Trio avec l'amant de ma femme

- Par l'auteur HDS Vanclive44 -
Récit érotique écrit par Vanclive44 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Trio avec l'amant de ma femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Trio avec l'amant de ma femme
Résumé de l'épisode précédent : Ma femme m'a trompé avec un mec rencontré par hasard dans un centre commercial. Elle m'a avoué son forfait, ce qui m'a donné des idées d'ouverture, (voir l'histoire intitulée « Ma femme m'a trompé » publiée par Histoires de sexe dans la zone rouge.

Un mois a passé depuis ce jour où mon épouse m’avait avoué m’avoir trompé avec François, un mec rencontré alors qu’elle regardait la vitrine d’une boutique de lingerie.
Je pense souvent à ça. Selon les moments, je suis excédé car c’est la jalousie qui prend le dessus ou excité en repensant au récit qu’elle m’a fait de leurs ébats. Et, honnêtement, c’est la dernière situation qui domine le plus souvent.

J’ai beaucoup plus souvent envie de lui faire l’amour qu’auparavant, tant la routine planait sur notre vie sexuelle et j’ai aussi l’impression qu’elle aussi a plus souvent envie et me donne l’impression de jouir bien mieux, mais peut-être n’est qu’une idée.

Souvent, quand nous faisons l’amour, je lui demande à quoi elle pense. En l’absence de réponse, je précise ma question :

- « Tu penses parfois à François quand nous faisons l’amour ? Tu imagines la langue de François à la place de la mienne, ses mains sur ton corps, sa grosse queue dans ta bouche ou au fond de ta chatte ? Au fait, a-t-il vraiment une queue plus grosse que la mienne ? »

- « Arrête, mon chéri, ne pense plus à ça, tu te fais du mal. Je te répète que c’était un accident, que je n’ai jamais cherché à le revoir, que c’est toi que j’aime, avec toi que je veux faire l’amour »

- « Mais tu ne m’as pas répondu : Sa queue est-elle vraiment plus grosse que la mienne ? »

- « Mais non, mon chéri, elle est belle, ta queue, et je l’aime. Tu n’as rien à envier à François. C’est vrai qu’il a une belle queue mais la sienne n’est ni plus grosse ni plus belle que la tienne et je te répète que c’est la tienne que je veux »

- « Tu est sûre de ne pas avoir encore envie de la queue de François, dans ta bouche, par exemple, pendant que je te ramone la chatte ou le contraire ? »

- « Tu es fou, mon chéri, je t’ai déjà dit que c’est toi que j’aime et seulement toi que je veux ».

Pour clore la discussion, elle m’embrasse. Nos bouches sont trop occupées pour pouvoir encore parler. D’autres fois, elle embouche ma queue. Bien évidemment, elle a un bon prétexte pour ne pas répondre et, quand elle veut aussi me faire taire, elle me chevauche en même temps et appuie sa chatte sur ma bouche. Elle sait combien j’aime glisser ma langue entre ses lèvres, agacer son clito, enfoncer ma langue dans son fourreau gluant. Je n’aime rien tant que quand elle me jouit dans la bouche.
Peut-être est-ce une idée mais, malgré ses dénis, j’ai vraiment l’impression que l’évocation de ses ébats avec François l’excite tout particulièrement.

Bref, cette affaire de tromperie n’a pas brisé notre couple, mais elle a changé ma perception.
J’avais déjà eu envie d’autres expériences, de triolisme mais, me heurtant au refus de mon épouse, je restais sur ma faim sans être vraiment obsédé par la question, l’essentiel étant toujours pour moi ma relation avec mon épouse.

Mais, depuis que ma femme m’avait avoué avoir joui avec un autre je me disais souvent « Pourquoi pas moi ? ». De plus en plus souvent cette idée de baiser avec quelqu’un d’autre me revenait.

Un jour que nous allions faire des courses, Jeanne-Marie m’ayant avoué qu’elle savait que François travaillait dans un magasin de fringues de la galerie commerciale où elle l’avait rencontré, j’ai prétexté le besoin de voir quelque chose dans un magasin qui n’existait que là pour l’y entraîner. Nous avons parcouru la galerie, avons effectivement visité le magasin en question sans, bien évidemment, y trouver quoi que ce soit d’intéressant. Nous nous sommes ensuite installés à un bar et là j’ai dit à Jeanne-Marie :

- « Maintenant, vas chercher François ! »

- « Non, je ne veux pas ! Je te répète que je n’ai rien à voir avec ce mec, que notre rencontre n’a été qu’un accident. De plus, tu pourrais l’agresser et je ne veux pas de scandale, n’insiste pas ! »

- « Eh bien si, justement, j’insiste. J’estime que j’ai le droit de voir la tronche du mec qui t’a si bien fait jouir et, ne t’en fais pas, il n’est aucunement question de faire un quelconque scandale. »

Elle a continué de tergiverser pendant un moment, puis, comprenant que je ne cèderais pas, elle a fini par s’en aller pour revenir quelques minutes après accompagnée d’un mec bien sapé, pas mal de sa personne qu’elle m’a présenté comme étant François.

Je me suis levé et, avec un sourire, lui ai tendu la main qu’il a saisie après une brève hésitation avant de lancer :

- « Alors, c’est toi qui baises ma femme ! »

Jeanne-Marie, furieuse, m’a fusillé du regard en me disant :

- « Tu m’avais promis de ne pas faire de scandale ! »

- « Tu appelles-ça du scandale ? Ai-je l’air agressif ? Je n’ai fait qu’énoncer une vérité, n’est-ce pas, François ? »

Il m’a regardé, mal à l’aise, se demandant ce qui pourrait se passer et s’est finalement décidé à acquiescer.

- « C’est vrai, j’ai rencontré votre femme par inadvertance. Le fait qu’elle est plutôt jolie et un concours de circonstance ont fait le reste. C’est tout. J’ai la faiblesse de croire qu’elle a partagé mon plaisir, mais il était aussi très clair que nous en resterions là. »

- « Ne t’en fais-pas, je ne te fais pas de reproche, tout comme je n’en ai pas fait à Jeanne-Marie. Je veux seulement que tu me dises si tu as aimé lui faire l’amour et si, les circonstances le permettaient, si tu la baiserais encore volontiers »

- « Pour ça, pas de problème, j’y ai vraiment pris plaisir et, dans les mêmes circonstances, je n’hésiterais pas, mais cela me semble hors de propos »

- « Pas tant que ça ! Puisqu’elle te plait et que vous y avez pris plaisir tous les deux je veux que tu la baises encore, mais, cette fois, je veux être de la fête »

François m’a regardé, interloqué, semblant se demander, comme on dit, si c’était du lard ou du cochon et Jeanne-Marie a aussitôt réagi :

- « Dis-donc, j’ai le sentiment d’être concernée par ce que tu viens de dire et il me semble t’avoir toujours dit que je ne voulais pas et que cette histoire avec François était close »

Mais, cette fois, je n’allais pas me laisser mener et, puisqu’elle en avait déjà profité, il n’y avait aucune raison pour qu’elle me refuse ce plaisir. La discussion a été âpre, mais elle a fini par comprendre que je n’avais pas l’intention de céder. Je lui avais déjà dit que je ne pouvais cesser de l’aimer mais que certaines choses de notre vie changeraient peut-être et ouverture au libertinage faisait partie de ces changements.
François avait conservé un mutisme prudent, observant l’évolution des événements mais, à l’énoncé de la conclusion, il n’a pas fait la fine bouche, semblant ravi à l’idée de baiser à nouveau Jeanne-Marie, même avec ma participation.
Pour ne pas perdre mon avantage, j’ai aussitôt demandé à François quand il pourrait être disponible.

- « D’ici un petit quart d’heure je suis à vous, le temps que la relève arrive. Sur ce, je file au magasin car on doit se demander où je suis »

Quand il a été parti Jeanne-Marie m’a demandé :

- « Es-tu sûr de ce que tu fais ? N’as-tu pas peur de me perdre en me jetant ainsi dans les bras de François ? »

- « Pour ce qui est de t’y jeter je te rappelle que tu as bien su le faire sans moi et je t’ai toujours dit que je préférais que nous partagions nos fantasmes et nos plaisirs plutôt que de nous tromper mutuellement. Je ne te cache pas que, après que tu m’aies trompé je suis fermement décidé à en profiter moi aussi mais, comme je tiens à notre couple, je veux le faire en toute franchise, si possible avec toi plutôt qu’en cachette. La tromperie me semble la pire des choses pour l’avenir de notre couple »

- « Tu as peut-être raison … Après tout, c’est moi qui ai commencé et cela m’enlève le droit de te faire des reproches. D’ailleurs, je dois bien t’avouer que l’idée d’avoir deux hommes pour moi toute seule, quatre mains, deux queues, ça m’excite déjà, mais, je t’en prie, mon chéri, ne me laisse pas. Aime-moi toujours et dis-moi si, parfois, tu me trouves trop salope. Je veux que tu m’aimes toujours. »

- « Moi aussi je t’aime. Je veux te voir jouir toujours plus, être complice de ta jouissance. Aujourd’hui ça sera la première fois que je te verrai baiser avec un autre mec. Je veux qu’à tous les deux nous te fassions jouir comme jamais. Une autre fois, ça sera avec une autre femme ou avec un autre couple … Nous ouvrons une nouvelle porte à la jouissance. Je veux que nous en profitions ensemble. »

Sur ces entrefaites François est arrivé. Nous l’avons emmené à l’hôtel voisin. Arrivés dans la chambre, j’ai enlacé mon épouse et l’ai embrassé. François se tenait à l’écart. Je l’ai donc invité à nous rejoindre. Il s’es approché doucement, s’est plaqué contre le dos de mon épouse et s’est mis à l’embrasser dans le cou. Jeanne-Marie a tourné la tête pour lui offrir ses lèvres et, pendant un moment, elle nous a embrassés tour à tour.

Je me suis décollé d’elle, la laissant continuer à embrasser François et me suis attaqué aux boutons de son chemisier que j’ai eu tôt fait de faire glisser au sol, laissant apparaître son torse bien mis en valeur par le soutien-gorge pigeonnant offert par François.
Je me suis ensuite attaqué à la jupe qui a illico rejoint le chemisier. François, pendant ce temps, lui pelotait les seins, glissant les mains dans le soutien-gorge pour mieux en palper la douceur.

Je ne pouvais pas détacher mes yeux des mains de François sur les seins de ma femme, Cette vision me fascinait, m'obsédait, Il me fallait passer à autre chose si je ne voulais pas me laisser déborder par la jalousie.

J'ai baissé les yeux vers sa chatte encore masquée par le string mauve que j'ai aussitôt entrepris de lui ôter. Le visage à quelques centimètres de sa chatte, j'ai été gagné par les effluves enivrantes qui trahissaient son excitation.

J'ai approché ma bouche pour lui lécher la chatte mais la position était vraiment inconfortable et je n'arrivais pas à la lécher comme je l'aurais voulu. Je me suis donc relevé, me suis débarrassé de mes vêtements et me suis approché du couple qui n'avait pas bougé. François était toujours plaqué contre le dos de Jeanne-Marie et lui pelotait les seins pendant qu'ils s'embrassaient. J'ai collé mon corps nu contre celui de mon épouse qui a aussitôt abandonné la bouche de François pour la mienne. François en a profité pour se dévêtir, J'ai enlacé un peu plus ma femme, glissé mes mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, dernier rempart vestimentaire encore présent. Mes mains parcouraient son corps.

J'ai alors entraîné Jeanne-Marie vers le lit où elle s'est couchée sur le dos. J'ai eu envie de m'allonge sur elle, de couvrir son corps, le masquant ainsi provisoirement à notre partenaire que je ressentais par moments comme un rival. Je l'ai embrassée en me vautrant sur elle, frottant ma queue sur sa chatte en feu. Petit à petit j'ai glissé vers le bas pour embrasser ses seins. François s'est approché. Il nous a regardés un moment puis approché ses lèvres pour gober son téton gauche pendant que je tétais le droit. Je regardais la bouche de François s'affairer sur le sein de ma femme, une image dont j'avais si souvent rêvé : une bouche sur chacun des seins de ma femme.

J'ai à nouveau descendu petit à petit vers l'antre du plaisir. J'ai enfin pu glisser ma langue sur et entre ses lèvres. Sa chatte dégoulinait littéralement. L'odeur et le goût m'enivraient et je crois que j'aurais continué longtemps à lécher si Jeanne-Marie ne m'avait tiré par les épaules en me disant :
- « Je n'en peux plus, mon chéri, j'ai trop envie de sentir ta queue dans ma chatte. »

Je ne me suis pas fait prier. Je me suis positionné, ma queue juste à la bonne hauteur. Elle s'en est emparée et l'a présentée elle-même à l'entrée de sa grotte. Elle était tellement trempée que mon vit n'a eu aucune difficulté à s'enfoncer jusqu'à la garde.

François nous observait. Il regardait ma queue entrer et sortir, les seins de Jeanne-Marie danser au rythme de mes coups de boutoir. Jeanne-Marie lui a dit :

- « Viens, François, j'ai aussi envie de ta queue. Donne-la-moi ! »

François ne s'est pas fait prier. Il a approché sa queue de la bouche de ma femme qui l'a aussitôt embouchée. Je regardais, fasciné, les lèvres de ma femme parcourir la queue de son amant, ses mains la branler avidement, et tout ça à quelques centimètres de mon visage. Elle m'a regardé bien en face en me disant :

- « Alors, ça te plat de me voir sucer François, c'est ça que tu voulais ? »

- « Ou ma chérie, continue. J'aime te voir sucer François pendant que je te baise. »

Elle continuait de sucer avidement en me regardant d'un air vicieux et provoquant mais je suis resté interloqué quand elle a recraché le morceau et, le dirigeant vers moi, elle m'a dit :

- « Tu veux goûter ? »

J'ai hésité un instant puis j'ai avancé mes lèvres vers l'engin qu'elle me tendait. J'ai passé ma langue sous la hampe et tout autour du gland avant de me décider à l'emboucher. J’ai découvert le parfum, la texture, le goût de ce sexe d’homme. C’était la première fois de ma vie que j’en touchais un autre que le mien et je dois dire que, la première surprise passée, j’ai trouvé ça agréable. J’ai joué quelque temps avec ma langue sur toute la longueur du membre avant de me décider à l’emboucher. Je serrais mes lèvres tout autour en faisant attention à écarter les dents suffisamment. Tout d’abord je me suis contenté du gland puis, pensant à ce que j’aimais qu’on me fasse, j’ai avancé les lèvres pour en gober le plus possible, mais la queue de François était de bonne taille et j’arrivais pas à tout rentrer. J’ai entamé un va et vient qui a semblé plaire à François puisque j’ai senti son membre gonfler encore.
A un moment il m’a saisi aux épaules en me demandant d’arrêter, se disant au bord de la jouissance. Il voulait faire retomber la pression avant d’honorer dignement Jeanne-Marie

J’ai donc recraché cette queue que j’avais pris plaisir à sucer et Jeanne-Marie s’est jetée sur ma bouche pour m’embrasser goulûment tout en flattant ma queue de la main. Visiblement, la situation l’avait excitée. Elle m’a demandé de m’allonger sur le dos avant de s’allonger sur moi, le dos contre ma poitrine, dans cette position que nous aimons tant, puisqu’elle me permet de voir son corps et libère mes mains pour me permettre de m’occuper de ses seins.
Elle m’a supplié de lui mettre ma queue sans attendre, ce que j’ai fait sans me faire prier.

François nous a regardés un moment avant de s’approcher, tout d’abord pour lui sucer un sein pendant que je concentrais mes caresses sur l’autre. Il s’es ensuite glissé entre nos jambes pour regarder de plus près ma queue qui coulissait, entrant et ressortant de la chatte trempée de Jeanne-Marie, dégageant des effluves enivrantes. Il a approché sa bouche pour lécher les lèvres de sa chatte, exciter son clito gonflé, léchant au passage ma hampe. Je dois avouer avoir bien aimé, surtout quand j’ai senti Jeanne-Marie se cabrer et que je l’ai senti jouir, ce qui a déclenché illico l’explosion de ma jouissance.

Il s’est délecté quelque temps du jus de chatte de Jeanne-Marie mélangé à mon foutre avant de venir lui faire partager ses saveurs dans un baiser passionné à quelques centimètres de mon visage. Il était le seul à n’avoir pas encore joui. Jeanne-Marie qui commençait à émerger après la jouissance qui l’avait terrassée s’est retirée laissant ma queue flasque déconner mollement et s’est dégagée de mon corps pour s’allonger directement sur le lit avant d’écarter à nouveau les jambes et de dire à François :

- « Viens, tu es le seul à n’avoir pas encore joui, mets-moi ta queue et profites-en à ton tour »

Il ne s’est pas fait prier et, le temps d’enfiler un préservatif, il est venu entre ses jambes avant de la pénétrer. Sa queue bien raide s’est enfoncée sans peine dans l’antre chaud qui débordait encore de mon foutre. Il a commencé à limer. Je les ai regardés un moment sans bouger, regardant la queue de François labourer la chatte de ma femme, mais la situation était trop excitante. Je me suis agenouillé à leurs côtés et j’ai laissé ma main errer sur leurs corps soudés dans la recherche de plaisir. J’ai cueilli la pointe d’un sein de Jeanne-Marie entre mes lèvres et me suis mis à la téter activement. Ne sachant pas trop où poser ma main pendant ce temps je l’ai laissé se poser sur la fesse de François que je me suis mis à caresser, laissant peu à peu mon doigt inquisiteur s’approcher de son anus. Je l’ai massé doucement, testant sa souplesse puis j’ai descendu la main pour cueillir un peu de lubrifiant qui s’échappait de la chatte de Jeanne-Marie lubrifiant ainsi mon doigt avant de la planter dans l’anus de François qui s’est ouvert sans difficulté, comme s’il était déjà coutumier de ce type de traitement.

Dès que mon doigt a eu disparu tout entier dans son anus, François s’est cabré de jouissance et s’est effondré sur Jeanne-Marie qui l’enlaçait en le remerciant.

Nous avions vraiment bien joui tous les trois et, l’heure avançant, il fallait nous séparer. Nous nous sommes quittés sans promettre de nous revoir. Il ne fallait pas créer d’habitude. François est parti de son côté et nous du nôtre.

Jeanne-Marie était visiblement heureuse de notre après-midi et je ne l'étais pas moins, J'avais réalisé un fantasme qui me taraudait depuis longtemps et nous avions passé le cap en toute complicité, même si j'avais un peu forcé la main au début,

Nous avons dîné tranquillement dans un restau en commentant ces instants de plaisir partagé. Même si Jeanne-Marie laissait à nouveau le doute l'envahir sur l'opportunité de renouveler semblable expérience, mais je restais confiant, me disant que le premier pas est toujours le plus difficile à franchir.

Nous sommes ensuite rentrés à la maison, pressés de faire à nouveau l'amour, tous les deux, tendrement, comme pour fêter ces bons moments partagés.

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