tortellinis au saumon

- Par l'auteur HDS Novice -
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Auteur femme.
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Récit libertin : tortellinis au saumon Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2008 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
tortellinis au saumon
Il a réalisé mon fantasme. Oh ce n’est pas un grand fantasme. J'aime les costumes, les hommes en costard, les pingouins. Et là je le vois, sur le quai de la gare, dans son costard noir ajusté, avec son flegme habituel, et son petit sourire en coin. En descendant du train, je l'ai tout de suite repéré. Je m'en mords les lèvres. J'en suis toute émoustillée, j'ai presque du mal à traîner ma valise. Moi j'ai juste enfilé ma petite robe noire, parce que je sais qu'il en aime bien le décolleté.. Une paire de talons aussi, comme si j'en avais réellement besoin ! Mais ces escarpins sont trop classes et mettent en valeur mes grandes jambes. N'empêche que.... Putain comment il a la classe. C'est complètement dingue. Les filles se retournent sur lui ; il ne s'en aperçoit même pas. Il ne regarde que moi, je suis flattée. Ce grand mec, plus qu'élégant, il est juste pour moi. Enfin il me serre dans ses bras, et m'embrasse. Je sens les regards des jalouses. Je m'en fous. Je passe ma main sous sa veste. Je peux déjà sentir son dos musclé. Des images passées me reviennent en mémoire, je me souviens de chaque détail de sa peau. Ciselée de muscles, des petites cicatrices ça et là, blessures de jeunesse. Celle de sa fesse aussi, souvenir d'adolescence. Ses fesses... Non non, je ne peux pas y penser maintenant. Il m'a promis qu'on irait au resto ce soir, je me tiendrais à carreaux, je ne voudrais pas qu'il croit que je ne veux que sa chair, même si c'est le cas, même si j'ai le sang qui bouillonne, rien que de savoir qu'il habite à à peine 5 minutes d'ici.. D'ailleurs on va chez lui, histoire que je dépose ma valise. Je ne peux m'empêcher d'attraper sa bouche en route. Sa fine bouche, son doux sourire, sourire de rêveur, sourire qui laisse rêveur.. Putain faut que je me calme, j'ai les joues en feu !
-Ça va ?? T'es toute rouge !
-T'inquiètes, j'ai juste un peu chaud !
Genre il savait pas que c'était mon fantasme... genre il était pas au courant que j'adorais le voir en chemise...pfouu.. Les flashs des nuits passées rembobinés à toute vitesse passent dans ma tête.. Ah j'en peux plus, il n'a pas ouvert la porte que je lui grimpe déjà dessus.. Il se laisse faire, visiblement amusé. Ses mains empoignant mes fesses, il me hisse et me transporte sur la table. J'en suis toute folle.
-Il est huit heures moins cinq, j'ai réservé pour huit heures dix, faut qu'on y aille..
Canaille. Il m'annonce ça avec un sourire en coin, l'air de dire " tu attendras, pas déjà, trop facile, tu croyais quoi".. Hmm je croyais bien avoir le dessert sans prendre le menu...
Main dans la main, nous rejoignons le restaurant, à pied. Je sens ma peau qui me brûle, j'aimerais tellement amener ses mains à hauteur de ma poitrine, ou bien... Mais non, il reste calme et ne fait rien, il sourit, comme à l'habitude, lorgnant peu discrètement sur la courbe de mes seins. On y est. Resto italien de bonne facture, on s'installe tranquillement dans le fond, pas trop envie d'être dérangés.
On commence à parler de tout et de rien, il me caresse la main. On est juste un couple mignon.. On commence à regarder la carte ; pâtes, pâtes, pâtes.
-Tu as faim de quoi ma chérie ? Parce que j'ai bien envie...de toi.
Moi qui ne m'attendais pas à cette réponse, j'ouvre la bouche mais aucun son n'en sort. Immédiatement mes joues sont en feu, et merde. Il l'a fait exprès, l'enfoiré! Ayé il est mort de rire ! J'aurais du m'en douter.
-Méfie-toi... Tu ne sais pas de quoi je suis capable...
Je laisse mon talon aiguille frôler le haut de sa cuisse.. Il ne rigole plus, sa lèvre se pince..
-Tu fais moins le malin! Lui dis-je.
Pas de réponse Mais un regard. Et quel regard. Brrr... Ses yeux verts qui me scrutent, qui me disent" Mais vas-y, je t'attendais."
Je continue mon cirque, à frôler, tâtiller, du bout du talon. Je sens une légère peur lorsque je m'approche trop...aurais-tu peur que je dérape ? j'enlève ma chaussure, tu sembles à la fois rassuré et encore plus tendu... Dans les 2 sens du termes, à ce que constatent mes doigts de pieds. Ton regard reste inflexible, malgré mon petit jeu. Seul ton pantalon te trahit, anormalement tendu.
-Vous avez fait votre choix ?
La serveuse m'a surprise, je me redresse et retire mon pied de son nid douillet.
-Hm oui, les tortellinis au saumon pour moi.
-Pennes à la sauce arrabiata s'il vous plaît.
La serveuse repart. On se marre tous les 2. La tension est redescendue d'un cran... Mais pour combien de temps.

Dingue.. Même en mangeant il a la classe. Je veux être une pâte, et fondre dans sa bouche, sous sa langue...Aïe non pas les dents.

Je rêvasse, je rêvasse de fantasmes à accomplir. Ne tenir que son menton, alors que je serais assise sur une petite chaise de jardin. Sentir ton souffle sur mon fruit rouge, alors que ta bouche s'active..
-Bé, pourquoi tu souris?
-Non rien répondis-je, le sourire béat de celle qui a un secret qu'elle ne révélera pas..

Il posa sa fourchette, délicatement, puis posa ses coudes sur la table et s'approcha. Il attrapa mon menton du bout des doigts, en me regardant fixement, presque froidement. Je sens ses doigts qui m'enserrent le menton, presque durement, miam .
Mange-moi j'aurais envie de te dire...Tu m'embrasses juste, du bout des lèvres.. Ouais c'est vrai qu'on est au resto, j'abuse...La fin du repas se passe sans encombre, même si j'aurais aimé qu'on me laisse un autre dessert.. Glace vanille, ça me donne des idées. De la bonne glace vanille déposée sur son ventre, un filet de chocolat déposé jusqu'à la framboise...
On s'échappe du resto, je lui glisse un merci, et un bisou dans le cou. Je l'arrête. Oh ce parfum qui me rend dingue... Laisse moi te sentir...Grrrrh qu'est-ce que j'adore.. Ce parfum envoûtant.. Mes sens en éveil, mes mains s'égarent.. Oh pas bien loin, je me retiens, on est dans la rue tout de même.. Mais je commence à saturer, je suis à l'arrêt depuis près de deux heures.. D'un même mouvement, nous nous détachons, et repartons vers l'appart.
Les marches.. 1,2,3,4,5.5 fois de suite, avec 5 paliers, 5 envies de te faire sortir de tes gonds en t'obligeant à me prendre ici, 5 fois à crever d'envie de virer cette ceinture, 5 fois à rêver de tirer sur cette chemise, pour révéler ce magnifique torse..Tu me fais fantasmer, et tu t'en rendrais même pas compte.. Je monte la première comme à l'habitude, je sens tes mains tâter mes fesses quelques secondes, avec un petit "hmmm" de contentement accompagnant le geste. Alors je m'arrête, en plein milieu des marches.
-Vas-y, continue. Touche-moi.
-Non.. T'attendras..
Grrrrh...Oser me sortir ça au creux de l'oreille, c'est scandaleux ! Quel homme aurait le culot de me faire patienter à ce point, à part le mien ! Je me sens perdue, je n'ai aucun moyen de riposter, têtu qu'il est, même si je m'acharnais à faire monter la sauce, il continuerait à répéter ce petit :
"Non", tellement banal et tellement empli de sens ici... Enfoiré moi je dis...
Je continue à grimper les marches, 4 à 4.
-T'es pressée ??Pas moi..
Je l'entends rire alors que je suis déjà agrippée à la poignée de son appart..
Il arrive, avec sa nonchalance habituelle, tranquille, ouvre la porte.. Je le tire vers l'intérieur, aucune surprise de sa part visiblement..
Je le pousse sur le canapé. Toujours rien, il sourit, visiblement amusé de la situation, et de mon faux mécontentement. Ah ouais, tu veux jouer? Bien bien.. Je me mets à l'autre bout de la pièce, et me laisse glisser contre le mur, jusqu'au sol. Assise, les cuisses légèrement écartées, ma robe qui se remonte d'elle-même sur mes hanches. Je glisse une main dans mon décolleté ; j'ai viré le soutien-gorge. Mes seins généreux pointent légèrement sous ma robe. Je reste là assise, à te déguster des yeux. D'ailleurs le spectacle me réjouit. D'allongé, tu es passé en position assise. Tu souris toujours, tu me regarde, visiblement content de ce qui arrive. Ah tu ne bougeras pas, je sais je sais.. Peu importe... Juste à te regarder comme ça, je suis essoufflée.. Toujours dans ce costard qui te vas à merveille.. Les derniers rayons de soleil qui font ressortir les contours de ton visage, et le vert de tes yeux.. V’la que je me mettrais presque à la poésie pffff ! C’est vraiment pas mon genre d'être éblouie, mais là en l'occurrence.. A force de te regarder, je m'en suis mise à me caresser. Les seins. Passer mes doigts sur les tétons, juste à les faire durcir. Puis sur mes cuisses, simplement pour les réchauffer. Puis je t'ai regardé, et j'ai passé mes doigts sur... ce qui te fait fondre... Bouche bée que tu étais. Prenant, presque instinctivement, ton envie en main.. Enfin, pas complètement en main. Tu as juste posé ta main sur ce pli de ton pantalon. Tu continues de me regarder. Je ne me caresse pas comme une folle. Pas envie. Juste assez pour en avoir le souffle court, mais pas assez pour jouir..
C'est toi qui me fera jouir.. Pas moi toute seule.. Je t'ai trop attendu.. Et je t'attends encore !!
La main délicate appuie sur la rouge cerise,testant à chaque fois mon degré d'excitation..Mon corps parle, lui seul.. Je ne prononce plus de mots, à peine des gémissements. Tu me regardes toujours, ébahi, étonné, je n'en sais trop rien, surpris visiblement. Tu n’as pas bougé. Mais la petite bosse, est devenue grosse à présent. Là tout de suite, j'aurais envie de te grimper dessus. Ce serait trop bon. Mais trop simple. Je préférais te voir ramper vers moi. Ou bien juste marcher vers moi, laisser glisser ton pantalon aux pieds, me regarder de haut. Ou bien te laisser faire le fouineur, et laisser ta langue, s'aventurer sous ma robe. Hmm cette 3ème option est bien tentante.. J'imagine très bien ta tête se glisser sous ma robe.
Soudain, tu viens. Desserre ta ceinture. N'enlève pas le pantalon. Vire la veste. N'enlève pas la chemise. Tu t'approches de moi. Tu trembles. De peur ? Non.. D’excitation ? Sûrement.. Délicieux baiser que tu déposes sur ma bouche.. Sensuel, chaud, en toute retenue. Puis de moins en moins retenu. Plus porté par ton corps que par ton cerveau, tu te rapproches encore de moi. Assis tous les deux par terre, j'enserre mes jambes autour de toi, tout en t'embrassant. Je ne peux pas m'arrêter de t'embrasser, une vraie drogue. Ma robe est descendue comme par enchantement, tu prends mes seins. Deux grandes mains de pianistes s'en emparent. J'ouvre ta chemise ; ma bouche part instantanément à la rencontre de ta peau douce. Je me délecte du moindre morceau de chair accessible. La braguette saute seule, enfin presque... Je peux enfin oser toucher indécemment cet objet de désir. Désiré et désireux.. Au contact de la paume de ma main, je te sens souffler violemment, t'aurais-je fait mal ? Hmm, je vois que non. Un mélange de soulagement et de retenue à la fois, étrange. Soulagé, mais presque affolé de l'effet secondaire .Tu poses ta main sur une de mes cuisses, comme si tu avait besoin de s'appuyer sur quelque chose.sur moi en l'occurrence.. Je te laisse me redécouvrir, car cela semble être le cas.. Tu joins ta main à la mienne, dans un baiser..
Cette main qui n'avait pas arrêté son travail en cours de route; et voilà du renfort.. Tu vas au même rythme que moi.. Je ne peux plus t'embrasser, c'est au dessus de mes forces. Ma tête se relève, je crie ma jouissance sous nos mains. Je gémis de longues minutes, tu caresses mon corps de ton autre main.
-Prends moi! Prends moi!
Tu t'exécutes. M'allonges brutalement au sol, et me tire vers toi. Juste baissé le minimum. De violents coups de reins m'assaillent. Je crie plus fort. Je sens ta jouissance monter en flèche. Toi si calme et détaché à l'habitude, je te vois presque comme un ours qui se lâche enfin; tu râles avec moi.
Puis tout s'arrête. Plus un geste. Plus un bruit. Juste deux essoufflés.

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