Le jour où la Terre... Continua... - histoire érotique

Et c’est ainsi qu’avec une chance inouïe, de la joie au cœur et au corps, ainsi que le feu au… cul, j’ai découvert à quel point il était merveilleux de faire l’amour avec un homme, ou plutôt… de satisfaire un homme en étant son amant ouvert, soumis, passionné et tendre…

Je suis rentré chez moi sur un nuage. Des pensées et flashes me traversaient l’esprit, et ma queue en redevenait vibrante et douloureuse…

JP… Aurai-je pensé un jour qu’un homme me baiserait avec fougue et passion en se prénommant ainsi… « You can’t always get what you want » ont chanté les rolling stones… Certes !N’empêche Ash, pour un dépucelage, pas mal non ?

Retour chez moi.
Ma femme n’est pas encore rentrée, je me dirige sous une douche bienfaisante, brûlante.L’eau qui coule sur mon corps ravive ma tension sexuelle, les palpitations de mon petit trou précédemment envahi par la queue ardente et goûtue de mon amant sont délicieuses…Et ce qui devait arriver arriva : après une branlette rapide et sauvage, et une belle quantité de foutre giclée partout, mon esprit se rebella violemment contre ce qui venait de se produire…

Ce fut assez étrange. Que m’était il arrivé ?
-Tu t’es fais enculer comme une chienne Ash.
Halte là garçon ! Je suis amoureux de ma femme tout de même.
-T’es un vrai cochon, une bête de sexe, ton appétit sexuel est entier et te propulse vers un nouveau monde de plaisirs à tirer d’amantes et amants à venir…
Je ne suis pas gay !!!
-Ash, t’es vraiment con ! Simplifie ! Tu as aimé te faire défoncer ?
C’est vrai que j’avais adoré me faire aimer de la sorte…
-Vis tranquillement, tu n’as qu’à le revoir ?
…
Ça jamais !!!!!!!!

N’y a-t-il que les imbéciles qui ne changent pas d’avis… ? Je n’ai jamais prétendu être intelligent…

Je fus surpris lorsque le lendemain matin de cette folle journée je me levais avec le plus beau barreau de chair et de douceur vibrante (un vrai slogan pour gode non ?) que j’avais en magasin… Ma femme n’en fut d’ailleurs pas offusquée, et j’avoue que je lui ai alors fais l’amour de manière assez intense… Pour prendre un grand plaisir… lorsque j’en vins à éjaculer dans son ventre…Sensations vraiment étranges, car la jouissance était merveilleuse avec elle, mais tellement différente lorsque mon JP d’amant (décidément lui demanderai s’il ne veut pas d’un surnom…) m’introduisait assez délicieusement sa merveilleuse queue dans mon cul…

Je compris (tu vois Ash quand tu veux) qu’il n’y avait pas de peur à avoir, que j’aimais mon épouse, mais que j’aimais aussi le sexe, que je serai donc cet amoureux de la chair et de l’acte, que la Terre s’était remise à tourner avec une mécanique bien plus huilée que naguère.

Une semaine plus tard, je ne pus m’empêcher d’envoyer un texto à Roudoudou (bien bien Ash, t’es fort en surnom dis donc), parce que ce salop ne m’avait pas donné signe de vie… J’en étais torturé de savoir s’il avait aimé être avec moi, bref… Il me répondit aussitôt :
- (moi) Salut JP (petite larme) espère que tu vas bien moi oui, ai adoré notre moment.
- (lui) Salut bôgoss, c’était super bon, ke fais tu cet après-m ? ton Q est 10po ?
…
La vache Ash, il te baise mieux qu’il écrit.
Palpitations, cet après midi ? mais…
-(moi) oui ok je viens
Tu n’es qu’un faible Ash…

Ouiiiiiiiiiiiiii !

Je pris ma voiture et me rendis donc chez lui.. Sur le chemin, j’étais beaucoup plus calme que la première fois… Et j’avoue que je me demandais si après avoir vécu mon fantasme, je serai à même de recommencer, d’en avoir le désir…
Je frappe.
-« entre ».
J’ouvre, il est là.
Magnifique. Ah le con, il porte un boxer gris, splendide sur son corps d’athlète. Réellement, il est sculptural, tellement beau. Son ventre musclé, ses pectoraux saillants, ses bras musclés et puissants, son cul pommelé, ses cuisses fuselées aux muscles si bien dessinés… Mon côté femelle me terrasse…
Mais c’est qu’il bande !
Je m’approche de lui, doucement, un peu inquiet. Il me sourit, et je fonds…
A ce moment là, il me fait craquer, je saisis sa tête entre mes mains et colle ma bouche à sa bouche, faufile ma langue vers la sienne, colle mon corps au sien, et nous échangeons un baiser si passionné, que j’en viens à bander, ressentant une curieuse sensation au ventre, et au cœur…
-« tu m’as manqué…
-Toi aussi, t’es toujours aussi canon, me dit-il, en pelotant ma queue à travers mon jean… et attrapant mon cul de ses mains (j’adooore !)
Nous sommes dans sa cuisine… J’ai les larmes aux yeux. Il me caresse en souriant le visage…
-Tu es vraiment un beau mec, j’ai adoré te baiser l’autre jour, j’ai pris un plaisir incroyable…
Tu m’étonnes, ce salop à joui 4 fois…
Je caresse sa queue que j’adore littéralement à travers le tissu du boxer… C’est tout doux, chaud, vivant et vibrant…
Je lui souris, éperdument. Ce mec me touche, me plait…
Je m’agenouille.
Viens humer et lécher sa queue à travers le boxer… Il plaque sa main sur ma tête et me pousse tendrement mais fermement mon visage contre sa queue et ses couilles, déformant le tissu…
Je craque alors, et le libère de sa prison de coton, sa queue jaillit de toute sa superbe « vibrance » devant mes lèvres.
Je gémis, le regarde dans les yeux et luis dis :
-« Fais de moi ce que tu veux, je t’appartiens.
- Tu es ici avec moi pour vivre tout cela dans le bonheur et le plaisir. Lâche-toi, tu es en sécurité avec moi, il n’y aucune honte dans le sexe, que du plaisir. »
Et sa queue pénètre alors ma bouche avide… Je le pétris, des fesses aux couilles, des seins au ventre, respire profondément lorsque j’engouffre tout au fond de ma bouche sa belle queue, tout en me cambrant, à genoux devant lui, mon mec, mon chéri…
Je le caresse avec passion et une tendre avidité de mes mains, salive et crache sur sa queue comme une belle cochonne qui ne veut que plaisir et jouissance pour son mec…
Il me regarde avec tellement de douceur et de plaisir…
Il me saisit d’un coup brutalement par les cheveux… Et là il me submerge…
-« je vais baiser ta bouche, ma chienne »
Woohoo ! J’en souris en coin, il m’a compris, me libère de toutes mes interrogations, je suis heureux, entier, cohérent, il m’amène à éprouver cette satisfaction et plaisir quant à ce que je prenais par le passé pour des idées honteuses et dégueulasses…

Il tire sur mes cheveux, je pose mes mains sur ses cuisses, sur les côtés, et il pénètre lentement ma bouche, jusqu’à taper le fond de ma gorge… J’en ai un haut le cœur ! Dont il profite pour s’enfoncer d’un coup brusque plus loin, et je sens alors ses couilles écrasées contre mon menton…

Je manque de jouir. Et de mourir suffoqué.
D’ailleurs, le haut le cœur est parti, mais je ne respire plus ! Il ressort, un filet de bave relie son gland à mes lèvres barbouillées de salive…
Mes yeux sont embués, je le regarde avec amour, et il cramponne alors ma tête de ses deux mains, se cale bien sur ses cuisses, et pénètre à nouveau violemment ma bouche de sa belle grosse queue. Agrippant fermement ma tête entre ses mains puissantes, il commence alors à baiser ma bouche comme dans le plus dingue de mes fantasmes…
L’érection et la sensation que j’ai alors sont indescriptibles, un bonheur incroyable me submerge, je n’en reviens pas…
Ce type baise littéralement ma bouche, et j’aime ça… je faufile alors une main sous ses couilles, et l’autre vers son trou, que je me mets à doigter pendant qu’il baise ma bouche de salope… je suis un trou pour lui, et j’aime ça…

Je sens qu’il va jouir, il arrête d’un coup… me regarde avec amour et tendresse, je n’en reviens pas de sa puissance et de sa force, il me fait chavirer… je ne dois pas être bien beau à regarder, avec les larmes aux yeux, de la salive plein la gueule… Sa queue est superbe, luisante de ma salive…
Il me relève, m’embrasse, je le prends dans mes bras, comme s’il était mon amoureux, l’embrasse, et le remercie…
Il sourit, me prends la main, me déshabille, entièrement… S’agenouille, et suce doucement ma queue… Je me tortille de bonheur, il me retourne comme une crêpe, me fais écarter mes cuisses, et commence à bouffer mon cul, en l’écartant. Sa langue s’introduit dans mon cul, ses mains caressent mes couilles et ma queue pendant qu’il m’encule voracement de sa bouche…

Puis il se relève, se colle à moi… Éclair de bonheur à sentir son ventre musclé contre mon dos, sa queue bien ajustée et toujours mouillée de ma salive dans ma raie… puis il me bande les yeux.
Comme ça…

-« N’ai pas peur, viens avec moi
Il me prend la main.
Je n’ai pas peur… J’avance doucement.
-« Attention, les marches ».
Nous descendons.
Je ne vois rien, je n’ai que sa main comme guide, et j’avance dard dard (au vent) vers… Je n’en sais foutrement rien. Ash, qu’est ce que tu branles (rien mon cher !Pour l’instant…)

Stop.
-« penche-toi »
J’obéis et sens à mi parcours une petite table.
-« Monte dessus, à quatre pattes »

Mmmmhhh… ça ça me plait.
-« Jp, on n’est bien que tous les deux, hein ?
-« Ash, oui ! Pourquoi, tu voudrais qu’on soit plusieurs ? »
Il rit. Moi j’en bande encore plus fort, oui… L’idée me séduit…

Je me mets à quatre pattes, je sens devant mes mains le rebord da la table que je devine donc basse, et certainement parfaite pour que mon petit cul soit bien ouvert et offert à la bonne hauteur pour mon JP (grrrrh) d’amant.
-« penche-toi bien ».
Je suis sa chose, j’allonge donc mon corps et ma tête vient toucher la table, mes mains en agrippant le rebord.
J’ai alors le cul je le sens dans la plus indécente, merveilleuse et odieusement offerte des positions…

Le chaud de sa bouche contre mon petit trou. Je gémis. Une de ses mains effleure mon dos, mes reins, puis ses deux mains viennent pincer mes seins ! Ca fait mal ! Non, en fait : du bien…
Je n’ai pas peur, je ne ressens que son souffle, ses caresses, ses lèvres, parfois sa langue. Il tourne autour de moi, il me regarde, m’apprécie, me goûte, me touche…
Je m’imagine, les yeux bandés. Je suis à lui, il satisfait de lui-même ce que je recherche et désire… Lui appartenir, et qu’il me possède.

Ne pas voir décuple toutes mes sensations. Je n’ai pas cessé de bander.
D’un coup plus rien.
Plus un bruit.

Du froid, contre mon trou, dans mon cul. –Le gel, me dis-je.

Puis la plus grande des douleurs qu’il m’ait été donné de vivre.
J’hurle tellement j’ai mal.
Il m’a enculé d’un coup, violemment.
Ses mains ayant agrippé mes hanches, et ne les lâchant plus.
Je suffoque, tente de reprendre ma respiration, je râle, mon trou ne veut pas de sa queue, l’enserre violemment et provoque une douleur violente et indescriptible.
Il me bourre alors le cul ardemment. Je sens tout son corps m’envahir à chacun de ses coups de bite, réguliers, puissants. Il me possède entièrement. J’ai toujours aussi mal. Put… Mais qu’est ce que je fous là… je ne bande plus… Mon esprit m’emporte vers la colère, la peur…

Puis ses mains saisissent mes épaules. Il me redresse tout en me donnant le plus violent de ses coups de rein. Il m’empale littéralement et me fais rebondir sur la table.
Il m’a redressé, je sens son souffle chaud dans mon cou… Tiens, un baiser, puis deux… mais au fait, je bande !
Je n’ai plus mal, je crie alors comme un fou mon plaisir quand je sens ses couilles s’écrabouiller contre mon cul, quand sa queue remplit mon ventre…
Je le sens coulisser en moi, il me baise, avec intensité, moi cambré comme une chienne, sa chose, bien ouvert, le cul écartelé par son impérieux désir et plaisir de mâle qu’il à de me défoncer, me posséder, me baiser…
Je lui crie que je l’aime, que j’en veux encore… puis une chose incroyable se produit…
Il me fait me pencher à nouveau en avant, une main sur ma hanche, l’autre sur l’épaule, je suis suspendu, mon torse parallèle à la table, et là il accélère et m’encule tellement fort qu’un cri lancinant commence à s’échapper de ma gorge, de tout mon être, s’élevant et ne s’arrêtant plus.
Il arrache mon bandeau.
Je suis face à un miroir, il me regarde, et je me vois baisé par un mec splendide, totalement et merveilleusement dépravé, une grimace de plaisir pornographique me déformant le visage, la bouche ouverte et haletant comme une salope… et d’un coup… l’extraordinaire,
je jouis.
Ma queue explose, mon foutre gicle en abondance sur la table…
Je ne me suis pas branlé, il ne m’a pas touché la queue…
J’ai joui de l’avoir en moi, de le voir me baiser, d’être devenu dans ce moment sacré son amour, sa chienne, sa chose, son amant…
Mon sperme coule, abondamment, c’est un plaisir qui me parait durer une éternité, je suis parti…

Il s’arrête… Oh mon JP… il me regarde, avec douceur, me sourit, je me présente toujours à genoux sur la table en le regardant avec amour, saisit sa queue, le débarrasse de la capote, et l’embouche tout doucement… Je sens qu’il est au bord de l’explosion…
-« JP, attends, viens ».
Cette fois c’est moi qui l’entraîne, nous remontons vers la véranda, je le fais s’allonger sur son matelas, dans les coussins, il me regarde, étonné, heureux, je m’allonge alors entre ses cuisses, puis entreprend une fellation amoureuse, suce et embrasse sa queue, lèche voluptueusement son gland gonflé, joue avec ses couilles de ma langue, et branle doucement de mes pouce et index serrés sa tige luisante…
Je le remets dans ma bouche, l’aspire, le regarde, branle bien la base de sa queue en réalisant quelques pressions sur ses couilles lorsque mes doigts qui l’enserrent arrivent à la base de sa tige. Je remarque alors que son gland grossit dans ma bouche… Je suis fou de joie, de bonheur… Je suce avec plaisir, amour et tendresse un homme splendide, magnifique, si gentil et si bandant… je le contemple, et son corps part en puissance dans des mouvements de plus en plus incontrôlés.
Une main se pose délicatement sur ma tête quand dans un râle de puissants jets de sperme chaud envahissent et coulent dans ma bouche… Je maintiens à ce moment là la pression sur la base de sa queue et ses couilles, sans trop serrer et il vide alors littéralement ses belles couilles dans ma bouche qui commence vite à dégouliner de sperme épaix, son gland emprisonné à l’intérieur… Puis je continue de le sucer, le branler lentement, doucement, salive et foutre luisants sur sa queue, moi avalant avec bonheur son jus, en le caressant…
Il est ko pendant 5 bonnes minutes, puis se redresse, me prend dans ses bras, m’embrasse, me caresse, me souris…

Nous avons passé la fin de l’après midi à parler, nous doucher, rigoler, partager.
Ce jour là, la Terre a tourné, et deux personnes se sont trouvées.
Nous sommes devenus hommes et amants, pour notre plus grand bonheur.

Ce fut ma deuxième expérience avec lui. J’espère sincèrement que vous aurez aimé, apprécié.
Comme pour mon premier texte, soyez libre de m’écrire pour toute critique ou commentaire. Les réactions suite au premier texte m’ont beaucoup touché, et ont toutes été constructives.

“You can't always get what you want,
You can't always get what you want,
You can't always get what you want...
And if you try sometime... you find
You get what you need...” (Rolling Stones)

Ash