Une escale inoubliable (Partie 3)

- Par l'auteur HDS HellRider -
Récit érotique écrit par HellRider [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une escale inoubliable (Partie 3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une escale inoubliable (Partie 3)
April était couchée sur un lit, complètement dénudée. Au-dessus d'elle se trouvait une personne au corps musclé et étant lui aussi sans vêtement. Il s'agissait de l'homme de ses rêves. Ce dernier approcha lentement ses lèvres des siennes et celle-ci accepta ce merveilleux cadeau. Les deux tourtereaux commencèrent donc à s'embrasser lentement, passionnément, et langoureusement. La jeune femme passa ses bras autour de son cou tandis que lui plaça les siennes au niveau de son dos. Leur échange était tellement fusionnel que l'on pouvait sentir la chaleur de leur passion.

Le jeune homme retira l'une de ses mains de derrière le dos d'April et la mit entre ses jambes. Il commença à jouer avec le clitoris de sa compagne en utilisant ses doigts. Au même moment, il cessa de l'embrassa sur la bouche et débuta une longue séance de baisers dans son cou. Les lèvres chaudes et humides sur sa peau couplées à une pénétration de son vagin par des doigts provoqua une immense vague de plaisir chez April. Elle se mit donc à pousser des gémissements plus sensuels les uns par rapport aux autres.

L'entrejambe d'April devenait de plus en plus chaud et humide. Le jeune homme descendit au niveau de sa poitrine et suça délicatement son sein. Il arrêtait de temps en temps sa succion pour jouer avec les tétons désormais dures de la jeune femme. Il utilisait sa langue pour faire toute sorte de mouvements ou encore les mordait tendrement.

Le corps d'April devenait de plus en plus chaud. Son homme idéal, quant à lui, continuait de jouer avec ses seins. Il utilisait cette fois-ci sa deuxième main pour malaxer l'un tandis qu'il suçait l'autre. Il retira délicatement sa bouche de ses tétons et retourna lui donner de délicieux baisers. Tout était doux, tout était passionnant, et tout était magique, un peu comme dans un rêve.

Pendant cet instant particulier, la jeune femme ressentit de la chaleur émanant de quelque chose de long et dure. Il s'agissait du sexe de son campagnon qui cognait doucement contre elle. Elle l'attrapa des deux mains et effectua des mouvements vers l'avant, un peu comme si elle voulait le traire mais en tirant uniquement vers elle.

Dès l'instant où elle le tint dans ses mains, des pensées plutôt singulières envahirent son esprit. April voulait mettre cet énorme pénis dans sa bouche. Elle voulait le sucer de long en large jusqu'à en extraire toute sa substance blanchâtre. La jeune femme désirait également le mettre en elle. Elle voulait sentir ce formidable engin se frayer un chemin jusqu'au plus profond d'elle, voire si possible ressortir par un autre orifice.

Un baiser sur la bouche, un dans le cou, et un autre sur le sein, le jeune homme descendait tout en douceur en direction de l'entrejambe d'April. Son ventre, son nombril, son pubis, à chaque fois qu'il posait ses lèvres sur elle et qu'il descendait, April s'excitait de plus en plus. Elle savait exactement ce qui l'attendait et à quel point c'était bon.

April avait désormais les jambes écartées. Le jeune homme dont la tête était quant à elle juste au-dessus du pubis de sa demoiselle sortit sa langue et la posa sur son nombril. De là, il descendit tout doucement jusqu'au clitoris de la jeune femme tout en la gardant sur elle.

Arrivé à l'organe cible, le jeune homme tourna délicatement le bout de sa langue tout autour du clitoris d'April avant de subitement le sucer comme s'il s'agissait d'un téton. Cette simple action provoqua chez la demoiselle un plaisir si intense qu'il se traduisit par une puissante saisie des draps suivie d'une élévation de sa poitrine. Son compagnon profita de cette occasion pour introduire plusieurs de ses doigts dans le vagin d'April. Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase.

La jeune femme gémissait de plus en plus, mais cela était sans importance pour son compagnon qui était beaucoup trop occupé à faire des mouvements de va-et-vient avec ses doigts tout en continuant à lécher ou sucer son clitoris. April resserra ses jambes à un moment puis posa ses deux mains sur la tête de son homme. Elle commença alors à faire des mouvements ressemblant à ceux d'une personne chevauchant une autre.

L'entrejambe d'April était de plus en plus humide, mais cela ne semblait pas déranger le jeune homme. Il continua ce qu'il faisait pendant deux ou trois minutes et il remonta ensuite vers la demoiselle pour l'embrasser à nouveau. Le jeune homme la prit soudainement dans ses bras et roula par la suite sur le côté jusqu'à ce qu'April se retrouve au-dessus.

April étant désormais assise sur lui, elle était maintenant en charge de ce qui allait suivre. Tandis qu'elle le regardait droit dans les yeux, la jeune femme posa ses mains en arrière pour saisir à nouveau le sexe de son compagnon. Ce dernier était aussi dure qu'un rock et sa tête touchait son dos.

La jeune femme se retourna gracieusement, présentant à nouveau ses parties intimes à son homme. Elle approcha alors la tête du pénis devant ses lèvres et lui donna un bisou. Avec sa seconde main, elle saisit les testicules et commença à les masser délicatement. C'était au tour du jeune homme de prendre du plaisir. April ouvrit sa bouche et glissa tout doucement. Le pénis étant trop gros, elle ne pouvait malheureusement pas descendre trop bas et dut s'arrêter approximativement au tier de sa longueur.

Elle ne se découragea pas pour autant. Si elle était incapable de réaliser une gorge profonde, il existait d'autres moyens de faire plaisir à quelqu'un. Elle fit plusieurs mouvements de va-et-vient avec sa bouche, tourna de nombreuses fois sa langue autour du gland, le tout en continuant de caresser ses bijoux de famille.

Après plusieurs minutes, April retira le pénis de sa bouche et commença à lécher le tronc. Elle se dirigea ensuite vers les couilles et, d'une traite, les avala. Le fait d'avoir ses testicules dans une zone chaude et humide procura une très forte sensation au jeune homme. Il ferma donc ses yeux pour en profiter au maximum. La demoiselle quant à elle, usa à nouveau de sa langue pour l'accentuer.
Bien qu'il ne gémisse pas comme April, le simple fait qu'il pose ses deux mains sur son visage indiquait qu'il prenait énormément de plaisir.

L'homme retira ses deux mains de sa figure et les posa sur les fesses d'April. Là, il utilisa ses deux ses deux pouces pour écarter les lèvres supérieures afin de bien mettre en évidence le vagin de la jeune femme. Malgré qu'il soit déjà très humide, le jeune homme plaça son index et son majeur dans sa bouche, déposa un peu de salive, puis les introduisit à l'intérieur d'April. Celle-ci réagit immédiatement en poussant un petit gémissement.

Il effectua le même patterne que tout à l'heure, à la seule exception qu'il frottait plus la paroi côté pubis de la jeune femme. Il frotte encore et encore ses doigts. La jeune femme frémit, gémit, et apprécia cela.

Les deux tourtereaux continuèrent chacun ce qu'ils faisaient pendant à peu près cinq minutes jusqu'à ce que le moment de passer aux choses sérieuses ne vienne. April retira donc délicatement le pénis de sa bouche et donna un petit bisou sur sa tête tandis que le jeune homme fit de même avec ses doigts.

La jeune femme d'origine asiatique se retourna à nouveau et fit face à son amant. De la passion et du désir pouvaient se lire au travers de leurs yeux. Un "je t'aime" sortit soudainement de la bouche du jeune homme alors qu'il caressait délicatement le visage d'April avec sa main. Elle fut légère surprise par ses mots, mais tout au fond de son cœur, elle avait toujours espéré les entendre.

Elle se redressa un petit peu juste le temps d'attraper le sexe de son partenaire. Celle-ci le positionna alors juste à l'entrée de son vagin puis commença à descendre très doucement. L'énormité de la chose provoqua l'apparition d'une grimace chez la jeune femme. Centimètre après centimètre, le pénis pénétrait de plus en plus en elle. Après plusieurs secondes d'effort, April réussit à l'introduire de moitié. Une petite larme de douleur coula alors le long de son visage.

April se pencha en avant le jeune homme et l'embrassa avec toute la passion qui habitait son être à cet instant. Elle commença par la suite son premier mouvement. Délicatement, cette dernière monta légèrement, puis redescendit un peu plus bas que précédemment. Elle pouvait le sentir, elle pouvait le sentir bouger légèrement au plus profond d'elle.

De son côté, les sensations de l'amant étaient indescriptibles, parfois opposées. Il était tout d'abord inquiet pour sa bien-aimée, inquiet qu'elle ne puisse tenir le coup. Ensuite, il aimait ce qui se passait, sentir l'étroitesse de son vagin était bon, très bon. On pouvait même dire que c'était extraordinaire. Il posa alors ses mains sur les magnifiques hanches d'April puis, sans prévenir, lui donna un puissant coup de reins.

La jeune femme poussa un puissant cri avant de se rabattre sur son compagnon. Elle serrait les dents et les poings. Les mouvements de va-et-vient du jeune homme étaient à la fois très intenses et violents. Sentir cet énorme et long pénis aller tout au fond d'elle puis revenir lui faisait mal, très mal, mais elle devait le supporter. April plaça à nouveau ses bras autour de son cou et l'embrassa par la suite pour essayer de penser à autre chose que la douleur.

Un coup de rein, un autre, et puis encore un autre, le jeune homme accéléra le rythme avec cette fois-ci ses bras serrant fermement April. Cette dernière, quant à elle, ressentait de moins en moins de douleur, bien au contraire, celle-ci laissait progressivement place à du plaisir.

Cela faisait déjà une dizaine de minutes que le couple avait commencé à baiser. April qui était au-dessus se retrouva soudainement en-dessous. Il en profita pour défaire son étreinte pour bloquer les deux bras de la jeune femme juste au-dessus de sa tête. Il ne voulait vraisemblablement pas qu'elle bouge trop. Ni une, ni deux, il prit un certain élan avant de donner un violent coup de bite, beaucoup plus violent que les précédents. Dans cette position du missionnaire, son pénis s'introduisit encore plus profondément, ce qui faisait très mal à sa compagne.

April essaya un petit peu de se débattre sans succès. L'emprise que son homme avait sur elle était beaucoup trop forte. Avec sa main droite, il l'empêchait de bouger ses deux bras tandis qu'avec la gauche, il soulevait sa jambe gauche. Il continua donc ses puissants coups de reins. La jeune femme ferma donc les yeux et se laissa faire.

Au cours de leurs ébats sexuels, le jeune homme s'arrêtait à certains moments pour jouer à nouveau avec les seins d'April. En effet, il les léchait puis sucer tour à tour. Le corps tout entier de la demoiselle était devenu son terrain de jeu. Il la dominait clairement et elle aimait ça, même si elle ne voulait pas l'avouer au début. Ce ne fut qu'une question de temps avant qu'April ne cède totalement face à l'hommage. Elle se remit donc à émettre des mignons petits sons de plaisir, sons qu'elle tentait tant bien que mal de dissimuler depuis quelques minutes.

Le jeune homme retira finalement son pénis du vagin d'April. Celui-ci était tout raide et recouvert d'une substance blanchâtre. Il se mit debout au bord du lit et invita sa belle à le rejoindre. Celle-ci qui était couchée sur le dos se leva difficilement. Ses jambes tremblaient sans cesse et elles ne pouvaient s'arrêter de trembler.

Les deux étaient désormais debout. À cause de leur différence de taille, le jeune homme dut se baisser légèrement pour embrasser sa bien-aimée. Quelques dizaines de secondes plus tard, April ne faisait plus face à son homme et tous deux regardaient maintenant dans la même direction.
La demoiselle pouvait sentir ce gros et long sexe contre son dos, elle pouvait clairement sentir la chaleur qui en émanait. Elle se pencha vers l'avant avec l'aide de son copain puis posa ses deux mains sur le lit.

Le vagin d'April étant bien en évidence, le jeune homme attrapa son pénis au niveau de la tête et l'introduisit doucement. Lorsque le gland fut totalement à l'intérieur, ce dernier saisit les hanches de la jeune femme et donna par la suite un fort coup de bite. April lâcha à nouveau plusieurs cris pendant qu'elle subissait la bestialité de son homme.

Les mouvements de va-et-vient gardaient la même intensité. Lorsque les jambes d'April flanchaient, le jeune homme plaçait ses bras autour de sa taille et la remettait sur pied. Toutefois, on sentait qu'elle n'en pouvait plus et lui aussi l'avait remarqué, mais il était encore très loin d'avoir atteint l'extase. Il regardait son beau petit cul aller de l'avant puis revenir vers lui. Il aimait ça, non on pouvait même dire qu'il l'adorait.

Le jeune homme claqua les fesses d'April à plusieurs reprises, laissant ainsi plusieurs marques rougeâtres. Celui-ci se pencha ensuite vers l'avant, attrapa ses seins, et les malaxa. Il en profita également pour à nouveau lui donner de nombreux baisers dans son cou avant de repartir de plus belle.

-----*-----
Les tourtereaux étaient toujours en plein ébat. April était désormais à quatre pattes sur le lit avec des seins se balançant au rythme des coups. Tout à coup, une femme dénudée et portant casque de moto apparut devant eux. Celle-ci se retourna et le retira. Elle reconnut immédiatement son amie Maryyka.
"- Maryyka, qu'est-ce que tu fais ici ?" lui demanda t-elle étonnée.
La jeune dont le corps était aussi sexy que celui de son amie ouvrit sa bouche pour en laisser sortir un son plutôt familier. Il s'agissait de la mélodie de son réveil.

April se réveilla en sursaut avec à côté d'elle, son téléphone portable qui sonnait. Elle t'attrapa et désactiva l'alarme. La jeune femme transpirait abondamment. Tout ce qu'elle avait vu et vécu n'avait été que le fruit de son imagination. Elle se leva de son lit et constata que son entrejambe était mouillé. Même si cela n'avait été qu'un rêve, il avait été assez intense pour provoquer ce genre de réaction. Elle afficha un léger sourire, souhaitant que cette expérience se produise dans la réalité.

Après s'être débarbouillée dans la salle de bain, la jeune revint dans sa chambre. Il était à peine dix-huit heures dix. Sachant que les boîtes de nuit parisiennes ouvraient entre 23 heures et 23 heures trente, elle se demandait comment elle allait passer le temps. Elle avait encore cinq heures devant elle, non plutôt quatre si elle comptait le temps pour se préparer. Il lui fallait donc traîner un tout petit peu. La solution vint à elle naturellement. La jeune femme allait regarder quelques choses sur Netflix, de préférence un film d'une durée minimale de d'une heure et demi. Elle alluma donc son ordinateur et parcourut le catalogue jusqu'à ce qu'elle trouve ce qu'elle cherchait.

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