Dans la chaleur de l'été (7)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : Dans la chaleur de l'été (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Dans la chaleur de l'été (7)
Je retrouvais Claire le lundi matin. Passé le 14 juillet, la moitié des bureaux étaient vides. Nous avions donc beaucoup de temps libre pendant nos journées de travail. Après avoir effectué quelques tâches chacun de notre côte nous nous sommes vite retrouvés et avons échangé sur notre weekend. J’avais très envie de lui raconter ma soirée très chaude, et l’exciter un peu plus pour arriver à mes fins. Elle me prit de court.

— Je me suis masturbée en arrivant chez moi, me dit elle en fermant la porte derrière elle, j’étais tellement excitée par ce que tu m’avais dit que je n’ai pas pu attendre et je me suis branlée à peine la porte fermée. J’ai joui en pensant à ta vie sexuelle. J’ai joui plusieurs fois en pensant à ce que tu as connu.

Elle s’est approchée de moi, et m’a regardé droit dans les yeux. Je pouvais sentir son souffle sur ma peau. Elle s’accroupi devant moi, glissa ses mains sous sa jupe et retira sa culotte qu’elle glissa dans la poche de mon pantalon. Elle alla s’assoir, remonta sa jupe, écarta les cuisses.

— Raconte-moi une histoire, me dit-elle en commençant à se caresser.

Je la regardais un moment sans rien dire, sa main glissant sur son sexe lisse.

— Raconte-moi une belle histoire que je me branle.

Je lui racontais la soirée avec Émilie, notre rencontre avec Bella et notre trio dans les toilettes. Claire se caressa doucement, s’attardant sur son clito, jouant avec, le massant, puis se glissa un doigt dans son sexe bien humide, accélérant le rythme. Elle me regardait droit dans les yeux pendant que je lui décrivais notre baise. Elle se mordait les lèvres, se tortillait sur son siège. Elle avait deux doigts en elle, de son autre main elle se caressait les seins au travers de son chemisier. Je m’approchais d’elle. Elle tendit la jambe et posa son pied sur ma braguette.

— Pas touche, dit-elle, et tu ne te touches pas non plus.

Elle était sur le pont de jouir, je voyais son corps se tendre vers l’orgasme. Elle serra les lèvres, posa une main sur sa bouche, renversa sa tête en arrière et poussa un cri étouffé. Elle resta un moment à savourer son plaisir, se lécha les doigts, baissa sa jupe et passa à côté de moi sans un mot.

Ce petit jeu se reproduisit plusieurs fois dans la journée. Claire nous enfermait dans une pièce et elle se donnait du plaisir en m’écoutant lui décrire mes aventures sexuelles. Elle ne faisait aucun commentaire, me laissait libre de choisir mes histoires. Elle se masturbait, jouissait et sortait. Je n’avais pas le droit de la toucher, ni même de l’accompagner en me branlant.

Elle venait de jouir pour la quatrième fois de la journée en m’écoutant lui raconter ma fin de nuit avec Sophie et Gisèle. Elle s’avança vers moi, me tendit ses doigts et me fit lécher sa mouille. Je suçais ses doigts avec délice.

— La prochaine fois, tu auras droit à un petit cadeau, me dit-elle en récupérant sa culotte et en quittant la pièce.

En rentrant, je racontais ma journée à Émilie, qui trouva très drôle la situation.

— Elle sait que tu veux la baiser, et elle joue avec toi, ça doit être une sacrée bombe au lit.

Il me tardait de le découvrir.

Le lendemain Claire m’ignora. Elle me dit bonjour, mais ce fut le seul mot qu’elle échangea avec moi. Je la croisais souvent, comme chaque jour, mais elle m’ignora, ne me regardant pas. Je pensais qu’elle avait honte de ce qui s’était passé la veille, mais, en fin de journée, alors que je m’imaginais avoir perdu toute chance avec Claire, elle ne coinça dans les toilettes, me poussa dans une des cabines, et sans rien dire défit ma braguette, sorti ma bite et me branla. Sans un mot. Elle me masturba, et me fit jouir dans sa main. Un long jet de sperme alla s’écraser sur le sol. Elle s’essuya, rangea ma queue dans mon caleçon et sortit.

Je rentrais troublé chez nous. Émilie rigola, et me dit que j’étais fait comme un rat.

— Elle te tient littéralement par les couilles, dit-elle.

Claire redevint charmante, avenante, discutant avec moi pendant toute la journée, mais n’évoqua pas ce qui s’était passé dans les toilettes la veille, ou l’avant-veille. Rien de sexuel ne se passa ni ne se dit ce jour-là. Sauf que le soir, en rentrant, je trouvais une série de photos. Des nus. Une femme posant devant l’objectif. Je ne voyais pas son visage toujours hors cadre, mais j’imaginais qu’il s’agissait de Claire. La série avait été glissée dans ma poche de veste. Une trentaine de clichés, qui me dévoilaient son intimité, et me la montrait se caressant, se branlant.

Le lendemain c’était à mon tour de coincer Claire, je voulais qu’elle m’explique, qu’elle me dise ce qu’elle voulait. Mais elle était absente et je du ronger mon frein jusqu’au lendemain.

Je l’attendais dans le bureau que nous occupions pendant cette semaine là. Elle arriva et fonça droit sur moi. Me plaqua contre le mur, et m’embrassa.

— Je sais que tu as envie de moi, me dit-elle, c’est réciproque. Tu m’excites avec ta vie, tes histoires, et tout le reste. Mais je ne souhaite pas en faire partie. Un jour peut-être, mais pas encore. Si on doit baiser ensemble, ce sera ici, dans les bureaux, jamais chez nous.

Elle se mit à genou, ouvrit ma braguette, sortit ma bite, et la prit en bouche. Elle me suça et déroula une capote sur mon membre bien raide.

— Je rêve de toi et de ta queue depuis des jours, il m’a fallu beaucoup de volontés pour ne pas te sucer le jour où je t’ai branlée dans les toilettes.

Elle retira sa culotte, souleva sa jupe, et vint s’empaler sur moi. Allongée sur le sol de ce bureau vide, elle me baisa. J’entendais des pas dans le couloir, des bribes de conversations étouffées par les murs. Le risque de se faire prendre augmentait notre excitation. Claire jouit une première fois, se bâillonnant de ses mains pour ne pas crier. Elle se leva, se mit à quatre pattes et je vins la prendre en levrette, explosant de plaisir en elle.

— C’était super dit-elle en se relevant. Je ne regrette pas, et même j’en veux encore, mais pas tout de suite.

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