Défoncé par un mâle ! - histoire érotique

Février 2005,
Par le biais d’amis commun, nous avons trouvé une location pour passer une semaine de détente à la neige.
Nous partons le matin de très bonne heure. Le trajet, toujours un peu long se passe dans la monotonie la plus complète.
Nous sommes accueillis dans la matinée par une jolie femme qui nous fait visiter le chalet.
Cette femme m’a ensorcelé dés que je l’ai vu !
Je la regarde nous faire la visite en la dévorant des yeux !
C’est une femme élancée, habillée de façon assez sobre. Portant des lunettes lui donnant une allure d’institutrice un peu rigide. Des cheveux blond noué d’une queue de cheval tombant sur ses épaules.
S’est-elle rendu compte de mon émoi ?
Malgré la fatigue du trajet, je pars me coucher en pensant à cette créature aux longues jambes …
J’ai du mal à trouver le sommeil, je ne peux réfréner l’envie de me caresser le sexe … en pensant à elle.
La nuit passe en caressant le doux rêve de pouvoir la toucher, la sentir, la manger !
Arrive le matin, comme à mon habitude je me lève tôt, je passe par la salle de bains, j’installe mes affaires et, machinalement mon attention tombe sur un panier de linge sale.
Après hésitations, je l’ouvre est découvre noyé dans tous ce fatras les petites culottes de ma logeuse.
Je les prends, les regardes et commence à fantasmer!
Je sens mon sexe se raidir rien qu à l’idée qu’elle les a portées. Je les approches de mon nez et les humes pour m’en imprégner. Je suis en rut ! Je ne résiste pas à me mettre nu et à me branler la queue avec ces culottes. Pire, j’enfile une culotte pour me sentir au plus prés d’elle !
Je ne mets pas longtemps à jouir par saccades sur ces dessous …Je râle de plaisir……..

Cette petite aventure aurait pu s’arrêter là si :
Son compagnon n’avait pas assisté à toute la scène !
Il pousse une petite porte et entre dans la pièce. Je suis encore enchevêtré avec et dans les dessous de sa femme ce qui ne lui a pas échappé !
J’essaye rapidement de me relever mais, déjà il appui avec son pied sur mon torse pour m’empêcher de bouger.

Qu’est ce que tu fais ? Ce n’est pas bien ce que tu fais ? Tu veux que j’appelle ta femme ?

Je suis comme un lapin dans les phares d’une voiture ! Je suis tétanisé par la peur, la honte. Et la seule chose donc je suis encore capable de faire est :
Le signe non de la tête.
Il s’agenouille sur moi en me bloquant les bras avec ses jambes.
Je m’attends à prendre une raclée monumentale !
Mais la à ma grande surprise il me sort sa queue de son pantalon et me la présente prés de mes lèvres.
Applique-toi !
Mécaniquement, j’entrouvre ma bouche et prend son sexe dans ma bouche, je ne sais plus ce que je fais. J’engloutis sa queue à la cadence de ses coups de reins !
Il me tient par les cheveux pour mieux souligner ma soumission et ma déchéance !
Je le suce du mieux que je peux ! Je me mets à aspirer sa queue le plus fort que je peux malgré moi je m’applique ! Je bave …..Il m’insulte …je bande …..Il me prend la queue et me branle.
C’est bon, je veux lui rendre le plaisir qu’il me donne. Je lui caresse les couilles et avale sa bite encore, encore et encore…..
Je ne suis plus rien ! Il a prit le contrôle de moi et je me laisse porter par sa voix !
Je le sens prêt à jouir et je me prépare à recevoir son foutre !

Mais d’un coup il cesse de me baiser par la bouche.
Il prend une des culottes les plus sales et me l’enfonce dans la bouche comme un bâillon. Je fais mine de résister, mais j’accepte une fois de plus cette humiliation qui m’excite encore plus.
Les odeurs de cette culotte m’enivrent ! Ces effluves de pisse, de cul …….
Puis, il me retourne pour que je lui offre mon cul !
Malgré mon bâillon, je me débats, grogne plus que je ne parle pour montrer mon refus !
Cette ultime résistance ne fait que de l’exciter un peu plus et je me rends vite compte qu’il ne me laissera pas partir tant qu’il n’aura pas eu sa jouissance !
Instinctivement j’écarte les jambes ! Il introduit un doigt, puis deux, puis trois et me masse l’anus.
Cette sensation désagréable du début laisse place à une plénitude jouissive.
Une de ses mains s’occupe mon anus et l’autre fait des allés retour entre ma queue et mes bourses !
Puis il présente son gland à l’entrée de mon cul !
Je le laisse faire, j’ai envie de lui faire plaisir, j’ai envie de lui, j’ai envie de le sentir en moi !
Ca y est, il est dans moi, j’essaye d’accompagner ces mouvements de reins du mieux que je peux.
Quand je le sens en moi je me contracte pour le sentir plus fort.
Je râle un peu mais j’essaye d’étouffer mes cris en mordant dans la petite culotte !
Après m’avoir bien « pratiqué » je sens son sexe gonfler, et m’attend à recevoir son foutre ce qui ne tarde pas à arriver !
Je reste là, incrédule, sans réaction à quatre pattes !