Voyage voyage 1 : Phénicie

- Par l'auteur HDS Hâakon -
Récit érotique écrit par Hâakon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Voyage voyage 1 : Phénicie Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Voyage voyage 1 : Phénicie
Les vagues me heurtèrent et la fraicheur de l'eau me réveilla enfin. Je me redressais difficilement, couvert de sable et d'écume et je regardais autour de moi, juste une plage à perte de vue que surplombait une crête. Une fois celle ci gravit je vis les plaines de la côte phénicienne, ou du moins je le pensais puisque nous étions encore loin quand le navire avait sombré dans la tempête. Chaos seul avait une idée de ma survie mais en tant que poète et non prêtre je n'avais pas à me soucier, trop, de cela.

Je passais une lanière pour tenir mes cheveux roux flamboyant puis me mit à courir vers le nord, en direction de Tyr, la jeune cité portuaire qui faisait concurrence au bas royaumes d’Égypte et à Troie la cité des toits d'or.

Ces jours furent emprunt d'une certaine beauté, des buissons sauvage, des rivières qui deviendraient des fleuves, le champ des oiseaux et au loin de temps à autres des groupes de nomades qui n'avaient pas encore pris racine. La nuit particulièrement claire m'offrait chaque soir des myriades de constellations, des océans d'étoiles ou l'on se serait perdu pour toujours et des pluies d'étoiles dans le silence seulement rompu par le ressac des vagues sur le rivage.

Enfin après 10 jours de marche j'atteignis la cité de Tyr, aux murs de pierre et aux murailles hautes comme cinq hommes. Il me fallut une journée pour arriver au palais, je ressemblais à un mendiant malgré ma stature et mon port, et la je fus reçu par la reine en privé.

Je lui contais avec élégance ces jours hors du monde, loin des hommes et avec Chaos comme seule compagnie. Je lui chantais le gout des baies sauvages qui m'avaient nourris et lui offrit un tableau de la mer léchant la plage blanche immaculé qui s'était toujours tenu à ma gauche.

Elle en fut satisfait, assez pour me donner une bourse de cuivre et m'inviter à partager un vin qu'elle avait elle même cultivé mais malgré le soleil déclinant ne m'ordonna pas de partir comme elle l'aurait fait avec ses autres visiteurs.

Au contraire elle voulait que je reste et s'étendit lascivement sur ses coussins avant de me demander une poésie sur un sujet particulier, sa beauté et ce sans rien cacher.

Dire qu'elle était belle serait un euphémisme, dire que j'ai facilement trouvé les mots un mensonge. Porté d'un unique élan je lui récitais des vers qui me venait au fur et à mesure et si je ne m'en souviens plus je peux au moins vous en donner un aperçu.

Ô reine de Tyr à la peau mateÔ reine aux cheveux de cuivre Toi qui règne sur les ZéphyrsIl y a tant et tant à dire
Tu es une sculpture digne du grand ChaosA la peau si blanche qu'on la croirait fait d'albâtreUne statue où les yeux sont deux joyauxQui aveugle tel le feu dans son âtre
Tes cheveux sont plus blonds que l'or qui se mélange au sableTes épaules à la courbes si douce comme les collines de Tyr Les proportions parfaites de tes jambes que nulle lourdeur n'accableLa grâce irréelle de tes mains de marbre que l'on ose saisir
Alors que je parlais un sourire dévoila ses dents blanches et ses mains s'égarèrent sur son corps, un doigt distrait s'égara dans le creux qui séparait sa poitrine et elle appuya sa tête sur son épaule et dévoila un peu plus son cou.

Face à cette vision je ne pus que m'arrêter, mais qui aurait pu garder ses esprit ? Alors que je songeais à me retirer, curieuse réaction mais ainsi est fait l'homme d'esprit, elle posa une main sur mon épaule et elle m'attira à elle dans un élan que j'accompagnais.

Sa bouche se posa sur la mienne et commença le premier baiser de cette nuit étoilée. Elle était agenouillée sur son divan et moi en équilibre entre celui ci et mon siège. Décidant de ne pas tomber pour ne pas le briser je m'élançais d'un geste souple vers elle et la renversait, mais sans cesser ce baiser.

Tout homme aurait perdu ses moyens mais celui qui sait faire plaisir aux femmes sait prendre son temps, contrôler le désir pour qu'il n'en soit que plus savoureux. Allonger à coté d'elle je ne fis que carresser ses bras, sans aller vers ses épaules ou vers le délicieux joyau qui se nichait entre ses jambes.

C'est quand les derniers rayons du soleil disparurent que nos gestes allèrent plus loin. Elle caressa mon torse musclé et m'enlaça petit à petit tandis que mes mains firent glisser les fils d'attaches de ses épaules. Sous les douces carresses de mes doigts agiles elle se pelotonna contre moi et ma verge que jusque la mon pagne cachait fut collé contre sa jambe.

La reine pouffa et entreprit de m'en délester et pour ce faire se plaça au dessus de moi. Elle ne retint pas le passage de sa langue sur ses lèvres en voyant mon corps que le vent marin avait encore plus sculpté ces derniers jours. Se dressant au dessus de moi elle fit glisser sa robe, me dévoilant son corps. Naturellement mon regard se porta sur sa toison de la couleur des blés et j'y fit glisser ma main tout autour, attentif au moment ou les caresses seraient les plus exquises.

Le désir montant elle se pencha sur moi et s'agrippa à mes cheveux roux. Quand les soupirs qui franchissaient ses lèvres se rapprochèrent ma main se glissa entre ses cuisses et doucement je la titillait et passait furtivement sur son bouton impatient. Poussant un gémissement elle fit glisser une de ses main vers ma verge et avec la même douceur entreprit des va et vient qui voyaient souvent sa paume s'attarder sur mon gland.

Bientôt nous fûmes si proches que nos mains se rencontraient et que nos bassins s'effleurèrent, alors, du même élan, avec une infinie douceur, nous nous rejoignîmes. Je laissais échapper un soupir de soulagement quand le plaisir déferla. Collé l'un contre l'autre nous bougeâmes en synchronisant nos mouvements.

Je la serrait fort dans mes bras puissants et léchai son oreille, surtout le lobe. Le petit cri qu'elle poussa en enfouissant sa tête dans mon cou fut d'une intense satisfaction. Je tirai ensuite lentement ses cheveux blonds en arrière pour l'embrasser avec passion.

En réponse elle serra encore plus ses jambes autour des miennes et passa sa main dans ma barbe d'un roux à faire pâlir le cuivre. Ses lèvres entrouvertes était si rouge que l'on aurait cru des fruits, ses joues blanches s'empourpraient et je sentais son coeur battre de plus en plus fort contre ma poitrine qui écrasait la sienne.

La sensation de frottement était si exquise que j'aurais voulu qu'elle ne cesse pas, mais nous ne pouvions plus nous retenir, le plaisir déferlait et nous submergeait comme la mer submerge les plage et la reine jouit la première en poussant un petit cri et se tétanisa contre moi. Ne pouvant plus me retenir je jouit à mon tour, complètement enfoncé en elle et avec un cri rauque.
Épuisé nous sommes restés de longues minutes ainsi avant de nous séparer. Nous avons mangé des dates et bu du vin, à la fois pour nous remettre et reprendre des forces car nous ne comptions pas finir cette nuit si tôt. Le vent entrait dans la pièce et offrait une fraicheur bienvenue à nos corps en sueur. Nous n'avons pas parlé, juste des regards et des sourires et attendant que le moment revienne.

Je fis le premier mouvement, m'avançant lentement vers la reine et je la couvrais de mon corps qu'elle caressa avec délice. Cette fois nous sommes allé vite et quelques instant plus tard nos bassins se cognaient avec vigueur et nos lèvres étaient soudés.

Quel délice c'était de sentir sa peau douce, de caresser ses seins ou de les saisir. Elle était complètement abandonnée à mes coups de reins et j'éprouvais une intense satisfaction à voir ses yeux papillonner sous l'effet du plaisir que je lui apportais.

Le temps de la douceur était fini et je lui saisit ses jambes pour gagner en amplitude et accentuer la force de mes coups. Nos ébats gagnèrent en intensité mais ce n'était toujours pas suffisant pour nous deux, nous voulions nous abandonner complètement, nous laisser aller à l'ivresse du sexe la plus pure.

Je l'embrassais avec force puis me redressais. La reine comprit ce que j'avais en tête et éclata d'un rire cristallin en prévision du bonheur qu'elle allait connaitre. Je glissais mes mains puissantes sous ses fesses pour l'amener à mon niveau en entreprit des va et vient puissants comme le ressac frappe indéfiniment le rocher.

De longues minutes plus tard nous étions en sueur et criant sans retenue. Mon corps luisait et offrait un spectacle magnifiques avec les muscles saillants, sans une once de graisse et mes bras la portait sans faiblir malgré le plaisir qui nous envahissait.

Quand à la reine aah....Sa poitrine bien que petite était ballotté et me donnait du cœur à l'ouvrage. Elle avait étendu ses bras en arrière et subissait avec délice les tourments charnels que je lui offrait. Sa bouche toujours aussi rouge laissait échapper un gémissement continu et ses yeux, ah ses yeux, ils fixaient les miens sans jamais ciller.

La reine de Tyr se redressa sur ses coudes et je vis qu'elle chavirait, son regard supportant de plus en plus mal le mien. Elle poussa de nombreux cris à sa jouissance, jouissance qui se prolongea de long moment grâce à des coups de riens particulièrement intenses.

Je me préparais à jouir à mon tour quand elle m'arrêta. En effet elle voulait me voir jouir, voir mon fluide viril hors de mon corps et ma verge cramoisi. C'était une pratique dont je n'avais pas l'habitude, encore moins de la part d'une femme de sa condition mais je m'y soumettais avec plaisir.

Je fermais les yeux pour contenir l'orgasme brulant qui arrivait, faisant le vide dans mon esprit pour gagner quelques précieuses seconde d'un plaisir intense et quand je sentis malgré mes dents serrés pour tenir, que je venais alors je me retirai de la reine. Immédiatement sa main s'enroula autour de mon membre le caressa avec dextérité et je craquais.

Je hurlais de bonheur à chacun de mes jets que je sentais traverser mon corps, ma verge était agité de soubresauts que la main de mon amante peinait à tenir et même quand le plaisir me noya presque mon membre restait une source de plaisir car sa main n'avait pas une seconde cesser ses caresses.

Je posais mes yeux sur elle et un sourire illumina mon visage, comme le sien. Une longue trainée courait entre ses deux seins eux même recouverts de gouttes de ma semence. Son ventre blanc était lui aussi recouvert de quelque gouttes et sa main qui tenait ma verge en était aussi recouverte. Elle passa son autre main sur son corps pour mon plus grand plaisir et prit une pose langoureuse qui m'attira immédiatement contre elle pour la couvrir de baisers. Rassasiés de plaisir nous sommes séparés et c'est intensément satisfait que je fus reconduit dans les appartements qui m'étaient donné.

La nuit fut...emplie de cauchemars. Je revoyais la grande verte se déchainer et drosser le navire. J'entendais à nouveau les cris des marins qui passaient les uns après les autres par dessus bord. Je ne réussissais pas à les sauver, je tirais sur les cordes pour les sauver en vain, je tentai de manoeuvrer le bateau mais échouai.

A mon réveil le soleil commençait tout juste à se lever. J'entendis les cris des animaux exotiques venus de la grande savane saharienne dans les jardins de la reine. A coté de moi une servante somnolait, une main posé sur mon torse. J'inspirais profondément l'air du matin et me dirigeait vers une table où était disposés des mets.

-Ton sommeil a été agité poète. Tu criais des noms et te débattait. La servante s'était levée. Sa peau nue dégageait une fraicheur certaine.
-Excuse moi si je t'ai frappé dans mon agitation. Être le seul à avoir survécu est une malédiction.
-Tu es tout pardonné poète.
-Toutefois que faisais tu dans mon lit ? Je n'avais pas demandé, ni désiré, une compagnie.
-La reine a ordonné que tout tes désirs soient comblés, y compris ceux que tu n'as pas formulé. Elle a dit que c'était le moins qu'elle pouvait faire pour te récompenser. Vient te délasser poète.

La proposition était tentante, mon sang s'échauffait à l'idée de tenir cette belle femme dans mes bras. Elle était bien moins voluptueuse que la reine mais elle exsudait de désir à l'idée de sentir mes bras. Elle m'invitait à la saisir, toujours allongé sur la couche, en relevant sa tunique au niveau de ses cuisses. Après un instant d'hésitation je fus forcer de voir qu'elle était on ne peut plus consentante et que cet ordre de la reine n'était pas du tout une corvée.

Je m'étendis alors sur la servante. Mon corps marqué par les voyages provoqua un léger mouvement de recul chez elle, impressionné qu'elle était. Je lui donnai un baiser profond, la laissant s'habituer à la chaleur de mon corps nu. Elle glissa immédiatement ses mains contre ma peau chauffés par le soleil matinal et poussa un gémissement de contentement tout en accentuant la pression du baiser.

Je quittais ses lèvres pour descendre en un point en dessous de sa tunique. Je m'appliquais à lui donner du plaisir en massant sa poitrine presque aussi plate que les steppes du sud. Elle n'en était qu'au début de ses surprises car juste ensuite je déposai des baisers sur ses cuisses tremblantes, et baisers après baisers je m'approchais de son foyer ardent.

La servante se cambra et poussa un petit cri qui résonna délicieusement à mes oreilles. Je fouillait de partout, titillant son petit fruit qui était vers la porte de son plaisir. Sous le coup des sensations que je lui procurai elle agrippa mes cheveux et m'attira encore plus contre elle. Encouragé je redoublais d'ardeur, alternant baisers et coups de langues à un rythme soutenu au fur et à mesure qu'elle me serrait les cheveux avec force. Je continuai ainsi jusqu'à ce qu'elle pousse une série de petit cris qui finirent par un intense soupir orgasmique.

Satisfait je me redressais et elle prit l'initiative d'un nouveau baiser long et appuyé. Elle glissa doucement ses mains vers mon bas ventre et se saisit de ma verge qui avait commencé à prendre une légère vigueur. Je souris en voyant le regard appuyé qu'elle dirigeait vers mon membre. Ses mains n'était pas aussi douces que celles de la reine, mais elle savait me donner un plaisir bien intense. En quelques minutes de caresses mon membre viril se tenait chaud et dur dans ses mains.

La servante eu un dernier moment d'apréhension quand je retroussais sa tunique. Je dénudais d'abord ses hanches, puis son ventre plat. Elle écarquilla les yeux quand dans le même mouvement je mettais sa poitrine à nue tout en la pénétrant lentement et profondément. Elle n'était assurément pas vierge, je sentais ses mains appuyer puissamment sur mes fesses pour me sentir, mais c'était tout comme presque.

Je commençais doucement, une main contre sa tête et mon front contre le sien, l'autre caressant ses cuisses. Passé ce moment et une fois qu'elle se mit à profiter pleinement de mon membre viril, ce qu'elle faisait avec force de gémissement et tentant de m'enserrer dans ses cuisses ce qui augmentait grandement mon plaisir, je me mit à accélérer.

Mes coups de reins s'enchainaient pour ne lui laisser aucun répit, la pilonnant avec vitesse avant de rester en elle pour explorer son antre de plaisir. Quand elle avait un peu le contrôle d'elle même elle murmurait à mon oreille, me léchait le lobe et poussait de petit gémissements qui m'enflammaient. Après un moment je ralentit la cadence, juste le temps de me redresser pour être bien au dessus d'elle, puis reprenait mon rythme de croisière, la ballotant et faisant bouger le tissus qui recouvrait encore un peu sa peau.

-Aaaah. Mes désirs sont comblés.
-Oooh...très bien..seigneur..aaah.
-Hahaha ! Tu dis toujours cela ?
-Han...Han...oui...OUI !
-Et avec sincé...hmmmm tes cuisses...rité ?

La servante ne répondit pas de suite. Occuper à serrer les dents et mes bras tandis qu'un feu grandissait dans son bas ventre et la faisait trembler. Elle tint encore un petit moment avant d'exploser dans un bel orgasme, un cri de jouissance clair comme du cristal qui s'acheva avec une série de hoquet provoqué par mes coups de reins. Je n'avais pas besoin d'une réponse.

Quand à moi après avoir bien jouit hier avec la reine j'avais encore de l'endurance à revendre. La servante arracha presque sa tunique, l'enlevant avec une frénésie que j'avais rarement vu, avide de sentir toute sa peau contre la mienne et d'offrir son cou à ma langue et à mon souffle. Je répondais immédiatement à son désir en l'enlaçant puis en me redressant à genoux, nos sexes toujours unis et sa bras enroulés autour de mon corps musclé.

Je juchai la jeune femme sur mes cuisses et la fit coulisser sur ma verge, la soulevant comme une plume. Nos peau s'entrechoquaient en des clap clap hypnotisant. J'avais connut le plaisir avec des femmes bien plus belles mais c'était absolument magnifique de se sentir aussi puissant, de sentir une femme aussi faible dans mes bras.

Le soleil matinal se levait de plus en plus haut dans le ciel, illuminant la chambre et nos deux corps enlacés, semblant jeter son regard brulant sur nous et répandre sa chaleur comme un assentiment. Les ombres se dissipaient, la chaleur montait et nous plongeait dans une autre extase. La servante se laissa aller et me lâcha, tombant arrière. Je la rattrapais d'une main et me déchainai l'empalant sur toute la longueur de ma verge.

Je voyais dans le regard extatique de mon amante mon propre reflet. Mes cheveux roux étaient flamboyants, une véritable couronne solaire qui l'aveuglait, ma peau sculptée et bronzé était comme d'or, j'étais pour elle comme l'avatar d'un dieu.

Sa jouissance déclencha la mienne. Pas de cri cette fois, juste son antre qui se contracta, n’emprisonnant encore plus dans une prison de chair. Les sensations furent si intense, la conjugaison de tout ce qui se passait si parfaite que je ne pus plus me retenir plus longtemps et éclatais dans un orgasme incomparable, inondant la servante de ma semence brulante. 5, 6 puis 7 jets puissants jaillirent de ma verge qui se tendait au gré du plaisir qui me traversait. Je m'effondrais sur la jeune femme en soufflant comme un boeuf, transpercé par la jouissance.

Le soleil se refléta sur nos corps en sueur et nous somnolâmes un moment, la servante ayant à nouveau posé sa main sur moi, mais sur mon sexe qui se dégonflait lentement cette fois. Je repartis dans l'après midi, avec des vêtements neufs, une bourse remplie d'or et de la nourriture.

Direction l'Amurru et Qadesh.

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