Un après midi chez Anne-Lou épisode 3

- Par l'auteur HDS Sab ladouce -
Auteur femme.
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Récit libertin : Un après midi chez Anne-Lou épisode 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un après midi chez Anne-Lou épisode 3
...suite:


Myriam s'aperçu à ce moment là que la bouteille de vodka était à moitié vide. Elle se sentait comme sur un nuage. Anne-lou lui souriait, elle avait sa main droite posé sur sa jambe gauche. Anne-lou la caressait furtivement, doucement.

- Il est quelle heure ?

- Il doit faire dans les 20h30, 21 heure !

- T'as faim ? On se commande une pizza ?

- D'accord !

Une demie heure plus tard leur pizza était là. Myriam n'a pas bougé de sa place pour ne pas choquer le livreur. Tout en s'affalant sur cette pizza, Anne-lou dit :

- Allez, raconte ! il vous est sûrement arrivé autre chose ? La plus insolite à ton goût !

« Ah oui ! C'était l'été dernier, ses parents étaient parties en voyages car sa mère ne supporte plus la chaleur estivale. On avais la tâche de garder leur maison.

Un jour, on était sur la plage entrain de prendre un bain comme à l'accoutumé. Sous le parasol qui était à notre droite, il y avait deux jeune filles. Au premier regard, elles devaient avoir 24-25 ans. Vers 13h on s'était dirigé vers le snack pour prendre notre déjeuner. C'est un petit snack, toutes les tables étaient occupées. Le serveur nous proposa de nous asseoir en compagnie d'autres personnes. Qu'à cela ne tienne, nous avons accepté. Et par le plus grand des hasards nous, nous retrouvions avec les deux jeunes demoiselles qui occupent le parasol voisin.

Alors tranquillement le dialogue s'était vite installé entre nous. L'une s'appelle Nawrez, elle avait 24 ans, et la seconde s'appelle Nolwen et elle avait 28 ans. Elles sont toutes deux d'origine jordanienne mais ne parle aucun mot d'arabe. Nawrez était encore étudiante en fac d'informatique et Nolwen est commerciale à Havas voyages.

Notre repas fini, nous regagnâmes nos parasols, une complicité c'était installée entre nous. On aurait dit qu'on se connaissait depuis au moins quinze ans !

Arrivé sous notre parasol, Samy regarda sa montre et dit :

« 15h déjà ! Le temps passe vite, il faut de j'aille me préparer pour le travail ! Bon les filles, heureux d'avoir fais votre connaissance, et au plaisir de vous revoir ! Il y aura sûre une prochaine fois ? »

Elles acquiesça en hochant la tête. Puis mon homme parti. J'avais pas remarqué qu'elles étaient adepte du monokini. En un tour de bras, leurs soutien-gorges étaient accrochés au parasol. Tandis qu'elles se mettaient de la crème solaire, moi je prenais place sur ma serviette, en donnant le dos aux rayons incendiaires du soleil.

Nawrez se précipita vers la alors que Nolwen Venais vers moi en disant :

« Tu ne veux pas que je te mette un peu de crème sur ton dos ? »

« Oh oui merci ! »

Elle commença à verser un peu de crème sur mon dos qu'elle étala avec une finesse, une douceur que j'ai rarement ressenti.

« Pourquoi t'enlèverai pas ton soutif ? »

« On est dans un pays musulman ! Et je suis assez connue, pour qu'on me respect, il faut que je fasse de même ! »

« Mais quel est donc ton secret pour ne pas avoir de trace blanche ? »

« Oh ! il n'y a pas plus simple ! Je me fais des séances de bronzage au bord de la piscine, à la maison ! »

« Ah ! Vous avez une piscine ? Dit-elle en continuant de mettre de la crème. »

Je lui expliquais que c'était la maison de mes beaux-parents et toute la suite du récit : belle-maman, chaleur ...

J'avais remarqué que les caresses de Nolwen m'avaient un chouia excité. Je pris la précaution de garder mes cuisses bien serré pour que l'on s'aperçoive pas qu'une tâche s'était formée à mon entrejambe.

Je regardais en direction de la mer, cette brise, le bruit des clapotis des vaguelettes et cette odeur d'eau salée m'enivre et m'enivrera toujours.

Voilà cette jolie Nawrez qui revient. Je dis jolie je te fais la preuve. Imagine une personne d'au moine 1m65, cheveux mi-long et noirs, des yeux couleur noisettes et des seins aussi gros que les miens mais fermement dressés à me rendre jalouse. Elle nous rejoint tout en ondulant fièrement de sa croupe puis prend place près de sa copine qui, même si elle ne l'avouera jamais, la surveillait du coin de l'oeil.

La fin de la journée finie sans grande surprise sauf, je me trempe peut-être, j'avais remarqué une certaine complicité entre les deux jeunes filles. Une complicité, je dirais, hors norme mais saine.

En les raccompagnant à leur hôtel, on se donne rendez vous aux environs de 22h00.

« Et comment vas-tu rentrer ? » Me demanda Nolwen.

« La maison est tout près ! Tu vois là, sur ta gauche, c'est la deuxième maison au grand portail après le carrefour. »

« Alors une fois qu'on sera prête on passera prendre un petit quelque chose ! »

« Je vous attends de pied ferme. »

Je retournais donc à la maison et une étrange excitation me saisissais le ventre. Etait-ce l'effet dû au corps de Nawrez ? Ou bien à celui de Nolwen ? ou tout simplement à la situation, à la relation que j'imaginais de ces deux jeunes filles ? Toujours est-il que j'avais une envie folle de me faire prendre là sans ménagement. D'une main je chassais cette idée de mes esprits.

A 22h tapante, on sonne à la porte. Ca doit bien faire 15 minutes que je tournais en rond, en attendant que cette satanée sonnerie retentisse et je poussais un ouf de soulagement quand je l'entends résonner. En moins de deux, je leur ouvrit la porte. Décidément Nolwen était vraiment une fille sublime, elle avait tiré ses cheveux en arrière, et portait une magnifique robe de soirée bleu, très échancrée et ouverte du talon jusqu'aux hanches, ce qui dévoilait par instants ses jambes et surtout l'absence de tout dessous. Quand à Nawrez, elle portait un body blanc sans manche, qui moulait parfaitement la généreuse poitrine fièrement dressée. Elle avait mis une jupe noire porte-feuille aussi moulante que son body et on pouvait facilement voir qu'elle ne portait pas de culotte ou n'importe quel artifice. Je leur fit le tour du propriétaire tout en jetant des oeillades discrets.

« Chouette la piscine ! Et cette lumière la nuit, trop top ! Et en plus loin des yeux ! ! » Dit Nawrez

« Que voulez-vous boire ? » Demandai-je.

« Un digestif ! On a très bien mangé. » Me répondit Nolwen.

« Vous connaissez LA BOUKHA ? C'est une eau de vie juive, une pure pas celle du marché ! »

Je leur servi donc deux doses de cette liqueur qu'elles ont de suite apprécié et m'en redemandaient une autre tournée. Et je ne pu bien sûre ne pas les suivre dans cette débauche, pourtant si gentille.

On était, toute les trois d'une humeur si joyeuse qu'on aurai était embauché de suite s'il y avait près de nous un producteur de télé. Puis je leur proposais de les emmener à la discothèque dont mon mari est gérant. Je me trempe peut-être mais j'ai cru qu'elles n'attendaient que ça et moi aussi, je l'avoue.

Arrivé chez le beau ténébreux qui accompagne mes douces nuits, nous prenions une table. Nawrez avait juste déposé ses affaires qu'elle se précipita sur la piste de danse.

Aussitôt qu'Samy su que nous étions parmi les siens, il vint nous embrasser et il s'excusa de ne pouvoir rester avec nous car il avait un dossier financier à clore.

Nolwen et moi avions commandé, un martini pour elle et un gin tonique pour moi. Tout en sirotant nos boissons, on était là à faire des commentaires de commères sur les différents danseurs même Nawrez n'y avait pas échappé. Il faut dire que c'était difficile de lui trouver des défauts.

Tout en bavardant dans une hilarité non dissimulée, la main de Nolwen ne cessait d'effleuré la mienne. A chaque caresse, je la regardais d'un air qui voulait dire oui. Je suis loin d'être une lesbienne, mais toute inconnue m'attire et l'homosexualité féminine je ne connaissait pas et Nolwen avait le pouvoir de titiller mon coeur, elle m'a séduite. Je crois que si je devais connaître une expérience de ce genre, je préfère que se soit avec elle, avec elles.

Nawrez n'arrêtait pas de nous supplier de danser avec elle, mais nous refusions à chaque invitation. Bon il nous est arrivé de lui accorder une danse, c'était surtout pour se détendre les jambes.

Vers 4h, je les raccompagnais à leur hôtel. Au pas de la porte, nous, nous fixâmes rendez vous à la maison pour une séance de bronzage intégral vers 11h. Ca tombait bien car Samy serait absent de la journée. En se penchant pour me dire au revoir, Nolwen m'embrassa a coin de mes lèvres avec une discrétion remarquable et une précision minutieuse voue mon respect. Je ne m'y attendais pas, bien que je l'espérais silencieusement.

Arrivé chez moi, ma culotte était toute trempée de mon excitation. A peine ai-je franchi la porte de la chambre que j'étais déjà nue et je caressais avec insistance la verge ramollie de mon chéri.

« C'est toi chérie ? Dit-il en ouvrant les yeux. Je l'avais réveillais en plein sommeil. »

« Baise-moi ! !Baise-moi ! Je veux te sentir dans tout mes trous »

D'un seul coup il émerge de ses rêves, m'attire vers lui et m'embrasse goulûment. Je me laisse emporter, je suis à présent sur le dos, au beau milieux du lit. Il parcoure mon visage de petits bisous chauds et baveux, puis descend lentement dans le cou. Il releva la tête et me dit :

« Elles t'ont tant excitée ? »

A quoi bon lui répondre. Je lui pris la tête entre mes mains et l'enfourna entre mes seins. Il léchait avec application chacune de mes mamelles. Dans la pénombre je voyais des tétons qui se redressaient et aussitôt Samy se mis à les sucer, les mordiller en passant d'un téton à l'autre.

Mais bientôt, il se lassa de cette pratique. Ses mains empoigna avec puissance mes cuisses en les repoussant contre mes seins durcis. D'un mouvement lent et calme, il m'envahissait, puis me quittait presque aussitôt.

« Ta pine ... encore ... Suppliais-je, Je la veux ! Au fond. »

Il accéléra donc la possession, j'entendais ses couilles qui claquaient sur mes fesses.

« Ah, ah ! ! Encore ... C'est si bon, gémissais-je, Ooooh ! que c'est bon ! ... Fais moi mal ... »

La verge de mon Samy glissait aisément dans ce majestueux sanctuaire, s'enfonçant jusqu'à l'orée de la toison pubienne à une vitesse vertigineuse, agréable.

« Ah ! Ah ! Arrête toi maintenant. »

Aussitôt qu'il s'arrêta, je me retournais pour lui présenter mon cul. De mes mains j'écartais les deux lobes de mes fesses.

« Partout ! Je te veux partout ! » Criai-je

Entre mes fesses largement ouverte, mon orifice anal s'offrait à l'assaut. Samy titillait doucement la chair de lieu interdit, du bout de sa verge luisante et tendue qu'il guidait d'une main ferme. A petits coups délicats, il poussa la tige rigide de ce membre rouge. Lentement le gland s'insinuait entre les plis accueillant de mon anus. En augmentant l'amplitude de ses intrusions, il parvint à s'enfoncer dans les profondeurs de ma chair. Il força l'étroit passage pour s'y enfoncer jusqu'aux testicules.

« Oui ... Oui ! C'est ça ! ! vas-y plus loin, défonce-moi le cul, » dis-ai-je dans une excitation que je n'avais jamais connue au paravent.

Il baisait comme un fou. Mais tout d'un cou, d'un mouvement arrière nerveux, il ressortit son membre, puis y replongea aussi vite. Il s'agitait dans ce temple sacrée. Ses mains s'étaient agrippé à mes épaules en cramponnant ses doigts dans ma douce chair. Profitant d'une accalmie dans les assauts, je lui imprimais des contractions sur cette verge et lui dis :

« Ohh ! Regarde, je te suce la bite avec mon cul ! ! ! »

Il me lima encore 5 ou 6 fois puis se retira et déposa le résultat de ce terrible combat au creux de mes reins en de grosses flaques de spermes. Il retomba à mes cotés et je lui susurrais à l'oreille :

« Tu as étais trop fort ! ! Merci ! »

Et nous sombrâmes dans un long et doux sommeil.

A mon réveil, je constatais que ma tendre moitié n'était plus à mes cotés. Je m'étire en long et en large pour décontracter mes articulations et mes muscles tout en repensant à la nuit que je venais de vivre et surtout au déchaînement qui a suivit. Je sentais que mon petit trou était encore distendu. Et en tournant dans mon lit, mes yeux se pose sur l'horloge de ma table de nuit.

« Quoi ? 10h42 ? ... Et merde elles arrivent dans un quart d'heure ! »

D'un mouvement, je saute de mon lit et je cours va la salle de bain et me mets direct sous la douche. Après m'être bien lavé et fais disparaître les traces de l'agréable souillure de mon prince, j'étais entrain de me sécher lorsque la sonnerie retenti. Je saisie ma robe de chambre et parts d'un pas rapide ouvrir la porte à mes invitées.

« Excusez moi, Je viens de me réveiller ! Venez ! Mettez vous à l'aise le temps que je me prépare ! »

Je les amène aux bords de la piscine et je m'éclipse pour enfiler mon maillot.

A mon retour, j'étais fascinée par la beauté du tableau que j'avais devant les yeux. Les deux jeunes filles étaient nues comme des vers. Nawrez était lisse comme un corné de glace. Aucun poil nul part ! Quand à Nolwen, son pubis avait la forme d'un coeur, joliment dessiné.

« Allez enlève moi ce bout de torchon ! » Me lança Nolwen

Passant les doigts dans mon dos je dégrafe mon soutif que je laissait tomber à mes pieds et j'avance vers pour les rejoindre.

Me fixant de ses yeux vert noisettes, Nolwen me dit :

« On a dit intégralement nue !. »

Je les regardais d'un air indécis. La seule personne qui m'a vu nue n'était pas présent. Je sentais la honte monter.

« Regarde, elle rougi ! » dit Nawrez à son amie.

« Elle fait la timide ! Tu vas voir comme c'est plaisant comme sensation de n'avoir aucune contrainte sur son corps, » me disait Nolwen en avançant en ma direction.

Elle saisi le bas de mon maillot et d'un coup sec, fit descendre le bout de tissu qui recouvrait le sanctuaire interdit de mon corps. Elle se baissa et dégagea la culotte qui entravait mes pieds. Par réflexe, mes mains sont venues voiler la chambre de tout les désirs logées entre mes jambes.

« Allons ! Laisse toi aller, il n'y a que nous, on est toute faite de la même façon, je crois ! » Dit Nolwen en rigolant.

Elle fit glisser ses mains sur mon corps tout en écartant mes bras.

« Oh mais elle a une belle touffe, propre ! » S'écria Nawrez.

« On vois que c'est quelqu'un qui donne de l'importance à son corps », rajouta Nolwen, qui ne cessait de faire glisser ses main sur mon corps qui frissonnait.

Ses doigts atteignirent mes poils soyeux qu'elle caressait avec délicatesse. Je n'osais faire aucun geste, pour rompre la béatitude dans la quelle je me trouvais. Nous entendions un "plouf'' c'était Nawrez qui venait de plonger dans la piscine. Aussitôt après c'était au tour de Nolwen d'être à ses cotés. Moi j'étais encore sous le choc ? Sous le plaisir ? Je ne savais plus où j'étais. Les cris des filles me demandant de les rejoindre, me ramena sur terre et m'approchant du bord, je me jetais dans cette eau fraîche.

« Bien venue parmi les vivants ! » Me dis Nawrez.

Et nous partions dans un fou rire qui dura bien une dizaine de minutes. Me retrouvant un petit moment seule avec Nolwen je lui demandais :

« Elle n'est pas un peu jalouse », Nawrez ?

« T'es jalouse Nawrez ? » Cria Nolwen.

J'essayais de plaquer ma main sur sa bouche pour étouffer le son sorti de ses lèvres. Nawrez nous regarda et dit avec le sourire aux lèvres :

« Ce qui est bon pour l'une l'est sûrement bonne pour l'autre ! »

Je failli m'étouffer en avalant ma salive. Je prenais conscience que j'allais être la proie de ces deux salopes, et j'étais au fond d'accord et fière de la tournure des événements car Nawrez n'était pas si désagréable à voir et à toucher, ce qui se vérifiera dans les heures qui suivront.

En sortant de l'eau, on avait pris le temps de se sécher et nous, nous sommes directement allongée sur les transats. Après avoir un peu séché, en se retournant vers moi, Nawrez se proposa de me mettre de la crème sur le dos. Me retournant sur le ventre, j'offris aux doigts de la jeune fille ce dos qu'elle malaxa délicatement après avoir mis quelques gouttes d'huile solaire. Elle mettait telle une énergie et douceur à étaler l'huile que Nolwen enviait un peu. Ca se lisait dans ses yeux. Nawrez en mis également sur mes fesses sans oublier d'en faire bénéficier la raie de mon cul cambré. Son majeur trouva facilement l'ouverture, plus su hermétique que ça, de mon petit trou chéri, qu'elle pénétra avec une facilité étonnante et agréable.

« Que voulez-vous boire les filles ? » Dis-ai je pour couper l'herbe sous les pieds de ce désir que je sentais monter en moi.

« Un gin tonic », me dit Nolwen

« Un whisky coca ne serai pas de refus », dit Nawrez

En ondulant lascivement, je partais leur préparer leurs boissons. En revenant, je trouvais les deux filles enlacées, leurs lèvres soudées par un fiévreux baiser. Elles ne m'avaient pas entendu revenir, je les regardais dans cette danse lascive de leurs langues. J'en bavais presque.

« Vous êtes servies les filles », dis-ai je en posant le plateau sur la petite table.

Elles se séparèrent et vinrent prendre leurs boissons. Nolwen vint s'asseoir près de moi. Au début, nous sirotions, nos cocktails, tout en parlant de chiffons, du temps et du soleil. Elle posa son verre, en retira un glaçon qu'elle fit glisser son superbe corps bronzé. Puis c'étais à mon tour de subir ces caresses vu comment je louchais. Elle appliqua le glaçon autour de mes seins en contournant avec une extrême prudence mes mamelons qui pointèrent rageusement. Elle fit descendre sa main vers mon ventre qui se crispait alors que je laissais échapper un petit OH de frisson. Enfin, elle atteignit les lèvres luisants de mon petit minou. Elle fit aller et venir le reste du glaçon contre la porte de mon sexe en ébullition et d'un coup elle l'introduit dans ce temple baveux.

« Aïe ! ! » Lançais-je, en me redressant.

« Arrêtes ! C'est tellement chaud là où il est, qu'il ne peut rien ressentir », me dit Nolwen.

« Lui peut-être pas, mais moi ? »

Nawrez était pliée en deux à force de rire, elle faillit tomber à terre. Elle releva la tête et me dit :

« Viens ici ! Je vais te soulager ! »

Je m'avançais en lui tendant mon bassin. Elle s'est mise à laper avidement ma moule luisante. Après quelques coups de langue, elle se pencha de coté et dit à l'intention de son amie :

« Il faudra que tu goûte comme elle est bonne cette moule ! »

« Il n'y a pas un coin où serai plus à l'aise ? » me demanda Nolwen

Aidant ma suceuse à se relever, je les conduisis à la chambre de mes beaux parents.

« Oh le lit ! » S'exclama Nawrez, « ils doivent pas s'emmerder tes beaufs ! »

Il est vrai qu'il est original. C'est un lit construit de forme ronde et de 2m30 de diamètre. On se jeta les yeux amplis de désir sur cet étendu de plaisir. Sans perdre du temps, Nawrez avait la tête à nouveau collé à ma chatte, alors que Nolwen s'empara goulûment de ma langue qu'elle enroulait au tour de la sienne dans rythme infernal. De sa main gauche elle pris possession de mes seins qu'elle malaxait avec vigueur et tendresse en même temps. De par de petits bisous elle rejoint la bouche chercheuse de son amie, pour goûter à son tour à cette délicieuse fontaine qu'on rêver d'y accéder.

Elles écartaient mes lèvres charnues pour mieux pénétrer au fond de cette grotte en feu. Des gémissements puissant s'échappaient de ma gorge, ma tête allait et venait de droit à gauche et de gauche à droite. J'étais secouée sous des flots d'orgasme. Je n'ai jamais et jamais je ne revivrai des instants pareils !

Dans le vacarmes que nous, je produisais, nous n'avions pas entendu revenir Samy. Sa réunion avait était écourtée. En pénétrant dans le salon il entendait une voix, des râles, qu'il connaissait. Il ne fit que suivre la source de ses gémissements pour découvrir leurs origine. Elles étaient émises par sa moitié qui se faisait bouffer par deux salopes, de séduisantes salopes. Le spectacle ne fut pas long à produire son effet sur Samy, déjà que sa pine se sentait en vase clos dans son vêtement de laine. Il dégrafa son pantalon qui tomba à ses pieds et il libéra son membre du tissu qui le retenait. Bien évidemment il s'appliquait à produire des mouvements de vas et viens avec sa main droite, tout en faisant attention à me pas éveiller sa présence.

Nawrez s'est relevée et s'est mise à califourchon sur mon nez et aussitôt ma langue trouva le lieu à explorer. Je n'avais jamais eu l'occasion de goûter au fruit défendu d'une autre femme que moi. J'en étais agréablement surprise de la douceur du parfum qui s'en dégageait. De mes mains j'écartais les petites fesses bien ronde et musclée de celle qui me chevauchait et j'en profitais pour titiller son trou de balle avec mon index. Je sentais que cette jeune diablesse venait à la rencontre de mon doigt comme si elle voulait se l'approprier ! Au même moment où mon doigt franchissait les portes de son intimité, que Nolwen en fit de même en mettant deux doigts d'un trait dans mon vagin, qui n'attendait qu'une pareille visite.

Samy caché aux regards des actrices, se masturbait énergiquement. Lorsqu'il sentait qu'il allait jouir, il pénétra dans la chambre sur les pointes des pieds. Il se mis au dessus de mon visage, en faisant signe aux deux autres de ne pas dire un mot. De deux mouvements masturbatoire des jets de spermes s'échappèrent de sa pine pour venir s'écraser sur le doux visage de sa chérie. J'ouvris les yeux d'étonnement sans pour autant interrompre la douceur que je dispensait à ma cavalière, que je voyais sourire puis se mordre les lèvres et criant :

« Oh que c'est booooon ! Fais moi jouir ! ! ! OUUUUUIIIIII ! », dit-elle en tombant sur le coté.

Nolwen remonta lécher le jus déposé par homme, occupé à brouter les seins fermes de la belle nawrez.

Voilà, tu peux bien t'imaginer que ce jour là, il est arrivé avec un peu de retard à son boulot et pas la peine de te dire dans quel état. »



A ce stade du récit, Myriam bu les dernières gouttes de son verre. Elle sentait comme sur un nuage et ces souvenirs remis à jour ont eu pour effet de l'exciter gentiment. Elle posa ses yeux sur ça cuisse droite que Anne-lou caressait avec une infinie douceur. Cette main était plus proche de sa touffe que de son genou. Elle leva alors les yeux vers Anne-lou d'un regard approbateur. Cette dernière lui sourit malicieusement et lui dit :

-Moi qui croyais être une dévergondée, je suis en faite très loin de le 1/10ème de se que tu, vous, avez vécu ! Honte à moi ! !

-Il n'est jamais trop tard ! Répondit Myriam, sans savoir pourquoi elle a bien pu dire cette phrase.

En plus du regard qu'elle lui a lancé, cette phrase ne fit que mettre le feu aux poudres. Sans aucune retenue, Anne-lou se jeta sur elle en collant ses lèvres sur les siennes dans un fougueux baiser. Myriam, s'était retrouvée allongée sur le canapé, sa tête heurta un peu le bord, mais ne fit aucune remarque. Elle était trop occupée à répondre au baiser furieux que lui infligé son amie.

De ses mains elle entrepris d'arracher le chemisier de son "agresseur'' et défit en un tour de main le soutien gorge de la ravissante Anne-lou alors que celle-ci se débarrassa de sa jupe et son string. Leurs seins, en contact, se frottait avec force. Myriam saisi la tête de son amie pour la faire descendre sur son cou, qu'elle lapait, embrassait suçait ... pour au bout du chemin se retrouve coincée entre les cuisses de Myriam qui poussait des ahanement strident.

-Attends ! Descendons sur le tapis et mettons nous en 69, je veux te goûter aussi ! dit Myriam

Aussitôt dit, aussitôt fait. Elles se retrouvèrent allongé sur la moquette beige qui recouvrait le salon. La tête de Anne-lou s'activa sans relâche sur les lèvres dégoulinantes de sa proie, alors que Myriam s'aidait des doigts de sa main gauche pour titiller le clito érigé de sa partenaire, qui cherchait à enfourner sa langue dans le chaud canal fumant de la belle coquine Myriam.

Anne-lou se releva et fit :

-Une seconde ! J'arrive !

Elle partit en courant à chambre pour revenir 1 minute plus tard avec un gode ceinture autour de la taille.

-Oh ! Et moi qui croyais te connaître ! Petite coquine ! Dit Myriam en découvrant l'accoutrement de Anne-lou.

-Je peux en dire de même ! Dit elle, tout en se plaçant entre les jambes largement ouverte de celle qui va subire les assauts de Anne-lou.

Elle lui releva les cuisses qui vinèrent se coller aux seins de Myriam, et d'un coup sec, elle fit pénétrer le godmichet de toute sa langueur dans les entrailles luisants de la sirène qui poussa un cri de surprise. A peine a-t-elle eu le temps de faire deux aller et retour, que la sonnerie de la porte se retentit. Elles se regardèrent étonné. Qui cela pouvait bien être ?

-Il quelle heure ?

-23h12 !

-Alors ça doit être Samy ! Vas lui ouvrir !

Anne-lou se retira du vagin accueillant de Myriam, et entrepris de se défaire de son gode.

-Non !, lui cria Myriam, Vas y comme ça !

Hésitante pendant quelques seconde alors que la sonnerie retentissait à nouveau avec un peu plus d'insistance. Finalement elle partit ouvrir la porte, en s'assurant qu'il était bien seul. Elle pris également soin à rester derrière la porte le temps que le beau Samy entre. Quand elle claqua la porte, il fit demi-tour pour l'embrasser. Il s'arrêta net dans son élan.

-Qu'étiez-vous entrain de faire ?

-On vient juste de commencer, répondit-elle avec un large sourire, On attendait que monsieur arrive ! T'as mis du temps ! Dit-elle dans un temps réprobateur.

Samy ne savait quoi répondre, il ne s'attendait pas à un tel accueil. Enfin il se décida à suivre les pas félins de la maîtresse de maison pour découvrir sa femme allongé nue au beau milieu de la pièce.

-Salut mon gros chaton ! On a commencé sans toi. Mets toit en tenue !

Il allait sans dire, sans perdre un centième de seconde, Samy fut nu comme un ver. En ce temps, Anne-lou repris sa place entre les cuisses de son amie et lui imprima de doux et longs mouvements de bassin. Samy s'agenouilla au niveau des seins de sa moitié, lui présenta sa pine à moitié rigide, qu'elle introduit entièrement dans sa bouche bien qu'au début de leur relation c'était une pratique qu'elle détestait, mais qu'elle a appris à appliquer. Myriam suçait avidement cette tige de chair plantée dans sa bouche. Doucement, sa bite, prenait volume et durcissait entre les doigts de cette dévergondée d'épouse. Il n'arrivait toujours pas y croire qu'il allait encore vivre des moments intenses et inoubliable. Il gratifia Myriam de petites caresses tout le long de son corps hérissé de plaisir.

Anne-lou, s'excitée comme une dingue. Elle avait placé les jambes de son amie sur ses épaules. Et en la maintenant par les hanches, elle lui donnait de violents coups de boutoir qui avaient pour résultat de faire crier Myriam de douleur et de plaisir.

-Oh OUUUIIIIII ! fais-moi jouir ! ! ! ! cria-elle en serrant ses jambes, je jouis ! JE JOUIS ! ! ! MAMAN ! ! ! ! !

Elle récupéra doucement ses esprits avant de dire :

-J'ai jamais jouis aussi vite de ma vie et avec cette intensité ! Merci Anne-lou, j'ai encore découvert autre chose, dit-elle en rapprochant les lèvres de cette dernière pour y déposer un langoureux baiser.

Samy se tenait la queue de la main droite qu'il faisait coulisser pour maintenir la rigidité de son vit.

-Samy ! Fais la jouir comme tu sais si bien le faire !

Il s'approcha de Anne-lou, lui défit la ceinture en cuir et lui obligea à se mettre à quatre pattes, ce qu'elle ne refusa pour rien au monde. Il la maintint de derrière par les hanches, il coulissait son membre tendu dans le raie des fesses et du coup il introduit brutalement sa verge dans la moule humide de Anne-lou, qui laissa échapper un cri qui aurait pu réveiller tout l'immeuble, mais ils étaient loin de s'en soucier. A chaque coup de rein, ses couilles venaient s'abattre contre les fesses bien rondes.

De petits gloussements franchissaient la bouche de l'adorable Anne-lou. Myriam, s'était mise debout pour récupérait la ceinture-gode qu'elle attacha à sa taille. Elle se plaça derrière son homme, s'humecta les doigts avant de titiller son anus. Comprenant ce qu'il allait subir, Samy se relâcha et alla même à la rencontre de ses doigts fouilleurs de son intimité. Myriam, savait que c'était un des fantasmes d'Samy de se faire enculer alors qu'il baiser. L'occasion est présente, il ne faut pas la louper, s'était-elle dit, à juste titre en voyant la réaction de son homme, qui après lui avoua que s'il avait le choix, il aurait préféré une vraie queue bien chaude, mais on peut pas tout avoir !

Quand elle sentit que les parois devenaient plus souples, elle pointa la bite en caoutchouc à l'entrée de ce puit défendu. A chaque fois qu'Samy allait en arrière pour sortir de la chatte de Anne-lou, il butait contre ce membre rigide. Et à chaque fois il y allait avec un peu plus de force jusqu'à engloutir le gland en caoutchouc au fond de sa grotte. A ce moment là, Myriam le saisie fermement par les hanches et lui assena un ultime coup de rein pour que se membre en plastique soit envahie de toute sa longueur.

Samy dû serrer les dents pour ne pas crier de douleur. Mais cette souffrance disparue au fur et à mesure des coups que lui dispensait son charmante épouse.

-Anne-lou ! J'encule mon homme ! cria Myriam.

En retournant la tête, Anne-lou, pris acte de la situation, ce qui la mis dans une transe incroyable et elle partit dans un orgasme à faire décoller les murs de l'appart."

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Texte coquin : Un après midi chez Anne-Lou épisode 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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