Souvenir d'une coquine : le trio

- Par l'auteur HDS Joey -
Récit érotique écrit par Joey [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Souvenir d'une coquine : le trio Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2014 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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Souvenir d'une coquine : le trio
Avant Propos : L'histoire écrite ci-dessous est réelle, il s'agit d'une histoire vécue par une amie et racontée, afin que je puisse la rédiger pour qu'elle en garde un souvenir érotique écrit, afin d'accompagner ses souvenirs. Bonne lecture

Je m’appelle Cassandra, j’ai 27 ans mesure 1,60m et suis brune aux yeux brun.
J'ai des rondeurs que j'assume, quelques kilos superflus qui sont ma fois bien répartis selon les dires de mes conquêtes. Sans être un top modèle, je suis une femme normale, plutôt mignonne. J'ai une belle poitrine que j'aime montrer, et mettre en valeur avec de la lingerie fine. A plusieurs reprises, j'ai surpris le regard d'hommes plongés dans mon décolleté ou sur belles fesses rondes.

Avant de rentrer dans le vif de l'histoire, je voudrais vous préciser que j'ai eu plusieurs hommes dans ma vie, et que l'un d'entre eux m'a particulièrement initié aux différents plaisirs sexuels tel que les massages aux huiles, en allant jusqu’au sex-toys. J’ai ainsi pris plaisir à porter en extérieur ,des vêtements légers sans sous-vêtement ainsi que des boules de geishas et autre jouets... J'ai aussi notamment découverts les vibromasseurs, raser entièrement mon mou ou juste avec un ticket de métro (habitude que j'ai gardée). J’ai put goûter aussi au plaisir du sexe en extérieur et m’exhiber au yeux de mon amant ou a d’autres qui aurait put nous apercevoir. Je garde d’ailleurs de très bon souvenir des ces expériences.
Bref je suis une femme à l’esprit ouvert, très portée sur le sexe et une sacré coquine ;-) Mais pour autant je ne supporte pas le vocabulaire grossier.

L'histoire a commencé il y a 1 an. A l'époque j’étais célibataire et, j’enchaînais des missions d’intérim plus ou moins longues, dans des entreprises industrielles de la région. Le côté agréable du boulot était de côtoyer pas mal des gens différents et de faire de nouvelles rencontres. Le moins agréable avec l'intérim, c'était de devoir s'éloigner souvent des collègues et d'une équipe qu'on appréciait. Je faisais donc en sorte, de passer du temps hors du travail avec plusieurs collègues hommes et femmes que j’appréciais. Il s'agissait souvent d'aller prendre un pot, manger au restaurant ou même aller au cinéma. Pour les personnes avec lesquelles j'avais le plus d’affinité, il m'est même arriver d’accepter des invitations chez eux ou de leur proposer de venir chez moi.

C'est ainsi qu'après une belle journée du mois de mai, j'invitai deux collègues hommes, plutôt mignons, à prendre un verre chez moi après le travail. C'était en « tout bien, tout honneur ». Le temps est passé, nous avons bu, discuter, re-bu, et la discussion est arrivée au sexe.

Mes collègues que je recevais m'ont questionné sur mes préférences sexuelles, mes goûts en matière de lingerie et m'ont posé quelques questions concernant les sex toys.
Ils ne me croyaient pas quand je leur parlais de ces objets : leur matière délicate au touché, les sensations procurées, . Je jouai d’abord la naïve et l’effarouché en leur laissant croire que je ne voyais pas où ils voulaient en venir. Puis, devenant sérieuse, je leur expliquai les sensations que j’éprouvais à utiliser ces objets spéciaux. Ils doutaient de mes propos pensant à une plaisanterie et me mirent aux défis de leur montrer. Les prenant au mot, je suis allé chercher mes « jouets », et les ai ramenées dans le salon où nous prenions l'apéritif. J'avais alors dans ma main gauche une paire de boucles de geishas et un vibromasseur vert, tandis que ma main droite essayait de faire le tour d'un volumineux gode violet.

Je leur ai fait passer entre leurs mains. Après qu'ils aient examinés mes sextoys, ils ont insisté pour voir comment je m'en servais seule. Je ne me suis pas démonté ; j'ai relevé ma jupe, ôté mon string rouge, me suis retrouvée juste avec des bas autoportants couleurs chairs et mon soutif. Je me suis assise sur le canapé en face d'eux. Depuis plusieurs dizaines de minutes déjà, je sentais que je mouillais .Je pris en bouche le vibromasseur, et une fois correctement enduit de salive, je me l'insérais délicatement dans ma chatte, entament de légers va et vient. Une fois les lèvres bien écartées par le cylindre de silicone, je l'enfonçais délicatement au fond de mon vagin. J'adore cette sensation d'être « remplie ». Mais au fil des vibrations et des allers retours, mon vagin se détendait. J'en profitais pour extraire le vibro, et insérer les boules de geishas. Le vibro reprit tout de suite sa position entre mes cuisses. Je sentais maintenant les vibrations du vibromasseur retransmises aux boules de geisha. Inutile de vous dire que mes deux amis n'en perdaient pas une miette ! L'un d'eux se caressait la bitte à travers son jean. Tandis que l'autre avait déjà sorti son membre et se caressait doucement face à moi.

Je fis signe au plus dénudé de s'approcher de moi, ce qu'il fit. Avec ma main libre je caressais sa longue bitte, puis la dirigeais vers ma bouche. Quelques secondes après je le suçais pour un simple apéritif. Pendant ce temps, le moins avancé sur l'effeuillage, se déshabilla complètement. Lui aussi approcha sa verge de ma bouche.
J’arrêtais de jouer avec mon vibro, pour mieux me consacrer à eux. Je ressortis alors la première queue de ma bouche, la pris fermement avec ma main droite, la branlât, tandis que je suçais l'autre queue énergiquement. Très vite leurs mains se sont baladées sur mon corps, et notamment sur ma poitrine (95C), encore couverte de mon soutien-gorge. Je compris vite qu'à travers leurs caresses, ils souhaitaient que je me déshabille entièrement, ce que je fis.

Une fois nue, et après avoir fini de déshabiller le dernier, encore partiellement vêtu, j'ai fait asseoir mes deux invités dans le canapé. Je me suis installé à genoux face au premier et ai repris ma fellation, tout en masturbant la queue de mon voisin.
Peu après avoir entamé ces caresses, celui que je branlais, se mit à me caresser mes fesses, et a rapidement trouvé le chemin de ma chatte. Je mouillais comme rarement.
J'étais très excitée et appréciais ces deux queues et quatre mains pour moi toute seule. Mon collègue se leva du canapé, me fit mettre à 4 pattes et plongea sa tête entre mes fesses, il me léchait la fente, et goûtait à mon nectar. Dieu que c'était bon ! Pendant ce temps, l'autre s'occupait de ma poitrine qu'il massait, et pinçait alternativement les mamelons puis les tétons.

J'appréciais ce traitement de choc, et fut rapidement traversée par un premier orgasme. Pour reprendre mon souffle, je dus lâcher de ma bouche la belle queue que je suçais. Je profitais d'avoir la bouche vide pour demander à mon lécheur de moule, de me prendre. Après avoir enfilé un préservatif, il vint placer son gland sur ma fente et fit entrer sa belle queue d'un coup sec dans mon vagin congestionné. Sa queue poussa encore plus les boules de geishas restées au fond de moi. Les boules s'entrechoquaient dans mon vagin et créaient une sorte de vibration unique, à chaque aller et retour. Le tout me rendant extrêmement sensible de l'intérieur.

Je repris la pipe pendant que je me faisais ramoner par les puissants coups de reins.
J'appréciais beaucoup ce traitement et je voyais bien qu'eux aussi. Après une dizaine de minutes de sussions, je pu enfin aspirer la semence ce mon collègue que j’avalait goulûment, suivi de très prêt du mâle qui me remplissait la moule. J'avais réussi à faire jouir mes deux amants!
Si eux avait joui et mettaient quelques minutes pour récupérer, ma chatte ,elle en réclamait encore !

Une fois mes deux mâles ayant repris un début d'érection, je fis asseoir celui qui ne m’avait pas pénétré. Je lui enfilais une capote et m'assis sur son manche, en lui tournant le dos. C'est moi qui contrôlait ses vas et viens. Vous vous en doutez certainement, je pris en bouche rapidement celui qui m'avait pistonné quelques minutes avant. Je sentis les deux queues se durcir en moi grâce à mes coup de langues et de reins. La sensation était des plus exquises. Les mains de mes compères se crispaient sur mon corps et mes seins ou me caressaient puissamment.

Sous ses coups de buttoir que je contrôlais, ma chatte se fit limer comme rarement. Je pris beaucoup de plaisir, j'haletais et poussait de plus en plus de gémissements, pour finir par avoir un orgasme très puissant, contractant mon vagin et faisant jouir celui qui me ramonait.

Épuisée et secouée par ce bel orgasme, je me couchais sur le côté. Une fois celui retiré de ma chatte, je voulais faire jouir l'homme que je suçais et qui n'avait pas encore jouis dans ma bouche. Il me mit sur le côté, toujours sur le canapé et vint se présenter face à mes fesses. Je sentis d'abord des caresses puis l'introduction d'un doigt dans mon cul. Ce contacte réveilla mes ardeurs et très vite je sentis son gland transpercer mon anus. Il m'enculait ! Il me prit brutalement et sauvagement (aurait-il deviné que j'aimais ça?). Après quelques minutes d'allers et retours en moi, il se retira, vira sa capote, et se présenta face à ma bouche. Elle allait absorber le même jus que celui de son ami que j'avais bu ce soir.

C'est ainsi que s'acheva la soirée, mes deux collègues jurèrent de garder le silence sur ce trio. Ils se rhabillèrent et me laissèrent nue, ruisselante, épuisée mais rassasiée dans mon canapé. Trois jours après cette soirée, la boite d'intérim qui m'employait m'annonça la fin de la mission dans cette société, et me trouva un autre poste dans une usine beaucoup plus éloigné. Le seul regret que j'ai, c'est de ne pas avoir pu essayer une double pénétration. J'aimerais ressentir une verge dans ma chatte et une autre bitte qui me pistonne le cul.

Si les commentaires sont au rendez-vous, je vous raconterai peut-être « mes débuts ».

Cassandra

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