérieur et je gémissais et même, je crois, à crier et hurler. Je ne sais pas exactement ce qui s’est passé ensuite, pendant plus d’une demi heure. Quant j’ai repris mes esprits, Aziz était toujours sur moi et son zob à l’intérieur de ma chatte. J’ai enroulé mes jambes autour de ses reins et il a recommencé ses vas et viens doucement puis plus vite et en bougeant aussi à droite et à gauche comme pour sonder l’intérieur de ma chatte et me donner le maximum de plaisir.
Nous avons continué à baiser longuement et quant j’ai obtenu, et cette fois franchement trois ou quatre orgasmes presque en jouissances continues. Quant il a du ressentir son sperme arriver, il s’est retiré de ma chatte et à genoux au dessus de moi, il s’est branlé trois fois seulement. Et soudain ses éjaculations ont explosé sur mon ventre et sur les poils de ma chatte. J’étais heureuse, oui profondément contente de ma sœur et heureuse d’avoir été facilement dépucelée et avoir obtenu des orgasme et fait éjaculer le zob d’un garçon par trois fois. Il avait éjaculé avant sur ma sœur mais ma jeune chatte serrée a réussi à l’exciter et le dompter pour éjaculer encore et encore. J’ai regardé ma sœur et elle a levé elle aussi le pouce pour me féliciter et m’a souri. Ensuite, Aziz a du partir rapidement car il avait à faire, alors ma sœur m’a montrée comment mettre un mouchoir dans ma chatte pour limiter les écoulements de sperme et, habillées de nos pyjamas, nous sommes allées aux toilettes situées au fond du couloir des chambres, pour nous nettoyer plus sérieusement. Ma sœur a été heureuse que ça soit bien passé et m’a confiée que Aziz lui a soufflé que j’avais une chatte très chaude et très souple, promettant beaucoup et on a rit de cela. Puis, nous sommes retournée dans la chambre. Ma sœur m’a promis que dans un premier temps, elle partagerait Aziz avec moi pour me dégourdir et apprendre mais qu’il fallait me chercher un autre copain et faire un bon choix pour nous permettre de baiser ensembles en couples chaque nuit. J’étais super d’accord et pour sceller notre contrat, nous avons décidé, pour cette nuit spéciale, de nous endormir, ensemble, dans le même lit. Ainsi une nouvelle vie commençait pour nous deux, surtout pour moi.
Et j’en ai profité à fond. Rapidement, j’ai pris un copain et plus rapidement encore nous avons couché et baisé, puis un autre puis un troisième. Ma chatte semblait affolée de zobs, incapable de s’en passer même pas une nuit et par deux, trois fois ou plus selon la force des zobs. Et au bout de six mois, j’avais au moins 8 amants, très. C’est moi qui les appelait pour baiser et ainsi je choisissais chaque fois mon amant de la nuit. Je gardais parfois un bon zob trois ou quatre nuits de suite mais jamais plus. En effet, je supportais de moins en moins ces jeunes étudiants qui me semblaient trop jeunes, fragiles, presque sans importance. Même leurs zobs ne me satisfaisaient plus, pas assez gros et pas très puissants. Alors que Zina restait accrochée à son Aziz, j’ai décidé de prendre d’autres amants plus âgés et en dehors du milieux universitaire. Il fallait choisir des hommes mûrs et avec des zobs assez gros et puissants et surtout dans les affaires pour les obliger à me donner de l’argent sur les plaisirs de ma chatte. Ma sœur m’a prévenue qu’ainsi j’allais devenir une putain et ça risquait de créer des scandales avec la famille. Mais que pouvais je faire ! C’est la faute à ma chatte qui ne se rassasiait plus d’une baise ou deux par jour, ni d’un type de zobs trop minces ou courts, et puis avec l’argent je peux aider ma famille. Un jour, j’ai questionné une de mes amie qui couchait avec un homme de couleur et je lui ai avouée que j’aimerais faire une expérience mais que j’avais peur de leur sexe qu’on dit énorme. Elle m’a expliquée que baiser avec un adulte de couleur, c’était une merveille, et qu’effectivement son zob était bien gros, épais et très long. La preuve, quant il bande, son zob lui arrivait au nombril et quant il est couché, il atteint ses genoux. Ses mots m’ont immédiatement fait mouiller ma chatte et j’ai décidé de faire l’expérience. Ma copine, voyant que j’étais éblouie et conquise m’a proposé de coucher avec eux ce même soir, elle aimait les jeux à trois, et ce fut fait. La nuit, je les ai rejoins à la cité, et ils étaient déjà nus dans la chambre de ma copine. Et c’est que j’ai vu son zob noir et brillant, peut être de son voyage dans la chatte de mon amie. Mais surtout il était épais, gonflé et aussi long que mon bras. Son aspect était monstrueux et lourd, il émanait de lui des ondes de désir sensuel et déjà je frissonnais de désirs et ma chatte mouillait le slip. Ils avaient déjà baisé avant mon arrivée et son zob était toujours bandé et pointait verticalement car le gars était allongé le dos sur le lit. Je me léchais les lèvres d’envie et ma main est allée directement se coller à ma chatte qui me démangeait avec impatience. Voyant cela, ma copine m’a encouragée à foncer tout de suite, à essayer ce gros zob qui me fascinait, alors, rapidement, je me suis mise à poil. Puis, n’y tenant plus, j’ai escaladé le lit, je voulais m’assoir sur ce zob et l’enfoncer totalement dans ma chatte. Alors, à genoux et les cuisses largement écartées de par et d’autres du gars, j’ai saisi ce monstre de chair affolante et j’ai descendu ma chatte lentement sur lui. J’avais décidé de le baiser moi-même pour contrôler son entrée et son enfoncement dans ma chatte car son volume et sa puissance irradiante me faisaient encore peur. J’espérais que ma chatte sera à la hauteur de ce merveilleux zob noir. Je l’ai bien pointé à l’entrée mais sa grosse tête a eu quelques difficultés à me pénétrer mais j’ai réussi. Quant la tête m’écartait les lèvres de ma chatte, je n’ai eu aucune douleur mais plutôt une sensation de peur agréable puis de remplissage merveilleux et quant elle est passée, ce fut un enchantement, je la possédais malgré son large diamètre. Et puis, ce fut plus facile, j’ai continué à pousser et, rapidement, j’ai réussi à enfoncer petit à petit et avec des sensations délicieuses, ce long et large gourdin de chair. Et enfin, je me suis assise totalement sur le gars avec son zob enfoncé en moi jusqu’aux couilles. Je me suis arrêtée un instant, goutant cette présence du plus gros zob que j’ai baisé dans ma vie. Il est en moi et à moi, sans peur et au contraire, son volume nouveau pour ma chatte est un second dépucelage. Elle suait, mouillait de sa jouissance et je ressentais déjà les prémisses de son premier orgasme, il suffira que je bouge, qu’elle goute les mouvements de l’engin tout le long de son tunnel de plaisirs. Alors, j’ai démarré doucement, lentement mes mouvements, hauts et bas, faisant glisser le zob dans mes entrailles et tout de suite, le plaisir jailli de plus en plus agréable, affolant, me faisant haleter, alors j’ai accéléré la cadence. M’appuyant des mains sur son torse, et légèrement penchée sur lui, j’avais une grande liberté et facilité pour bouger, lever et descendre et tournoyer mon bassin pour faire danse son zob dans ma chatte totalement enflammée de jouissances. Je ressentais mon sexe totalement ouvert et rempli par ce gros zob et ça me donnait des jouissances de plus en plus impatientes. J’étais prise par le plaisir et je voulais que ça dure en continu, pour toujours.
Enfin, le gars a du comprendre que, ça y est, j’étais totalement accrochée et ma chatte entièrement abandonnée au désir de son zob, alors il prit les choses en main. Il me repoussa, se repositionna sur le lit et m’obligea à me mettre à genoux, la face sur les draps et la Terma en l’air. Puis il fouilla entre mes cuisses et glissa son zob dans ma chatte. Cette fois, il l’enfonça directement et en puissance jusqu’aux couilles et commença des vas et viens violents et accélérés. Dans cette position, j’étais dans les nuages, dans le septième ciel car son zob m’enveloppait entièrement la chatte et tapait au fond de mes entrailles. Enfin et après une vingtaine ou plus de vas et viens et de rotations de ma Terma, le gars arriva aux prémisses de sa jouissance. Alors, me tenant fermement aux hanches, il accéléra ses vas et viens avec des coups de reins merveilleusement violents. Il gueula un grand coup et, soudain son zob expulsa ses éjaculations. Ce furent trois jets puissants et abondants de sperme chaud, visqueux. Je ressentais bien mes entrailles remplies et soumises et je n’ai pas pu retenir un long gémissement de jouissances. Son zob glissait dans son sperme et cela amplifiait les sensations agréables de ma chatte et j’espérais encore et encore. Mais il sortit son zob de ma chatte et s’essuya sur mes fesses. Même là j’ai eu la sensation de la lourdeur de son volume, de son poids et de sa force. Un lourd pieu de chair, dur et agréablement grisant. Le posséder dans ma chatte et sentir qu’il en était le maître, c’est aussi de la jouissance dans mon corps et dans mes fantasmes. Et j’en redemandais mais hélas il m’a caressé et donné quelques gentilles tapes sur les fesses, puis il s’est recouché sur le lit. Alors, ne voulant pas exagérer pour ma copine, j’ai du me relever pour m’essuyer et me rhabiller. Ma copine m’a demandé mon avis et j’ai répondu que, sincèrement, j’étais enchanté, éblouie et qu’elle avait raison sur les qualités de ce genre de gros zob noir que j’aurais bien voulu aussi le branler, le sucer et lécher ainsi que ces grosses couilles gonflées qui m’impressionnaient autant que le zob. Mais, il fallait partir pour laisser mes amis, continuer à baiser, à profiter de ce gros zob qui refusait de débander. Cette première expérience avec un zob noir a été un déclic et chaque fois que j’en avais l’occasion, je sautais dessus pour toute la nuit sinon deux ou trois nuits de suite. évidemment, je savais que tous les hommes de couleur n’avaient de tels zobs et aussi à cause de leur âge. Alors, je les choisissais avec des zobs gros, longs, larges et toujours durs et puissants. Ce fut tellement excitant et jouissifs que j’ai faille en épouser l’un d’eux mais il a refusé. Ma sœur était désolée de m’avoir entrainée sur cette voie et on ne savait plus comment nous en sortir.
Mais le destin avait d’autres projets pour moi.
T

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Texte coquin : Terma 77 : Anissa la passionnée et son mari impuissant (1)
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