ma femme quinquagénaire en pleine action de fellation avec un vieux beau de 75 ans - histoire érotique

Tous deux fin de cinquantaine, nous allons fréquemment chez un couple d’amis dont l’homme a, lui, dépassé les soixante quinze ans. La femme est de notre âge mais elle n’a pas gardé la moindre beauté physique. A contrario, ma femme Maud est restée en bonne forme physique et sait continuer à plaire.

Nous nommerons notre ami Jacques et sa compagne Nelly. A chaque fois que nous allions leur rendre visite, Jacques ne manquait pas de faire un brin de séduction à Maud, pas toujours avec la discrétion voulue. Il est vrai que malgré son âge, ce monsieur reste pas mal, il est grand (1.90), svelte, beau parleur, se vantant de ses multiples aventures avec les femmes. Couple libertin cela ne nous gênait guère.

Il nous arrivait de parler avec Maud des avances que Jacques lui faisait. Ceci l’émoustillant visiblement et je l’incitais à le provoquer discrètement, pour le « faire fantasmer un peu». Un soir alors que nous faisons l’amour, pour exciter Maud, je lui parle de nouveau de Jacques, « ça te plairais de baiser avec lui ? », pas de réponse, toutefois, alors que je la pénètre, par derrière, allongé sur le coté, je lui dis, « montre moi comment tu te donnerais et comment tu lui sucerais la bite avec ta chatte ». Ces paroles, provoquent une réaction immédiate, elle se cambre plus, sort ses fesses, pousse sur sa chatte, sa lubrification devient plus importante, elle se donne totalement. Je m’enhardis, et je la provoque un peu plus en lui disant, « montre-moi, comment tu vas lui dévoiler que tu aimes te faire enculer ! ». Maud pousse alors sur son anus, et fait pression pour que ma bite vienne bien frotter son périnée. Nous continuons, quelques minutes, sur ce rythme, puis je lui dis « fais toi, enculer par Jacques », elle déloge ma bite de sa chatte et me présente son anus en disant, « encule moi jacques, fait moi jouir par le cul ». Je la pénètre, elle se prête totalement pour faciliter la sodomie, en quelques aller retour elle jouit, son cul et sa chatte se contractent plusieurs fois dans un bel orgasme pendant qu’elle me dit « tu es un véritable salaud, mais j’ai aimé »…
Nous n’avons pas reparlé de cette séance pendant quelques temps. Jusqu’au jour où Nelly s’est absentée pour aller rendre visite à sa mère à l’autre bout de la France. Nous avons rendu visite à Jacques resté seul. Le fait de ne pas avoir sa compagne le rend encore plus entreprenant, et Maud sur mes conseils fait tout pour le faire … bander, elle vient poser ses fesses sur l’accoudoir du fauteuil ou il est assis, vient près de lui quand il fait la cuisine... Alors qu’ils sortent les chiens ensemble dans la forêt qui borde la maison, Maud me raconte, qu’il s’arrête pour pisser, et qu’ostensiblement il s’est arrangé pour lui exhiber sa bite, qui selon Maud est d’une belle taille, longue et large. Ma compagne m’avoue que cela l’a fait mouiller et que sauf à bruler les étapes elle lui aurait bien taillé une pipe, avant de se faire baiser. Comme ces promenade de chiens se reproduisent plusieurs fois dans la journée, je dis à Maud, que je m’arrangerais pour ne pas y aller, et que je lui suggère, elle aussi d’aller se soulager dans la forêt, pour voir la réaction de Jacques.

Maud me raconte le soir, ce que cela a provoqué. Après lui avoir fait savoir qu’elle avait une envie de pipi pressante, il lui a dit ne te gène pas, il y a assez de place. Elle s’est alors éloignée dans un taillis, a relevé sa robe et s’est mise à pisser (elle avait enlevé sa culotte avant de partir) en prenant soin de laisser son cul assez haut, pensant que Jacques essaierait de mater ses fesses. Elle pisse par saccade, pour faire durer le temps ou Jacques pourrait la regarder le cul à l’air, en se retournant, elle voit que ce salaud l’avait suivit, qu’il avait sorti sa bite et se touchait en la regardant. Elle lui fait alors remarquer qu’il est un peu gonflé. Jacques il lui dit, « arrête de jouer la prude, tu fais tout pour me faire bander, tu as un beau cul, avoue que si je n’avais pas la trique à te voir pisser, tu me prendrais pour un vieil impuissant. Allez, t’en meure d’envie autant que moi, taille moi une pipe ou donne moi ton cul que je te baise… »Maud, sans perdre de son calme, lui propose de se branler en regardant son cul « montre-moi, ta virilité en te masturbant jusqu'à éjaculer ». Il lui dit « alors regarde, tu vas voir, je vais décharger à la mesure ou tu me fais bander ». Jean s’astique frénétiquement la bite et rapidement, il éjacule un grand jet, puis plusieurs autres aux pieds de l’exhibitionniste. Maud m’a dit avoir été impressionné par la virilité de son partenaire d’exhibition, il bandait dur comme un homme jeune, il se masturbait alternativement la verge et le gland en se caressant les couilles, en disant « écarte bien tes fesses, tend bien ton cul que je vois ta chatte et ton cul poilu, je vais décharger… » son éjaculation s’est faite avec force et abondance. Il reprend la conversation après avoir rangé sa bite, en proposant directement à Maud de la baiser, « tu es une belle femme, ton cul est magnifique, tu me provoque et tu te refuses, allez laisse toi aller à tes envies, je suis certain que ta chatte est trempée » … elle m’avoue que de nouveau, elle avait envie, à ce moment là, de se donner , mais qu’elle avait préféré lui asséner quelques vérités, afin de mieux l’exciter « Jacques, tu as passé ta vie, à baiser tout ce qui passait auprès de ta queue, toutefois, je ne pense pas que tu ai baisé beaucoup de vraies et authentiques bourgeoises ». « Pour me baiser, il faudra en admettre le prix, dans la vie tout est à vendre et à acheter, tout a un prix, je ne suis pas une pute, une libertine seulement qui baise avec qui elle veut et sous les conditions qu’elle décide.
Jacques perd son sang froid, il lui jette à la figure, j’ai de quoi m’offrir ton cul… combien ta bouche ?, combien ta chatte ? Combien pour t’enculer ? Maud lui a demandé de se calmer, qu’il fallait rentrer pour ne pas attirer mon attention, et qu’il fallait également qu’il réfléchisse à ses paroles et propositions.

Nous avons parlé avec Maud de la suite à donner à cette histoire. Nous souhaitions lui donner une leçon tout en profitant des dispositions de Jacques pour réaliser une bonne partie de fesses. Nous avons donc monté ensemble un petit scénario pour Jacques …si celui-ci revenait à la charge
Deux jours après, Maud fait ses courses, Jacques connaissant ses habitudes était sur son passage. Une bise et une proposition à prendre un café. Jacques aborde tout de suite le sujet. « Alors Maud, après réflexion, j’aimerai bien faire une bonne partie de cul avec une véritable bourgeoise, combien la bourgeoise sollicite pour m’emmener à Cythère » (Nous avions décidé d’une somme importante, que nous lui restituerions par la suite - plusieurs fois ce que sollicitent une Escort…). Il n’a pas bronché à entendre les prétentions de Maud, il lui a dit, « dit moi ou et quand ». Le rendez vous a été pris pour le lendemain, en forêt, dans un endroit tranquille ou nous avions été avec Maud, pour baiser dans l’herbe sous de beaux arbres.

Nous avons mis au point avec Maud notre organisation. Nous partirions chacun avec notre voiture, bien avant l’heure prévue, je devais prendre des photos de leurs exploits, donc me trouver la planque idéale et à Maud de placer l’action au bon endroit. Elle le laisserait ensuite repartir, avant que je ne la rejoigne un peu plus loin.

Le lendemain après midi de beau temps (heureusement), nous sommes sur place, et Maud attend les 15 heures prévues et je me mets à couvert. A 15h00 précise, Jacques vient placer sa voiture auprès de celle de Maud. Il descend en chemisette et pantalon de toile, s’avance vers la voiture, monte à l’avant à coté de Maud. Une bise sur la joue, il tire de son pantalon une enveloppe que Maud met dans son sac. Vite les choses changent, il embrasse maintenant Maud à pleine bouche, elle lui rend totalement son embrassade, de ma place je le vois lui entrer la langue dans la bouche, lui lécher les lèvres pendant qu’il lui caresse les seins et certainement autre chose dont je n’ai pas la vue. Maud se dégage et comme nous avons prévu lui propose de s’installer dans l’herbe. Ils descendent de la voiture et Jacques part chercher une couverture dans son coffre. Maud organise l’espace selon notre scenario, elle s’installe exactement ou nous pensions que la vue serait bonne pour moi Je les entends même parler. Maud se colle à Jacques, elle passe sa main sur la braguette du vieux beau. Jacques ne perd pas de temps, il tripote le cul de Maud à travers sa robe, il l’embrasse de nouveau à pleine bouche, il lui dit « tu me fais bander, je ne pense qu’a ton cul depuis plusieurs jours, allez, sort moi la bite », je vois nettement son membre assez imposant, il ne bande pas encore totalement, et le gland est totalement couvert du prépuce. Il dit crument à Maud « vient, remonte ta robe et enlève ta culotte que je puisse peloter ton joli cul, suce moi la bite, prend moi bien les couilles avec tes mains,». Maud s’exécute, pour ce qui est de la robe, car à son habitude elle n’avait pas mis de culotte. Elle commence à lui sucer le gland, puis toute la verge, elle salive, le salaud commence à bander durement, il lui appui sur la tête pour obtenir une pipe profonde, il insiste en lui disant, « tu suce bien, avale tout, tu aimes salope ! Tend ton cul pour que je te prépare ». Maud se déplace, pour se placer de manière à ce que je voie ses fesses. Le bougre lui met la main au cul, lui tripote les fesses, il retire sa main et salive sur ses doigts, sa main revient vers le cul de sa partenaire et lui enfonce graduellement 2 doigts dans l’anus, Maud se prête de son mieux, elle tend ses fesses et écarte ses jambes, elle pousse sur son cul pour faciliter la pénétration. Ma femme apprécie, j’aperçois sa chatte ouverte et luisante, je prends une photo. Maud lui demande de prendre place sur la couverture, elle se met nue, il en fait de même. Il s’allonge et Maud se remet à l’ouvrage en continuant sa fellation profonde, je peux prendre une autre photo. Maintenant, elle l’enjambe et lui présente sa chatte et son cul à lécher, le vieux salaud à l’air d’aimer cela, il la lèche du clitoris au haut des fesses en faisant pénétrer au passage sa langue dans la chatte et le cul, puis il revient vers la chatte et l’aspire totalement et longuement , Maud est pratiquement assise sur sa bouche, le nez de Jacques dans le cul (elle lui redemande plusieurs fois « remet moi ta langue dans le cul »). Le léchage mutuel dure un long moment, maintenant Maud tient, des deux mains superposées, la bite de Jacques totalement décalottée, elle lui inflige une sucette très appuyée du gland, notre vieux beau gémit autant de plaisir que de douleur… elle arrête un moment, continuant à branler frénétiquement ce gros morceau. Le visage de Jacques est totalement pris sous les fesses et la chatte de Maud qui se tortille de plaisir, en disant « lèche, lèche bien mon cul et ma chatte, aspire et boit mon foutre… ». Jacques écarlate, pousse Maud et la place sur le dos, lui relève les jambes et présente sa bite devant la chatte et lui dit « alors belle bourgeoise, qui fait la pute par plaisir es-tu prête à recevoir ma bite dans ta chatte, puis dans ton cul, car je vais t’enculer à fond comme …je désirais le faire chaque fois que je regardais ton joli cul… j’ai payé le prix, je vais t’en donner pour ce que j’ai acheté ». Maud, lui répond « je suis peut être une pute pour toi, tu es dans l’erreur de penser cela, toutes les garces que tu as sautées étaient des connes, qui bavaient devant ton fric, elles ont donné leur corps, pensant que tu ne serais pas ingrat, c’était sans compter sur ton côté auvergnat » elle a continué, « allez décontracte toi et baissons pour avoir le plaisir que tu es venu chercher avec moi, et fait en sorte que je ne sois pas déçue ». Il n’a rien répondu, il l’a embrassé sur la bouche, puis il l’a pénétré d’un seul coup en lui enfonçant sa bite jusqu'à la garde, Maud a gémit et a commencé à bouger son bassin pour accompagner Jacques dans sa baise. Il l’a baisé en sortant presque systématiquement sa longue bite, il montrait une grande résistance pour son âge. Puis il a demandé à Maud de se mettre « dans la position de la chienne qui se fait saillir !… », Maud comprenant la suite, a d’abord repris la bite de Jacques en bouche pour bien saliver dessus pour faciliter la sodomie qui allait suivre. A genoux devant moi, vu par derrière, l’appareil génital de Jacques était assez impressionnant, une bite d’au moins 18 cm, deux grosses couilles bien pendantes, le tout totalement poilu, comme ses fesses et une grande partie de son corps. Quand Maud a été dans la position, Jacques s’est mis debout, disposant une jambe de chaque coté du joli fessier rebondi de Maud, tenant sa bite d’une pleine main (le bout dépassait encore facilement de presque 10 cm)il l’a présenté devant l’anus de Maud, il a mouillé son gland avec de la salive, puis il a commencé sa pénétration, le gland ne pénètre pas facilement, Maud demande que son enculeur procède plus doucement, enfin quand le gland est totalement entré, il s’est arrêté, il a prévenu Maud « écarte toi bien, je vais t’enculer à fond ». J’ai vu ma femme pousser sur son anus, puis d’un seul coup, lent, mais puissant et régulier, la bite de Jacques lui entre totalement dans l’entre fesses, envahit son anus, son intestin et ses couilles viennent battre sur sa chatte dégoulinante. Jacques avait décidé de la posséder totalement par le cul, il est ressorti, a craché sur le trou du cul de Maud en disant « il faut que tu sois ouverte comme si un âne venait de t’enculer, ce soir je veux que tu aie du mal à t’assoir devant ton mari », et il lui a entré trois doigts dans le cul en la branlant, ma surprise a été grande d’entendre Maud lui dire « défonce moi, puni moi de ma méchanceté, éclate moi le cul et la chatte, comme une pute ». Il l’a de nouveau enculé et limé, un temps qui m’a paru long (j’ai encore pris quelques photos), Maud gémissait de plaisir, sa chatte était ruisselante, puis elle est parti d’un seul coup, en disant « bourre moi, défonce moi, j’aime, j’aime, je jouis, je jouis…salaud….encore ». Jacques est sortie du cul de Maud, il s’est allongé sur la couverture, Maud lui a nettoyé la bite avec un clin ex(avant de partir, Maud, m’avait demandé de lui administrer deux lavement pour avoir un intestin propre et éviter de gâcher sa partie avec son amant), Jacques a relevé et replié ses jambes en l’air, il a intimé à Maud de lui lécher le cul et les couilles puis la bite tout du long et de recommencer jusqu'à la jouissance. Jamais j’avais vu ma femme faire une telle chose à un homme, elle y prenait visiblement du plaisir, prenant son temps, comme lui demandait son amant, elle l’a « fini à la bouche ». Maud lui a dispensé, une fellation juteuse et baveuse à souhait. Maud en excellente suceuse, décalotte la bite, la serre au dessous du gland pour le faire grossir, puis le tète, l’aspire, le suçote, le lèche, puis l’aspire de nouveau à la limite de faire souffrir, enfin, elle desserre sa main, puis après avoir rempli sa bouche de salive, descend lentement jusqu'à la base de la verge en caressant les couilles de sa main, elle remonte ensuite en laissant couler sa salive le long du membre « supplicié » et repart la récupérer en effleurant de la bouche avec une grande douceur la bite qu’elle honore, elle recommence alors en repartant de l’anus, puis les couilles…, jusqu'à ce que son amant commence à présenter les signes d’une prochaine éjaculation, alors elle la déclenche en pratiquant une gorge profonde . Ce traitement a vite amené Jacques à l’éjaculation, la bouche de Maud a été bien remplie, puis elle a laissé couler le sperme le long de la grosse verge de Jacques. Le salaud lui a dit en lui mettant une grande claque sur le cul « pour ce que je viens de te donner, je te demande de lécher ma semence et de tout avaler, ma belle salope», Maud s’est exécuté sans rechigner, ni résister, elle a léché son amant jusqu'à la dernière goute de sperme.

Jacques les couilles vides, retrouve le sourire, il semble aimable, se rhabille, Maud aussi … Jacques après quelques banalités et tout en caressant le cul de la belle, remonte dans sa voiture et disparaît. Je laisse passer quelques minutes, je vais vers Maud, la serre dans mes bras, libertins que nous sommes nous rions, je l’embrasse à pleine bouche, elle me rend ce baiser profond, elle me dit j’ai envie que tu me baise maintenant. Elle se retrousse, s’appuie des deux bras sur un arbre, me tend ses fesses, j’ai déjà baissé mon pantalon, je bande comme un cerf, je lui rentre ma bite au fond de la chatte, il nous faut que quelques minutes pour jouir tous les deux, sous les yeux d’un chercheur de champignons qui n’en revient pas de ce qu’il vient de voir.mais qui n’a pas perdu la tête et s’astique la queue comme un bon voyeur, je demande à Maud de rester les fesses tendues afin que le pauvre en se régalant de la vue puisse se vider les couilles dans l’herbe.

Nous discutons après être rentré à la maison de la manière dont nous allons clore cette affaire de manière élégante vis-à-vis de Jacques. Et voilà la suite …
Nous avons décidé d’appeler Jacques avant le retour de Nelly, pour l’inviter à déjeuner. Il a accepté cette invitation avec empressement. Arrivé à l’heure avec des fleurs pour Maud…et une bouteille de champagne (pour, il le pensait peut-être « son pauvre mari »..). Après quelques banalités, le repas se passe bien, nous allons alors prendre le café au salon, Maud arrive avec le plateau, et dépose à côté de la tasse de Jacques une certaine enveloppe qu’il connait. Jacques fait un drôle de tête, je prends la parole sans attendre.

« Jacques, tu n’es ni observateur, car tu aurais certainement compris que nous sommes des libertins, pas plus que tu as de la délicatesse envers des amis et envers les femmes en général. Nous tenons à te rendre cet argent, Maud n’est pas une pute, elle baise seulement avec qui elle désire et surtout avec des hommes discret et galant. Quant à moi, sache que j’étais parfaitement dans le coup, tu en as la preuve avec les photos qui se trouve dans ton enveloppe avec ton argent ».

« Allez, ne fais pas cette tête, si tu as aimé le cul de Maud, je pense qu’elle a aimé ta belle bite ». Maud s’approche de moi, je lui passe la main sous la robe et lui tripote les fesses et la chatte, je lui demande taille moi une pipe devant Jacques, je sors la queue de mon pantalon et Maud s’agenouille pour commencer à me sucer. Elle est à genoux entre mes jambes, j’en profite pour relever sa robe pour que Jacques puisse voir son cul et sa chatte. Jacques prend de l’assurance, il sort sa bite de son pantalon et commence à se masturber, il bande dur, il se décalotte totalement et se triture le gland. Malicieusement je suggère à haute voix à Jacques de demander à Maud de changer de partenaire. La demande est formulée de la manière suivante : « Maud, je saurais que tu me pardonne ma goujaterie qui si tu viens me faire la même fellation qu’a ton mari ». Sans attendre, Maud change donc et va s’agenouiller entre les jambes de Jacques, elle remonte elle même sa robe sur son dos pour me monter ses fesses que j’adore. Le spectacle est bandant au possible, ma femme quinquagénaire en pleine action de fellation avec un vieux beau de 75 ans, elle avale totalement la bite en caressant les couilles et l’entre fesse du vieux bandeur. Les fesses de Maud sont bien rondes, avec une raie profonde légèrement poilue, qui cache un bel anus, elle tient les jambes serrée, et j’aperçois entre ses jambes, les jolis fruits fendus formé par son sexe, qui est poilu actuellement, mais que Maud rase selon ses gouts du moment. Tout en continuant sa pipe à Jacques, elle cambre le dos et écarte les jambes pour me laisser voir sa raie des fesses ouverte et son anus poilu, cette position ouvre également sa chatte de femme mure, avec ses grandes lèvres, si douces à lécher, l’entrée de son vagin est pratiquement corail, elle mouille déjà abondamment. Elle pousse sur sa chatte et son cul pour les écarter plus, elle répète plusieurs fois ce mouvement, comme si elle avait une bite dans son ventre ou ses reins. Jacques souhaite aller plus loin dans l’exploration du corps de sa partenaire, il lui demande de se mettre nue pour pouvoir lui caresser les seins à sa guise. Il a raison ma femme à de jolis seins (un beau 95 C). Maud demande alors « il serait mieux d’aller se mettre à l’aise dans une chambre à l’étage ». J’acquiesce en disant que je ferme les portes sur le jardin avant de monter. Je traine une dizaine de minutes avant de prendre le chemin de la chambre d’amis ou nous avions convenu avec Maud que nous entrainerions Jacques.

En arrivant dans la chambre, Jacques et Maud étaient en position de 69, Maud dessus, paraissant bien petite sur Jacques, elle lui tétait, léchait, aspirait le gland, ensuite elle prenait la totalité de la bite dans sa bouche suivi d’un léchage de la verge sur toute la longueur. Ce léchage reprenait aux couilles qu’elle gobait à tour de rôle. Quant à Jacques, il avait le nez entre les fesses de Maud et lui léchait et aspirait la chatte et les grandes lèvres. Jacques demande alors à ma femme de venir s’assoir sur sa bouche pour lui permettre de lui lécher « son joli cul ».Maud adore se faire lécher la raie de fesses et plus particulièrement qu’on lui entre la langue dans l’anus, elle en profite largement et plutôt que restée assise elle préfère s’accroupir sur la bouche de Jacques qui la lape comme un chien venant de se détacher de sa femelle. Jacques visiblement aime lécher la chatte et le cul des femmes, il demande à Maud de venir se placer sur le dos jambes relevé sur un angle du lit, alors notre vieux lécheur, se met à genoux à terre et ayant le visage à hauteur de la chatte et du trou du cul de Maud se met à la lécher de plus belle, aspiration totale de la chatte, puis langue au fond en maintenant la chatte ouverte de deux mains, puis même traitement pour l’anus. Le plaisir de Maud devient évident, sa chatte est ruisselante puis brusquement un jet qui mouille le visage et le torse de son partenaire. Cela ne trouble pas Jacques qui continu a donner du plaisir à Maud tout en se masturbant.
Maud reste dans l’initiative elle demande à Jaques de la prendre à la « duc d’Aumale », Jacques a maintenant la vision du cul de Maud bien écarté, avec sa bite plantée dans la chatte de sa partenaire et, au dessus le passage étroit qu’il convoite sans aucun doute, d’ailleurs, il l’explore d’un doigt sans que Maud proteste. Je me suis approché du couple en action, en montant sur le lit, je présente ma bite devant la bouche de ma femme qui me prend totalement, s’empalant jusqu’au fond de la gorge. Après quelques minutes de cette chevauchée, Maud souhaite conclure dans une autre position. Nous proposons avec jacques une double possession à notre partenaire. Je demande à Jacques de s’allonger sur le dos, à Maud de venir s’empaler sur la bite de Jacques, ce qu’elle fait après lui avoir de nouveau taillé une « petite pipe » au passage, puis Maud totalement courbée sur le torse de Jacques me présente son « trou du cul » pour la sodomie, je coulisse ma bite lentement au fond de son cul, et je trouve avec Jacques le mouvement idoine pour synchroniser notre action. Maud sort partiellement une bite de sa chatte pour mieux se faire prendre par le cul et inversement. Ma femme prend son pied, je lui jouis immédiatement dans le cul. Jacques est resté sur sa faim , il demande à Maud de se placer à plat dos les jambes relevées au coin de la table se trouvant dans la chambre, de cette manière la chatte et le cul de Maud sont totalement accessible. Cet homme de 75 ans est encore en pleine forme, il a sa bite bien dressée, sa virilité est bien visible, son envie de femme aussi. Libertin depuis longtemps, j’apprécie les échanges, les mélanges, avec MAUD et d’autres hommes (et femmes), généralement du même âge, voire plus jeune, c’est la première fois que je vois ma compagne prise par un homme de plus de 15 ans son aîné. Placé comme je suis, je vois la chatte et le trou du cul de Maud, l’un et l’autre bien gonflés et sensibles après cette joute d’ébats amoureux, Jacques s’avance la bite à la main, de l’autre il appui le ventre de Maud pour mieux faire sortir sa chatte, il présente sa bite devant les lèvres intimes et pénètre brusquement faisant disparaître sa tige jusqu’au couilles, il la baise à grands coups, pendant quelques minutes, puis il demande à sa compagne de se retourner en restant soudée à lui, les pieds sont maintenant au sol, le ventre plaqué sur la table, Jacques appui sur les reins de Maud pour mieux faire cambrer « la femelle », plus jeune, qu’il va continuer à saillir , dans un premier temps, il continu à lui pilonner la chatte ouverte, puis il ressort et vient placer sa bite d’une raideur à faire pâlir les bandeurs de 20 ans, à l’entrée du trou du cul de ma belle. Venant d’être enculée, il n’a pas à forcer, il la tient bien par les hanches et la transperce en lui demandant d’écarter au maximum ses fesses et son cul « pour mieux te défoncer, ma belle salope » lui dit-il. Je constate que « la salope » obéit et se prête totalement à la possession en disant « prend moi, baise moi, monte moi, encule moi, vieux salaud, défonce moi le cul et la chatte comme une pute devant mon mari, vide tes couilles au fond de moi !». Tout ceci l’excite, sans aucun doute et je le vois se crisper, ses fesses se serrer, ses couilles remonter dans ses bourses, je pense un instant qu’il va décharger dans le cul de Maud, il reste immobile un moment et se retire. Je vois sa bite gonflée s’approcher de la chatte de Maud, il se crispe à nouveau, rentre totalement son gros pénis, dans la chatte bien ouverte de sa femelle qui se prête totalement à l’accouplement, elle s’ouvre, se colle littéralement à son partenaire, je sais qu’elle lui suce la bite avec sa vulve en chaleur, gonflée d’excitation, elle a l’art de prendre entièrement une bite jusqu’au couille en ouvrant totalement sa chatte et ses fesses pour que son baiseur sente, sur le bas de son ventre, son anus lui aussi gonflé de désir, elle fait jouer admirablement les muscles de son vagin et de son bas ventre pour arriver à une véritable succion. Jacques lui demande de rester « bien ouverte, qu’il va la remplir comme pour l’engrosser », puis il décharge, en luis disant, «c’est bon je te décharge dans le ventre, prend bien mon sperme, suce moi avec ta chatte, encore …j’aime ta façon de baiser… » . Puis, il se retire, la chatte rouge, bien gonflée de s’être fait foutre, reste ouverte, Maud pousse pour faire sortir le sperme de son amant, effectivement une belle coulée glisse et tombe sur le sol. Jean se baisse à nouveau et lèche le cul et la chatte de sa femelle en chaleur, prend un nouvel orgasme en tenant fermement la tête de son lécheur sur sa chatte, pendant sa jouissance.

Un peu de repos nous prenons un rafraichissement, en restant nus, Maud se met entre nous deux sur le canapé et nous caresse la bite et les couilles, en nous remerciant de l’avoir bien fait jouir. A notre grand étonnement notre septuagénaire, bande à nouveau et demande sans vergogne à Maud de le branler et à moi dans un langage cru « ça ne te fait rien que je monte encore une fois ta femelle de femme ». Je luis fait remarquer « c’est à elle de le dire », moi, « comme tu le vois je suis prêt à la prendre de nouveau ». Maud se lève, moi aussi, elle se penche en avant pour me sucer, et demande à Jacques de la baiser debout, j’écarte les fesses et la chatte de Maud de mes deux mains, j’aime offrir de cette façon la chatte de Maud à un autre homme, je dis à Jacques « prend la bien, fait la jouir », il la pénètre en la tenant fermement par les hanches, il se met à la baiser. Je le regarde pratiquer, il la baise à grand coup, courbé sur elle, cet accouplement a quelque chose de canin, par son rythme et sa position par la volonté de la femme à être femelle et celle de l’homme à être le mâle qui domine et prend sa femelle. Il ne cherche pas à se retenir, il se laisse aller en quelques minutes vers la jouissance, Jacques reste collé, cramponné à Maud « écarte toi bien salope, tu aimes te faire foutre, te faire enculer par le vieux vicelard …) puis se retire, je quitte la bouche de ma femme, je vois la raie de ses fesses, l’anus et la chatte poilue, totalement mouillés de foutre, ce foutre de Jacques qui commence à s’écouler de la chatte de la femelle en chaleur, je vais immédiatement prendre la place laissée libre par l’amant, Maud attire Jacques pour lui lécher la bite qui commence à débander, le salaud se décalotte et entre dans la bouche de sa suceuse. Je pénètre maintenant dans la chatte, elle est chaude et gluante du sperme de Jacques (cela m’excite plus encore), je prends Maud à grand coup, je la sens partir, je lui jouis dans la chatte en me tenant collé à ses fesses. Sa belle chatte dégouline de sperme et de sa propre jouissance.