Fantasme à 4 avec deux amis

- Par l'auteur HDS Overflyingman -
Auteur homme.
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Récit libertin : Fantasme à 4 avec deux amis Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2015 dans la catégorie Plus on est
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Fantasme à 4 avec deux amis
Une fois n’étant pas coutume, ce soir nous faisons garder Alice afin de profiter d’une soirée avec Jérôme et Anaïs que nous n’avons pas vus depuis plusieurs mois, depuis leur départ pour les USA pour le boulot de Jérôme.
Nous devons les retrouver à leur hôtel, puis les emmener dans ce petit resto sympa de Biarritz afin de partager les dernières nouvelles des uns et des autres.
La température est agréable, nous sommes en début de saison, tu es habillée avec cet ensemble blanc, pantalon presque transparent qui laisse seulement deviner ton string rouge, et ton chemisier beaucoup plus clair qui fait ressortir ton soutien gorge rouge vif. Comme toujours je suis habillé d’un pantalon classique et d’une chemise bleue qui fait ressortir mes yeux.
Durant le trajet, nous discutons d’un peu tout et de rien, au détour d’un virage je te refais le même compliment que lorsque nous nous préparions :
« Tu es très belle ce soir ! »
Tu me souri en retour et me réponds :
« Tu ne dis ça que parce que tu as envie de moi… »
« Oui bien sur que j’ai envie de toi ! Qui n’aurait pas envie d’une belle femme comme toi ? »
Tu mesure 1m65, les cheveux châtains clair, la peau tout juste bronzée, un 90B ave des seins tout blanc qui ne tombent pas, et de magnifiques fesses rebondies.
Délicatement tu poses ta main sur ma cuisse et continue de me parler, puis lentement ta main commence l’ascension de ma jambe, et trouve mon entrejambe tout chaud. Je ne suis pas rester de marbre ces sensations et déjà mon sexe commence à durcir dans mon boxer. Un petit regard en coin et je vois clairement ton jeu, ton petit sourire, cette lumière qui éclair ton visage quand tu as envie de moi. Joignant nos envies je prends ta main dans la mienne et la pose sur la bosse qui s’est formée dans mon pantalon.
Nous ne parlons plus, nous agissons, surtout toi ! Ta main effectue des petits allers retour sur mon sexe à travers le pantalon, tu y cherches la fermeture éclair et lorsque que tu l’as trouvé entreprends de l’ouvrir. Tu engouffres ta main au chaud, tu reprends tes caresses sur mon sexe de plus en plus tendu mais toujours séparé de la peau de ta main par le tissu de mon boxer.
Quelques instant plus tard tu soulève cette étoffe et entre enfin en contact peau contre peau avec mon sexe, il grossit toujours et commence à être à l’étroit la dedans, alors tu le libère.
Tes doigts m’entourent et commencent des petits allers retour sur mon membre. Puis tu me glisses à l’oreille :
« Reste concentré sur la route… »


Et dépose délicatement un petit baiser dans mon cou, sur mon torse à travers ma chemise tout en continuant les petits mouvements de ta main. Ta tête continue de descendre et rejoins ta main toujours enserrée autour de moi, tu déposes un délicat baiser sur mon gland, puis un autre puis un autre puis un coup de langue, et encore un et finalement tu le fais disparaitre dans ta bouche.
Tu entames alors ce mouvement de vas et vient que tu maitrises si bien, ta langue joue avec moi alors que mon sexe est planté dans ta bouche, ma main libre descends sur ta tête pour suivre tes allers et retours, pour encore mieux te sentir, tout en me suçant tu me masturbes, et savoure chaque seconde qui passe avec ma bite planté au fond de ta bouche. Ne résistant pas à ce traitement je te fais comprendre que je vais venir et essai de te forcer à t’arrêter, mais je n’ai pour seul réponse :
« Je ne vais pas te laisser comme ça, en plus ce soir nous voyons Anaïs et je sais ce que tu penses d’elle ! Tu seras plus détendu pour la soirée… »
Et tu reprends tes mouvements verticaux sur mon sexe. Tes paroles jointes à tes actes ont définitivement raison de moi ! Je me crispe et envoi de puissants jets de sperme au fond de ta bouche, tu es très attentive à cela et tout en te délectant de chacun de mes jets tu prends bien soin de serrer encore plus fort tes lèvres autour de ma bite afin d’éviter toute perte de liquide qui risquerait de tacher mon pantalon et ainsi révéler à Jérôme et Anaïs ce que nous avons fait chemin faisant.
Alors que mon sexe, que tu continue de sucer, commence à ramollir tu fini par le relâcher, le laisser sortir de ta bouche emplie de ce sperme que tu n’as pas encore avalé, et le range délicatement dans son boxer. Tu te redresses, me regardes, m’embrasse du bout des lèvres et enfin tout en me regardant droit dans les yeux tu avales cette semence.
« J’espère bien qu’après ça tu ne dévisageras pas Anaïs toute la soirée, pas comme d’habitude… »
« Parce que tu crois que je ne te vois pas mater les fesses de Jérôme chaque fois qu’il te tourne le dos ? »
« Tu sais bien qu’il n’y a que les tiennes que j’aime. »
Et nous partons à rire.
Le reste du chemin s’effectue tranquillement et à l’heure du rendez vous nous nous stationnons devant leur hôtel. J’envoi un message à Jérôme pour lui dire que nous arrivés et lui de me répondre de monter car Anaïs n’est tout à fait prêtes et que l’attendrons en buvant u premier apéro.
Nous nous présentons à la porte de leur chambre de cet hôtel au bord de l’eau et à peine avons-nous le temps de frapper que Jérôme nous ouvre et nous invite à entrer dans le salon de leur suite. Il nous explique qu’ils ont pris du retard lors de leurs préparations et qu’Anaïs ne va plus tarder. Un petit regard en coin entre Marine et moi et savons tout de suite ce qui à bien pu se passer dans cette chambre quelques minutes plus tôt, et nous repensons aussi à ce que nous avons partagé dans la voiture lors du trajet.
Nous commençons l’apéro en attendant Anaïs et alors que nous échangions quelques anecdotes qui nous étaient arrivées depuis notre dernière rencontre, nous entendons la porte de la salle de bain qui s’ouvre et Anaïs qui demande à Jérôme si elle est très en retard. Tout en parlant nous l’entendons s’approcher de nous et nous restons sans voix au moment ou elle franchit le seuil de la porte avec pour seul vêtement cette serviette de toilettes avec laquelle elle se sèche ses cheveux blonds et courts…
Marine et moi voyons pour la première fois le corps d’Anaïs, elle est très belle, des jambes interminables surplombées par des fesses d’une perfection difficilement descriptible, parfaitement rondes, bien fermes avec une cambrure à exciter tous les hommes. Son sexe est aussi lisse qu’un petit abricot mûr prêt à être dégusté, c’est un appel à y perdre sa langue. Son ventre est parfaitement plat laissant seulement deviner quelques abdominaux, puis nous découvrons ses seins.
Magnifiques, ronds, de petites aréoles bien roses, s’écartant à peine l’un de l’autre, tout blanc, un vrai chef d’œuvre !
La scène ne dure qu’une petite seconde et pourtant elle reste gravée en moi pour toujours. Notre conversation est bien entendu interrompue ! Anaïs est repartie aussi vite qu’elle est arrivée….Elle nous rejoins quelques minutes plus tard et nous explique qu’elle ne nous avait pas entendu entrer dans la chambre. Cette fois ci elle est vêtue d’un petit short en jean et d’un tee-shirt blanc sous le lequel je devine ses deux magnifiques seins qui pointent légèrement.
Elle vient s’assoir entre Marine et moi, nous collant l’un et l’autre à cause de la petite taille du canapé, et nous entamons une conversation comme ci rien ne s’était passé quelques minutes plus tôt. Bien que la discussion soit comme toujours animées entre nous, je ne peux m’empêcher de fixer les seins d’Anaïs, libres sous sont tee-shirt blanc, qui se trémoussent à chacun de ses mouvements.
Le temps passe, les verres se vident Jérôme et moi comme à l’accoutumé parlons de nôtre passion commune, alors que les filles ont finies par déviées sur la superbe plastique d’Anaïs, Marine la complimente tant et si bien sur son corps de déesse laissant exprimer son désir d’avoir un corps comme le sien. Jérôme et moi commençons à être plus attentif à ces dames et leurs propos et il me coiffe sur le poteau pour complimenter la très belle plastique de son corps, non seulement de ses fesses mais aussi de ses seins qui bien qu’ils ne les aient jamais vu le laisse songeur.
Marine et Anaïs ne voient pas le petit clin d’œil qu’il me glisse discrètement. Amis depuis de très nombreuses années et ayant déjà partagé beaucoup de chose je sais tout de suite à quoi il pense et lui fait comprendre que je suis en accord avec lui en répondant à son appel. Je fais remarquer à Marine qu’elle n’as rien à envier à Anaïs tant son corps est beau et désirable, à Jérôme d’ajouter qu’il approuve mon jugement avec quand même un bémol ! Lui n’as jamais vu Marine dans le plus simple appareil alors que moi je peux juger sur pièce. Entrant dans son jeu je fais remarquer à Marine que cela est vrai et lui demande si elle veut bien ouvrir un peu sa chemise afin que Jérôme puisses avoir une meilleure vue sur son décolleté.


Elle est un peu réticente au début puis sous notre insistance mais également celle d’Anaïs qui lui fait remarquer que je l’ai vu nue un peu plus tôt elle pourrait faire un petit effort et entreprends de lui défaire un bouton puis un deuxième et laisse apparaitre la rondeur de ses seins, masqués par ce soutient gorge rouge. Jérôme aussi à constater cela et en fait la remarque. Marine tente de rester sur sa position mais mes lèvres se posant alternativement sur ses lèvres et dans son cou, elle laisse Anaïs entreprendre de poursuivre l’ouverture de sa chemise et alors que celle-ci est ouverte dans son intégralité, je glisse ma main dans son dos et dégrafe son soutien gorge libérant ainsi sa magnifique poitrine. Jérôme en reste sans voix et contemple cette superbe paire de seins qui s’offre à nous.
Alors que mes lèvres sont toujours entre les siennes et son cou, Marine sent une main qui commence à englober son sein gauche mais elle ne réalise pas qu’il ne s’agit pas d’une des miennes mais d’Anaïs. Elle constate bien vite que ce sein est parfaitement dimensionné, il est bien arrondi, déborde légèrement de la main, il est ferme, appétissant, tellement appétissant que sans plus de délai Anaïs pose ses lèvres dessus, elle l’embrasse, elle le lèche, elle tire sur son aréole avec ses dents, et est bien vite rejointe par Jérôme qui inflige le même traitement au sein droit tout en échangeant de petits coups de langue avec sa femme à l’occasion.
Si mes lèvres sont occupées avec celles de Marine il n’en est pas de même pour mes mains qui cherchent d’abord le dos d’Anaïs, et rapidement ses seins à travers son tee-shirt puis très vite en dessous pour être en contact direct avec la peau si douce et chaude de ses superbes obus. Je délaisse Marine qui semble prendre du plaisir avec ses deux langues qui sont sur sa poitrine pour pouvoir profiter de la même façon des seins d’Anaïs. J’y dépose de petits baisers, puis des coups de langue pour finalement en arriver à les croquer de plaisir et visiblement lui en donner en même temps aux sons qui sortent de sa bouche, et qui sont étouffés par les seins de Marine.
Anaïs abandonne les seins de Marine pour aller se perdre dans son cou, de monter sur ses joues pour finir par se poser sur ses lèvres, elles se découvrent tout doucement, timidement, puis lentement elles entrouvrent leurs lèvres et leurs langues sortent de leurs bouche pour se toucher délicatement. Jérôme me rejoint sur l’autre sein de sa femme, et lui assène le même traitement qu’à la mienne. Connaissant nos femmes par cœur, nous nous les échangeons sans échanger un seul mot. Je reste donc sur le sein d’Anaïs avec ma bouche et m’empare de l’autre avec ma main. Jérôme revient sur ceux de Marine et les savourent, sa tête perdue au milieu de cette éblouissante poitrine.
Mes dents se referment sur ceux d’Anaïs, mes mains les soupèsent, les enserrent, ma langue les lèchent, puis je commence une descente sur son ventre si plat, poursuivant plus bas, sur ses cuisses, dégrafant son short, le faisant descendre sur ses cuisses, entrainant avec son string et laissant réapparaitre juste devant mes yeux son petit fruit mûr. Sa chatte est superbe, toute lisse, toute douce, j’y dépose mes lèvres et m’enivre de son odeur. Je l’écarte légèrement et commence à lui assener des coups de langue, elle réagit tout de suite à cella et ne peux plus s’occuper de la langue de Marine, qui subit le même traitement de la part de Jérôme. Elles gémissent en symbiose l’une de l’autre au rythme de coups de langues que Jérôme et moi leurs infligeons.


Ses dames semble provisoirement rassasier et chacune entame de dévêtir l’homme de l’autre car elles aussi nous connaissent par cœur, Marine découvre un boxer complètement rempli par le sexe de Jérôme, elle est en extase. Bien que mon sexe déjà conséquent elle ôte très vite ce morceau de tissu pour lui permettre de se déployer. Son sexe est vraiment gros, il mesure au moins 20 cm de longueur pour une circonférence presque 13 cm, et tout comme moi il s’épile le sexe dans son intégralité pour le plaisir de Marine qui se jette dessus et lui gobe les testicules aussitôt.
Anaïs découvre mon sexe en m’enlevant mon pantalon et en m’arrachant mon boxer, elle ne semble pas déçue de mes 18 cm de longueur et 11,5 de circonférence. Et même plutôt enchantée par l’absence de toute pilosité sur celui-ci. Elle soupèse tout de suite mes bourses et enfourne mon sexe dans sa bouche. Commence alors un jeu de têtes entre nos deux femmes à genoux devant nous et nous suçant la bite quasiment au même rythme. Nous nous regardons et posons nos mains sur la chevelure de notre femme pour lui imposer de prendre chacune la bite de l’autre encore plus avant dans leurs bouches.
Puis nous récupérons la tête qui s’agite sur nos membres respectifs entre nos mains et les suivons dans leurs mouvements verticaux pour nous donner du plaisir. Finalement nous les allongeons sur le dos et réintroduisons nos mandrins dans leurs bouches tout en remplissant leurs chattes si savoureuse avec nos langues, je la bois alors qu’elle me suce, mes couilles viennent frapper son visage tandis que mon gland s’écrase au fond de sa gorge, elle salive, elle soupir sous mes coups de langues, elle sent si bon, elle à si bon gout que je ne peux pas enlever mon visage de sa chatte si chaude. Jérôme et Marine ne sont pas en reste, je perçois leurs râles, étouffés par une bite au fond d’une bouche ou une langue enfoncée au fond d’un sexe.
Nous faisons prendre à Marine position au dessus d’Anaïs, en 69. C’est la première fois que Marine se retrouve avec le sexe d’une femme à porté de langue. Elle prend son temps et découvre ce sexe si doux et si appétissant. Anaïs, un peu plus expérimenté dans ce domaine, lui couvre déjà sa petite chatte, elle aussi toute lisse, de tendre bisous et de délicats coups de langue. Jérôme se présente à l’entrée de Marine et moi d’Anaïs, tandis qu’elles se lèchent le clito nous les pénétrons avec douceur, profondément, tendrement puis petit à petit plus rapidement, plus violement. Nos couilles s’écrasent sur leurs visages, nos glands percutent le fond de leurs grottes. Je retire ma queue de son abricot et la fourre dans la bouche de ma femme puis je reviens dans la chatte d’Anaïs, en ressort pour rentrer tout de suite dans sa bouche, et encore et encore je lui fais déguster le plus profond de la chatte de sa copine.
Je libère Anaïs de sa position pour pouvoir la prendre ne levrette, elle cambre ses fesses devant moi, me présente son cul, je la congratule d’une fessées, tout en lui insérant un doigt dans le cul, puis une autre fessée et encore une, elle adore ça. Il suffit d’entendre ses soupirs et ses gémissements pour en être convaincu, et tout en continuant de lui flatter son postérieur, je pose ma langue sur sa rondelle, et commence à me régaler de son anus. Je suis aux anges, mon visage planté au milieu du cul d’Anaïs, mes mains tombant sur ses fesses, ma langue au plus profond de ses entrailles.
Je fini par présenter mon sexe à sa grotte secrète, je le presse contre elle, m’y engage et centimètre par centimètre la remplie complètement, elle halète de désir, j’entreprends alors des vas et vient un peu plus énergiques, un peu plus rapide. Pour finalement lui défoncer le cul au rythme de ses cris de plaisirs mêlés à ceux de la douleur.
Jérôme à aussi positionné Marine dans cette superbe position qu’est la levrette et lui arrache des cris de douleurs mêlés à ceux du plaisir, c’est la première fois qu’elle se fait enculer par une bite aussi grosse que celle-ci. Nos deux femmes se font face sur le canapé, elles se crient chacune à l’oreille de l’autre, profitant du plaisir de chacune. S’échangeant des baisers entre les coups de butoir que nous leurs infligeons. Nous les pilonnons comme ça durant de longues minutes, ma bite est parfaitement enserrée dans cet anus si étroit, si confortable. Sentant la purée qui monte je me retire de cette caverne pourtant si agréable à honorer.
Je viens reprendre une place au fond de sa bouche bien chaude et humide, ou je m’étais calé en début de soirée, de nouveau elle me glorifie de sa langue, autour de mon gland, de sa langue sur mes couilles alors que je suis planté en elle. Je ne tiens plus ce traitement et me retire de son intérieur pour mieux me branler sur son visage. Je sens que je viens et alors que ma femme qui me connait sait ce qui va arriver elle rapproche son visage du sien afin de profiter elle aussi de ma semence sur son visage.
Jérôme me rejoint et entreprend lui aussi de se branler sur le visage de Marine pour mieux l’enduire de sperme. Je me contracte et vide de violents jets de sperme chaud sur ses joues, sur ses yeux, en laissant au passage sur le visage de ma femme qui dans le même temps se fait recouvrir du jus de Jérôme. Anaïs se délecte de ce spectacle et approche sa langue du visage de Marine pour lécher tout le sperme qui la recouvre, puis l’embrasse avec passion mélangeant nos deux liquides à sa salive et l’offrant à Marine qui en avale jusqu’à la dernière goutte et se racle le visage avec ses doigts pour être sure de ne pas en perdre.
Nous laissons tomber nos têtes sur les fesses de nos femmes, et profitons de cet instant qui restera gravé en chacun de nous à jamais.

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