Justine-3 Tina

- Par l'auteur HDS Julo -
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Récit libertin : Justine-3 Tina Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Justine-3 Tina
Justine faillit s’évanouir quand elle vit Tina en face d’elle.
— Bonjour, Justine. Je t’avais dit qu’on se reverrait. T’es punie ?
Jamais Justine ne s’était sentie aussi vulnérable qu’à cet instant. Elle était entièrement à la merci de Tina, attachée et bâillonnée comme elle était, dans une position humiliante et incapable de résister. Elle se mit à trembler.
— Fait voir ton anneau, je ne l’ai pas bien vu dans le métro.
Elle tira sur la corde du côté où le pied de Justine était posé, relevant l’autre jambe. Tina saisi la cheville levée et la souleva le plus haut possible. Justine dut sautiller sur l’autre jambe pour ne pas tomber. Tina mit sa main brune sur le sexe ainsi exposé, le caressant jusqu’à y mettre un doigt. Elle soupesa l’anneau et tira dessus, vers le bas. Justine, pour éviter la douleur, dut fléchir sa jambe d’appui, tirant au delà du supportable sur ses bras retenus en haut. Elle poussa un hurlement, pas plus fort qu’un gémissement à cause du bâillon. Sa jambe, fléchie, tremblait de fatigue. et soudain se déroba. Surprise, Tina lâcha prise et Justine se cogna violemment sur le bâti, en poussa un hurlement de douleur qui franchi le bâillon.
— Excuse moi, dit Tina. J’avais pas vu que tu étais en déséquilibre. Attends, je vais te frotter.
Elle frotta vigoureusement l’anus et le sexe de Justine, Justine crut de nouveau défaillir tant la brûlure était intense. Sans se préoccuper de son équilibre, elle se débattit dans ses liens pour échapper à l’intense brûlure qui gagnait tout son abdomen.
— Pardon ma poule, j’avais oublier que Maud t’avais mis du piment partout dans le trou et la chatte.
Comment savait-elle tout cela? se demanda Justine avec inquiétude.
Tina aida Justine à se remettre en équilibre sur une jambe.
— Tu m’a dénoncée pour la boîte, mais s’est pas grave. En plus, je ne suis pas rancunière. Je t’ai apporté de quoi te distraire, ajouta-t-elle avec un grand sourire.
Elle lui présenta deux ressorts, avec un mousqueton à une extrémité un un boule chromée de cinq centimètres de diamètre à l’autre.
— Les mousquetons s’ouvrent comme ça, dit-elle en appuyant dessus.
L’anneau formant l’extrémité du mousqueton s’ouvrit. Elle relâcha la pression et l’anneau se referma.
— Plus on tire sur le ressort, plus l’anneau est solidement fermé. On les accroche dans les trous des tétons pour titiller gentiment les petites esclaves punies. Ça ne fait pas mal, mais ça excite! Je vais te les mettre. Mais tu n’est pas percée! s’exclama-t-elle. Ça ne fait rien, on peut les mettre quand-même.
Elle pinça un téton entre le pouce et l’index, le passa dans l’anneau ouvert d’un mousqueton et le lâcha. Elle fit la même chose pour l’autre téton. Les boules argentées montaient et descendait en sautillant, pinçant cruellement les tétons de Justine et lui arrachant des cris et des larmes de douleur à chaque fois qu’elles arrivaient en bas, la pinçant plus fort en tirant ses seins vers la bas. Elle crut que les mousquetons allaient lui perforer les tétons, gonflés à éclater sous la morsure cruelle.
— Je te laisse, je ne suis pas là pour m’amuser. Comme tu es punie, Léa m’a demandé de faire le ménage à ta place. Je l’ai croisée en venant.
Elle se mit à passer l’aspirateur, laissant Justine anéantie de désespoir, le corps tremblant sous la torture de toutes les douleurs qui assaillaient les différentes parties de son corps, surtout les plus intimes. Quand Tina arriva pour faire la cuisine, elle poussa plusieurs fois le pied de Justine avec la brosse de l’aspirateur.
— Aller, aller, pousse-toi un peu que je puisse nettoyer. Un petit effort, saute! dit-elle en riant.
Pour ne pas tomber, Justine sauta maladroitement et réussi à retrouver son équilibre pas des petits sauts sur l’autre pied. À chaque saut, son clitoris était tiré par l’anneau dans son sexe et ses tétons pincés encore plus fort. Tina arrêta l’aspirateur. Dix minutes après, elle sorti de la cuisine.
— Léa m’a dit de te donner à manger et de te dire qu’elle sera en retard. Regarde, je t’ai préparé une boîte de boulettes. Je n’ai pas eu l’ordre de te détacher, alors tu mangeras comme ça.
Elle enleva le bâillon et lui essuya le visage, le cou et la poitrine avec un torchon.
— T’es dégoûtante, t’as bavé partout.
Justine n’arrivait pas à fermer sa bouche, tellement elle était longtemps restée ouverte, la mâchoire presque déboîtée et durcie par les crampes. Avec un cri de douleur, elle y parvint.
— Je t’en prie, détache moi, supplia-t-elle.
— On m’a pas dit de le faire. Ce n’est pas ma faute si tu es punie.
— Si, c’est toi qui a ouvert la boîte de Maud et c’est à cause de toi que je suis punie !
— C’était pour rire! En plus, si tu avais été moins stupide, tu m’aurais dit de ne pas l’ouvrir. C’est donc ta faute. De toute façon, tu doit obéir et te soumettre, même à moi, ajouta-t-elle en riant.
Justine compris que même si c’était injuste, c’est Tina qui avait raison. Elle était l’esclave punie et attachée, à la merci de la jeune fille noire à laquelle elle n’avait plus qu’à obéir docilement. Elle baissa la tête.
— Tiens, mange !
Tina approcha une écuelle de la bouche de Justine.
— Comment vais-je mangé ? Je t’en prie, détache moi au moins une main, dit-elle d’un ton implorant.
— Ma pauvre poule, j’ai pas le droit de te détacher. Tu va être obligée de manger comme un chien, dit-elle en souriant.
— Aller, mange, mon toutou!
Justine tourna la tête.
— Écoute, on m’a dit de te donner à manger. Si tu ne manges pas, je vais me faire disputer. Alors maintenant, mange!
Elle saisi les cheveux à l’arrière de la tête de Justine, serra en tournant la main et leva l’écuelle jusqu’à ce que le nez de Justine trempe dans la sauce. Justine était brisée par l’humiliation. Elle essaya d’attraper une boulette entre ses dents. Elle n’y arriva pas et Tina leva plus haut l’écuelle, trempant tout le bas du visage de Justine dans la sauce brune. Peu à peu, elle mangea les boulettes, sautant de temps en temps pour changer de pied, déclenchant à chaque fois un cortège de douleurs diffuses dans son sexe, son anus à vif et ses seins.
Quand elle eu tout mangé, Tina recula l’écuelle et éclata de rire.
— Si tu voyais ta tête! Attends, dit-elle comme si Justine pouvait bouger.
Elle revint avec un appareil photo.
— Pas ça, supplia Justine.
— Au moins ça prouvera que je t’ai donné à manger! et elle pris plusieurs clichés.
Justine était morte de honte.
Puis Tina pris un torchon, débarbouilla Justine et approcha un grand verre d’eau de ses lèvres.
— Bois, tu doit avoir soif.
Justine but à grande gorgée l’eau fraîche et bienfaisante. Tina posa ensuite une main sur le bas du ventre de Justine, l’autre sur le bas du dos.
— Tu dois avoir envie de faire pipi, depuis le temps. En disant cela, elle pressa fortement avec ses mains, comprimant la vessie. Justine poussa un petit cri et sentit un peu de liquide chaud couler le long de sa cuisse. Tina ramena un seau de la cuisine. Puis elle tira sur la corde fixée aux chevilles, forçant Justine à lever une jambe très haut, Elle plaça le seau sous le sexe de Justine.
— Le petit toutou lève la patte, dit Tina en riant. Il a envie de faire pipi. Aller, aller... Dépêche-toi, ça fait partie des instructions que j’ai reçue : tu dois aller aux toilettes. Mais comme je n’ai pas le droit de te détacher...
Jamais Justine n’avait pensé qu’on pouvait avoir autant honte et être aussi humilié. Elle essaya d’obéir, mais elle n’y arriva pas, tant sa position la torturait.
— Je n’y arrive pas, gémit-elle.
— Tant pis. Au moins, j’aurais essayer. Bon, je vais devoir partir, et Léa ne devrait pas tarder à rentrer. Tâche de te retenir. Pour ne pas que tu t’ennuie en attendant, je te laisse mes breloques, tu me les rendras à l’occasion. Et, mutine, tira dessus pour les faire aller et venir.
— Je t’en supplie, enlève les, j’ai l’impression que mes tétons sont en train de se déchirer...
— Comme ça, tu penseras à te les faire percer. J’ai autre chose pour toi, regarde, tu vas aimer...
Elle lui mit sous le nez un vibromasseur de gros diamètre avec une embase en forme de demi-lune. Justine eut un sursaut effrayé devant sa taille.
— Non, il est trop gros,tu vas me déchirer, je t’en prie... l’implora-t-elle.
— Cinq heures d’autonomie, et il titille le clitoris et la rosette en même temps. T’as pas fini de jouir... Si j’arrive à le rentrer !
Elle lécha consciencieusement l’engin sur toute sa longueur et suça l’extrémité, qui rentrait à peine dans sa bouche. Puis elle mit l’extrémité à l’entrée du vagin de Justine et commença à pousser. Justine gémit. L’énorme sexe entrait en force, la remplissant, lui distendant le vagin, la laissant le souffle coupé. Quand il fut au plus profond d’elle, Justine crut qu’elle allait s’ouvrir en deux et cria de douleur. Tina lui mit un torchon entre les jambes, du ventre au bas du dos, et le fixa avec une ceinture de cuir qu’elle serra fortement. Puis elle tira sur les deux extrémités du torchon, afin que l’engin reste enfoncé au maximum. Justine, la bouche ouverte, haletait en gémissant.
— Faut pas que j’oublie de remettre ton bâillon, dit Tina en l’approchant de la bouche de Justine. Aller, ouvre le bec !
Comme Justine gardait les lèvres obstinément serrées, Tina saisi les mousquetons entre ses doigts et commença à serrer. Justine hurla de douleur, les tétons violacés et gonflés à craquer par le douleur.
— C’est malin. T’as pas encore compris que de toute façon, tu finiras par le mettre. Aller, ouvre! j’ai pas de temps à perdre. Elle serra plus fort les mousquetons.
— Arrête, J’obéis , supplia Justine en ouvrant grand la bouche. Des larmes coulaient sur son visage.
Espiègle, Tina en profita pour l’embrasser goulûment sur la bouche, lui mit prestement le bâillon en place et lui caressa la joue.
—J e te laisserai la télécommande du vibro sur la table. Mais avant, mets le en marche.
Disant cela, elle approcha la télécommande du nez de Justine et appuya. La vibration éclata dans son ventre et dans tout son entre-jambe, lui vrillant le clitoris et l’anus à vif, Tina manipula la télécommande, et la vibration augmenta d’intensité. Justine se débattait dans ses liens, se tordant comme un ver pour échapper à la machine qui lui brûlait les entrailles de toute la puissance de ses vibrations, mais celle-ci était solidement maintenue enfoncée dans le vagin. Justine regardait Tina, les yeux agrandis et implorants.
— Je te l’ai mis au maxi. À toi les orgasmes à répétition. Aller, je me sauve, amuse-toi bien.
Et elle partit, après une dernière caresse sur la joue. Justine aurait voulu lui crier de rester, la supplier. Mais le bâillon remplissait son office, la laissant muette et la bouche distendue. Elle entendit la porte claquer et fut de nouveau seule avec sa douleur et son désespoir.
Justine ne pouvait s’empêcher de faire onduler son bassin et de tirer sur ses liens sous l’action des puissantes vibrations. La machine lui dictait sa loi et elle était forcée de la subir en gémissant. Les vibrations étaient si fortes que ses seins tressautaient et que les boules, au bout de leur ressort, n’arrêtaient pas de sauter en lui pinçant cruellement les tétons. Elle perdit l’équilibre et le bâti de porte heurta violemment la raie de ses fesses, enfonçant le vibromasseur encore plus. Le bâillon étouffa son hurlement de douleur. L’embase de l’engin venait, tout en vibrant, de lui meurtrir le clitoris gonflé à éclater et son anus à vif. Elle réussit, après beaucoup d’effort, à retrouver un équilibre précaire sur une jambe, l’autre levée. Elle ne sentait plus rien, sauf les vagues de chaleur insoutenable qui lui mettaient le sexe en feu. Inexorablement, le plaisir montait. Elle ne voulait pas s’y abandonner. Mais plus elle ondulait pour y échapper, plus le désir montait. Justine gémissait sans discontinuer, les larmes se mêlant à la salive qui coulait de sa bouche écartelée. Elle perdit encore l’équilibre et l’énorme engin s’enfonça brutalement au fond de son vagin en écrasant le clitoris et l’anus. Justine fut submergée par la vague de plaisir et de douleur. Elle jouit à grands spasmes violents de tout son corps, hurlant sans pouvoir s’arrêter. Le clitoris rendu encore plus sensible par l’orgasme, multipliait par mille les vibrations qui continuaient à l’agresser. Elle hurla encore plus en se tordant comme une folle, tant la sensation devenait intolérable.

Léa rentra une demi-heure plus tard, à la nuit tombante. Elle vit Justine agitée de soubresauts, suspendue par ses bras tirés en arrière, mettant en valeur ses seins au bout desquels sautillaient les boules de Tina. Ses jambes étaient de part et d’autre du bâti, ne touchant plus le sol. Elle gémissait sans s’arrêter.
— Ma pauvre chérie, lui dit gentiment Léa. Je suis désolée d’avoir été aussi retardé. J’avais envoyé Tina pour te tenir compagnie, mais je vois qu’elle est toujours aussi facétieuse.
Elle arrêta le vibromasseur, détacha les jambes de Justine et enleva le bâillon. Justine leva la tête.
— Léa, je suis si contente que tu sois rentrée, je n’en peux plus.. dit-elle pendant que les larmes coulaient sur son visage.
Léa ôta les mousquetons des tétons. Justine cria sous la douleur.
— Si tu veux continuer à utiliser les jouets de Tina, tu ferais mieux de faire comme elle, des trous.
Les mousquetons avaient laissé deux profondes marques de part et d’autre des mamelons.
— Regarde moi ça. Il faut faire circuler le sang.
Elle fit rouler les tétons entre pouces et index, en serrant les doigt. Léa étouffa son hurlement de douleur en l’embrassant sur la bouche salée par les larmes, la violant de sa langue agile.
Elle détacha ensuite la ceinture, ôta le torchon et l’engin qui avait torturé Justine. Le torchon était trempé. Léa fixa Justine, tenant le torchon en évidence. Justine rougit violemment et baissa la tête. Elle n’avait pu se retenir. Son ventre et le haut de ses cuisses étaient mouillés.
— Alors mademoiselle fait la fière et refuse le seau. Elle préfère faire par terre comme un chiot! dit Léa en masquant un sourire. Si Tina ne t’avais pas mit un linge, je t’aurais tout fait lécher par terre.
— Je n’y suis pas arrivée dans le seau, Tina m’a fait boire et je n’ai pas pu me retenir, je ne l’ai pas fait exprès, pardon, implora Justine, les larmes coulant de plus belle.
— Je vais devoir t’apprendre à être propre, comme pour les chiots! répondit Léa en souriant.
Elle approcha le torchon du nez de Justine, qui eu un mouvement de recul. Léa toucha le nez avec le torchon dégoulinant, puis lui donna un claque retentissante sur les fesses. Justine poussa un cri et son visage, la bouche grande ouverte, fut projeté sur le linge imbibé de son urine tiède. Léa ne put s’empêcher de rire.
— J’espère que tu as compris la leçon, et que la prochaine fois, tu sauras te retenir.
— Oui, Léa, la prochaine fois, je serai propre, pardon, murmura Justine, brisée, le visage humide de son urine et de ses larmes.
Léa lui ôta ses escarpins et lui détacha les poignets. Elle dut soutenir Justine, qui n’arrivait plus à tenir debout et tremblait de tous ses membres.
— Viens, je vais m’occuper de toi.
Elle soutint Justine jusque dans la salle de bain et l’assit sur le banc de la douche. Puis elle ouvrit le robinet d’eau chaude et orienta le jet sur Justine.
— Reste là, je reviens.
Justine ne bougeait plus, gémissant sous les milliers de dards qui fouettaient son corps raide et endolori. Léa revint, entièrement nue. Elle savonna Justine des pieds à la tête, lui arrachant des faibles cris quand sa main insistait sur l’entre-jambe à vif. Elle la rinça ensuite avec le jet, insistant de nouveau sur le sexe et l’anus, laissant Justine essayer faiblement de se soustraire au jet brûlant en gémissant. Elle l’enveloppa ensuite dans un grand drap de bain et la porta dans sa propre chambre et la coucha sur le dos, dans son grand lit double. Là, elle acheva de la sécher en frottant doucement. Justine était presque inconsciente. Léa pris un pot rempli d’un onguent odorant. Elle s’assit à califourchon sur Justine, et senti son anneau contre les lèvres de son sexe. Les mains enduites d’onguent, elle massa Justine sur tout le corps. Ses doigts énergiques insistaient sur les épaules raides, ses hanches et ses seins. Justine, les yeux clos, poussait des petits gémissements comme un animal blessé. Son bassin, comme doué d’une vie propre, ondulait doucement, caressant le sexe de Léa.
— Tu es vraiment incorrigible, murmura tendrement Léa en lui massant les seins. Retourne toi.
Péniblement, Justine se retourna et se laissa retomber à plat ventre, la tête dans l’oreiller. Léa lui massa longuement le dos, les épaules et les cuisses courbaturés. Ses doigts nerveux palpaient fermement tous les muscles endoloris. Justine râlait de douleur et de plaisir. Le massage de Léa dénouait tout son corps, et elle se laissait faire, s’abandonnant aux mains expertes en ronronnant de bonheur, les jambes écartées, le bassin ondulant pour quémander une caresse plus précise.
— Vraiment incorrigible, dit Léa en riant. Mets toi à genoux.
Justine se mis sur les genoux les jambes écartées, la tête enfouie dans l’oreiller, s’offrant à la caresse, les fesses cambrées ondulant avec supplication. Léa donna un petit coup de langue sur la rosette dilatée et tuméfiée, provoquant un brusque sursaut.
— Doucement, supplia Justine. C’est si sensible...
Sans tenir compte de la supplique, Léa continua à lécher doucement l’anus à vif, envoyant des ondes de chaleur douloureuse dans tout le corps de Justine, qui se remit à gémir doucement, puis de plus en plus fort. La langue de Léa continuait impitoyablement à agacer à petits coups la zone sensible, tournant autour, la frôlant, puis l’évitant de nouveau. Justine haletait. Elle tremblait de désir et se sentait frustrée par la lenteur insupportable des caresses de Léa, et ses hanches ondulaient de plus en plus vite.
— Ne bouge pas, dit Léa en lui donnant une claque sur les fesses.
Justine poussa un petit cri. Le plaisir montait de plus en plus et elle avait de plus en plus de mal à essayer de maîtriser les mouvements réflexes de son bassin. Sans s’en rendre compte, sa main pris le chemin de son sexe palpitant et humide de désir. Une tape sèche l’interrompit.
— Je ne t’ai pas dit de te caresser. Tu es vraiment impossible!
Justine ne parvenait plus à se dominer. Ses fesses allaient au devant de la langue qui la brûlait si délicieusement, et une sourde plainte d’échappait de ses lèvres entrouvertes. Léa serra le haut des cuisses de Justine de ses mains nerveuses, et enfonça brutalement sa langue agile au plus profond de l’anus, agaçant les terminaison nerveuses exacerbées par les mouvements rapides. Le cri de Justine fut étouffé par l’oreiller. Elle avait beau se tortiller pour échapper à la sensation trop intense, rien n’y fit. Léa la tenait fermement et remuait sa langue de plus belle. Justine fut terrassée par une vague de jouissance qui fit passer un voile noir devant ses yeux. Elle s’effondra, le corps secoué de spasmes.
Quand elle reprit ses esprit, elle était pelotonnée dans les bras de Léa, la tête sur sa poitrine ferme. Léa lui caressait les cheveux tendrement. Justine compris que si Léa n’avait pas fait d’elle son esclave par son chantage des sens, elle se traînerait à genoux pour la supplier de devenir son esclave, de lui appartenir. Léa l’avait compris tout de suite et lui avait révélé sans le lui dire se qu’elle n’osait pas s’avouer avant : elle aimait être soumise, dominée par la volonté d’une autre femme, elle qui n’avait eut que des rapports avec des hommes. Son phantasme de soumission était apparu au grand jour et elle le vivait pleinement. Elle ne put retenir ses larmes d’amour.
— Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ? demanda Léa en lui essuyant doucement les yeux.
— Je t’aime... murmura Justine, une boule dans la gorge. Je voudrais rester ton esclave pour toujours... Garde moi, même si tu as envie de me punir souvent. Je t’aime, je t’aime... Les larmes coulaient doucement de ses yeux implorants, éperdus d’amour.
Léa eu un rire attendri et la berça doucement dans ses bras.
— Ne t’en fais, ma petite esclave chérie. Je t’ai trouvée, je te garde. J’aime ma petite esclave chérie, et j’adore la faire obéir. Moi aussi, je t’aime. Elle murmura cette dernière phrase et l’embrassa tendrement sur la bouche.

à suivre...

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