Anne-Sophie partie1

- Par l'auteur HDS Edwells -
Récit érotique écrit par Edwells [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Anne-Sophie partie1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2007 dans la catégorie Plus on est
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Anne-Sophie partie1
Avant toute chose, je tiens à préciser que certains passages de ce récit ont été très fortement inspirés d’Emile Hubert et de Claude Lamour que je tiens par la même occasion à féliciter et à remercier

Très chère Anne-Sophie,

Suite et fin.

En quelques pages, une soirée …puis une nuit durant laquelle tendresse, douceur, érotisme intense... furent les chefs d orchestre d’un hymne à l amour. Instrument du désir, régale d’un quatre main, dans un « adagio » sensuel c est à l’unisson que nos corps ont vibré. Une nuit « crescendo », et à son apogée, un « glissando » sans demi-soupirs ou, spasmes, tremblements, ralles et orgasmes ont été joués « enharmonie »
Je te remercie pour ce concert, ou, passant de l instrument à la musicienne, tu as su ravir à la perfection cette magnifique partition. Une ornementation peu commune pour une soirée inoubliable.

« J ai basculé dans la quatrième dimension me diras tu mystérieusement »


Sur ces mots, je te souhaite une vie pleine de surprises, de fantaisie, et de réussite.


Bises tendres et polissonnes,


Luc

Lundi 23 octobre

De l émoustillement au passage à l acte. De l adultère littéraire a la folle nuit débridée il n y a parfois qu un simple petit pas.

Je venais tout juste de fêter mes 24 ans en ce dimanche 22 Octobre 2006. Le lundi au travail, un collègue me souhaitait à mon grand étonnement mon anniversaire , je fus surprise de ce geste d attention qui me fit plaisir d autant plus que j aimais bien ce collègue indirect, n ayant pas beaucoup de contacts avec lui.

Il était plutôt bel homme, gentil, mais aussi naturellement charmeur. Il me plaisait bien et je dois l avouer, j aurais bien voulu si la situation m en avais été donnée partager quelques moments intimes avec lui ... Enfin ces petites pensées sont venues après le touchant récit d un fantasme qu il m avait écrit et pour lequel je ne suis pas restée de glace, j en ai même éprouvé un sentiment trouble, à savoir un mélange de honte de se mal conduire et d'un niveau d'excitation étrangement élevé.

Durant la pause déjeuné, Luc (mon collègue indirect) me proposa pour mon anniversaire, un nouveau récit , je me suis surprise en lui annonçant un grand « oh oui pourquoi pas ??!!! Bon pour demain matin 8 h 00 alors !» il me répondit par la négative, mais plutôt pour le sur lendemain voire Jeudi, le temps de l écrire. J étais un peu déçue de sa réponse mais une certaine joie, envie, et même un désir de me retrouver dans un de ces récits érotique m émoustillait et c est en raccrochant que je me suis aperçue de la chose, de mon avide gourmandise et de l excitation qu il était capable de me procurer sans même me toucher …Juste imaginer la lecture de ce Jeudi matin
Jeudi 26 Octobre.

Je vous souhaite une bonne lecture. Quant à moi …

Anne – Sophie, voila bien longtemps maintenant que nous nous connaissons. Je souhaiterai si tu me le permets et en tout bien tout honneur t inviter Samedi, ton ami étant absent ce week end, pour fêter tes 24 ans. Je te propose une soirée pleine de jeux et mystères. Je souhaiterais également que nous fassions comme si nous étions en couple puisque le besoin s en fera ressentir.

Pour seule et unique « réponse » à mon invitation Elle me posa une question.
« Pour mon anniversaire, veux-tu que je me fasse sexy ? »
Bien évidemment, je répondis par l'affirmative,
« Bien, je ferais quelques courses, mais tu ne verras le résultat que Samedi"» ajouta-t-elle malicieusement.
Le jour dit, arrivé de bonheur chez toi, j ai pu constater que tu réquisitionnais la salle de bain pendant un long moment. Avec curiosité je patientais dans une autre pièce. Cette patience fut récompensée par la vision de la superbe femme qui apparut. Une superbe silhouette tout de noir vêtu, talon haut, jupe courte de tailleur, savamment maquillée avec une bouche particulièrement bien dessinée. Lentement tu fis glisser la veste du tailleur puis pivota sur toi-même pour te faire admirer avant de me faire face à nouveau. Au passage, comme tu le souhaitais sûrement, j’ai pu constater que tu portais des bas et qui plus est à couture. Tu ne savais pas que j’en raffolais et que j'adorais suivre le tracé en partant de la cheville vers des endroits prometteurs de jouissance. Le chemisier que tu portais était en nylon noir transparent et découvrais ton orgueilleuse poitrine dévoilée presque jusqu'aux auréoles par un soutien gorge à balconnet noir également qui tenait plus de l'éventaire que du sous-vêtement.
Je tentais de t'approcher en te complimentant sur ta beauté et te faisant valoir que nous n'étions pas si pressés mais tu me repoussas gentiment en me disant que nous ne faisions que de jouer au couple et qu'un peu d'attente ne ferait qu'augmenter notre plaisir. Bon gré, malgré je me rendis à l'argument et nous partîmes pour le restaurant retenu en notant cette information dans un coin de ma tête « augmenter « « notre » » plaisir ». Dans la voiture, tu ne fis rien pour cacher tes jambes que la jupe dévoilait et je ne pus m'empêcher de poser une main exploratrice sur tes cuisses dénudées. Tu me souris, et considérant ceci comme une autorisation divine, ma main remontant arriva à la lisière du bas et je caressais du bout des doigts la peau nue sans pouvoir poursuivre plus haut mon avantage vu l'étroitesse de la jupe qu'il aurait fallu retrousser pour arriver à mes fins. Nous arrivâmes bientôt et je me garais sur le parking du restaurant, et te demandais :
« Tu veux me faire plaisir ? »
- C'est notre soirée, bien sûr que je veux te faire plaisir.
- Alors enlève ta culotte.
« D'accord » répondis tu en me souriant.
Je ne savais si le geste te coûtais et si tu étais une inconditionnelle du « sans culotte » mais c est dans un geste très érotique que tu retroussas difficilement ta jupe, glissa une main sous celle-ci pour attraper le bord de cette encombrante culotte puis te soulevant légèrement dégageas ton bassin de l'emprise du sous-vêtement puis le fit glisser le long de tes jambes avec une lenteur appliqué. Tu me le tendis avec un regard plein de malice et me dis,
« C’est dommage quand même, regarde comme il était joli »
Effectivement j'empochais un ravissant string transparent acquis pour l'occasion et fit le tour de la voiture pour t’ouvrir la portière. Tu pris, bien entendu tout ton temps pour descendre en prenant bien soin d'écarter les jambes, marquant même un temps d'arrêt au moment ou elles étaient le plus ouvertes.
J’étais quand même très surpris de la ferveur avec laquelle tu t’impliquais dans le rôle de mon « épouse » et je ne pu m’empêcher de te demander :
« Je te trouve très à ton aise et très réceptive dans le rôle de la petite amie »
- Peut être que j en ai toujours eu envie ?
Sur ces mots, nous prîmes place à la table réservée à notre attention et pendant que nous dégustions l'apéritif je te demandais d'un air entendu :
« tu ne trouves pas qu'il fait un peu chaud ici ? »
- tu ne veux quand même pas que j'ôte ma veste » me répondis tu me voyant venir.
« Et pourquoi pas, c'est bien toi qui voulais être sexy »
- Bon d'accord.
Après un temps d'hésitation tu déboutonnas puis quittas le vêtement superflu. Dans l"éclairage diffus tu étais magnifique. Tes lèvres bien dessinées étaient une invite constante et de temps en temps, tu passais dans une proposition muette le bout de ta langue sur ta lèvre supérieure, et surtout, j'avais un mal fou à détacher mes yeux de ton buste presque à demi dénudé pensant qu'au premier mouvement brusque de ta part un sein jaillirai de son reposoir. Tu interceptas mon regard, et avec une lueur coquine, te mis à respirer de façon profonde faisant gonfler tes rondeurs au (presque) maximum.
Je me penchais vers toi pour te faire part de l'émoi que tu provoquais en moi et qu'en fait tu me faisais terriblement bander. Le regard fixe, les yeux brillants tu ajoutas :
« J'espère bien, je fais tout pour ça, je vais t'allumer jusqu'à temps que tu n'en puisses plus ».
Effectivement tu continuas un temps tes manœuvres de séduction que tu lisais couronnées de succès dans mes yeux.
Le repas touchait à sa fin. Nous échangeâmes, comme si le temps semblait s'arrêter, un regard dans lequel passa bien des expressions, étrangeté, puis complicité, entrevoyant une issue pleine de sensualité, et encore désir et appréhension, peut être le début d'une nouvelle aventure… La complicité, avec une .perspective d'aventure semblant l'emporter. Tu te levas, et te dirigeas vers les toilettes pour te remaquiller et dés ton retour, je te proposais de poursuivre la soirée et c est à cet instant que jeux et mystères entraient en scène.

Arrivé à la voiture, les portes fermées, Anne – Sophie me sourit et hésitante me dit :
« Luc j ai vraiment apprécié ton invitation, j ai passé un très bon moment en ta compagnie mais je ne sais plus trop ou j en suis. Tu me troubles de plus en plus, tu m as fait faire des choses que je n aurais jamais osées avec mon ami et pourtant je l aime. Cette nouvelle expérience m a beaucoup plu et je ne voudrais pas un jour avoir à la regretter et j ai surtout peur de ne pas pouvoir la contrôler, je suis perdu entre mes sentiments pour mon ami et ceux naissants pour toi ».
Pour répondre à ses doutes et à ses peurs, je l’enlaçai autant que la bienséance le permettait, ce qui me permettait de sentir contre moi la chaleur de son ventre et de ses seins. Pris de remords bataillants avec le désir de finir la soirée comme je l avais prévu, et celui de te braquer et de casser tous ces moments intimes partagés je n ais pas trouvé mieux que de poser mes lèvres sur ton cou. Ne tenant plus, appuyée contre le dossier, la respiration haletante, les yeux fermés tu ne semblais plus qu'attendre le contact final. J ai pris possession de tes lèvres et y déposa un baiser léger que tu ne me refusas pas, puis deux, puis trois et te regardant au fond des yeux, je pris possession de ta bouche ou je rencontrai une langue souple et agile qui vint à la rencontre de la mienne. Et suivi alors, pour le mot juste, un patin monstrueux que tu me rendais à pleine langue. Dans se baisé fougueux, avec quelques caresses légèrement esquissées mais bien réelles, Anne – Sophie se laissait faire sans regimber donnant un consentement muet à mes agissements. Je posa ma main en haut du genou puis commença à te caresser, la cuisse découverte par la jupe. Ensuite ma main commença une lente remontée sous celle-ci et pour faciliter la progression, parallèlement, je remontai la jupe qui laissa apparaître la limite inférieure du bas. Ma main glissa vers l'intérieur des cuisses qui désormais s'ouvraient pour la laisser progresser. Cette main avait maintenant atteint la limite supérieure du bas et s'attarda un moment à cette frontière, jouant avec l'attache de la jarretelle. Je retroussa encore la jupe, puis effleura ton mont de Venus doux et soyeux et mes doigts atteignirent leur cible. Tu eus à ce moment une légère crispation puis sembla t'abandonner complètement à la main qui prenait possession .Répondant à ma sollicitation tu écartas davantage les jambes et m'ouvris ainsi en grand l'accès de ton entre jambe ou je dénichai ton clitoris affin de le caresser. En gémissant, tu m'appuyas sur le bras, invitant ma main à continuer son chemin. Je glissai un doigt entre les lèvres de ton sexe, puis pénétrai le vagin trempé, un second doigt vint aider le premier affin de t offrir le plaisir que tes gémissements réclamaient, mon autre main titillant le clitoris dardé. Bientôt sous l'action du va et viens et des mouvements ondulatoires de mes mains tu te contractas en un spasme de plaisir dont je recueillais la preuve sur mes doigts. Je retira mes doigts du vagin trempé, les huma et les fis lécher à mon épouse d un soir. J'étais dans un état d'excitation incroyable et sans hésiter, avant même que tu ne reprennes tes esprits, je posa ma main sur ton buste et caressa à travers le voile transparent, tes seins magnifiques. Puis un à un je fis céder les boutons du chemiser et en écarta les pans en te disant :
« Je veux voir tes chaires savoureuses, les toucher, les sentir, les goutter, je vais les libérer de ce carcan, ce sera plus facile pour te les caresser ! »
La tête renversée en arrière tu ne répondis rien et je dégrafa les attaches des bonnets, puis passant une main dans ton dos fis sauter l'attache du soutien gorge qu'il me fut facile ensuite de retirer en faisant glisser les fines bretelles. Je déboutonna le corsage jusqu'à la jupe, écarta les pans de celui ci et lorsque les épaules furent dégagées je passa un bras autour de celles-ci, et t’embrassa longuement, en empaumant un sein. Lentement, je mis mes mains en coupe sous tes seins comme pour les soupeser puis saisissant les bourgeons érigés en mes pouces et index, j’entrepris de les étirer et de les faire rouler sous mes doigts. Sous le traitement, tu laissas échapper un gémissement qui m orienta sur la sensibilité de ses globes charnus auxquels je m attaquais. C'est surtout tes seins orgueilleux dans l instant qui faisaient les frais de l'opération, soupesés, caressés, pétris, tu m offrais ta poitrine aux mamelons dardés qui avaient désormais une couleur rouge foncé à force d'avoir été roulés triturés, pincés, étirés… . J entrepris de te les sucer provoquant des gémissements de plaisir de plus en plus haletants. Je t ouvrai les cuisses, et écartai les lèvres de ton sexe et commençai à titiller ta chatte ruisselante pour la seconde fois. J'introduisis deux doigts dans ton intimité et continuai mon exercice buccal sur tes seins. Lorsqu'un troisième doigt vint s'adjoindre aux autres, tes hanches se mirent à onduler frénétiquement, tu te cambra violemment et inonda de ta jouissance les doigts masturbateurs que je retirais de l'antre ou ils étaient enfoncés pour te les donner à lécher – à près tout, puisse qu tu semblais ne pas détester ça…
Abandonnant les globes charnus, j attira ton visage vers moi pour l'embrasser et goûter à ton doux nectar. Tu n’ as pas résisté le moins du monde à ce traitement, et maintenant, je te contemplais, jupe retroussée, cuisses écartées, vagin ruisselant, chemisier ouvert, seins exposés, m offrant goulûment ta bouche en même temps que je te pelotai et le tout sur le parking d’ un lieu public .

Une fois tes esprits repris tu me murmuras à l oreille :
« Tu es fantastique, je suis entrain de tomber amoureuse de toi, et merci pour tous ces jeux et mystères !! ».
Les yeux pétillants de malice avec une légère lueur de lubricité, je me suis approché de toi pour te murmurer à mon tour
« Mais lesquels ?? Rien n a commencé »

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Histoire sexe : Une rose rouge
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