Education de ma petite voisine - deuxième partie

- Par l'auteur HDS CAT et CELLO -
Auteur couple.
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Récit libertin : Education de ma petite voisine - deuxième partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Education de ma petite voisine - deuxième partie
Je suis toujours à moitié allongée dans le canapé, la veste ouverte jusqu'au nombril, qui dénude mon sillon mammaire, mon ventre et elle baille légèrement sur le sein droit qui est écrasé sur le canapé et le sein gauche pend légèrement vers le bas, les deux à moitiés visibles.
Tu ne fais plus attention à ta tenue, et ton peignoir, me laisse voir maintenant une bonne partie de tes seins et même un petit bout d’aréole.
Je me redresse légèrement et te demande ce que je vais devoir faire en finissant ma coupe de champagne que tu re-remplis et me tend...
« Tu as juste à te laisser guider, remet-toi comme tout à l'heure presque totalement allongée. Oui comme cela, ne bouge plus ! Regarde moi ! Un petit sourire ! Parfait ! Génial ! J'en fais une autre »
Je t’obéis sans discuter, me rallongeant sur le canapé, la tête posée sur mon bras...
Ensuite, je m'approche de toi, et te fais changer légèrement de position, mais suffisamment pour dévoiler totalement l’aréole et ton téton érigé du sein gauche
Je ne réagis pas, quand tes manipulations dégagent mon téton gauche, assommée par l'alcool et peut être aussi par l'excitation...
Je prends deux ou clichés et te félicite et complimente, car tu es très belle et obéissante, puis je te propose de te mettre à genoux sur le canapé, de dos et de relever légèrement ta veste d'intérieur pour me dévoiler tes fesses
J'hésite un petit instant, puis me dit qu'il ne s'agit que de photos et que de toute façon, je porte un shorty... Je me mets en position et remonte juste ma veste pour qu'elle dévoile juste le bas de mes fesses...
« Comme ça c'est bien ? »
Je m'approche de toi et te dis :
« Attends je vais t'aider »
Et posant mes mains sur tes fesses, je remonte ta veste jusqu'à ta taille glissant le bas de celle-ci dans la ceinture de plus en plus desserrée. Puis je te demande d'écarter tes genoux et de bien te cambrer
Tes mains sur mes fesses me font frissonner et j'apprécie ce contact, qui me donne chaud dans le ventre... Je sens mes fesses nues à peine couvertes par le shorty transparent, qui dévoile ma raie culière. Je t’obéis écartant légèrement mes genoux et me cambrant en arrière, lançant mes fesses en l'air, ce qui t'expose mon entrejambe moulé dans le shorty, mes grandes lèvres légèrement gonflées, emprisonnés par le lycra transparent, visibles...
Je continue à te photographier, puis revenant vers toi, je passe ma main entre tes cuisses, la pose sur ton entrejambe sous le prétexte de te relever un peu pour mieux te cambrer.
« Heu... Je ne connais rien au métier de la photo, mais c'est une pose normale ça monsieur ? » Dis-je quand je sens ta main se poser sur mon sexe qui s'humidifie.
Je suis dans une pose très indécente, les fesses en l'air, cuisses ouvertes, sexe offert, et mes seins pendent dans le vide prêt à jaillir de la veste...
« Bien sûr, tu n'as jamais vu de photos de filles posant dans tes poses coquines ? Allez ne bouge pas je prends quelques photos et après tu baisseras légèrement ton shorty »
Je te laisse faire des photos et attends tes prochains ordres, n’osant pas baisser mon shorty ce qui me mettrait presque nue devant toi...
Alors qu'après de nouveaux clichés, je baisse légèrement ton shorty jusqu'à la naissance de ta raie, ton téléphone sonne. Tu te lèves précipitamment sans te préoccuper de ta ceinture, qui est presque dénouée et tu m'exposes tes seins en totalité, en saisissant ton portable. Bien entendu, j'en profite pour immortaliser ce moment, avant que tu réajustes ta veste tant bien que mal.
« Oui allo? Ah c’est toi Michaël, ça va mon coeur? Oui ? Ah ce n est pas possible ce soir? Tu dois bosser? Bon ! Ben ! Ok ! On se voit quand alors ? Oh ! Rien de spécial, je vais me regarder un film sagement en ton absence.»
J'ai réussi à retenir ma veste d'intérieur alors qu’elle t’avait dévoilé mes seins et que tu avais réussi a baisser suffisamment mon shorty pour dénuder mon pubis devant et laisser voir les creux de l’aine de part et d’autre de mon pubis...
J'entends ton appareil prendre des photos alors que je suis debout et que je marche dans l’appartement avec mon petit ami au téléphone... La démarche toujours titubante...
Je te regarde marcher en téléphonant constatant que tu sembles totalement épiler et sachant que tu n’a pas parler de moi à ton petit ami, tu n'oseras certainement pas éveiller des soupçons auprès de lui, j'attrape la veste par un pan et dénude ton coté gauche de ton corps.
Je sursaute, car je ne t’avais pas entendu arriver. Tu réussis à écarter le pan gauche de ma veste et dénuder mon sein gauche ainsi que tout le coté, dévoilant la moitié de mon ventre, ma hanche gauche et ma jambe.
J'essaie de retenir la veste, mais avec une main prise par le téléphone et comme je n’ai pas envie qu'il entende, je ne dis rien et j’abandonne... En plus, je ne suis pas trop en équilibre avec mes talons et en plus, tu me tends une nouvelle coupe de champagne...
Tu en profites pour me prendre en photo à moitié dénudée, faisant des gros plans sur mon sein et mon téton érigé ainsi que sur mon bas ventre toujours couvert par le fin voile lycra blanc...
Bien que je n’aie pas voulu au début, je sens une douce chaleur au creux de mon ventre et j’ai de moins en moins d’inquiétude à te laisser faire... Je me sens presque complètement partie...
Tu réussis à prendre quelques photos de mon corps à moitié nu avant que je réussisse à rabattre le pan de la veste sur moi et que je te fasse signe que je suis au téléphone. Je réussis à refaire à moitié le noeud de la veste qui reste quand même un peu lâche…Tu en profites pour faire des photos en contre-plongée de mes fesses, qui sont restées à moitiés dénudées...
Te voyant vaincue autant par l'alcool que par l'excitation, dès que tu as raccroché avec ton petit ami, je te dis :
« Allez retire complètement ta veste et allonge toi sur le canapé, sur le ventre de façon langoureuse
Je te tends les dernières gouttes de champagne qui reste et te dis :
« Allez ma belle, détends toi et tu seras la plus belle des filles que j'aurais pris en photos »

Je te fais signe de te taire, car je suis toujours au téléphone avec mon petit ami et je me dirige vers la baie vitrée, qui donne sur la terrasse pour discuter...
Je m'approche de toi et te murmure à l’oreille :
« Si tu ne veux pas que ton chéri m'entende, donne moi ta veste maintenant. »
Je ne sais pas quoi faire... et finalement, je cède défaisant la ceinture et laissant tomber la veste à terre, ne gardant sur moi que mon shorty et mes escarpins... Je couvre ma poitrine de mon bras libre.
Te voyant résignée, dès que tu as raccroché avec ton petit ami, je te dis :
« Allez va t’allonger sur le canapé qu'on continue la séance photo »
Je m’allonge quasi nue sur le canapé prête à faire les photos que tu veux...Je te regarde et dit :
« Avec tout ce qu’on a bu, on pourrait commander à manger? J ai faim... Et très soif... Je ne sais pas ce qu’il me reste à boire... Peut être de la vodka au freezer je crois...
- Je vais téléphoner à la brasserie du coin de la rue, ils vont nous livrer des sandwichs et une bouteille de vin rouge, cela te va ?
- Mmhh ! Oui très bien... Et parfait pour la bouteille de vin rouge...
- Oui et pendant que je téléphone, tu retires ton shorty, comme cela on va pouvoir continuer un peu les photos en attendant la livraison »
Prenant mon téléphone, je commande des sandwichs et le vin et donne ton adresse pour la livraison.
Pendant que tu es en ligne avec la brasserie, je reprends à moitié mes esprits, je me rends compte de ma tenue et de ce que je fais et pourtant mon sexe est humide et mon ventre bouillant... Mais, je ne t’obéis pas, gardant mon shorty sur moi, le laissant toutefois dévoilé un petit peu de mon pubis et les creux de l’aine de chaque côté de celui-ci, jusqu’à ton retour...
En voyant que tu n'as pas retiré ton shorty, pendant mon appel, je te dis :
« Bien puisque tu n'es pas obéissante, tu vas avoir une fessée »
Je t'attrape par le bras et te couche sur mes genoux, et commence à te donner des claques pas trop fortes sur ton joli fessier.
Je me débats, n’admettant pas de recevoir une fessée comme ça à mon age...Tes tapes deviennent de plus en plus fortes, suffisamment pour commencer à faire rougir mes fesses de part et d’autre du shorty...Malgré la honte, je commence à trouver ça agréable, quand parfois tes mains me caressent les fesses au lieu de les gifler...
Je commence à alterner claques et caresses, et lorsque je passe ma main entre tes cuisses je constate que ton shorty est mouillé.
« Petite salope, ça t'excite de te faire fesser, et bien puis que c'est ainsi, je vais te fesser cul nu, tu vas voir c'est encore plus excitant »
Et arrachant ton shorty, tu te retrouves nue sur mes genoux et je reprends aussitôt la fessée.

« Mmhh ! Non monsieur pas mon shorty s'il vous plait... Ne me mettez pas nue, j'ai honte...Pitié monsieur... »
Je me débats, mais je n’ai pas la force nécessaire pour me libérer... Et tu reprends très vite ta fessée, un peu plus forte que précédemment sur mes fesses déjà rougies.
Les claques alternent avec les caresses, toutes deux de plus en plus appuyées et précises et je constate qu'instinctivement tu écartes tes cuisses, signe que tu aimes ce traitement et que cela t'excite
Je ne me reconnais plus, mon corps appelle la fessée, mes cuisses s’ouvrent toutes seules et mon sexe s’humidifie si vite, mes grandes lèvres se gonflent et mon jus s’accumule...
« Oh non !... Arrêtez s’il vous plait monsieur... Je serais gentille... Mmhh ! Ne me fessez plus...Ooohhh !
- Pourquoi veux-tu que je m'arrête, alors que cela t'excite petite salope, tu préfères que je te bouffe la chatte ?
- Non monsieur... Je ne suis pas une salope... Oohh ! Arrêtez monsieur, ce n’est pas bien ce que vous me faites... Aaiiieee !.... »
La dernière tape a été très forte et a laissé la marque de tes cinq doigts sur ma fesse droite
« Pas une salope peut être, mais avoue que tu aimes le sexe petite cochonne.
- Mmhh ! Non monsieur... Je n’ai pas eu beaucoup d'hommes dans ma vie... Je n'aime pas le sexe monsieur... J'ai honte d’être nue devant vous... Avec l'alcool, j'ai fait des choses que je n’aurais jamais faites autrement... Laissez moi me rhabiller monsieur s’il vous plait... Quelqu’un pourrait nous voir par la baie vitrée... Et le livreur risque d’arriver... S’il vous plait... Mmmhhh ! Arrêtez vos fessées... Aaahhh et les caresses aussi.... Mmmhhh ! Non s’il vous plait....
Pendant que je parle ta main continue son exploration entre ma raie culière et mon oeillet qu’elle titille et le début de mon sexe qui s’entrouvre...
Je te couche alors sur le canapé, sur le dos les cuisses ouvertes et viens plaquer ma bouche sur ton sexe. Ma bouche lèche tes lèvres, puis viens aspirer ton clitoris.
« Mmhh ! Non pitié monsieur... J’ai un petit ami... Je suis une jeune fille… Aaahhhh ! Respectable ooohhhh !.... Noooonnnn !.... Oouiiiii !…C’est booonnnn !.... Aaahhhh !.... N’arrêtez pas moonnsiieuuuuuhhhh !... Aaahhh !… Oui mon clitoris.... Il est si sensible aaahhhh !.... Allez y léchez moi la chaaatttee !… Mmmhhh ! c’est bonn !.....
- Oui Cathy je vais te donner du plaisir comme jamais tu n'as eu ».
Ma bouche dévore ton sexe, aspirant à tour de rôle ton clitoris et tes lèvres, jusqu'à ce que ma langue fouille l'intérieur de ton sexe.
Je n'ai jamais été léchée comme ça et tu me fais jouir sous les coups de langue, mon jus se répandant sur ta langue et ta bouche, coulant sur mes cuisses et trempant mon canapé...mon téléphone sonne à ce moment là... Je décroche à moitié évanouie sous la jouissance, tandis que tu continues à me laper le jus...

« Oui??? Allo?? C’est mmmhh !... Quiii???"
- Bonsoir madame... C’est le livreur... C’est à quel étage?
- Aaahhh !... Oohhhh ! dernier... Appartement aaahhh ! 37.... »
Comprenant que le livreur va arrivé, je reprends mon léchage de ta chatte et l'aspiration de ton clitoris, jusqu'à ce que...
Dring ! Dring !
Tu arrêtes de me lécher la chatte et m'ordonne d'aller ouvrir au livreur, soit nue et tu reprendras ton léchage de chatte, soit avec la veste d'intérieur et tu reprendras plus violemment les fessées...
J'hésite un petit instant et le livreur recommence à sonner. Comprenant qu'il faut que je me décide, je prends la veste d'intérieur et la noue juste assez pour que les pans de la veste se touchent mais laissent un décolleté ouvert jusqu’au nombril et la moitié de mes seins visibles, mes tétons n’étant pas loin du bord, bien durs sous le tissu. A chaque pas, la veste s’entrouvre laissant voir mon pubis glabre.
J'ouvre la porte au livreur légèrement gêné et celui-ci n’en croit pas ses yeux quand il me voit quasiment nue face à lui. Il me tend les sandwichs et me dit le prix dans un état second, son regard passant de mes seins à mon ventre et à mes jambes nues.
Je me rends compte que j’ai oublié de prendre de l'argent et je lui demande de patienter, tandis que je m’approche de mon sac, qui est sur une desserte juste derrière moi.
Je me penche légèrement pour fouiller dans mon sac à la recherche de mon porte monnaie sans penser que la veste d'intérieur doit dévoiler le bas de mes fesses au livreur ainsi que mon absence de lingerie, si mes jambes sont trop écartées. Mes seins décident également de prendre l'air, le léger balancement en avant les ayant libéré de la veste et avec le reflet le livreur peut également les voir se balancer, le sillon mammaire bien formé par mes bras qui les comprime l'un contre l'autre.
Je finis par trouver mon argent et avant de me retourner vers le livreur, je réussis à recouvrir mes bouts de seins avec la veste.
Je lui tends l’argent avec un léger pourboire qu'il accepte avec un grand sourire, me disant qu'il me remercie beaucoup.
Dès qu'il est parti, je reviens vers toi, et je reste debout face à toi, attendant ma punition.
« Voilà un jeune livreur, qui n’est pas prêt de t’oublier, même s’il n’a pas regardé ton visage, mais plutôt tes seins et tes cuisses. » Dis-je en rigolant.
Je rougis de honte de m’être exhibée ainsi, t’obéissant aveuglément alors qu’il y a deux heures, je ne te connaissais pas. Je ne me reconnais pas et me dégoûte, me disant que tu as sans doute raison et que je ne suis qu’une petite salope... Des larmes commencent à couler sur mes joues et mon cou et je sanglote.
« Arrête de chialer et allonge toi ! J’ai envie de finir ce que j’ai commencé, tu seras punie plus tard. »

Tu t’allonges immédiatement sur le canapé, les cuisses largement ouvertes, trop contente d’échapper à une nouvelle fessée. Je me penche de nouveau vers toi, lèche tes larmes, tout en posant ma main entre tes cuisses, puis j’écartant tes lèvres intimes, je lèche ta chatte avec délice, avant de te retourner et de te faire te cambrer pour passer la langue sur ta raie culière.
La sensation de ta langue sur mon sexe trempée me fait frissonner de plaisir, mais quand tu commences à lécher mon cul, je me contracte et dit :
« Ooh !non monsieur pas la, c’est sale... C’est dégradant... Mmhhh ! Non s’il vous plait... Aahhh ! Nooonn !.... Mmhhh ! Non c’est bon... Arrêtez pitié... Aahhh ! Je vais jouir encore... Ooohhh ! ouiiiii!!!!"
Je jouis, alors que tu me lèches le cul et que tes doigts jouent sur mon clitoris... Ta langue pénètre mon oeillet et fouille mes entrailles m’arrachant des cris de plaisir, honteuse de prendre mon pied comme ça... J’écarte encore plus les cuisses et ouvre mes fesses avec mes mains pour faciliter la pénétration de la langue.
« Aaahhh ! Oohhh ! Ouiiii ! C’est bon monsieur... Aaahhh ! Qu’est ce que vous faites de moi... Mmmhhh !.... »
Avec ma main libre, je me pince les seins et les tire, les fait rouler entre mes doigts m’arrachant encore des cris de plaisir...
Je suis à moitié partie entre l’alcool et la jouissance... Je fais oui de la tête tout en restant allongée et je t’entends partir à la cuisine pour déboucher la bouteille de vin...
Tu profites de mon absence du séjour, pour te lever et te diriger vers les toilettes.
« Où vas-tu ?
- Heu ! Je vais aux toilettes. J’ai une grosse envie avec tout le champagne que j’ai bu.
- Ok, mais laisse la porte ouverte, je veux te mater en train de pisser.
- Heu… il n’en est pas question, c’est intime c’est chose là, je ne veux pas faire ça devant vous quand même... j’ai droit à de la dignité quand même non ? Je réagis violemment car je me sens acculée et je suis prête à céder à toutes tes demandes, entre l’alcool et l’excitation que j’ai ressenti à la fessée...
- Si tu vas y parvenir, car ta vessie est pleine, et puis parce que je ne t’en donne pas le choix.
Contrainte et résignée, tu laisses la porte ouverte et t’assois sur la lunette des wc, serrant les cuisses pour te cacher.
J’entre dans les toilettes, et saisissant tes genoux, je les écarte et te dis :
« Reste ainsi, je veux pouvoir te regarder, et t’ôter ainsi toute pudeur »
Tu finis par uriner devant moi, humiliée comme jamais tu ne l’as été.
Voyant ta gène et tes larmes perlées sur tes joues, j’ajoute :
« Dommage que tu ne m’as pas dit avant que tu voulais te soulager, j’aurais invité le jeune livreur à admirer le spectacle, je suis sûr qu’il n’a jamais un tel spectacle »
Mes larmes redoublent à t’entendre dire ça, car j’ai l’impression de n’être qu’une moins que rien, juste bonne à être exhibée et fessée alors qu’il y a quelques heures, j’étais une jeune femme responsable et maître de sa vie. Tu prends des photos de moi, assise nue sur la cuvette des toilettes et je n’ai même plus la force de réagir ou de dire non, quand tu me demandes d’écarter les cuisses et de me caresser devant toi pendant que j'urine, me donnant du plaisir comme la dernière des putes.
Tu sors enfin des toilettes, après avoir essuyé ta cramouille et retourne t’asseoir sur le canapé.
Je m’assois face à toi, prend la bouteille de vin et remplis nos verres. Je te tends ton verre et un sandwich et te dis :
« Allez ma belle, reprend des forces, tu en as besoin et tu l’as bien mérité, je suis fier de toi ».
Malgré les humiliations, mon bas ventre me chauffe probablement du à l’alcool, l’excitation des caresses buccales et ces derniers mots gentil.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super histoire
Je reste fan de marie voisine :-)

Une suite pour les deux histoires !!!
a bientot !

Histoire Erotique
La suite

N'hésitez pas à nous contacter sur notre boite mail (adresse dans notre présentation)
bises à toutes et tous

Histoire Erotique
A quand la suite des aventures de marie secrétaire et Marie voisine?

Histoire Erotique
Super histoire !!!!

@la lectrice inconnue: je serais ravie de discuter avec vous, pouvez-vous me laisser vos
coordonnées?

Histoire Erotique
un vrai plaisir de lire

Histoire Libertine
Vite la suite !!!!

Histoire Erotique
il ne faut surtout pas s arreter là...envoie des photos

Histoire Erotique
Bonjour ! Excellente histoire...A quand la 3ème partie ???



Texte coquin : Education de ma petite voisine - deuxième partie
Histoire sexe : Une rose rouge
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