Un regard troublant

- Par l'auteur HDS LAbeille -
Récit érotique écrit par LAbeille [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un regard troublant Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Un regard troublant
Pour mon travail, je me déplace très souvent dans différents lieux d'intervention.
Ce matin-là, je reviens pour la première fois depuis mes vacances dans une petite entreprise.
La directrice vient m'accueillir et elle me jette ce regard troublant (auquel j'ai beaucoup pensé pendant les vacances), comme si ses yeux ne pouvaient plus quitter les miens, comme si elle m'admirait au plus haut point. C'est très flatteur, très agréable, je dois l'admettre.
J'avais déjà remarqué l'année dernière qu'elle me troublait et aussi qu'elle semblait très troublée également, car elle rougissait quand je la regardais. Ca lui arrivait aussi de frôler mon dos quand elle passait derrière moi.
Elle m'avait dit, au moment de se souhaiter de bonnes vacances: "A bientôt peut-être, si on se croise dans le quartier", tout en rougissant (elle habite le même quartier que moi, se gare sur le même parking, mais je n'ai pas repéré son immeuble et je ne l'ai jamais croisée le matin ou le soir, je l'ai juste aperçue une fois dans sa voiture).
Bref, donc, quand j'arrive ce matin-là, elle me trouble à nouveau. Elle semble contente de me voir, mais ne le montre pas trop, je le lis juste dans ses yeux.
Elle est banale physiquement, mais elle me fait un effet.... C'est dingue.
Je travaille puis vient le moment où je dois repartir. Elle se penche sur mes différentes mallettes puis me propose de m'aider à porter mon matériel dans ma voiture.
Ayant garé ma voiture un peu plus haut dans la rue, et étant friande de ces moments passés avec elle, où elle n'est plus directrice, mais simplement elle-même, j'accepte avec empressement sa proposition.
Nous marchons dans la rue, chargées comme des mulets, moi devant elle. J'essaye de ne pas penser à l'excitation qui m'envahie mais juste à atteindre la voiture le plus lentement possible... Elle m'aide à ranger dans la voiture mon matériel.
Je suis devant mon coffre ouvert, elle est à côté de moi. Je m'apprête à fermer ce coffre, quand elle glisse sa main dedans pour remettre en place une lanière qui dépasse. Elle est si soigneuse ! Je peux fermer mon coffre et elle se tient sur le trottoir, moi toujours au niveau du coffre.
On dirait qu'elle fait traîner, elle aussi, car presque aussitôt elle m'interroge sur mes vacances. La conversation s'engage, ses joues deviennent de plus en plus rouges, c'est si mignon. Des gens passent sur le trottoir, elle se rapproche de moi pour les laisser passer.
Et c'est là qu'elle dit: "Ecoute, je...", terminant subitement la coloration de son visage qui est maintenant écarlate !
"Oui ?", lui réponds-je.
Et elle pose sa main sur la mienne, horriblement gênée. C'est plutôt bon signe pour moi, c'est que j'ai du bien cacher mon trouble, contrairement à elle (!).
Je pose mon autre main sur la sienne et je la regarde. J'attends qu'elle me dise quelque chose, ou qu'elle fasse un autre geste. Je n'ose pas casser ce moment magique.
Elle regarde autour d'elle, approche son visage du mien puis me dit: "J'en avais envie depuis longtemps mais je n'osais pas, c'est la première fois que je ressens ça pour une femme". Puis elle pose un baiser chaste sur mes lèvres, mais qui me fait l'effet d'un baiser fougueux !
Comme il faut qu'elle retourne au travail, je lui demande doucement à quelle heure elle termine et si elle est disponible pour passer chez-moi à ce moment-là. Elle accepte et on convient donc de son passage chez-moi pour 17h15. On échange un sourire heureux et complice puis elle retourne à ses occupations.
Je rentre chez-moi, toute excitée et impatiente d'être à la fin d'après-midi. Je me caresse rapidement, tellement l'idée de la recevoir tout à l'heure m'excite. Je jouis et ça m'apaise provisoirement.
Puis je nettoie un peu l'appartement, remets de l'ordre, avant de retourner travailler dans une autre entreprise.
16h45, je suis de retour, pleine d'appréhension et d'impatience de la retrouver. Mais peut-être regrettera t’elle son geste du matin ?
Je vais prendre une douche, me fait un corps lisse, un maillot américain. Je décide d'une tenue naturelle, un pantalon et un T-Shirt, mais avec un joli décolleté.
Ca sonne. C'est elle. Je lui ouvre, elle monte. J'ai hâte, tellement hâte ! Ca y est, elle est là, devant moi, avec ce sourire qui me chavire.
Comment se dire bonjour, s'embrasser sur la bouche ou sur les joues ? Mon cœur bat à tout rompre.
Elle s'approche, je lui prends la main, elle m'embrasse. D'abord un petit baiser comme le matin, puis sa langue entre dans ma bouche, ça me chatouille le ventre, elle sourit, elle rit, elle apprécie. Et moi aussi.
Je l'entraîne à l'intérieur, je ferme la porte de l'appartement. J'ai envie d'elle, elle aussi mais semble sur la réserve.
"Qu'est-ce qui t'arrive ?" lui demande-je.
"J'ai envie... de plus avec toi, mais je ne sais pas comment faire..." répond-elle.
Je souris, lui dis "viens, ne t'inquiète pas", lui prends la main, l'entraîne dans la chambre.
Elle sourit, elle en a envie, moi aussi, très envie même. Je l'embrasse, je lui enlève son manteau, son pull, son t-shirt. Je caresse sa peau, son dos. Elle frissonne. Elle retire ses chaussures, pendant que je lui défais son soutien-gorge.
J'en lève rapidement mon pantalon et mon T-Shirt.
Elle retire son pantalon.
Nous sommes à égalité, en sous-vêtements, car timide, elle n'a pas retiré son soutien-gorge. Je défais le mien, l'enlève entièrement. Elle regarde mes seins, me les caresse.
Je retire son soutien-gorge et fais pareil avec elle. J'approche ma bouche de ses seins. Je suce ses petits tétons. Elle gémit, elle aime. Elle se laisse faire, ça m'arrange car j'ai envie de la toucher partout, de découvrir ce corps.
J'aime ça.
Je glisse ma main sur son dos, ses fesses, passe mes doigts sur sa culotte, puis sous sa culotte.
Elle est trempée.
Je masse son clitoris doucement, elle apprécie, elle sourit. On s'embrasse, je caresse l'entrée de son vagin, elle apprécie aussi.
D'un doigt je la pénètre pendant que je caresse son clitoris avec un autre doigt. Elle gémit, se tortille, accompagne mes mouvements avec son bassin.
Elle gémit de plus en plus, puis elle renverse la tête en arrière et jouit, les yeux fermés.
Elle rouvre les yeux, ils ont pris une couleur plus brillante, plus profonde. Elle sourit, elle a apprécié.
A son tour maintenant de me toucher. Elle le fait merveilleusement bien, elle me fait jouir très rapidement.
On s'embrasse légèrement avant de s’écrouler sur le lit allaitantes, chacune de notre côté.
On s'endort, puis tout d'un coup je la sens me prendre dans ses bras.
"Merci" me dit-elle.

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