Une location particulière 3/3

- Par l'auteur HDS lludriga -
Récit érotique écrit par lludriga [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une location particulière 3/3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2025 dans la catégorie Plus on est
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Une location particulière 3/3
La nuit est tombée. Nous avons fini par nous retrouver autour de la piscine. Aucun de nous ne s’est rhabillé et nous sommes assis dans une demi-pénombre, qui laisse cependant entrevoir les courbes de nos corps. Un léger souffle d’air apporte un peu de fraîcheur à la chaleur étouffante de la journée. Je me laisse glisser dans le bassin et commence à nager. La sensation de l’eau sur ma peau, sans la contrainte d’un maillot, me procure une sensation de bien-être et de liberté inconnus jusqu’alors. Anna, Manon et Paul m’ont rejoint. Tout en nageant, nous-nous frôlons et les mains s’égarent parfois. Anna est la première à sortir, pour aller s’allonger sur un transat. Perlée de gouttes d’eau, sa peau brille sous l’effet de la lumière crue des luminaires. Elle est suivie de Manon, qui jaillit en frétillant tel un poisson, pour se diriger vers le transat où l’attend Anna. Elle s’allonge à ses côtés et vient poser sa tête sur sa poitrine, tandis qu’Anna, le regard dans le vague lui caresse les cheveux.

Ne restent plus dans la piscine que Paul et moi-même. Accoudé au débordement, je regarde dans la nuit. Les points lumineux des autres villas dans le lointain, nous parviennent comme autant d’étoiles situées à des années lumières, pour nous rappeler que nous sommes seuls, au milieu de la garrigue. Tout à mon spectacle, je n’ai pas senti Paul s'approcher. Brusquement, sa main droite vient effleurer mon flanc et descend se poser sur mes fesses, tandis que la gauche me pince le téton. Je suis comme tétanisé. Paul, me plaque fermement contre lui, au point que je sens son souffle contre ma nuque. Sous l‘effet de ses doigts qui maintenant jouent avec ma queue et mes couilles, je commence à bander doucement. C’est pas possible… J’ai beau être dans l’eau, j’ai de plus en plus chaud et mon coeur bat à tout rompre ! Je n’ose pas me retourner et laisse Paul me caresser de ses mains puissantes… mes tétons, ma queue, puis mon cul qu’il explore désormais, le long de la raie… pour se positionner à l’entrée de mon oeillet. Son dard, au contact de ma peau commence à se gonfler de désir.

Doucement, je parviens à me dégager de son étreinte et à m’écarter, en plongeant. Je nage sous l’eau de longues secondes, pour me calmer, ou me persuader que j’ai rêvé. Je sors la tête de l’eau pour reprendre ma respiration et plonger à nouveau. Lorsque je sens que mes poumons vont éclater, une pression des deux jambes me fait dresser la tête hors de l’eau. Paul se tient assis sur le rebord de la piscine à un mètre de moi, les jambes pendantes, il bande comme un âne. Je suis comme un lapin pris dans les phares d’une voiture. Je ne peux détacher mon regard de ce braquemart, dressé comme une hampe sur une paire de couilles sombres.

« Qu’est ce que tu attends, suce-le. T’en meurt d’envie ! » La voix de Manon vient de percer le silence. Mécaniquement, je me rapproche pour prendre appui sur les cuisses puissantes de Paul et plonge lentement ma tête vers son chibre. Ma langue commence à tourner doucement autour se son gland, avant que mes lèvres ne se mettent à coulisser, d’abord au niveau du frein, puis le long de cette tige, à la fois dure et à la peau douce et fine.

Je vais et je viens le long de son sexe. Des deux main il me tient par la tête pour m’imprimer un rythme. Je le suis docilement. Il me fait venir de plus en plus profond au point de venir buter sur le fond de ma gorge. Putain j’étouffe ! J’ai un haut-le-coeur et relève la tête pour reprendre mon souffle. Sa queue est rouge, gonflée, luisante … Paul me saisit à deux main, pour me forcer à plonger à nouveau vers sa verge, qui m’emplit la bouche. Je la sens palpiter et réagir sous les coups de langue et le mouvement de mes lèvres. De temps à autre il laisse échapper, un grognement. Un liquide à la fois huileux et légèrement salé commence à se répandre sur ma langue. Je n’y crois pas ! Je suis en train de sucer un mec et devant ma copine encore ! Le plus fort c’est que j’y prend du plaisir, au point de bander.

Puis brusquement, alors qu’il est de plus en plus dur. Paul repousse ma tête, se relève, me saisit par les mains et me hisse hors de l’eau. A la fois ruisselant et tremblant, je le suis. Une grande serviette est étalée sur la pelouse. Docilement, je me mets à quatre pattes et je me cambre sans qu’il me l’ait demandé. Paul se place derrière moi. Ses mains entreprennent de malaxer les deux globes de mon cul, mes couilles puis ma queue qui pend. Il s’en saisit puis plonge la tête dans mon entrejambe. Sa langue remonte le long de mon sexe, mes couilles, jusqu’à mon petit trou. Des deux mains, il m’écarte les fesses… sa langue fait le tour de mon oeillet avant de se glisser en moi. J’ai du mal à me retenir, je commence à gémir doucement. Paul m’enduit de gel avant de plonger deux doigts, le plus profondément possible. Je me mords les lèvres pour ne pas crier, et laisse échapper, un son étouffé. Après avoir bien détendu ma rosace, il se positionne et me saisit la hanche fermement d’une main, tandis que de l’autre il pointe son sexe plus dur que jamais, sur le pourtour de ma rondelle.

Lentement mais régulièrement, son gland commence à forcer ma rosace, avant de me pénétrer en entier, m’arrachant une longue plainte qui trahit la surprise, la douleur et le plaisir mêlés. Lorsqu’il est complètement en moi, Paul entame un va-et-vient, lentement d’abord puis de plus en plus rapide, tout en émettant un râle. Cette fois il me tient fermement par les hanches. Ses couilles buttent contre mon cul, poisseux de gel, de transpiration, d’eau … ma queue à moitié gonflée se balance désormais au rythme de ses coups de rein… Ses mouvements sont de plus en plus amples, de plus en plus puissants aussi… Sous l’effet de son braquemart je sens mon anus se détendre et s’ouvrir… « Mon Dieu qu’est ce qui m’arrive ! » Chacun de ses assauts m’arrache un cri aigu, comme je n’en n’ai jamais poussé. Son pubis vient s’écraser en claquant contre les fesses et les fait trembler. Désormais, Paul me domine… Je suis sa chose, sa pute, sa femelle, entièrement dédiée à son plaisir.

Soudainement, il se retire, me retourne pour m’allonger sur le dos, me fait basculer en arrière et m’écartèle en me saisissant par les chevilles. Dans un souffle, il me pénètre violemment et entreprend à nouveau de me marteler le cul en me fixant cette fois dans les yeux. J’ai les mains plantées dans la serviette, ma bouche grand ouverte cherche désespérément de l’air… Je suis pris de spasmes. Mon visage déformé par les gémissements doit lui faire de l’effet, car lors de chaque mouvement de bassin, il se retire pour me transpercer d’un coup de rein, qui à chaque fois, provoque une onde de choc qui se propage jusque dans mon bas ventre, mes couilles, puis ma queue, d’où commence à s’échapper un mince filet. Il s’en saisit d’une main et commence à me branler.

Cette fois c’est tout mon corps en entier qui est pris de tremblements, mes jambes, mon torse mes bras, au point que Paul est contraint de me plaquer contre la serviette tout en continuant de me labourer. Je sens sa sueur, son haleine. J’ai envie de l’embrasser, de passer ma bouche sur le moindre centimètre de sa peau. Je sors la langue vers la pointe sur son téton, mais il se redresse, m’empoigne vigoureusement et reprend ses mouvements de plus belle. Soumis, je subis ses assauts … mon corps disloqué ne m’appartient plus. Il est la chose de Paul qui joue avec à sa guise au gré des va-et-vient de son dard.

D’une main, j’ai saisi ma queue et entreprends de me branler de, plus en plus vite. Mes gémissement se font de plus en plus aigus. Un mince filet de sperme finit par s’écouler, m’inondant le ventre. Je me laisse submerger par un océan de jouissance. Mon cul, ma queue, mon corps entier est pris de soubresauts au rythme des pilonnements de Paul, qui finit par exploser en moi dans un râle. En deux ou trois coups de rein, il m’inonde de sa semence. Il se dégage, et se laisse rouler sur le côté. Je reste un moment sur le dos. Puis je m’accroupis au dessus de son sexe désormais flasque. Je m’en saisi à deux mains et entreprend de le nettoyer avec ma langue. Il a le goût du sperme, du gel de la sueur. Je sens aussi son jus s’échapper de mon trou et couler le long de ma cuisse, tandis que mon propre sperme s’est collé sur mon ventre. Je voudrais que cet instant demeure suspendu et ne s’arrête jamais. C’est finalement Paul qui me repousse sans un bruit, se lève et se dirige vers la douche de la piscine. Je reste un moment encore prostré, offert, mon petit trou palpitant.

Lorsque je reprend mes esprits, je me relève à mon tour. Je me tourne vers le transat où Manon et Anna sont enlacées. Blotties l’une contre l’autre, elles me fixent. Leurs visages alanguis trahissent une jouissance partagée.

Depuis ce jour, il nous est arrivé de reprendre l’apéritif avec nos hôtes. Mais surtout nous avons pris l’habitude de nous baigner sans maillot. Quant à moi, j’avoue désormais, rechercher autant la compagnie des hommes que celle des femmes.

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