Dans la chaleur de l'été (11)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : Dans la chaleur de l'été (11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2014 dans la catégorie Plus on est
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Dans la chaleur de l'été (11)
Le grand weekend du 15 aout arriva. J’avais 5 jours devant moi, et en profitais donc pour aller rejoindre Émilie. Je ne lui avais rien dit. Lui laissant la surprise de me voir arriver pour passer quelques jours avec elle.

Sa grand-mère habitait un petit village, et en plus du train, il me fallut prendre un bus, et marcher le long d’une route communale avant de voir se profiler sa maison.

C’était une maison simple. Un étage. Murs blancs, volets en bois dont la peinture bleue s’écaillait. Il y avait un grand portail en fer forgé. Je sonnais à la cloche en bronze et vit apparaitre la grand-mère d’Émilie. Une petite femme aux cheveux blancs coiffés en chignon. Elle boitait légèrement. Elle s’avança vers le portail et sourit en me voyant. Je l’avais appelé pour la prévenir de mon arrivée, en lui demandant de n’en rien dire à Émilie.

Elle ouvrit le portail, m’embrassa et me conduisit à l’arrière de la maison où elle s’était installée pour équeuter des haricots verts. Il y avait un poulailler, un petit jardin potager. Sur un banc dormait un gros chat. Elle m’invita à m’assoir et me dit qu’Émilie était allée à la rivière pour nager. Je pris une poignée de haricot et l’aidais. Elle fut surprise de mon savoir-faire. Je lui dis que j’avais fait ça toute ma jeunesse avec ma grand-mère. Elle rigola.

Émilie nous trouva tous les deux assis dans le jardin discutant comme deux vieux amis. Elle fut surprise de me voir et se jeta dans mes bras. Elle m’embrassa à pleine bouche. Ses cheveux étaient mouillés, tout comme son maillot de bain qui dégoulinait sur moi. Elle gardait l’odeur de la rivière, mélange de vase et d’odeur de sous-bois. Je ne sut pas si les gouttes qui coulaient sur ses joues étaient des larmes ou l’eau de la rivière s’écoulant des sa chevelure trempée.

Sa grand-mère nous regardait avec un petit sourire en coin, visiblement heureuse que sa petite fille retrouve son copain.

Émilie monta dans la chambre, jeta mon sac sur le lit, et se jeta de nouveau sur moi après avoir ôté son maillot de bain.

— Tu m’as manqué, me dit-elle en m’embrassant, j’ai été obligée de me branler pour supporter ton absence. J’ai même été à deux doigts d’aller draguer en boite, et me faire prendre par un petit jeune sur le parking.

Je lui dis que j’avais été moins fort qu’elle et lui racontait ma nuit avec Alexandre.

— Tu n’es qu’un petit pédé obsédé, dit-elle en riant et en faisant glisser mon pantalon le long de mes jambes. Baise-moi, je suis en manque.

Elle s’empala sur moi, et sans se soucier de sa grand-mère juste en bas, elle me baisa comme une folle.

Nous étions allongés côte à côte sur le lit après avoir pris une douche, encore humide le vent d’aout qui rentrait par la fenêtre nous faisait frissonner. Émilie me dit que sa grand-mère était au courant de presque toute sa vie sexuelle.

— Enfin presque tout, elle sait que j’aime les filles et les garçons, que j’ai vécu avec toi et Nina. Bon je ne rentre pas dans tous les détails, mais elle me dit qu’il faut que je prenne du bon temps, et que c’est quand on est jeune qu’il faut en profiter.

Nous dinâmes tous les trois dans le jardin, et la grand-mère d’Émilie alla se coucher nous laissant seuls.

— Amusez-vous bien les enfants, dit-elle en nous quittant.

Émilie m’embrasa et nous allâmes nous promener. Nous allâmes jusqu’au village dont les rues étaient animées par les nombreux touristes qui occupaient les terrasses des deux bars, et les jeunes qui trainaient dans les rues.

— C’est un village perdu, mais il y a toujours beaucoup de vacanciers, me dit Émilie.

Elle me mena jusqu’à la boite de nuit et nous entrâmes pour y prendre un verre.

— Peut-être qu’on tombera sur un bel étranger, me dit-elle.

Il y avait peu de monde, il était encore tôt, mais nous allâmes sur la piste et nous dansâmes un moment. Puis après avoir bu un verre, nous repartîmes. La nuit tombait doucement. Émilie me prit la main et m’entraina dans les bois.

— J’ai envie de te violer dans la foret, dit-elle en riant.

Elle me plaqua contre un arbre, et se mit à genou pour me sucer. Sa bouche m’avait manqué. Je la regardais s’occuper de moi, prendre du plaisir à m’en donner.

— J’aime ta queue, me dit-elle, j’aime la sentir au fond de ma gorge, emplir ma bouche.

Elle me fit jouir et avala mon foutre chaud.

— Bouffe-moi la chatte, je dégouline, lèche mon jus.

Elle s’allongea sur la mousse, écarta les cuisses, et m’offrit son sexe. Je plongeais en elle, buvais son jus tiède, cette mouille exquise dont je ne me lassais pas. Émilie gémissait sous mes coups de langue, se tortillait de plaisir. Plaquait mon visage contre son sexe ouvert. Elle jouit à son tour, poussant un grand cri.

Je relevais la tête et vit un type se branler à quelques mètres. Il devint tout rouge en voyant que je l’avais remarqué. Prenant peur il voulut s’enfuir, mais oubliant qu’il avait le pantalon aux chevilles tomba dans la mousse.

Émilie se leva, alla vers lui. Elle lui tendit la main pour l’aider à se relever.

— Le spectacle t’a plu, lui dit-elle.

Il rougit de plus belle, bafouilla, et remonta son caleçon.

— Non, c’est dommage de cacher tout ça, tu es bien équipé, on pourrait en profiter.
— Émilie, dis-je, ne lui fait pas peur, il a l’air gentil, mais tu le terrorises.
— Il n’avait pas l’air d’avoir peur quand tu l’as vu se branler en nous regardant. Je pourrais le détendre en le suçant. Ça te plairait que je te suce ?

Il ne sut quoi dire, mais je vis que la proposition le tentait.

— Excusez-moi, fini-t-il par dire, je ne voulais pas vous gêner, je vous ai entendu alors que je me baladais, et je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber, c’était trop excitant.
— Tu es puceau, demanda Émilie ?

Il fit oui de la tête. Émilie s’approcha, déposa un baiser sur sa joue et lui dit de partir.

— Je ne veux pas que ta première fois se passe comme ça, ajouta-t-elle.

Il hésita, ne bougea pas.

— Mais, vous m’auriez vraiment sucé ?

Émilie éclata de rire.

— Je crois qu’il est tenté par une petite pipe, dit-elle. Oui, j’aurais pu te sucer, et mon ami aussi.
— Mais je l’ai vu vous lécher, il n’est pas pédé.
— Non, comme moi il est bi, il aime autant les chattes que les bites, et il adore les culs. Allez va, rentre chez toi.

Il s’avança, baissa son caleçon. Il bandait encore. Une belle bite, longue et épaisse.

— Non, je veux participer, dit-il crânement en nous regardant droit dans les yeux.

Émilie se tourna vers moi.

— Que fait-on ? On le suce, on le dépucèle ?
— C’est vraiment ce que tu veux, lui demandais-je ?
— Oui, je veux baiser avec vous, là, maintenant.

Je lui pris la bite en main. Il frissonna. Je le caressais doucement. Émilie l’embrassa.

— C’est vrai qu’il a une belle bite, et qu’elle me fait envie, dit-elle. Tu t’appelles comment ?
— Éric, dit-il.
— Tu es vraiment puceau ?
— Oui.
— Tu as quel âge ?
— 17 ans.
— Tu te branles souvent ?
— Oui.
— Tu aimes ce que mon ami te fait ?
— Oui.
— Tu voudrais qu’il te prenne dans sa bouche ?
— Oui, répondit-il sans hésitation.
— Et moi, tu voudrais que je te suce aussi.
— Oui.

Émilie le fit allonger, et nous commençâmes à le sucer ensemble. Il ne fut pas long à jouir lâchant un puissant jet de foutre sur nos visages.

— Dommage, c’était rapide, dit Émilie. Il va falloir que tu t’occupes de moi maintenant, tu m’as bien excité, et j’ai la chatte toute humide.

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