Titre de l'histoire érotique : Un plan cul et rien d'autre ?

- Par l'auteur HDS Néné94 -
Récit érotique écrit par Néné94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Un plan cul et rien d'autre ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Un plan cul et rien d'autre ?
Me voici en déplacement à me morfondre. Un peu en manque de cul, un petit compte à régler avec ma belle. Mon collègue finit après bien des essais à m'attirer vers son lieu de débauche. Une boîte de la ville, lieu de rendez-vous de personnes en manque de compagnie. Il me présente son groupe d'amies. Une dizaine de femmes de 35 à 50 ans. Le groupe va danser. Je suis tellement préoccupé par mon travail que je me récite des cours de droit tout en dansant. Et oui, çà arrive. Je suis dans mon monde quand je m'aperçois que devant moi, une femme se déhanche comme une furie pour attirer mon attention. Pas trop belle de figure mais je ne suis pas moi-même un Apollon mais elle a un corps fabuleux et une tenue moulante avec une jupe extra courte. Hummm!! Tous les mecs la matent comme des fous et elle semble s'intéresser à moi. Je n'en reviens pas. Elle fait partie du groupe de mon pote. Une série de slows arrive. Des gars lui demandent à danser, elle refuse. Je lui fais signe et elle vient vers moi, se colle vraiment et nous commençons à danser. Au début, c'est de la danse. Je sens ses seins contre moi, son mont de vénus finit le travail et me voilà avec une érection terrible. Il fait noir. Mes mains commencent à lui caresser le dos. Elle frémit, non elle tremble littéralement. Ou bien elle a froid, ou c'est un vrai volcan. Mes mains atteignent le haut de ses fesses et elle gémit. Je n'ai jamais vu çà. La musique plus rapide reprend mais nous restons encore comme çà collés. Nous regagnons un siège et je suis obligé de cacher la bosse de mon pantalon. Mon collègue me dit que cette fille n'a jamais accepté de danser avec quiconque mais là sans rien faire je l'ai pour moi, il n'en revient pas et moi, je suis perplexe. La fille me dit qu'elle doit partir rejoindre son mari et me donne son téléphone. Juste un baiser un peu appuyé, rien d'autre. Dans la semaine, taraudé par ce qui m'est arrivé, je l'appelle. Elle a l'air distante. On se donne rendez-vous dans un petit resto. Le repas est une formalité. Elle me dit qu'elle habite loin et qu'elle me raccompagnera demain. Tout est dit. Nous prenons la route dans sa vieille auto et arrivés chez elle, je ne sais plus quoi faire. Je m'approche d'elle, toujours distante, je l'attrape par les épaules et l'embrasse dans le cou. Là, c'est de la folie. Elle se remet à trembler très fort, à faire peur. Je passe mes mains sur son ventre et ses fesses viennent entourer ma verge comme un étau mais doux. Quand d'atteins ses seins, elle gémit, se retourne et se déshabille très vite puis s'attaque à ma ceinture. Aussitôt fait, elle m'avale mais vraiment. Ma verge est de taille modeste mais jamais personne ne m'a fait çà. En entier dans la bouche et je sens mon gland s'enfoncer dans sa gorge. Incroyable. Me voilà complètement en rut. Je manque de jouir plusieurs fois lorsque je m'enfonce dans sa gorge. Lorsque je lui touche les seins elle gémit et on dirait un vibromasseur autour de ma bite. Je n'en peux plus. Je la couche et lui colle la bouche sur la chatte sans prévenir. Là, ce ne sont plus des gémissements, non des râles de plaisir très forts. Je visite la vulve qui s'ouvre très fort en laissant couler un jus fabuleux. Un doigt, deux, trois et visiblement on peut plus. Elle crie de plaisir et jouit très fort une première fois. Incroyable. Quelques secondes après, elle bouge et me demande de continuer. J'ai laissé mes doigts dans sa chatte. J'appuie et tout rentre, oui, toute la main. Elle hurle maintenant et il y a des voisins. Au moins, ils savent ce qu'on fait. Je lui bouffe le clito en laissant ma main dans son étui qui se resserre très fort à chaque passage de ma langue. Et là j'ai l'idée de visiter un peu son petit trou ce dont je ne suis pas spécialiste. Il est très doux et s'écarte facilement preuve qu'il a déjà donné. Me voilà avec ma main dans sa chatte, ma bouche sur son clito et deux doigts dans son cul et elle me demande plus. Non elle hurle plus. Je n'en peux plus, j'arrête tout, je lui écarte bien les jambes et je la pénètre d'un seul coup. Pas de soucis, ma petite bite rentre facilement mais le plus surprenant que j'ai revécu plus tard avec ma propre femme c'est qu'elle y prend un pied pas possible alors que je nage dans son vagin qui coule et semble encore plus ouvert. Pris d'un fantasme subit, je sors et je me dirige vers son anus. Elle se soulève un peu pour m'aider et hurle dès que je rentre en bougeant son bassin comme pris de spasmes violents et permanents. En fait, j'ai découvert qu'elle pouvait jouir presque en continu. Du feu. Et là elle se lâche : vas-y mon salop avec ta petite bite. Bourre-moi le cul, allez plus fort... Moi qui n'avait jamais pratiqué la sodomie, je suis gâté. Elle attrape un gode tout petit et me demande de lui mettre dans le vagin pendant que je la bourre derrière. Je la sens se resserrer et ma bite frotte contre la verge en plastique de l'autre côté sans parler de son oeillet qui m'étrangle la verge et je ne peux pas tenir longtemps. Je veux sortir, elle m'en empêche et me dit profite. De toutes façons je te finirai dans ma bouche ensuite.
Je m'effondre sur elle, mort, de plaisir et me laisse glisser sur le côté. Quelques secondes après, je sens qu'elle me touche la bite. C'est doux, je ne regarde pas. En fait elle m'a mis une capote fruitée et me suce alors que je suis tout mou mais çà repart tellement elle m'excite. Je regarde et la vois s'enfoncer un nouveau gode dans la chatte. Là c'est plus pareil on dirait la taille de deux boîtes de coca l'une sur l'autre. Du mastoc. Et çà rentre facile. Je lui titille le clito et elle repart en transe tellement qu'elle a failli me mordre la bite. Elle se met en levrette et me demande de la prendre. Qu'est-ce que je vais faire après un tel engin. Je rentre sans toucher les bords. Elle se touche le clito et sa chatte se serre tellement que j'ai l'impression d'être dans son cul. Du feu car l'excitation en rajoute. Je bourre comme un fou, elle râle, crie, me dit des mots insensés pour moi : j'aime ta bite, t'es le meilleur (alors là je doute), bourre moi salop, et mon cul, tu le laisses ? Bon OK, sans hésitation, je mets mes doigts en pointe et je lui enfonce les quatre d'un coup dans le cul. Tu en voulais ma salope, et bien tiens. Tiens, ouais, si j'appuie, je crois que tout rentre aussi de ce côté. Comment peut-on être aussi dilatée et aussi étroite quelque seconde après. Elle hurle, s'effondre sur le lit et a des spasmes violents pendant plusieurs secondes, je tombe avec elle et çà déclenche une nouvelle éjaculation. Elle continue à trembler tellement que j'ai peur qu'elle n'ait une crise de je ne sais quoi. Elle s'arrête enfin et semble dormir, je me couche et m'endort. Au matin, je suis réveillé par une sensation de chaud sur ma bite. Je regarde et je la vois me sucer mon tout petit truc tout mou. Elle me regarde avec des yeux fous et je bande comme un fou quelques secondes après. Moi qui débande assez vite avec ma femme, là j'ai compris. Elle tiendra parole et je vais vivre une première. Me vider comme un salop et jouir d'une façon phénoménale dans la bouche d'une femme. Je sens que çà monte. Je la préviens. Elle s'arrête quelques secondes pour me dire qu'elle a carrément mal à sa chatte et à son cul et qu'il reste sa bouche en bon état. Elle me pompe et je me vide comme jamais et c'est moi qui gueule comme un pourri tellement c'est bon.
On s'est revu une semaine plus tard pour se dire qu'on était mariés tous les deux et que ce plan cul était sans lendemain. Sans lendemain sûrement mais pas sans regret pour moi. Je l'ai revue un an plus tard. Elle était avec son mari. Elle m'a dit bonjour et m'a présenté comme un collègue de travail, quel travail ! Elle a réussi à me glisser à l'oreille qu'elle arrivait maintenant à jouir avec son mari en repensant à notre plan cul. Elle n'avait fait que se masturber à grand coups de godes jusque là. Moi qui croyait qu'elle avait déjà donné à fond j'ai appris qu'elle ne vivait que dans des fantasmes. Depuis, je pratique aussi la psychologie pour déclencher des fantasmes avec les femmes y compris la mienne.

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